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Spectrographe à réseau dans le vide pour l'ultraviolet de Millikan et les rayons X (réseau sous incidence tangentielle)

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Academic year: 2022

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Spectrographe à réseau dans le vide pour l’ultraviolet de Millikan et les rayons X (réseau sous incidence

tangentielle)

Jean Thibaud

To cite this version:

Jean Thibaud. Spectrographe à réseau dans le vide pour l’ultraviolet de Millikan et les rayons

X (réseau sous incidence tangentielle). J. Phys. Radium, 1927, 8 (1), pp.13-24. �10.1051/jphys-

rad:019270080101300�. �jpa-00205276�

(2)

SPECTROGRAPHE A RÉSEAU DANS LE VIDE POUR L’ULTRAVIOLET DE MILLIKAN ET LES RAYONS X

(réseau sous incidence tangentielle)

par M. JEAN THIBAUD.

Laboratoire de Recherches physiques sur les rayons X.

Sommaire. 2014 La spectrographie des ondes les plus courtes de l’ultra-violet, celles qui forment le passage vers le domaine des rayons X, n’a été réalisée jusqu’ici, par enregis-

trement photographique, que par Millikan. L’auteur expose la théorie du réseau tangent,

nouveau mode d’emploi qui accroît considérablement le pouvoir dispersif de cet instru- ment, et lui a permis d’obtenir la diffraction directe des rayons Rontgen et, par suite,

une mesure absolue de leur longueur d’onde

Le spectrographe à vide pour l’ultraviolet, construit par l’auteur sur le même principe,

est évacué au moyen d’une pompe moléculaire ; il comporte une source à étincelle condensée, deux fentes collimatrices et un support à vis calantes pour le réglage du réseau tangent.

L’instrument utilise soit un réseau sur verre à 200 traits par millimètre et une

plaque d’enregistrement photographique ordinaire sensibilisée par une couche d’huile

fluorescente, soit un réseau de Rowland avec plaque Schumann. Il est établi que le verre

a un pouvoir réflecteur plus élevé que le métal speculum pour toute longueur d’onde infé- rieure à 500 Å. Les éléments suivants : carbone, magnésium, aluminium, fer, cuivre.

platine furent utilisés comme électrodes. Sur un même cliché, la totalité du spectre, de 6 000 à 140 Å, est enregistrée, ce qui est précieux pour l’étalonnage des raies nouvelles.

Un spectre d’étincelle du cuivre, particulièrement étudié, est reproduit. Il est obtenu avec le réseau à 200 traits et une distance focale de 13 centimètres. Ce spectre est plus dispersé que ceux des auteurs américains pour les radiations inférieures à 200 Å. Enumération des raies extrêmes. Concordance avec les données de Millikan. Mise en évidence de raies nouvelles dans l’extrémité ultraviolette du spectre du cuivre.

i. Introduction. - Spectrographie de ultraviolet et des rayons X de

grande langue2cr d’onde.

-

La suppression de l’absorption intense des radiations les plus

courtes de l’ultraviolet par l’oxygène de l’air, en opérant dans le vide, et l’emploi de plaques presque dépourvues de gélatine ont permis à V. Schumann d’étendre le spectre

ultraviolet jusqu’à t 300 ~. En dessous de cette longueur d’onde, limite de transparence

des prismes de fluorine, des progrès n’ont pu être réalisés qu’en utilisant des spec,tro- graphes à réseau dans le vide, comme le firent Lyman, ~ic Lennan, et enfin Millikan et ses

collaborateurs. Je ne parlerai que des recherches de ces derniers, qui portèrent la limite spectrale de l’ultraviolet jusqu’aux environs de 1501, c’est-à-dire dans le domaine des rayons X de grande longueur d’onde, et qui serviront de point de comparaison à mes

résultats.

Millikan utilisait, comme source, une étincelle à haute tension produite par la décharge

d’une batterie de condensateurs dans le vide même du spectrographe (fl)-1 mm 1Ig). Les

réseaux concaves employés avaient été établis par Millikan et Fred Pearson, avec la

célèbre machine à réseau de Michelson, dans le Ryerson Laboratory de Chicago. Le nombre

des traits variait de 300 à 1 100 par millimètre. Millikan obtint les résultats les meil- leurs avec un réseau de 500 traits et une distance focale de 835 mm. Les spectres sont

sensiblement normaux, fait qui permet l’étalonnage par une interpolation linéaire au

moyen des raies connues de l’aluminium 1854,7 et 1 86~,71. L’n très bon contrôle résulte de la comparaison des mesures des raies principales dans plusieurs ordres. Avec ce dispositif,

Millikan el ses collaborateurs Bowen, Sav-yer, Shallenberger (’), parvinrent à étudier le domaine ultraviolet jusqu’à 141 Â pour l’aluminium; 200 et 271 A, pour le nickel et le

(1) Proc..Yaf. Acad. Se., t. 7 (1921). p. 289 eu Pligs. Pev., t. 23 (~924), p. 1.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019270080101300

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14

fer; 316 et 360 À, pour le zinc et le carbone, etc., et à identifier les raies L émises par les atomes légers (raies L x du sodium, du magnésium et de l’aluminium à 372, ’t, 232,2, 144,3 À).

