B ÉRARD
Géométrie analitique. Construction géométrique des équations du deuxième degré à deux et à trois variables
Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 6 (1815-1816), p. 157-169
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ORDRE.
I57
61.
THÉORÈME.
Les lieux apparens dit centre de la lune surle
disque solaire,
vus dedifférens points
duglobe,
au même momentd’une
plus grande phase,
sont situés sur uneligne droite, qui
passe par le centre du
disque.
GÉOMÉTRIE ANALITIQUE.
Construction géométrique des équalions du deuxième degré à deux
et à troisvariables ;
Par M. BÉRARD, principal
etprofesseur
demathématiques
du collège de Briançon, membre de plusieurs sociétés
savantes.
LE sujet
dontje
me propose ici d’entretenir le lecteur adéja
ététant de fois
rebattu , qu’il
n’estplus,
pour ainsidire, permis d’y
revenir de nouveau , sans bien
préciser
d’abord cequ’on
se proposed’ajouter
aux théoriesdéjà
connues.On n’avait encore , pour la recherche des
grandeur
et directiondes diamètres
principaux,
dans leslignes
et surfaces du secondordre f
que des méthodes indirectes et
compliquées, lorsqu’en
I8I0je
pu-hliai,
dans mesOpuscules, l’équation
dont les racines sont lesquarrés
des demi-diamètres
principaux
deslignes
du secundordre, rapportées
à des axes
rectangulaires ; équation
quej’y
déduisais de la méthode de maximis et minainis.M. Gerg()nne, ignorant
sans doute ce quej’avais
fait sur cesujet,
y revint peuaprès,
par desprocédés analogues ( Annales,
tom.
II,
pag.335 )
Tome VI.
24
I58
LIGNES ET SURFACES
Auparavant ( Annales ,
tom.II,
pag.33 ) ,
M. Bretavait donné,
par la transformation des
coordonnées , appliquée
d’une manière in-génieuse qui
lui est propre ,l’équation qui
conduit à la détermi- nation des diamètresprincipaux ,
dans les surfaces du secondordre, rapportées
à des axesrectangulaires.
En octobre I8I3
( Annales,
tom.III,
pag.I05 ) , je donnai ,
pour la
première fois , l’équation
auxquarrés
des demi-diamètresprincipaux
deslignes
et surfaces du secondordre, rapportée
à desaxes
obliques quelconques.
Cetteéquation remarquable,
ainsi que les théorèmes quej’en
aidéduits ,
ont étéreproduits
par M. Binet(
Journal de l’écolepolytechnique,
XVI.ecahier ,
pag.32I ) ,
par M. Hachette(
Traité dessurfaces
dit seconddegré,
ParisI8I3),
et par M. Garnier ( Géoméirie
analitique,
page372 ).
M. Bret (
Annales,
tom.IV ,
pag.g3 ) ,
étendit ensuite sesméthodes au cas
général
des axesobliques.
Je rassemblai tout ce que
j’avais
fait sur cesujet
dans un mémoireque
je publiai
enI8I4 (
voyezl’annonce, Annales ,
févrierI8I4 ) ,
et dans
lequel je m’occupai également
deslignes
et surfaces du second ordredépourvues
de centre , dont il n’avait pas encore été traitéjusqu’alors.
M.
Gergonne ( Annales ,
tom.V ,
pag.6 1
a donné une mé-thode
très-simple
ettrès-remarquable
pour la discussiongéométrique
des
équations
du seconddegré
à deux et à troisvariables,
dansl’hypo-
thèse des axes
obliques ;
mais onpeut
raisonnablementregretter
quel’auteur n’ait
point
été aussi heureux dans larecherche
deslongueurs
des demi-diamètres
principaux.
Enfin,
M. Bret( Annales,
tom.V ,
pag.357 ),
a donné uneméthode
nouvelle ,
assezbriève,
etdégagée
de touteapplication
ducalcul
différentiel,
pourparvenir ,
dans leslignes
et surfacesqui
ont un centre , et,
quelle
que soit la direction des axes , àl’équation
dont les racines sont les
quarrés
des demi-diamètresprincipaux.
Il est certes bien loin de ma
pensée
de revenir ici de nouveau sur le mode de discussionemployé
par M.Gergonne ,
etqui paraît
I59
laisser
bien peu de choses àdésirer ;
mon dessein estseulement ,
en admettant comme
déjà
connues toutes les vérités que ce mode dediscussion ,
ou tout autreéquivalent, peut
fairedécouvrir,
demontrer comment on
peut
facilement construire laligne
ou la sur-face dont
l’équation
estdonnée ,
du moinslorsque
cetteligne
oncette surface a un centre ; car
je
ne dois pas dissimuler que , pourle
cas où elle en estdépourvue, je
n’ai encore rien trouvéd’assez simple,
d’assezélégant
et d’assezsymétrique
pour oser ici en occu-per le lecteur.
