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Note sur les polarisations de spin et de charge autour d'une impureté dans un supraconducteur

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00205960

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205960

Submitted on 1 Jan 1965

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Note sur les polarisations de spin et de charge autour d’une impureté dans un supraconducteur

J.P. Hurault

To cite this version:

J.P. Hurault. Note sur les polarisations de spin et de charge autour d’une impureté dans un supra- conducteur. Journal de Physique, 1965, 26 (5), pp.252-258. �10.1051/jphys:01965002605025201�.

�jpa-00205960�

(2)

phénoménologique mentionné, par la première équation du système (16) relative aux compo-

santes, sous la condition que grad T

=

0. Le choix

mentionné des champs et du gradient de concen-

tration impose encore les conditions supplémen-

taires ly

=

0 et

=

0.

Effet photothermomagnétique. Apparition d’un gradient transversal de température per-

pendiculaire au champ magnétique .BZ et flux des particules qui diffusent dans la direction du gra- dient de concentration sous l’action de l’illumination. On peut décrire ces effets à l’aide de trois de ces quatre équations, relatives aux compo-

santes, du système (16), sous les conditions J = 0, et, parce que le processus est adiabatique, W

=

0.

De plus, les conditions imposées par le choix men- tionné des champs et des gradients, nous donnent

encore

=

0 et oN fox

=

0.

On peut décrire aussi de cette manière d’autres

phénomènes de magnétodiffusion. Évidemment,

nous n’entrerons pas dans les détails parce que les relations qui caractérisent les effets mentionnés et la discussion des résultats peuvent être faits

exactement comme dans le travail cité [5].

Manuscrit reçu le 25 janvier 1965.

BIBLIOGRAPHIE [1] AIGRAIN et ENGLERT, Les semiconducteurs, Dunod,

Paris, p. 66.

[2] GODEFROY (L.) et TAVERNIER (J.), J. Physique Rad., a) 1960, 21, 249 ; b) 1960, 21, 544 ; c) 1960, 21, 660.

[3] TAVERNIER (J.), J. Physique, 1963, 24, 99.

[4] SEXER (N.) et TAVERNIER (J.), Phys. stat. sol., 1964, 5, 521.

[5] ZAWADZKI (W.), Phys. stat. sol., 1963, 3, 990.

[6] LICEA (I.), Phys. stat. sol., 1965, 8, 377.

NOTE SUR LES POLARISATIONS DE SPIN ET DE CHARGE AUTOUR D’UNE IMPURETÉ DANS UN SUPRACONDUCTEUR (1)

Par J. P. HURAULT,

Physique des Solides, Faculté des Sciences, Orsay.

Résumé. - On améliore les calculs existants de polarisations de charge et de spin autour d’une impureté dans

un

supraconducteur. Les expériences susceptibles de tester

ces

calculs seraient, d’une part l’étude des interactions entre impuretés magnétiques, d’autre part l’étude du spectre

des phonons dans des matériaux du type Nb3Sn, à faible longueur de cohérence.

Abstract. 2014 Existing calculations

are

improved for charge and spin polarisations induced

around

an

impurity in

a

superconductor. The calculation could be tested by studies of (a) inter-

actions between magnetic impurities ; (b) the phonon spectrum, in materials of the Nb3Sn group, with short coherence lengths.

LE JOURNAL DE

PHYSIQUE

TOME

26,

MAI

1965,

Introduction.

-

1. POLARISATION DE SPIN.

-

Soit un spin nucléaire 10 placé à l’origine des

coordonnées et couplé par une interaction hyper-

fine Si 8(r,) aux électrons de conduction

4

(de spin Si et de coordonnées ri) d’un métal. Le

spin Io va induire une polarisation de spin

Un spin nucléaire ll situé à une distance R de

l’origine, interagit avec la polarisation créée par Io.

Cette énergie d’interaction W(R) n’est autre que (1) Travail financé par le Centre National d’Études Spatiales, 129,

rue

de l’Université, Paris (7e).

l’énergie du couplage indirect de 11 à I, par l’inter- médiaire du gaz d’électrons. x(r) et W(R) ont été

calculées par Ruderman et Kittel [1] pour un métal pur dans l’approximation des électrons libres et ils ont trouvé (kF désignant le vecteur d’onde

du niveau de Fermi)

Lorsque l’on considère plusieurs spins nucléaires

Il situés aux positions R; l’énergie de couplage de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002605025201

(3)

ces spins par l’intermédiaire du gaz d’électrons s’écrit :

A

avec

x(q) a été calculé pour un métal pur par Yosida [2] qui trouve

x(q) a une tangente verticale pour q

=

2kF

(anomalie de Kohn).