Par ailleurs, de nombreuses recherches ont été faites pour combler la lacune entre les rayons X et l’ultra violet extrême en étendant le spectre de rayons X vers les grandes lon-

gueurs d’onde. Mais à cause de la limitation imposéé par la valeur des distances réticu- laires cristallines (environ 10-7)@ l’étude des spectres de rayons X au moyen des cristaux n’avait guère dépassé 10 ~. Récemment, Thorecus (1), utilisant les plans réticulaires formés par l’orientation de l’acide palmitique sur une lame de verre 3~,B 1), a pu

photographier des radiations L d’une vingtaine d’angstrt")ms. Par une méthode similaire (emploi d’une préparation d’acide mélissique sur plomb), Dauvillier (2) a, depuis, repoussé

cette limite à 4B,3A (raie Ka, du carbone). Ces savants utilisent d’ailleurs, comme sources, au contraire des spectroscopistes américains, des tubes à cathode incandescente spéciaux et

de grande puissance. Nombreux sont les chercheurs qui ont également tenté de déceler l’émission des rayons X de grandes longueurs d’onde par des méthodes - qui ne sont pas à

proprement parler spectrographiques

-

utilisant soit l’effet photoélectrique, soit l’ioni- sation produits dans une enceinte par ces radiations (Richardson et Bazzoni, Dadourian, Hughes, Kurth, Foote et Mohler, llohveck).

La méthode spectrographique qui va être décrite, augmentant le pouvoir dispersif des

réseaux pour les petites ondes, est]particulièrement adaptée à l’exploration de cette région

extrême du spectre.

2. Réseau plan sous incidence tangentielle.

-

Selon la théorie élémentaire, un

réseau plan de constante d (distance de deux éléments contigus de l’appareil), éclairé par un

pinceau monochromatique de longueur d’onde X qui forme un angle 0 avec son plan, produit,

,

°

de part et d’autre du pinceau réfléchi, des faisceaux de diffraction, le ordre de A appa- raissant sous un angle x + 6 (fig. ~) tel que

relation qui s’écrira, dans le cas où l’incidence 0 devisent très faible,

ou

Telles sont les équations qui règlent la dispersion d’un réseau utilisé sous « incidence

tangentielle ».

Si l’on compare cette méthode d’emploi du réseau à celle habituellement utilisée, par

éclairage norrial du réseau, on constate que l’éclairage tangentiel a l’inconvénient de fournir

un spectre qui n’est pas « normal », se rétrécissant progressivement vers les grandets

longueurs d’onde. Il comporte, par contre, un avantage considérable au point de vue du

(1) Phil. ttTag., t. 7 (1926), p. 312.

(2) Comptes Rendus, t. i82 (19~6), p. i 083.

(4)

15

pouvoir dispersif. Supposons deux réseaux identiques, éclairés l’un par un faisceau normal à

sa surface, l’autre par un faisceau exactement tangent. Ils diffracteront une même longueur

d’onde À sous les angles respectifs «, et a2, que l’on pourra écrire, en les supposant petits,

et en se limitant aux premiers ordres :

et

en sorte que les pouvoirs dispersifs, pour une même longueur d’onde ),, seront, dans l’un

et l’autre mode’d’éclairage,

ce dernier variable avec la longueur d’onde. Le pouvoir dispersif du réseau « sous incidence tangentielle » dépasse considérablement celui du réseau normal pour les longueurs d’onde

faibles. C’est ainsi que, pour la radiation 1, = 1 860 -1 du spectre ultraviolet de l’aluminium,

un réseau à f00 traits éclairé tangentiellement donnera la même dispersion qu’un réseau de

730 traits normal, et, pour une radiation X

_

500 Â, un réseau du type de ceux de

Rowland (570 traits) sera aussi dispersif sous incidence tangentielle qu’un réseau de

~ ~00 traits utilisé normalement.

Un autre point de vue, qu’il faut aborder dans l’étude de la nouvelle méthode, est

celui de la bonne définition des images spectrales ; le réseau plan pourra-t-il, à lui seul,

fournir des raies fines? Il est nécessaire en effet, dans les appareils ordinaires, d’utiliser soit

une lentille à la suite du réseau plan, soit un réseau concave, pour former l’image du spectre. La méthode de diffraction sous incidence rasante est très favorable à ce point de

vue : soit i l’angle du faisceau diffracté de longueur d’onde 7, avec le plan du réseau (fig. i) : -.