On
trouvera ausurplus ,
dans le mémoirerappelé plus haut ,
ce quej’ai
pu faire de mieux à cetégard.
§. I.
Construction des
lignes
du second ordre.Lorsqu’une ligne
ouportion
deligne
du second ordre est tracéesur un
plan,
la méthode laplus simple
que l’onpuisse employer
pour en déterminer le centre est la suivante : on y trace y sous une direction
quelconque ,
deux ou unplus grand
nombre de cordesparallèles
dont les milieux déterminent la direction d’un certaindiamètre ;
onrépète
la mêmeopération
pour d’autres cordes pa-rallèles,
d’une direction différente de celle despremières ;
et onobtient ainsi un second diamètre. Si ces deux diamètres se
coupent,
la courbe a un centre ,
lequel
n’est autre que leurintersection;
s’ils sont
parallèles,
tous les autres diamètres que l’onpourrait
construire leur seraient
également parallèles,
et la courbe estdépourvue
de centre , ou, en d’autres termes, elle a son centre situé à une
distance
infinie ;
si enfin ces deux diamètres seconfondent,
toutautre diamètre se confondrait avec eux, et la courbe a une infinité de centres, situés sur une même
ligne
droite.Imitons ce
procédé
par l’analise. SoitI60
LIGNES
ETSURFACES.
l’équation
de la courbe dont ils’agit ; l’angle
descoordonnées
étant
supposé
=03B3.Soit x=a
l’équation
d’une cordequelconque parallèle à
l’axedes y ; en combinant cette
équation
avec laproposée, celle-ci
deviendra
les deux valeurs de y déduites de cette
équation
seront les ordonnéesdes extrémités de la corde dont il
s’agit.
Mais le coefficient du second terme d’uneéquation
du seconddegré, pris
avec unsigne
contraire,
étant la somme desés racines ,
il en résulte que, pour le milieu de cettecorde ,
on auraen
changeant
donc a en x, dans cette dernièreéquation, l’équation
résultante
sera celle du lieu
géométrique
des milieux de toutes les cordesparallèles
à l’axe des y ;c’est-à-dire, l’équation
du diamètrequi
coupe toutes ces cordes en deux
parties égales.
On
peut
remarquer que cetteéquation
n’est autre chose que la’dérivée de la
proposée (I), prise
parrapport à y seulement ;
et en conclure que la dérivée de la mêmeéquation, prise
parrapport
àx
seulement,
seral’équation
du. diamètrecoupant
en deuxparties égales
les cordesparallèles
à l’axe des x.Il suit de là que les
équations
des diamètrescoupanten
deuxparties
égales
les cordesparallèles
aux deux axes sontI6I En thèse
générale
ces deux diamètres se couperont : ils seront pa- rallèles si l’on aenfin ils se
confondront,
si l’on a en outre ,d’où
Dans le
premier
cas, la courbe aura uncentre ;
dans leseconde
elle en sera
dépourvue ,
enfin dans letroisième ,
elle en aura uneinfinité ,
tous situés sur unedroite dont l’équation
seraoccupons-nous
uniquement
dupremier
de ces trois cas.Nous venons
d’observer
que ,lorsqu’une ligne
du second ordrea un centre, ce centre est déterminé par l’intersection de deux
quelconques
de ses diamètres.Si ,
de ce même centre et d’un rayonquelconque ,
on décrit uncercle ,
ce cercle coupera , engénéral
la courbe en
quatre points, lesquels
seront les extrémités de deux diamètreségaux, symétriquement
situés par rapport aux dia- mètresprincipaux ;
de sorte que la droitequi
divisera en deuxparties égales l’angle
de ces deuxdiamètres, indiquera
par sa direction celle de l’un des diamètresprincipaux.
Si donc onprend
le rayon du cercle de telle manière que les deux diamètres seconfondent,
l’un des diamètres
principaux
se confondra aussi avec eux, etle
rayon du cercle sera la moitié de ce diamètre.
Imitons
analitiquement
ceprocédé.
