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Mesure des hauteurs de barrière dans les hétérojonctions pSnTe-nCdTe

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00210205

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00210205

Submitted on 1 Jan 1986

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Mesure des hauteurs de barrière dans les hétérojonctions pSnTe-nCdTe

M. Kane, G.W. Cohen-Solal, G. Cohen-Solal

To cite this version:

M. Kane, G.W. Cohen-Solal, G. Cohen-Solal. Mesure des hauteurs de barrière dans les hétérojonctions pSnTe-nCdTe. Journal de Physique, 1986, 47 (2), pp.273-277. �10.1051/jphys:01986004702027300�.

�jpa-00210205�

(2)

Mesure des hauteurs de barrière dans les hétérojonctions pSnTe-nCdTe

M. Kane, G. W. Cohen-Solal

Laboratoire des Semiconducteurs et d’Energie Solaire, Faculté des Sciences de Dakar, Dakar-Dann, Sénégal

et G. Cohen-Solal

Laboratoire de Physique des Solides, C.N.R.S., 92190 Meudon-Bellevue, France

(Reçu le 5 novembre, accepté sous forme définitive le 27 septembre 1985)

Résumé.

2014

Des mesures de hauteurs de barrière dans les hétérojonctions pSnTe-nCdTe ont été effectuées dans le but de construire le diagramme de bande de ces structures. Les résultats obtenus à partir des caractéristiques

courant-tension et capacité-tension ont été analysés et comparés. De ces études, il ressort que l’affinité électronique

du SnTe jusqu’alors inconnue est voisine de 4,50 eV. Cette valeur est celle du matériau déposé qui contient une

très faible proportion de cadmium provenant des phénomènes d’interdiffusion entre le substrat de CdTe et la couche de SnTe, qui prennent naissance au cours de la fabrication des hétérojonctions.

Abstract. - Barrier heights in pSnTe-nCdTe heterojunctions have been measured in order to construct the energy band diagram of such devices. Results obtained from current-voltage and capacitance-voltage characteristics are

analysed and compared. From these studies a value of about 4.50 eV is obtained for SnTe electron affinity. This

value corresponds to the deposited material which contains a weak proportion of cadmium proceeding from inter- diffusion processes which take place between CdTe substrate and SnTe layer during the heterojunction fabrication.

Classification

Physics Abstracts

73.40L

1. Introduction.

Le SnTe a pendant longtemps 6t6 consid6r6 comme un

semi-metal. A l’heure actuelle, il ne fait plus de doute

que ce materiau soit un semiconducteur. La presence

de lacunes d’6tain doublement ionis6es lui conf6re la particularite d’8tre de type p d6g6n6r6 [1, 2]. Sa

faible largeur de bande interdite (0,2 eV a 300 K) en

fait un bon materiau pour la realisation de diodes

« tunnel » [3, 4]. Il a 6t6 montr6 que le SnTe peut 8tre 6pitaxi6 sur un substrat de meme structure cristalline

(NaCI) par une technique d’6vaporation thermique [5].

Ses propri6t6s optiques ainsi qu’un grand nombre

de ses propri6t6s electriques ont 6t6 6tudi6es [6, 7].

Nous avons montre que ce compose pouvait

constituer avec le tellurure de cadmium (CdTe)

des dispositifs de conversion photovoltaique de 1’ener- gie solaire ayant une sensibilité. spectrale tres etendue

en longueurs d’onde et des caract6ristiques de redres-

sement convenables [8]. Le fait que l’affmité 6lectro- nique x de SnTe etait une grandeur inconnue rendait impossible la construction du schema de bandes des structures; c’est pourquoi nous avons essay6 d’6va-

luer I’affmit6 6lectronique de SnTe a partir de mesures

de hauteurs de barri6re dans les heterojonctions

pSnTe-nCdTe. Pour cela nous avons 6tudi6 leurs

caract6ristiques courant-tension et capacité-tension.

L’analyse des divers r6sultats obtenus nous a conduit a donner a MnTe une valeur voisine de 4,50 eV.

Les h6t6rojonctions ont 6t6 realisees par épitaxie

d’une couche mince de SnTe de type p sur un substrat monocristallin de CdTe de type n dop6 A l’indium.