Différentions par rapport à 9 :

expression sensiblement nulle, puisque 62 est petit vis-à-vis de 2nÀjd. L’angle de diffraction i reste constant lorsque l’angle 6 subit de faibles variations, ainsi que cela a lieu en

éclairant le réseau par un faisceau légèrement divergent (fig. 1) d’où le théorème : dans d’un réseau sous incidence tangentielle, chaque faisceau monochromatique diffracté

est alors. mêmf’ que le pinceau incident possède une faible ouverture. Si l’on uti- lise des radiations pour lesquelles les angles de diffraction a resteront petits, les faisceaux seront fort étroits et l’on doit s’attendre à obtenir, sur les clichés, des raies spectrales fines quelle que soit la distance à lacluelle la plaque se trouvera (1).

3. Diffraction des rayons X par les réseaux ordinaires (détermination

absolue des longueurs d’onde de rayons X et des distances réticulaires des

cristaux). -- La première application de cette méthode a été la détermination absolue de la longueur d’onde des rayons X, dont l’heureux résultat m’a conduit à la construction du

spectrographe ultérieurement décrit. La diffraction des radiations Rontgen par les réseaux ordinaires utilisés tangentiellement ne peut être réalisée en pratique que si les faisceaux (1) MORRIs-AIRBY [Phil. Mag., t. 11 (1906), p. 114j, puis PORTBR t. 15 (1908), p. 7621 ont étudié

l’effet de la position du réseau sur le pouvoir de résolution de cet instrument et conclu que, pour une

fente de largeur donnée, la largeur de l’image fournie par une radiation monochromatique est d’autant

plus petite que le faisceau incident tombe sur le réseau sous une incidence plus voisine de l’incidence

rasante. C’est donc sous cette dernière incidence que la « pureté » (Schuster) des spectres sera la plus

grande.

(5)

16

diffractés comportent une intensité suffisante. Or, les rayons X ont un indice de réfraction 1,

qui, selon des estimations récentes (’), est très voisin de l’unité :

(a, de l’ordre de

Dès lors, si une radiation X éclaire tangentiellement un miroir réflecteur plan (ou un réseau), il se produira une réflexion totale du faisceau incident dès que l’angle 0 deviendra

inférieur à un certain angle limite °m tel que :

Il résulte de là ce fait très important que si l’on prend soin, dans l’emploi d’un réseau

sous l’incidence rasante, de choisir l’angle 0 inférieur à l’angle limite fi,, il y aura rélle.rion

totale et, par suite, le maxiinum d’intensité des faisceaux diffractés. Cette condition néces- sitera des réglages minutieux et un faisceau finement délimité puisque, d’après (5 , l’angle

limite °111 ne dépasse guère une dizaine de minutes sexagésimales.

C’est ~.-H. Compton, en collaboration avec Doan qui réussit le premier à diffracter les rayons X par un réseau. Mais, malgré des poses d’une durée de nenf heures, il n’a pu

séparer les différentes raies du rayonnement du tube en un spectre. Ces auteurs étaient,

par ailleurs, dans l’obligation de rendre préalablement monochromatique le faisceau qui

devait éclairer le réseau, par une réflexion sur un cristal de calcite.

Dans mes recherches, je me suis attaché à obtenir directement, au moyen d’un réseau

sur verre à 200 traits par millimètre, un spectre complet, avec des raies nettement séparées

et fines, des radiations hétérogènes issues du tube. Celui-ci, relativement puissant, à

électrodes interchangeables et refroidies par circulation d’eau, fonctionnait au régime

continu de i4 m A, sous 1? cm d’étincelle.

J’ai été fort utilement servi, pour ces réglages délicats, par un appareil construit par la firme Schmidt et Haensch de Berlin (3). C’est un long banc d’optique rompu et articulé

en deux endroits, de sorte qu’il peut constituer trois alignements droits faisant des angles

mesurables. Deux plates-formes goniométriques peuvent être fixées aux points d’articu-

lation. L’une d’elles portait le réseau R. Deux fentes collimatrices, à multiples réglages, se déplacent sur le banc : ordinairement distantes de 18 cm, elles étaient réglées à des ouver-

tures de 0,06 à 0,1 mm. Deux réseaux ont été également utilisés avec succès : l’un à 50, . l’autre à 200 traits par millimètre. Les radiations employées sont les rayons K du cuivre et du fer (K ? Cu =1,~38 ~ : KxFe== 1,93iÀ). La distance réseau-plaque variait de 40 à 130~cm.

