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LOUIS XIV

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Tous droits réservés Copyright by FERNAND NATHAN 1940.

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Louis SAUREL

L O U I S X I V

Hors-texte en couleurs ouvrage orné de 149 photographies

Fernand NATHAN, Éditeur 18, Rue Monsieur-le-Prince

— PARIS-Vie —

1 940

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Portrait d'apparat de Louis XIV, peint par Hyacinthe Rigaud. Le roi porte un grand manteau de velours bleu, semé de fleurs de lys d 'or et doublé d 'hermine.

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AVANT-PROPOS

Né le 5 septembre 1638 et mort le 1er septembre 1715, Louis XIV est l'un des rois de France qui ont régné le plus longtemps.

Dès le 7 septembre 1651, la majorité du nouveau roi fut proclamée ; mais, en fait, jusqu'à 1661, date de la mort de Mazarin, Louis XIV ne fut roi que de nom : ce fut l'astucieux cardinal, époux morganatique de la reine-mère, qui gouverna à sa place. Le règne de Louis XIV s'étend donc du 9 mars 1661 au 1er septembre 1715.

Dans cet ouvrage, fidèle à la méthode que nous avons employée pour écrire La Révolution française et L'Armée française, nous présentons seulement quelques tableaux, quelques scènes types de l'époque choisie. Il ne faut donc pas chercher dans Louis XIV une narration complète de tous les événements qui se déroulèrent sous la minorité et le règne du

" Roi Soleil " ; mais on y trouvera une suite de tableaux du Grand Siècle, qui permettront à nos lecteurs de se faire une idée de cette époque.

Voulant faire connaître au public la véritable physionomie de la France de 1638 à 1715, nous avons été conduits à montrer aussi l'envers de cette brillante période. Nos lecteurs n 'en seront pas surpris : toute médaille a son revers, n 'est-ce pas? Du reste, nous n'avons guère abusé de l'horreur ni donné une multitude de détails sur certains côtés peu flat- teurs du Grand Siècle. Si nos lecteurs parcourent le remarquable ouvrage de Félix Gaiffe, L'envers du Grand Siècle, ils verront que nous avons été assez discrets.

Il fallait toutefois, à notre avis, que cette époque fût montrée, non seu- lement du côté du public, mais aussi de la coulisse.

L. S.

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La partie centrale de la façade du palais de Versailles qui regarde le parc, vue du parterre du Midi. Ce corps de logis ne comprend qu'un étage et un attique.

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La cour du Louvre. A gauche, le fameux pavillon Sully ou de l'Horloge. Il fut construit sous Louis XIII par Jacques Lemercier. A gauche du haut pavillon de l'Horloge, on voit sur cette photographie la moitié de l'aile construite par Pierre Lescot sous Henri II.

CHAPITRE PREMIER

LOUIS-DIEUDONNÉ

s 1 EULE dans sa vaste chambre du Louvre, la reine Anne d'Autriche,

assise dans un lourd fauteuil à haut dossier, demeurait pensive,

attristée. Et l'ambiance dans laquelle elle se trouvait n'était guère

propre à changer le cours de ses pensées, à amener un sourire sur son large visage de femme mûrissante : malgré les énormes pièces de bois qui flamblaient dans la cheminée, la chambre était froide, humide. Un jour terne l'éclairait et dehors il neigeait.

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Ses grands yeux baissés, la reine songeait à l'étrange situation dans laquelle elle se trouvait.

Théoriquement, elle était toujours la femme de Louis XIII. Mais, en fait, et depuis près de dix-huit ans, le roi, qui ne l'aimait pas, vivait séparé d'elle. Sans enfants, Anne d'Autriche risquait fort, à la mort de son mari, d'être renvoyée en Espagne, puis enfermée dans un couvent.

Quelle humiliation pour cette femme encore belle, qui avait l'illusion de régner sur l'une des cours les plus brillantes qu'il y eût alors en Europe ! L'illusion seulement... car, en pratique, depuis que la police secrète de Richelieu avait découvert qu'Anne correspondait avec l'Espagne, — en guerre avec la France, — et lui livrait des secrets d'état, elle n'était plus reine que de nom : surveillée continuellement par l'une de ses dames d'honneur, qui rendait compte au roi de ses moindres actes, la souveraine ne comptait pour ainsi dire plus à la Cour. Les nouveaux courtisans, qui se rendaient pour la première fois au Louvre, ne s'y

Louis XIII, père de Louis XIV. Sa nature morose et son manque de caractère se lisent sur cette longue face triste, ces yeux sans éclat.

trompaient pas. C'est à Riche- lieu, à l'homme qui régnait en fait sous le couvert de la personnalité falote de Louis XIII, qu'ils adressaient tous leurs témoignages de dévoue- ment, leurs plus fines flatteries.