2. POLARISATION DE CHARGE.

-

Soit un poten-

tiel perturbateur V’ imposé à un gaz d’élec- trons. Ce potentiel induit une densité électronique perturbée V cp(r) au premier ordre en V. Si on analyse ~(r) en série de Fourier, on analyse égale-

ment cp(r) en série de Fourier et il vient :

cp(q) est la densité électronique perturbée par un potentiel eiqr. Cette densité est reliée à la cons-

tante diélectrique statique s(q) introduite par Nozières et Pines [3] telle que

Pour un gaz d’électrons libres, p(r)

=

x(r) et y(q)

=

x(q).

3. POLARISATIONS DE SPIN ET DE CHARGE DANS UN SUPRACONDUCTEUR. - Notre propos est d’étendre les notions précédentes à un supra-

conducteur pur à température nulle. Ces questions

ont été étudiées, pour ce qui est de la polarisation

de spin, par Anderson et Suhl [4], et pour ce qui

est de la polarisation de charge, par Prange [5].

De ces deux articles, il ressort d’abord que X(q)

diffère fortement de p(q) dans un supraconducteur

pour les faibles valeurs de q. Ceci est dû au fait que, pour des paires de Cooper dans un état s, la susceptibilité paramagnétique x(q

-~

0) est nulle à

basse température.

Pour le calcul de x(r), nous allons utiliser une

approximation à notre sens plus fine que celle

d’Anderson et Suhl. Nous vérifions en effet que notre approximation nous donne la forme asympto- tique exacte pour le métal normal, ce qui ne semble

pas être le cas si on utilise l’approximation

d’Anderson et Suhl. Nous trouvons que x(r) pré-

sente une forme asymptotique décroissant expo-

nentiellement avec une portée comparable à la longueur de cohérence, sans être modulée par une fonction sinusoïdale, résultat différent de celui

d’Anderson et Suhl. Cette propriété peut avoir un

certain intérêt physique pour l’étude des inter- actions magnétiques dans des supraconducteurs à

faible longueur de cohérence (Nb3Sn, V3Ga). Par contre, nous n’étudions pas la transformée de Fourier x(q) dont l’aspect qualitatif est correcte- ment indiqué dans la référence [4].

Nous passons ensuite au calcul de la polarisation

de charge, en nous servant de la même approxi-

mation que pour la polarisation de spin. Prange

trouve que pour q

2013~

0 l’on peut pratiquement

identifier la constante diélectrique de l’état supra- conducteur à celle de l’état normal. Nous montrons ici que ce résultat reste vrai pour presque toutes les valeurs de q ; en particulier, aucune anomalie

ne se produit pour q Ço est la longueur

de cohérence du supraconducteur. La seule nou-

veauté introduite par la phase supraconductrice

est la disparition de l’anomalie de Kohn pour q

=

2Ap. Ce changement pourrait être détecté sur

des matériaux à très faible go comme Nb3Sn ou VGa.

Nous étudions d’abord la dépendance spatiale

de cp(r). Pour r « go, nous vérifions que y(r) n’est pratiquement pas différent de sa valeur dans l’état normal. Pour r » ço. cp(r) décroît exponentiel-

lement en étant modulée par un facteur sinusoïdal.

Nous analysons ensuite les conséquences de ces propriétés sur la transformée de Fourier cp(q), et

nous étudions en particulier la disparition de

l’anomalie de Kohn dans la phase supraconductrice.

Ici encore, on ne peut guère attendre des effets observables que dans des matériaux de groupe

Nb3Sn.

Calcul de X(r).

-

Nous développons l’hamil-

tonien perturbateur H dû à la présence du spin

nucléaire Io à l’origine des coordonnées suivant les méthodes de la seconde quantification et, en utili-

sant les notations habituelles, il vient

Dans cette formule, la > dénote un état propre de l’opérateur S, qui peut être fi > ou 1 t >.