Les durées de poses sont ordinairement de dix minutes seulement et, pour les plus longues,

ne dépassent pas une heure.

La planche I montre quelques-uns des résultats (1). La tache centrale T est la trace de la partie du faisceau primaire passé le long du réseau (fig. i), R est la tache de réflexion totale, la distance RT mesurant le double de l’angle d’incidence 0. Au delà de la tache de réflexion R, s’observe un spectre de diffraction dont toutes les raies (a et # de la série K

du cuivrer nettement séparées, sont d’une remarquable finesse sur les clichés originaux.

Les ordres successifs du spectre sont visibles jusqu’au quatrième, même après dix minutes de pose. Il est donc établi la possibilité d’obtenir, avec des poses courtes, un spectre de

diffraction de rayons X d’une grande pureté par l’emploi d’un réseau sur verre sous inci- dence tangentielle.

.

J’ai fait t également, dans le dessein d accroître la dispersion, une tentative avec des

réseaux de Rowland (570 traits environ) sur métal, l’un plan, l’autre concave (aimable-

ment mis à ma disposition par MM. Deslandres et Fabry) et n’ai obtenu, malgré des poses

relativement longues, qu’un échec, fait que j’attribuais, dans une publication antérieure [Revue d’Optique, loc. cit J, à l’imperfection de la surface des réseaux métalliques, mais qui, d’après les constatations que j’ai faites dans l’extrême ultra violet. jointes à une remarque

M. DE BROGLIE et Jean THUaUD, Corrzptes Rendus, t. 1.81 (1925), p. 1034.

(2) Anier. Phil. Soc., (fer novembre 1920), p. 6; Phys. Rev., t. 27 (janvier 1926), p. loi.

J. Tguaun, Revue d’Optique tlveorique et expérimentale, t. 5 (1926), p. 91.

(ij Pour d’autres clichés, notamment ceux du fer, voir la planche de la Revue d’Optique (loc. cit.).

(6)

PLANCHE I.

Spectres de rayons X obtenus avec un réseaa sur verre

à 200 traits par millimètre.

Distance réseau-plaque : D

=

1 300 mm.

Agrandis cinq fois.

(7)
(8)

PLANCHE II.

Spectre d’étincelle du cuivre dans l’extrême ultraviolet.

Réseau tangent, sur verre, à ~00 traits par millimètre.

Plaques ordinaires huilées.

Distance réseau-plaque D

_-_

9,8 cm. Distance réseau-plaque D

=

13,4 cm.

Grandeur naturelle.

Agrandi deux fois.

(9)
(10)

17

de Lyman et ’V’ooc1, pourrait avoir une cause plus profonde : ainsi que je l’exposerai plus loin, il sern.ble très probable que, pour les très courtes longueurs d’onde, le métal speculum

ait un coefficient de réflexion bien inférieur à celui que présente le verre pour ces mêmes radiations-

La diffraction des rayons X sur les réseaux ordinaires présente un grand intérêt pour la détermination absolue des longueurs d’onde de ces radiations est, par suite, des dis-

tances réticulaires des cristaux. On sait que, jusqu’alors, la spectrographie des rayons

Kontgen avait pour base l’utilisation des édifices cristallins comme réseaux. On suppose que, dans les cristaux, les atomes se trouvent régulièrement répartis sur des « plants réticu-

laires » parallèles, dont on calculait la distance d au moyen de certaine,s hypothèses dues à Bragg et faisant intervenir le nombre d’Avogadro,, la masse moléculaire et la densité du cristal. Ce calcul comportait une part d’incertitude provenant principalement des

variations de densité d’un échantillon à l’autre. Ainsi, toutes les données relatives aux

raies des spectres émis par les éléments reposaient sur des hypothèses échappant à une

confirmation directe. Il était souhaitable d’obtenir une abgoille des longueurs d’onde, justifiant les valeurs admises, qui, à vrai dire, faisaient t peu de doute. La seconde

figure de la Pl. I représente un spectre d’une anticathode de cuivre pris à grande disper-

sion (/) ~ 1 300 > mm) qui m’a servi à une mesure absolue de ~x Cu. D’après la relation 1),

il faut mesurer les angles x et 3

=

x + 2 Q. Cette dernière mesure comporte uiie incertitude due à ce que l’ombre portée T ne représente pas l’axe du faisceau incident T’ (fig. f). Il est préférable de calculer 0 à partir des mesures des angles de diffra.ctxun ,x ponr les ordres suc- cessifs de la même raie Kx. On obtient ainsi, pour le etielié précité :

à inoins de 1 pour 100 près. La constante cm. de sor le que

est, à 1 pour 100 près, la longueur d’onde de la raie K2 du couvre.