Pour la reine, un salut et quel- ques paroles suffisaient: on ne s'attardait pas auprès d'elle.

Or, le roi, dont la vie était pour Anne le garant de sa situation actuelle, — son maintien à la Cour de France,

— déclinait d'année en année.

Sous peu, Anne serait-elle donc chassée du Louvre?

Le cœur étreint d'une sourde angoisse, la reine ruminait ses pensées. Et, comme on le de- vine, plus elle songeait au sort misérable qui l'attendait presque infailliblement, plus

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elle se sentait triste, seule, aban- donnée. Elle ne se doutait pas que, ce jour-là, Louis XIII était non loin d'elle, dans Paris même.

Ordinairement, le roi vivait à Versailles, dans la gentilhommière qu'il s'était fait construire sur l'emplacement du palais actuel. Il y menait une vie retirée en com- pagnie de quelques rares amis. Ce jour-là, exceptionnellement, Louis XIII s'était rendu à Paris : il était allé revoir une jeune fille de sa cour, récemment entrée en reli- gion. Au sortir du couvent, le roi, surpris par une forte chute de neige, avait dû renoncer à rega- gner Versailles.

— Où aller? s'était-il demandé d'un air maussade, son air habi- tuel.

La nuit venant, Louis XIII avait dû sur-le-champ prendre une déci- sion. L'image du Louvre s'était

Henri IV, le grand-père de Louis XIV Moralement, le « roi-soleil » ressemblait plus au Vert-Galant qu'à Louis XIII.

alors impose a son esprit. Ou pouvait-il se retirer dans Paris, sinon dans son propre palais?

C'est pourquoi, résigné à coucher dans cette brillante demeure, qui répugnait à son humeur sauvage, Louis XIII chevauchait maintenant non loin du Louvre.

Arrivé dans son palais, le roi éprouva aussitôt une désagréable surprise : rien n'était prêt pour le recevoir. Il était d'usage en effet, à cette époque, de voyager avec ses meubles : Louis XIII n'ayant pas en- voyé de lit de Versailles, n'en trouva aucun de libre au Louvre. Force lui fut de se rendre dans la chambre de la reine.

Une réconciliation des deux époux s'ensuivit. Et, bientôt, le rêve d'Anne d'Autriche — avoir un enfant qui assurerait sa position à la Cour de France — se réalisa : le 5 septembre 1638, elle mit au inonde un bébé joufflu, aux yeux couleur de noisette et aux cheveux châtain clair,

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qu'on baptisa Louis. Comme depuis vingt-deux ans qu'elle était mariée, c'était la première fois que la reine enfantait, cette naissance fut pres- que considérée comme un miracle. Aussi ajouta-t-on au nom de l'inat- tendu héritier de la couronne royale le qualificatif Dieudonné.

Folle de joie d'être enfin mère, Anne d'Autriche fit vœu d'élever une église au Val-de-Grâce. Elle tint parole : quelques années plus tard se dressa dans la rue Saint-Jacques ce bel édifice d'apparence si froide et si solennelle, qu'on nomme aujourd'hui l'Hôpital du Val-de-Grâce.

Quant au marmot joufflu, cause d'une telle joie, et que, dès sa nais- sance, Anne d'Autriche couvait d'un regard attendri et reconnaissant, c'était le futur Louis XIV.

Anne d'Autriche vers 1645. La régente porte un voile de veuve. Anne d'Autriche, née en 1601, était la fille de Philippe III, roi d'Espagne. (Bib. Arsenal.)

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Le 6 janvier 1649, Louis XIV, sa mère et Mazarin, fuyant Paris, où grondait la Fronde, se réfugièrent à Saint-Germain-en-Laye. Voici une partie du célèbre parc, vue du château. De la terrasse on jouit d'une vue magnifique sur les environs de Paris.

CHAPITRE II

LA FUITE A SAINT-GERMAIN

A u début de l'année 1649, une véritable fièvre révolutionnaire avait gagné tout Paris.

Grands seigneurs de la Cour, membres du Parlement, bourgeois

et gens du peuple tenaient, presque chaque jour, des réunions où l'on discutait avec passion de la politique de Mazarin et de sa déplo- rable gestion financière. Dans les moindres boutiques, on ne se bornait pas à discuter, à lancer des invectives contre le « gredin de Sicile »

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L'église du Val- Grâce. La pose de la première pierre de cet édifice fut faite en 1645 par Louis XIV.