Des jonctions graduelles ont 6t6 obtenues a partir

d’une m6thode de transport isotherme a courte dis-

tance dite d’6vaporation diffusion en regime isother- mique (E.D.R.I.) caract6ris6e par un faible taux de croissance du d6p6t (1 A/s) [9, 10]. Des jonctions abruptes ont ete r6alis6es en utilisant une m6thode

de transport r6actif dite « close spaced vapour trans- port » (C.S.V.T.) avec un taux de croissance de depot important (40 A/s). La realisation expérimentale de

ces structures ainsi que leur caract6risation ont d6jA

fait l’objet d’une description d6taill6e [11].

2. Determination des hauteurs de barrières.

2.1 MTTHODE DES CAPACITANCES.

-

Les jonctions graduelles ont ete obtenues a 1’aide de la m6thode

E.D.R.I. Leurs capacit6s C sont d6crites de faqon satisfaisante par 1’expression (1) relative a une jonction

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01986004702027300

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274

de gradient de dopage a constant :

q est la charge de 1’61ectron, s. la constante diélectrique statique de CdTe, V la tension appliqu6e et VD la

tension de diffusion.

Le semiconducteur d6g6n6r6 SnTe de dopage tres

6lev6 (10" cm-3) se comporte pratiquement comme

un metal, si bien que la structure peut etre consideree

comme une diode Schottky. La zone de charge d’espace est enti6rement contenue dans la base CdTe.

La figure 1 repr6sentant la variation lin6aire de C-3 avec la tension de polarisation V, t6moigne de

la validite de 1’expression (1) dans notre cas.

La tension de diffusion VD est d6terinin6e par l’in- tersection de la droite C - 3 avec 1’axe des V. Les

mesures ont 6t6 effectu6es sur plusieurs 6chantillons

et les valeurs obtenues, tres voisines, sont port6es

sur le tableau I.

Tous les échantillons notes A ont 6t6 realises dans les memes conditions de croissance, c’est-i-dire à

Fig.1.

-

C - 3

en

fonction de V : structure graduelle.

[C-3 versus V : gradual junction.]

Tableau I.

-

Tension de diffusion des structures gra- duelles.

[Diffusion voltage VD of gradual junctions.]

600 OC pendant 96 heures; toutefois les substrats

utilises pr6sentaient de légères diff6rences dans les

dopages. L’6chantillon note B a 6t6 obtenu a 700 OC

avec une duree de croissance de 24 heures. A 1’examen du tableau I, on voit que VD ne depend pratiquement

pas des conditions expérimentales. Cette constatation

et l’invariance de la capacite avec la frequence de

detection prouvent que dans les structures graduelles,

les 6tats d’interface sont presque inexistants. Par

ailleurs, nous avons montr6 que dans ces structures 1’abaissement de la hauteur de barri6re du a la force

image est négligeable [11]. On peut ainsi prendre

pour VD une valeur voisine de 0,23 eV.

Les jonctions abruptes ont 6t6 obtenues a 1’aide

d’une m6thode de transport r6actif a courte distance (C.S.V.T.) [12]. Au terme de la croissance, les structures subissent un recuit thermique final in situ sous atmo- sphere d’hydrog6ne a 300 OC pendant 30 min. Cette

demière operation a pour but d’améliorer les pro-

pri6t6s de l’interface [11]. Les jonctions abruptes pr6-

sentent des 6tats d’interface et une couche interfaciale de CdTe intrinsèque [11], ce qui rend difficile la d6ter-

mination des hauteurs de barri6re par des mesures de

capacitance. L’influence des 6tats d’interface a 6t6

largement 6tudi6e dans de nombreuses h6t6rojonc-

tions [13, 14]. Ainsi un mod6le d’interprétation des caract6ristiques C - V consiste a supposer que la

capacite C mesur6e est constituee de deux capacit6s

mises en s6rie l’une C1, correspondant a la zone de charge d’espace et 1’autre C2 a la couche interfaciale de faible epaisseur. La capacite totale se met sous la

forme :

avec

V est la tension appliqu6e a la diode, N la concentra- tion de donneurs a la jonction.