La diffraction cristalline donnaii, pour la même raie, à raide des hypothèses ~~ calcul

énoncées plus ~ 1,538À.

Cette bonne concordance de deux déterminations complément indépendanles d’une

même longueur d’onde apporte une confirmation décisive aux hypothèses de Bragg sur la

structure des cristaux ainsi qu’à la valeur adoptée pour le nombre d’A vogatlro. Je me

propose de reprendre cette série d’e mesures, afin d’obtenir plus de précision sur la

détermination absolue de la longueur J’onde et, par conséquent, du nombre d’Av.ogadro,

à l’aide d’un réseau sur verre à 1 100 traits par millimètre.

4. Nouveau spectrographe dans le vide pour l’ultraviolet extrême et les rayons X. 2013 La généraltsation cle 1 emploi du réseau tangent au domaine de l’extrême ultra-

olet, en vue de réaliser, à l’aide d’un réseau ordinaire de collection de laboratoire, un spectrographe de même puissance que l’apparlI de Millikan, nécessite la suppression de toute absorption, particulièrement dans l’air, sur le trajet des radiations, et, par suite, la création d’une enceinte étanche, pouvait être évacuée, autour des organes essentiels, savoir :

la source de rayonnement (étincelles condensées), deux fentes à distance convenable isolant un pinceau de radiations, un dispositif de réglage, afin de placer une portion du

réseau plan tangentiellement au trajet de ce pinceau, enfin le châssis porteur de la plaque d’enregistrement. Ce dispositif constitue l’essentiel tlu spectrographe à réseau tangentiel dans le vide qui a été réalisé eu grande partie e) par la inaison (:11. Beaudouin sous l’habile

de l’ingénieur de cette iitme, ~1" Gondet.

L’appareil, représeuté sur la. figure 2, comprend un tube cylindrique en laiton AA de 40 cm de longueur et de 1 5 em de diamètre, fermé à chacune de ses extrémités par un épiais disque de bronze, dont le pourtour, soigneusement rodé, s’applique au de vis de pression et d’un enduit cle graisse au caoutchouc contre les collets terminaux du tube. De (1) Le dispositif du réglage de réseau a été construit; au laboratoire de Recherches physiques sur 1cs

rayons X par les soins de (laro, mecauiCLen.

:2

(11)

18

ces deux disques, l’un d’eux D, percé eii son centre d’une ouverture, porte tout l’ensemble

du dispositif spectrographique, d’un côlé la chambre à étincelles, de l’autre les deux fentes colliinatrices et le support de réseau ~fig. 3 et 4). Les démonlages et réglages sont ainsi

facilités. Il n’y a ni écran, ni substance absorbante d’aucune sorte entre la source de radia- tion et la plaque.

a) La chambre à élincellcs, semblable à un modèle précédemment réalisé par la maison Beaudouin, possède dem électrodes : l’une d’elles mise à la terre au cours de mes

essais; l’autre, isolée par une colonne de verre. Une glace plane ferme la chambre et facilite la surveillance de l’étincelle pendant la prise des spectre-.. Chaque porte-électrode

est simplement constitué par un tube de laiton dans la lumière duquel est fixée l’électrode à étudier. Un dispositif permet de régler de l’extérieur, pendant le fonctionnement, la dis-

2.

tance des électrodes ef, par suite, cle rattraper le jeu résultant de l’usure rapide de celles-ci : le porte-électrode iniéi ie Ir, mis au sol, lourne dans un joint graissé, entraînant une vis axiale, laquelle produit, par sa rotalion, le mouvement de translation d’un écrou portant

lui-même l’nne des électrodes et guidé par une butée. Les électrodes étant coudées, l’étin-

celle se trouve excentrée et peut être présentée en face de la fente par simple rotation dans leurs joints des pièces porte-électrodes. Un large orifice, ménagé dans le disque D, permet

l’éyacuatioll de la chambre a étincelle au même degré de vide que dans le corps cylin- drique de l’appareil.

b) La première des fentes Fi, en nickel, est fixée au centre du disque de bronze D et se règle une fois pour toutes, LI. chambre à étincelle étant démontée. Sur la face opposée du disque est rapportés, au moyen de vis, un tube T qui supporte sur une flasque terminale,

la seconde fente h‘2 2 et le porte-réseau. Celle-ci possède deux mouvements de réglage : l’un

commandant l’ouverture de la fente; l’autre, une translation d’ensemble.

c) Lc porte réseau est formé (I’tine plate-forme triangulaire Pl solidaire du tube

support T et portant 3 vis de réglage Vi , ’T 2, V 3’ sur lesquelles repose, rappelée par un

ressort o, une plaque P~ scmblable à P, . A celle-là est fixé le réseau interchangeahle R, qui

peut subir plusieurs déplacements : une translation, au moyen de Vi N2, jUSqU’à être

(12)

19 amené dans le plan du faisceau Fi 1 F2; une rotation au moyen de ~’3, autour de l’axe créé par les pointes de V, V2, pour le réglage de l’angle 0 d’incidence du pinceau sur le réseau.