L'abbaye, dont dépendait l'église, avait été fondée par Anne d'Autriche.

(ainsi nommait-on le successeur de Richelieu, premier ministre de la reine régente, Anne d'Au- triche). On faisait pis : on s'armait.

Tout bourgeois achetait au moins un mousquet, un morion, une cuirasse et une épée, tandis que les nobles déva- lisaient les boutiques d'armuriers comme s'ils eussent dû sou- tenir un long siège dans leurs demeures.

La raison d'une telle agitation, qui menaçait de tourner à la guerre civile, variait selon la classe sociale des gens. Mais la source même de ce trouble provenait de l'acces- sion au pouvoir de Mazarin.

Italien, non de Sicile, mais des Abruzzes, Giulio Mazzarini possédait cet art de la séduction et ce goût pour l'intrigue, dont on croyait alors que tous ses compatriotes étaient doués. Grand, bel homme, d'humeur douce et sachant flatter avec finesse, il avait su se concilier la sympa- thie active d'Anne d'Autriche. C'est pourquoi, à la mort de Louis XIII, la reine régente l'avait pris pour premier ministre. Elle avait fait plus encore. Par la chaude caresse de son regard et la douceur de sa voix, Mazarin ayant su la troubler, l'émouvoir, l'enflammer d'amour pour lui, Anne d'Autriche l'avait un jour épousé, mais secrètement. La veuve

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de Louis XIII ne pouvait en effet se déclarer la femme d'un ancien capitaine de l'armée du pape, un aventurier, qui portait la robe de cardinal sans être seulement prêtre.

On devine combien la situation de Mazarin était délicate. D'autant plus qu'au début de janvier 1649 le trésor royal était vide : par leurs exigences, les grands seigneurs de la Cour l'avaient épuisé ; et le peuple parisien était las de payer des impôts qui s'accroissaient sans cesse.

L'ambition et la cupidité des « Grands » déçus et la légitime colère du peuple, qui voyait des ministres, comme Mazarin et Particelli d'Emeri, s'enrichir à ses dépens, expliquent cette fièvre révolutionnaire qui agitait alors Paris.

On en avait assez de Mazarin !

Par n'importe quel moyen, la guerre civile s'il le fallait, le peuple voulait le chasser du pouvoir et amoindrir l'autorité sans contrôle de la reine régente. L'autocratie de Richelieu, le bon plaisir du roi érigé en loi avaient fini par heurter

cet amour passionné de la liberté, qui sommeille au cœur de presque tous les Français.

Maintenant le peuple voulait vivre libre sous la direction d'un souverain ou d'une régente, dont le pouvoir serait contrôlé par le Parlement de Paris.

Quelques mois auparavant, contrainte par la nécessité, — les Parisiens ayant couvert leur « bonne ville » de barri- cades, — Anne d'Autriche avait dû accepter que, doréna- vant, aucun impôt ne pourrait être établi sans l'approbation du Parlement et aucun homme ne pourrait être maintenu en prison plus de vingt-quatre heures sans avoir été interrogé par un juge. Ces concessions,

A six ans, en 1644, Louis XIV, aux côtés duquel est Anne d'Autriche, reçoit te prévôt des marchands et les échevins de Paris.

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arrachées par la force au despotisme royal, Anne d'Autriche se propo- sait de les détruire, également par un coup de force. Pour cela, Mazarin avait secrètement donné l'ordre à quelques corps de troupes de se con- centrer aux alentours de la capitale. Cette manœuvre était achevée, mais personne à Paris ne l'ignorait. D'où la colère grandissante du peuple.

Pour prévenir le coup de force de Mazarin, les Parisiens n'allaient-ils pas attaquer le Palais-Royal, où se trouvaient alors Anne d'Autriche et son fils, Louis-Dieudonné?

Comme insensible au danger qui la menaçait, la reine régente conti- nuait à vivre ainsi qu'auparavant et ne semblait prendre aucune mesure de précaution contre un coup de force éventuel.

Le 5 janvier, veille de la Fête des Rois, Mme de Motteville, amie intime d'Anne d'Autriche et l'une de ses dames d'honneur, trouva en

Lorsque la bataille de Rocroy fut sur le point de s 'engager, la nouvelle de la mort de Louis XIII parvint aux troupes françaises. L 'état-major du duc d 'Enghien le futur Grand Condé — fut d'avis de ne pas engager la bataille. Le jeune général imposa l idée contraire et battit l'armée espagnole. Voici Enghien exhortant ses soldats à faire leur devoir.