La capacite C2 est pratiquement ind6pendante de la

tension de polarisation si bien qu’aux fortes tensions de polarisations negatives c’est la capacite C1 de la jonction qui pr6domine (C1 C2). Dans ce cas 1’extrapolation de la courbe 1 /C2 = f(V) jusqu’a la

droite 1/Ci dont la figure 2 donne un exemple permet de determiner la tension de diffusion VD. Les capacity C2 ont 6t6 déterminées avec une erreur relative de rordre de 3 %.

Des r6sultats typiques se trouvent pr6sent6s dans le

tableau II. Les conditions de croissance (source

550 °C-substrat 300 OC-dur6e 30 s) sont les mêmes

pour tous les echantillons ; seules different les condi-

tions de preparation de la surface du substrat : essen-

tiellement un décapage thermique effectue a 450-

450 oC, 1 min pour les 6chantillons X .1 a X .11 et a

450-550 OC, 1 min pour ceux marques par une lettre.

(4)

Fig. 2.

-

C - 2 en fonction de V : structure abrupte.

[C -2

versus

V : abrupt-junction.]

Tableau II.

-

Tension de diffusion des structures abruptes. X 11 * durée de dgposition réduite à 20 s.

[Diffusion voltage VD of abrupt junctions. X .11*

growing time

=

20 s.]

2.2 MÉTHODE DES CARACTÉRISTIQUES COURANT-TEN- sion.

-

Les diff6rents m6canismes de conduction dans les structures pSnTe-nCdTe ont d6ji 6t6 6tu-

di6s [11] ; nous en pr6sentons ici une analyse simpli-

fiée.

La figure 3 donne les caract6ristiques directes à

l’obscurit6 pour diff6rentes temperatures d’une struc-

ture graduere (no A.I.2) et la figure 4 celle d’une

structure abrupte (no X. 2 A).

Pour les deux categories de structures, le courant

Fig. 3.

-

Caractéristiques 1- V à différentes temperatures :

structure graduelle.

[I-V characteristics at different temperatures : gradual junction.]

Fig. 4.

-

Caract6ristiques I-V a différentes temperatures :

structure abrupte.

[I-V characteristics at different temperatures : abrupt junction.]

direct ob6it a 1’expression :

n est le facteur d’id6alit6 qui varie de 1 a 300 K a 2

a 140 K. Aux temperatures supérieures a 140 K, le

(5)

276

courant pr6exponentiel I, varie fortement avec la temperature suivant la loi :

,

E. est une 6nergie d’activation qui selon le mod6le

de structure peut s’identifier a la hauteur de barrière 4>

ou a la tension de diffusion YD.

Pour les deux categories de structures, les courbes de variations de Log Is, Log (IIT) et Log (Is/T2) avec

l’inverse de la temperature sont linéaires et ont des

pentes pratiquement 6gales pour une structure donn6e.

Ce qui montre bien la dependance exponentielle de I, en IIT, le terme Io 6tant au plus proportionnel à

une puissance de T. On trouve pour les jonctions gra- duelles des energies d’activation voisines de 0,43 eV.

Pour les structures abruptes les energies d’activation d6termin6es varient d’un 6chantillon a un autre; par

exemple pour la diode X. 2 A elle vaut 0,67 eV tandis

que pour la diode X. 2 B on trouve E.

=

0,49 eV.

3. Analyse des risultats. Schéma de bande de la struc- ture pSnTe-nCdTe.

Les valeurs des hauteurs de barri6re obtenues a partir

des deux proc6d6s de determination sont assez dis-

pers6es dans le cas des structures abruptes. Cependant,

pour un 6chantillon donne les deux m6thodes four- nissent des valeurs concordantes comme par exemple

les structures X. 2 A et X. 2 B ou pour chacune d’elles

on a E. sensiblement 6gale a YD. Ces r6sultats sont explicables dans 1’ensemble si on admet que le proces-

sus de conduction est du a une emission de recombi- naison selon le mod6le propose par Dolega [15]. Les

differences sur les hauteurs de barri6re d’un 6chantillon a un autre proviendraient du fait que le niveau de Fermi qui peut 8tre très en dessous du haut de la bande de valence de SnTe, n’a pas toujours la meme position.