Le corps cylindrique du spectrographe porte, en outre, un berceau B B’ sur les glissières duquel peut se déplacer le porte-plaque K, qui reçoit un châssis de plaques 45 X107.

La source est une étincelle condensée de Millikan, produite dans le vide même du

spectrographe et alimentée par la décharge d’une batterie (0,02 pF) de 7 condensateurs

Mosciki, chargée à 35 kilovolts, avec interposition d’un éclateur réglable, à l’aide du

redresseur à contacts tournants d’une installation radiographique.

L’ensemble de l’appareil est t évacué par une pompe moléculaire rotative de Holweck

~

FIS. 3.

fonctionnant sur le vide préparatoire d’une pompe à huile. Un indicateur de vide très

simple est constitué par un petit tube latéral C alimenté par la tension auxiliaire d’une grosse bobine : un vide suffisant se trouve réalisé lorsque la décharge de Rüntgen, s’éteignant dans le tube C, est remplacée par la décharge continue de l’éclateur à pointes (écart 3 cm) de 1~, bobine. Une large nacelle à anhydride phosphorique, placée à l’intérieur de B B’, élimine la vap3ur d’eau contenue dans l’appareil. Le bon vide est obtenu prati- quement en cinq minutes.

Le réglage du dispositif spectrographique se fait une fois pour toutes (puisque la mise

au point de l’image spectrale est indépendante de la distance réseau-plaque), le dispositif spectrographique étant retiré en même temps que le disque D, et l’instrument placé verti- calement, au moyen d’un pied spécial J (fig. 3). Le réglage s’obtient très simplement, à

vue directe, dans une pièce obscure, en alimentant l’étincelle et observant, derrière le

porte-réseau, les divers ordres du spectre lumineux ainsi obtenu. On agit sur l’ouverture

de la fente F1 1 et le calage des vis Vi 1 V2 ~’3 jusqu’à observer les raies les plus brillantes du

(13)

20

spectre avec le maximum de netteté. Il convient, pour cala, en accord avec la théorie développée au premier paragraphe, de donner à l’angle d’incidence 8 la plus faible valeur

possible, valeur déterminée par l’affaiblissement brusque de l’éclat du spectre en dessous

d’un certain angle (une dizaine de minutes). Une pose de contrôle sur plaque photogra- phique est faite dans l’air (avec une étincelle d’aluminium, les raies voisines de 1860 1, à la limite d’absorption de l’air, apparaissent très rapidement).

La manipulations ultérieures se bornent, pour chaque photographie de spectre, au réglage des électrodes et à la mise en place du chàssis à plaques, à une distance du réseau appropriée à la dispersion souhaitée pour les raies, opérations ne nécessitant qu’un seul montage (celui du disque D’ qui ferme le corps cylindrique) facile à réaliser, même dans

l’obscurité de la chambre noire.

Le spectrographe ainsi décrit comporte le moins possible de joints et robinets, qui

nécessitent toujours des soins attentifs : ses organes ont été réduits au minimum, la simpli-

cité étant une condition primordiale à réaliser lors de la construction d’un spectrographe à

vide (1).

..

5. Résultats dans l’ultraviolet de Millikan. Spectre d’étincelle du cuivres L’instrument a fonctionné jusqu’ici avec deux réseaux plans différents : l’un d’eux, sur verre, à 200 traits par millimètre (’ ; l’autre, un réseau zétall2ce tracé à Baltimore avec la machine de Rowland et de 14 436 traits par inch (568 traits par millimètre), tous deux soigneuse-

ment nettoyés au collodion. Le pouvoir dispersif de l’appareil ainsi équipé est remarquable,

en dépit de ses dimensions restreintes : dès le début des essais, les raies de la région 200 à

300 À furent obtenues avec une dispersion appréciable, en plaçant la plaque à 9 cm du

réseau à 200 traits. Les éléments suivants servirent tour à tour d’électrodes : le carbone,

le magnésium, l’aluminium, le fer, le cuivre et le platine. L’aspect de l’étincelle condensée

produite par ces diverses substances est très variable : le fer et le platine donnent lieu à une

abondante projection de fragments métalliques très brillants qui émettent, sur leurs par-

cours rectiligne, une lumière rougeâtre pour le premier et rouge orangé pour le second.

Les projections du platine sont particulièrement intenses et parcourent des distances impor-

tantes (15 cn), se réfléchissant plusieurs fois sur les parois de la chambre. Le- cuivre ne

donne lieu que faiblement à ce phénomène et l’aluminium pas du tout.