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effet sa souveraine assise dans son petit cabinet et regardant paisiblement le futur roi, Louis-Dieudon- né, jouer avec des soldats de plomb.

La reine régente avait peu changé depuis le jour où elle avait conçu cet enfant. C'était une belle femme blonde, aux grands yeux tendres, au teint frais et à la chair bien blanche.

Elle paraissait à peine âgée de quarante ans, alors qu'elle en avait près de cinquante. A la voir si douce, si tendrement ma- ternelle, — car elle couvait son fils d'un regard plein d'affection, — on n'eût pas deviné en elle l'Espagnole aux brusques et terribles colères, qui ne se possédait

Louis XIV vers 1644. Il porte le grand cordon de l'ordre du Saint-Esprit ; dans sa main droite : le sceptre.

alors plus et parlait plus qu'elle n'aurait dû.

Ce soir-là, « dame Anne », ainsi que l'appelaient par dérision les Frondeurs, semblait parfaitement calme, exempte de souci. Elle devi- sait gaiement avec une autre de ses dames d'honneur, Mme de la Trémouille, quand la jeune Mme de Motteville entra. En la voyant, le visage de la reine s'éclaira d'un bon sourire et ce fut très affectueuse- ment qu'elle accueillit son amie.

— Ah !... bonjour, ma chère Françoise, fit-elle d'un ton affable.

Comme vous le voyez, je ne suis que mère aujourd'hui; et non reine.

— Oui, Votre Majesté, je le vois, répliqua Mme de Motteville, tandis que son regard vif et aigu fixait la reine pour tâcher de savoir si ses paroles étaient sincères.

Cet examen ne révéla rien de suspect à la jeune femme : Anne d'Au- triche souriait toujours, comme une mère heureuse que la politique

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En août 1644, le duc d'Enghien et Turenne bat- tirent à Fribourg une armée de l'empereur d'Autriche.

Cette allégorie symbolise cette victoire. Sur le trône, Louis XIV alors âgé de 6 ans.

n'intéresse pas. Était-elle sincère? Mme de Motteville n'aurait su le dire. Mais, en tous cas, si Anne d'Au- triche jouait une comédie, elle la jouait en parfaite comédienne.

— Est-il sage, mon Louis ! déclara la reine avec fierté en désignant le jeune roi, qui disposait sur une table des statuettes en plomb de mousquetaires et de pi- quiers.

De fait, Louis-Dieudonné, bien qu'il n'eût alors que dix ans, avait la mine grave et l'air sérieux d'un homme fait. Il semblait, non un enfant quelconque qui s'amusait, mais un jeune prince déjà pénétré de l'im- portance de son futur rôle et qui s'observait beaucoup.

La pensée fréquente qu'il était le roi avait tué en lui toute spontanéité et ce charmant élan de l'enfance. Mais elle n'avait pu tuer en lui cette grâce un peu féminine qu'il tenait de sa mère : à dix ans, bien que son visage fût quelque peu déparé par les traces que lui avait laissées la petite vérole, Louis-Dieu- donné était un assez bel enfant aux traits fins, au teint d'une grande fraîcheur, aux yeux doux en amande, aux joues pleines et aux lèvres charnues. On eût dit une jolie petite fille habillée en garçon.

Anne d'Autriche l'admira longuement; puis elle s'avança vers lui et, d'un air très maternel, se mit à bavarder avec son enfant. Avec plus de respect apparent que de tendresse, Louis-Dieudonné lui répondit.

En silence, la jeune Mme de Motteville observa cette scène. Etait-il possible que la reine, qui ne semblait être rien qu une mère, eût des pensées politiques, des projets cachés?...

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CHAPITRE VI. — LB PASSAGE DU RHIN ET L'INVASION DE LA HOL-

LANDE 84

CHAPITRE VII. — « JURO... » 104

CHAPITRE VIII. — UNE EFFROYABLE TRAGÉDIE 120

CHAPITRE IX. — MALPLAQUET 139

CHAPITRE X. — LA MORT DU ROI . . . 151

Une scène de chasse au XVIIE siècle. Louis XIV, comme le nota un ambassadeur vénétien, chassait * moins par inclination que pour mettre en liberté son-dlfrilèt-combattre une tendance à

l'embonpoint ». ^ -

Printed ln France.

Imprimerie tpédale de la librairie Nathan.

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