CC N° 1 Correction Math. Sup. 2012-2013 2 h
I) i) z ∈
ε
⇔ 2 z2 1 z2 1 z2 1m / z 1 2mz m
2z 2z 2z
+ + +
∃ ∈ + = ⇔ = ∈ ⇔ =
ℝ ℝ
ii) On remplace z par x + iy et on obtient : y = 0 (avec z≠0 ) ou x2 + y2 = 1.
On a alors
ε
:II) 1) u=eiθ ⇒c =
i i3
2 2
1 u tan e tan e
1 u 2 2
π π
− = − θ = θ
+
donc :
si tan 0
2 2
c tan et (à 2 -près) arg(c) 3
2 si tan 0
2 2
π θ
<
θ
= π =
π θ
>
.
2) 2 iz 1 u
u z 2i z 2 tan
2 iz 1 u 2
+ − θ
= ⇔ = ⇒ =
− +
si tan 0 donc z 2 tan et (à 2 -près): arg(z) 2
2 0 si tan 0
2 θ
π <
θ
= π =
θ >
3) (2 + iz)5 = (2 - iz)5 ⇔
(
u5 = ⇔1)
θ =2k5π / 0≤ ≤k 4S 2 tank / 0 k 4 5
π
= ≤ ≤
4)
( (iz + (2 - i)z - 22 ) (
5 = -iz + (2 + i)z - 22 )
5)
⇔( (
2 iz+ ) (
5 z 1− ) (
5 = −2 iz) (
5 z 1− )
5)
( ) ( ( ) ( ) )
( )
( ) ( )
5 5 5
5 5
z 1
z 1 2 iz 2 iz 0 ou
2 iz 2 iz
=
⇔ − + − − = ⇔
+ = −
{ }
2 tan / 0 4 1
5 π
= ≤ ≤
k ∪
S k
III) 1) Pour que la racine carrée soit définie, il faut x∈ − 2; 2 La fonction Arc sin étant définie sur [-1 ; 1], il faut
2 x2 x 2 1
− + ≤
ce qui équivaut à
(
2 x− 2 +x)
2 ≤4 soit : x 2 x− 2 ≤1Si x≤0, c’est vérifié ;
sinon, cela équivaut à x (2 x ) 1 soit 02 − 2 ≤ ≤(x2−1) ,2 qui est toujours vérifié.
Le domaine de définition de f est donc − 2; 2
( ( ) )
2 2sin2( )
2 sin( )
2) f 2 sin Arc sin Arc sin sin
2 4
pour ;
4 2 4
3 pour ;
4 4 2
− α + α π
α = = α +
π π π
α + α ∈ −
=
π π π
− α α ∈
( )
Arc sin x pour x 2;1
2 4 3) On en déduit: f x
3 x
Arc sin pour x 1; 2
4 2
+π ∈ −
=
π
− ∈
4) La fonction racine étant dérivable sur
]
0;+∞[
, et la fonction Arc sin sur ]-1 ; 1[, on en déduit que f est dérivable sur − 2; 1∪1; 22 2
2 2 2
x 1
x 2 x
On a alors: f '(x)= 2 x
2 2x 2 x 2 x 2 2x 2 x
− +
− + −
− =
− − − × − − d’où : (f ’(x))2 = 1 2
2 x− L’étude du signe du numérateur de f ’(x) donne :
2 2
2 2
1 1
si x 2;1
2 x x
2 1 f '(x) 2
1 1
si x 1; 2
2 x x
2 1 2
= ∈ −
−
−
=
− −
= ∈
−
−
On en déduit, par continuité de f sur son domaine que :
( )
12
Arc sin x C pour x 2;1
f x 2
Arc sin x C pour x 1; 2 2
+ ∈ −
=
− + ∈
Le calcul de f(1) donne les constantes C1 et C2, comme trouvées précédemment.
IV) 1) La fonction ch étant à valeurs dans
[
1;+∞[
la fonction sch est définie sur ℝxlim sch(x) xlim sch(x) 0.
→−∞ = →+∞ =
La fonction ch étant décroissante sur
]
−∞; 0]
et croissante sur[
0;+∞[
, positive, et la fonction inverse étant décroissante sur]
0;+∞[
, on en déduit que sch est croissante sur]
−∞; 0]
, etdécroissante sur
[
0;+∞[
2) La fonction sch est continue, strictement décroissante de
[
0;+∞[
sur] ]
0;1 .D’après le théorème de bijection, elle admet une application réciproque définie sur
] ]
0;13) Notons D le domaine de dérivabilité de Argsch.
On a pour tout x de D : sch’(Argsch(x)) Argsch’(x) = 1, d’où :
2
sh(Argsch(x))
Argsch '(x) 1 ch (Argsch(x))
− =
2
2 2
Or pour tout réel x: ch(x) = 1 et pour tout réel positif : sh(x)= ch (x) 1 sch(x)
D ' où, pour x D : x 1 1 Argsch '(x) 1.
x
−
∈ − − =
On en déduit que Argsch est dérivable sur ]0 ; 1[, et sur cet intervalle :
2
Argsch '(x) 1
x 1 x
= −
−
4)
(
y sch(x))
y ex 2e−x(
y e( )
x 2 2ex y 0)
ex 1 1 yy 2 ± −
= ⇔ = + ⇔ − + = ⇔ =
y∈
] ]
0;1Comme x∈
[
0;+∞[
, on en déduit :1 1 y2
x ln
y
+ −
=
5) a) Pour tout x de
[
0;+∞[
, sch(x) > 0, donc x[
0;[
, 0 f (x)2
∀ ∈ +∞ ≤ <π
b) ∀ ∈x
[
0;+∞[
, 1 tan+ 2(
f (x))
=cos2(
Arc cos(sch(x)1)
=sch (x)12 =ch (x)2 c) ∀ ∈x[
0;+∞[
tan2 f(x) = ch2(x) – 1 = sh2(x).Comme x
[
0;[
, 0 f (x)2
∀ ∈ +∞ ≤ < π , on a: f(x) = Arctan(sh(x)).