Les plaques utilisées dans l’appareil sont, à peu près exclusivement, des plaques photographiques ordinaires (Aviator-Crumière) enduites d’une couche d’huile fluorescente

en solution clans l’éther de pétrole, selon le procédé de Duclaux et Jeantet (3) et Victor

Henri. De telles plaques se sont montrées d’une grande sensibilité, non seulement, comme

l’ont indiqué ces auteurs, dans l’ultraviolet, mais encore dans la région extrême 600 à 100 Á. Elles ont, sur les plaques Schumann, l’arlantage d’un maniement plus facile et d’une homogénéité parfaite ; aussi ces dernières, coûteuses et irrégulières, n’ont-elles été utilisées

qu’à titre de comparaison. La durée de chaque prise de spectre est, en moyenne, d’un

quart d’heure pour une plaque huilée.

Les deux réseaux mentionnés ont donné des résultats similaires quant au nombre des

raies dispersées par -eux, jusqu’à une longueur d’onde de 200 Â, mais en présentant une grande différence de luminosité. Le réseau de Rowland, plus dispersif que le réseau sur verre, ne permet pas, comme ce dernier, l’emploi de plaques huilées : il devient néces-

saire, avec ce réseau métallique, d’utiliser exclusivement des plaques Schumann, plus

sensibles que les plaques ordinaires huilées. J’ai déjà mentionné l’ilnpossibilité je me

suis trouvé de diffracter les rayons X avec un réseau métallique de Rowland, fait qui, joint

à ceux-ci, peut s’interpréter en admettant que le pouvoir réflecteur du métal spéculum

est bien inférieur à celui du verre pour l’extrême ultraviolet et les radiations Rôntgen.

ii’ood et Th. Lyman ont récemment 1’ ) trouvé, en comparant des réseaux en métal (l) Enfin son encombrement est faible et son prix de revient modique.

(~) Le même réseau qui m’a servi à obtenir les spectres de rayons X.

(3) Journal de Phygique et de t. 2 (l921), p. 156.

( ~) Illlil. 11/ag., t. 1 (192j) p. 310.

(14)

21

et en verre, un avantage marqué du verre sur le spéculum quant à l’intensité des spectres produits en-dessous de 500 À, et particulièrement à la limite du spectre (300 à 200 À). Il convient, par suite, de retenir que, pour la construction des spectrographes à réseau dans le vide, le verre (outre son altérabilité nulle) doit, pour cette raison, être préféré au métal.

La planche II est une reproduction de spectres obtenus avec électrodes de cuivre sur

plaque « Avialor » huilée au moyen du réseau sur verre ordinaire à zÙ0 traits par milli- mètre, la plaque se trouvant à 98 et 134 mm du réseau. On voit immé- diatement que la totalité du spectre

émis par l’atome, depuis le domaine visible jusqu’au domaine des radia- tions X de grande longueur d’onde,

se trouve enregistrée sur un même

cliché : l’étendue spectrale couverte

"

a de 6 000 à 140 À, raies les plus courtes visibles sur l’original de ce spectre. Ce fait,

dû à la « contraction du spectre produit par un réseau tangent vers les grandes longueurs d’onde, est très favorable à l’étalonnage des raies nouvelles, par comparaison à celles, bien

connues, du domaine ultraviolet ordinaire. Pour le spectre du cuivre, les raies étalons choisies étaient les raies 3 247 et 3 ~7 4 Á (1 fr et 2c ordre). L’extrapolation, en tenant compte de la non-normalité du spectre (formule ~), fournit les longueurs d’onde des raies de l’extrême ultraviolet avec une précision suffisante.

Sur le spectre (Pl. II), on distingue des groupes de raies arbitrairement désignés par des lettres, comportant les raies d’étincelle principales (sont seules ii-ientionnées les raies dont l’intensité, dans la nomenclature de 1 à 10 adoptée, est supérieure à, ~) suivantes :

a) Les raies intenses (10) 3 274-3 247 -1, repères spectroscopiques, précédées d’une raie plus faible 3 791 À et suivies de 3 126

-

3 t 001.

b) 2 797 Ct), 2 714 (8), 2 703 (7), 2 701 (9), 2 698 (9).

(15)

22

c) Longue région commençant à 2 618 (6) et terminée à la raie intense 2370 (10), en comprenant de nombreuses raies: 2600 (7), 2545 (10), 2529 (8), 2490 (6), ~ 403 (i), ~ d01 (6).

cl) Débute avec 2 47 (8), 2 213 (6), suivie d’une région étendue ,à nombreuses raies moins importantes.

e) C’est la région étudiée par Handke (1), puis par L. et E. Bloch (2) dont les groupes-

principaux sont vers 1868, I 840, 1 826, 1 78~, 1 769, 1 7il, i 710, 1 68~, ~ 642 Á.

f) Groupe remarquable par la grande intensité de ses raies, qui débute vers 14001.