11 a 6t6 montre en effet que les densit6s d’accepteurs

dans le SnTe (lacunes d’6tain) peuvent 8tre modifiees par les traitements thermiques tels que ceux qui sont

lies a nos m6thodes de fabrication [3, 4, 16].

Avec les structures graduelles, qui pr6sentent une

interface moins perturb6e, les hauteurs de barri6re

pour une m6thode donn6e sont reproductibles d’un

6chantillon a un autre. La m6thode de caract6ristique

courant-tension donne pour ces structures une hauteur de baffi6re 6gale a 0,43 eV (140 K T 300 K) coffespondant A un processus d’6mission thermo-

ionique perturbé par un effet tunnel. Les mesures de

capacitance conduisent a une valeur de la tension de diffusion YD voisine de 0,23 eV. Il existe par ailleurs

entre la hauteur de barrière 4>

=

E. et la tension de diffusion la relation :

Eg 1 est la largeur de bande interdite de SnTe. Des valeurs trouv6es pour 0 et Vp, nous d6duisons Eg 1

=

0,2 eV ; ce r6sultat est en bon accord avec les

valeurs donn6es dans la litt6rature (~ 0,2 eV a 300 K) [1,2]. La bonne concordance des r6sultats montre que l’on peut prendre pour les structures graduelles 0,23 eV

comme 6tant la valeur correcte de la tension de diffu- sion V D.

Dans la base de CdTe, le niveau de Fermi se trouve a 0,2 eV de la bande de conduction. On peut considerer

que loin de la jonction, le niveau de Fermi de SnTe est confondu avec le sommet de la bande de valence ;

cette hypothese s’appuie sur la possibilité de r6duire

la concentration de lacunes de Sn par des traitements

thermiques [3, 4, 16], et l’on estime que les traitements

thermiques lies aux m6thodes de croissance des struc- tures graduelles donnent le m8me r6sultat. Compte-

tenu de ces considerations, on établit que :

Dans cette expression XsnTe est l’affmité 6lectronique

de SnTe, XCdTe celle de CdTe et YD la tension de diffu-

sion. Nous trouvons pour XsnTe une valeur de 4,50 eV que nous estimons entachée d’une erreur d’environ 0,05 eV. Nous avons utilise pour xcdTe la valeur de

4,28 eV [17, 18].

La structure 6nerg6tique de I’h6t6rojonction SnTe-

CdTe propos6e sur la figure 5, s’appuie sur l’analyse précédente.

Fig. 5.

-

Schema de bande de I’h6t6rojonction pSnTe-

nCdTe sans 6tats d’interface. E,, et EVl respectivement bande

de conduction et bande de valence de SnTe. E,, et EV2 respectivement bande de conduction et bande de valence de CdTe. Ef : niveau de Fermi. Avec le dopage du CdTe (Np N 1014 cm-3), le niveau de Fermi se trouve à 0,2 eV en-dessous du bas de la bande de conduction.

[Energy band diagram of the pSnTe-nCdTe heterojunction

without interface states. ECl

1

and E,,,

1

are respectively con-

duction band and valence band of SnTe. EC2 and EVl are respectively conduction band and valence band of CdTe.

Ef : Fermi level. Fermi level in CdTe lies at 0.2 eV above the

conduction band (Np N 1014 cm-3).]

(6)

4. Conclusion.

Les h6t6rojonctions pSnTe-nCdTe r6alis6es par depot 6pitaxique d’un film mince de SnTe sur un substrat monocristallin de CdTe se pr6sentent soit sous forme

de jonctions graduelles, soit sous forme de jonctions abruptes avec des 6tats d’interface.

Les hauteurs de baffi6re ont 6t6 d6terinin6es à 1’aide des caractéristiques courant-tension et capacite-

tension. La bonne reproductibilité des r6sultats deduits

des mesures de capacitance sur des structures gra- duelles a permis d’6valuer correctement la hauteur de barri6re des h6t6rojonctions sans 6tats d’interface.

Nous avons pu determiner la valeur, jusqu’alors inconnue, de raff*mit6 6lectronique de SnTe. La valeur de 4,50 eV propos6e conceme le SnTe depose sur une

base de CdTe. Grace a cette determination, il a 6t6 possible de proposer un schema de bandes des struc- tures que nous avons r6alis6es.

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