D’où

La fonction de l’état perturbé cp > est au

premier ordre

(4)

où In > et 10 > représentent respectivement les

états excités et l’état fondamental du supracon-

ducteur, En étant l’énergie de l’état 1 n >. x(r) étant proportionnel à

avec

soit à M 1 + cc, nous

soit à X 1/En > > + cc, nous

n=l= 0 n

voyons que les seuls états 1 n > qui ne donneront

pas une contribution nulle à x(r) seront de spin

nul : ceci nous permet, pour ce calcul, de ne

retenir de H que le terme en Inz.

Finalement

Écrivons les et en utilisant les transfor- mations de Bogoliubov [6], les opérateurs rt. et Y i

satisfaisant les relations d’anticommutation des fermions et étant définis par

Ho étant l’hamiltonien du système isolé.

De plus, Ek, uk et vk sont réels tels que

Pour le calcul de x, on s’aperçoit alors que les

états n > peuvent être de deux sortes

ces deux états excités ayant la même énergie

Ek + Ek’.

Le calcul donne

Lorsque

et on retrouve le résultat relatif au métal normal.

On peut remarquer en passant que, lorsque Il

est différent de 0, X(g) se calcule directement à

partir de (15) et

On voit directement sur cette formule que

x(q

=

0)

=

0.

Si nous retournons à x(r), pour 0 ~ 0, il vient

En passant en coordonnées sphériques et en inté-

grant sur les angles, il vient

Nous allons calculer seulement la forme asymp-

totique de x(r) dans la limite kF r » 1. Dans ce

cas, les contributions majeures à l’intégrale (18)

viennent de k - k’

N

kF. Dans (18), k dk et k’ dk’

peuvent être remplacés respectivement par

m d03BEk/h2etmd03BEk /h2

Pour ce qui est du facteur oscillant sin kr sin k’r,

nous ferons

VF étant la vitesse au niveau de Fermi.

On peut vérifier que cette approximation, quand

elle est faite pour le métal normal, conduit à la

forme asymptotique correcte de x(r), c’est-à-dice

Dans le cas du supraconducteur, Z et ~’ étant les

nouvelles variables d’intégration, variant chacune

de - EF à c’est-à-dire pratiquement de

(5)

On procède ensuite aux deux changements de variables successifs

D’où

L/intégration sur p donne

Comme cette forme n’est valable que pour les

grands r, nous pouvons laisser de côté dans (22) le

terme contenant la fonction 8 et nous voyons qu’il

nous reste deux sortes d’intégrales à calculer : .K1 et Ko étant les fonctions de Bessel sphériques

définies comme dans Watson [7].

Donc x(r) a pour forme asymptotique (r »

Nous pouvons considérer deux régions pour les

grandes valeurs de r :

a) Région « r « ~0.

~ 2 étant majoré par n /2, et comme 2Llr /hVF « 1,

on peut remplacer ,K1 (2LlrllivF) par sa valeur

asymptotique aux petits arguments, c’est-à-dire est donc négligeable par rapport à 31 et, dans cet intervalle, on a

qui n’est autre que la forme asymptotique de x dans le métal pour r »

Pour r « k"F1, il est raisonnable de supposer que la forme de X dans le supraconducteur doit s’iden- tifier à celle dans le métal normal ; c’est-à-dire que l’on peut écrire à une bonne approximation

b) Région r » ço.

Cette fois, 31

~

J2 et x(r) peut s’écrire

ou :

Cette forme a ceci de remarquable qu’elle n’a

FIG. 1.

-

Aspect qualitatif

de la forme asymptotique de Xn(r).

FiG. 2.

-

Aspect qualitatif

de la forme asymptotique de

(6)

pas un comportement oscillant comme dans le

métal normal mais qu’elle présente uneedécrois-

sance en lr5/2 (voir fig, i et 2).

Calcul de cp(r).- L’hamiltonien perturbateur H’

est U 1 ~(ri) : on le développe suivant les méthodes

1

de la seconde quantification et il vient

1 cp > étant toujours l’état excité par H’ et 0 >

le fondamental

On voit que l’étude de y(r) va conduire au même type de calculs que l’étude de x(r), à des différences de signe près. On utilise la transformation de

Bogoliubov et il vient

On voit d’après (31) que la forme de p(r), pour A

=

0, est celle de l’état normal et que si l’on considère sa transformée de Fourier, elle

n’est pas nulle pour q

=

0, et un calcul approché

nous conduit à la même valeur que pour l’état normal. La suite du calcul est conduite de la même

façon que dans la section précédente. Le résultat est le suivant :

b) Pour r « kF 1

doit s’identifier à la forme relative au métal normal.

c) Pour tout r.