L. et E. Bloch ont récemment (1) exploré cette région jusqu’à 1 359.À, mais en attribuant

aux raies une intensité faible, contrairement à mes résultats (courbe photométrique de la figure 5). Ce désaccord provient sans doute de l’absorption intense de l’optique en fluorine

de leur appareil pour des radiations voisines de la limite due transparence de la fluorine.

g) Un groupe i 184-1. 157 Á, assez faible, suivi de 1 0~6-102i t~, assez intense. Cette région est nouvelle et n’a encore jamais été explorée. Les longueurs d’onde de ses raies sont.

données sous toutes réserves (à 10 pour luO près) et méritent une seconde étude.

TABLEAU 1.

(t) HANDKE, Inaug. I)iss., Berlin (1909).

(2~ L. et E. BLOCH, Journal de l’hysique, t. 2 (19-21~, p. 2!~’ï.

(3) L. et E. BLOCH, Journal de Physique, t. 6 (~9:5), p. 157.

(16)

23 Vient ensuite le domaine extrême qui a été étudié par MiHikan en 19?!~ (1). La

faiblesse de la source employée et un léger étalement t des raies (largeur de la fente F2)

ne m’ont pas permis d’enregistrer les raies les plus faibles données par cet auteur. Mais tous les groupes importants se retrouvent sur mes clichés jusqu’à 1 51 À. Quant à la concor-

dance de mes déterminations de longueurs d’onde pour ces mesures encore préliminaires,

avec celles de Millikan, elle est satisfaisante, comme on peut le constater dans le

tableau II, qui résume l’ensemble de mes mesures dans le spectre d’étincelle d’extrême ultraviolet du cuivre.

TABLEAU II..

Cette région spectrale est la série M émise par le cuivre.

En dessous de 140 À, la faiblesse de l’émission jointe à l’élargissement de la tache de réflexion R limite le spectre enregistrable à 40 À. Notons que le fond spectral continu

émis par l’étincelle condensée parait être extrêmement faible (sinon absent) pour toute

longueur d’onde supérieure à 150 ~,

Grâce à l’amabilité de MM. Lambert et Chalonge, j’ai pu photométrer le cliché de la

planche II à l’aide de leur microphotomètre enregistreur. la figure 5 reproduit la courbe d’enregistrement obtenue.

Mais le fait le plus important résultant de l’examen du spectre reproduit n’est pas la découverte de raies nouvelles, pour laquelle l’appareil n’ect pas encore équipé, c’est le

1

pouvoir dispersif exceptionnel de l’instrument.

Comparons, à ce point de vue, ce spectre à ceux dont Millikan et Bowen donnent,

dans une de leurs publications (loc cit., p. ~7-30), des reproductions agrandies. On peut

aisément mesurer, sur ces clichés, les dispersions (distance d’une raie à la tache de réflexion fournie par le réseau) qui, dans le tableau suivant, sont mises en regard de celles

obtenues pour les mêmes longueurs d’onde dans notre instrument :

L’appareil décrit, avec un réseau possédant deux fois moins de traits que celui’des auteurs amélicains et une distance focale six fois plus petite, présente une supériorité

(t ) MiLLiEA et BowEN, l’his. t. 23 (1924), p. 4.

,

(17)

24

pour toute longueur d’onde inférieure à 200 A. (Dans les essais faits un réseau de et des plaques Sch’nmann, j’ubtenaic, sur le cliché, la raie à 13 mm

pour une distance focale de 130 mm).

Il semble permis d’espérer des dispersions considérables, puisqu’un réseau à 1100 traits par millimètre (du modèle de ceux du Xational Physical Laboratory, par exemple) utilisé

sous incidence tangentielle, aurait le même pouvoir dispersif pour la radiatioil JB = ilS0à

qu’un réseau à incidence normale de 60(fO traits. Dans des recherches -ultérieures, je

Fig. 5.

-

Enregistrement photométrique du spectre d’extrême ultraviolet (cuivre) reproduit sur la planche II (la courbe supérieure est une réduction de l’original),

remplacerai, en vue d’améliorer les spectres, l’étincelle condensée accuelle, source peu

émissive, par un tube générateur de rayons X, à cathode incandescente et refroidissement à eau, et de grande puissance. Un tel accroissement de l’énergie rayonnée permettra,

outre l’emploi d’un réseau de Rowland et l’accroissement de la distance focale, une

meilleure définition des raies spectrales par réduction des fentes collimatrices.

Manuscrit reçue le i octobre 1925.

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