On peut adopter une forme analytique qui coïn-

cide avec la forme exacte de y pour kfl « r « Zo,

avec la forme de y relative au métal normal pour kF « ce qui nous conduit à adopter

Aux grandes valeurs de r (r » ~), nous voyons que cp décroit exponentiellement comme x mais qu’elle est cette fois modulée par un facteur

cos 2kF r (fig. 3).

FIG. 3.

-

Aspect qualitatif

de la forme asymptotique de o,(r).

Étude de Y.(q).

-

La méthode d’étude de

sera la suivante : nous comparerons l’expression

de ps(q) pour le supraconducteur à celle du métal

normal, Nous verrons que, lorsque q n’est

pas situé au voisinage de q

=

2AF, est égale

à à AIEF près.

D’autre part, l’étude de dps(q)Jdq nous per-

mettra de constater que dcps(q) fdq ne prend jamais

de valeur infinie : l’anomalie de Kohn disparaît.

Passons maintenant aux calculs :

Avec des notations évidentes pour et cpn(r),

on a

D’Oll

avec

(7)

257

L’intégration sur r donne :

avec

.

(36) peut s’écrire symboliquement

Comme pour

ce

> 4, ch a # sh a, nous n’inté- grerons que de 0 à 4.

Si, d’autre part, q est tel que pour

oc =

4,

, .. 1 , ,

la réalisation de II entraînant celles de 1 et lils

on pourra développer les fonctions de l’intégrant

, . ,

soit en puissances de

,

soit de

en B2A;F + q)’ soit d e

-

La condition II est plus ou moins restrictive suivant les valeurs du rapport EF /A et n’est valable

que pour les valeurs de q situées à l’extérieur d’un

segment centré sur q

==

2kF. Si nous adoptons pour

le rapport EFIA une valeur typiquement égale à 103, nos conditions sont réalisées en dehors du

segment 2kF q 2kF , 3kF segment 2013/3kf/100 q 2A;p + 100.

°

D’où

c’est-à-dire, une fois les intégrales suroc calculées :

avec

Si l’on étudie ; pour (33), les fonctions

on s’aperçoit d’une part, que le terme de Ay en (à/cF)4 est toujours très inférieur au terme en

compte tenu des valeurs choisies pour q et de la valeur de d’autre part, que le terme en donne une déviation par rapport

à y.(q) qui est au pire de l’ordre du millième.

Pour avoir une information sur les valeurs de

Qs(q)pour

passons à l’étude de /dq.

Étude de dcpa(q) jdq.

soit

avec

On voit déjà sur (35) que ne devient

jamais infini, contrairement à ce qui se passe dans

le cas normal où

(8)

258

En effet, (36) diverge logarithmiquement lorsque

q

-+

On peut calculer numériquement pour

q

=

2kF avec les valeurs de A/EF déjà utilisées

dans la section précédente et il vient

ce qui correspond à dcpn(q) Idq pour

Nous avons donc suffisamment d’informations

FIG. 4.

-

Aspect qualitatif de çn(q).

q FIG. 5.

-

Aspect qualitatif de

pour nous donner une bonne idée de pour toute valeur de q (fig. 4 et 5).

Remerciements.

-

Je tiens à exprimer mes re-

merciements à M. le Professeur P. G. de Gennes

qui m’a proposé ce problème et m’a constamment

guidé au cours de ce travail, ainsi qu’à

Mme C. Caroli avec qui j’ai pu avoir de fructueuses discussions.

Manuscrit reçu le 15 février 1965.

BIBLIOGRAPHIE [1] RUDERMAN (M. A.) et KITTEL (C.), Phys. Rev., 1954,

96, 99.

[2] YOSIDA (K.), Phys. Rev., 1957, 106, 893.

[3] NOZIÈRES (P.) et PINES (D.), Nuovo Cimento, 1958, 9,

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[4] ANDERSON (P. W.) et SUHL (H.), Phys. Rev., 1959, 116, 898.

[5] PRANGE (R.), Phys. Rev., 1963, 129, 2495.

[6] BOGOLIUBOV (N. N.), TOMACHEV (V. V.) et SHIRKOV (D. V.), New method in the theory of superconduc- tivity, Consultants Bureau, New York, 1959.

[7] WATSON (G. N.), A treatise

on

the theory of Bessel

functions, Cambridge University Press, 1958.

Références

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