D’abord la combinaison deséquations (2) donne ,
pour leséquations
du centreI62
LIGNES ET SURFACES
En y transportant l’origine,
etposant , pour abréger
l’équation (i)
devientL’équation
du cercleayant
son centre à la nouvelleorigine,
etson rayon
égal
à r estSoit donc y=mx
l’équation
du diamètrepassant
par l’une des intersections des deuxcourbes,
ilviendra,
ensubstituant
dans leséquations (5)
et(6),
d’ou
onconclura,
par l’élimination dex2,
Telle est donc
l’équation qui
donnerales
directions des deux dia- mètresqui passent
par les intersections de la courbe avec le cercle dont le centre coïncide avec lesien,
et dont le rayon est r.Si nous supposons ce rayon r
indéterminé ,
nous pourronsprofiter
de son indétermination pour faire coïncider les deux
diamètres, lesquels
auront alors pour direction commune celle de l’un des diamètresprincipaux ;
et la valeurqui
en résultera pour r sera lamoitié
de lalongueur
de ce diamètre.Il faut pour cela que
l’équation (8)
ait ses deux racineségales;
c’est-à-dire, qu’il
faut que sonpremier
membre soit unquarré,
oudu moins
puisse
ledevenir ,
à l’aide d’unmultiplicateur convenable,
indépendant
de m. En lamultipliant
parBr2-E,
elledevient
I63
Or,
sous cette forme, on voitqu elle
seraun] quarré- si
l’on ac’est-à-dire ,
et
qu’alors
la racine de cequarré
seraLa
première
de ces deuxéquations
fera connaître les deuxvaleurs
de r3, et on enconclura,
au moyen de laseconde,
les valeurscorrespondantes
de m. Il est difficile de penserqu’aucune
autre voiepuisse
conduire aussi brièvement à la détermination desgrandeurs
etdirections
des
demi-diamètresconjugués.
§.
il.Construction des
surfaces
du second ordre.Lorsqu’une
surface ouportion
de surface du second- ordre estdonnée dans
l’espace,
la méthode laplus simple
que l’onpuisse employer
pour en déterminer le centre est la suivante : on luimène,
sous une direction
quelconque,
trois ou unplus grand
nombre decordes
parallèles ,
noncomprises
dans un mêmeplan,
dont lesmilieux déterminent la
position
d’un certainplan diamétral ;
onrépète
la mêmeopération
pour deux autressystèmes
de cordesparallèles,
d’une direction différente de celle despremières ;
onobtient ainsi deux autres
plans
diamétraux. Si les troisplans
secoupent
en unpoint,
la surface a un centre,lequel
n’est autreque leur
intersection ;
s’ils secoupent
toustrois,
suivant une mêmedroite,
la surface a une infinité de centres situés sur cettedroite
s’ils se
confondent,
elle a une infinité de centres situés sur l’undeux ;
enfin s’ils sont
parallèles,
ou si seulement leurs intersections deux a deux sontparallèles,
la surface estdépourvue
de centre ou, enI64 LIGNES ET SURFACES
d’autres termes, elle a son centre situé à une distance infinie.
Imitons ce
procédé,
parl’analise ;
soitl’équation
de la surface dont ils’agit ,
lesangles
des coordonnéesétant 03B1 ,
a , y.Soient x=a ,
y---b
leséquations
d’une cordequelconque, paral-
lèle à l’axe
des z ;
en combinant ceséquations
avec laproposée,
celle-ci deviendra.
Les deux valeurs
de z ,
déduites de cetteéquation ,
seront les coor-données, parallèles
aux z, des deux extrémités de lacorde
dont ils’agit.
Mais le coefficient du second terme d uneéquation
du seconddegré, pris
avec unsigne contraire ,
étant la somme de sesracines,
il en résulte que, pour le milieu de cette
corde ,
on doit avoiren
changeant
donc a en x et b en y , dans cettedernière ,
e-quation
résultantesera celle du lieu
géométrique
des milieux de toutes les cordesparallèles à
l’axe des z,c’est-à-dire , l’équation
duplan
diametralqui
coupe toutes ces cordes en deuxparties égales.
On peut remarquer que cette
équation
n’est autre chose que la dérivée de laproposée (ï), prise
parrapport
à zseulement ;
et enconclure que les dérivées de la même
équation , prises
successivement parrapport
à x et y seront leséquations
desplans
diamétrauxcoupant
en deuxparties égales
les cordesrespectivement parallèles
aux axes des x et des y.
Il
I65 Il suit de là que les
équations
desplans
diamétrauxcoupant
en deuxparties égales
les cordesparallèles
aux trois axes sontEn
thèsegénérale
ces troisplans
secouperont
en unpoint :
Ilsse
couperont
suivant une mêmedroite ,
lieu des centres, si l’ona , à
lafois ,
ils se confondront en un
seul,
lieu des centres , si l’ona ,a
lafois;
enfin,
ils n’auront aucunpoint
commun, etconséquemment
lasurface sera
dépourvue
de centre, si l’on aOccupons-nous uniquement
du cas où les troisplans
secoupent
en un
point.
Nous venons de voir que ,
lorsqu’une
surface du second ordre a un centre, ce centre est déterminé par l’intersection des troisquel-
conques de ses
plans
diamétraux. Si de ce même centre, et d’un rayonquelconque,
on décrit unesphère,
cettesphère
coupera enTom. rI. 25
I66
LIGNES ET SURFACES
général
la surface suivant une courbe à doublecourbure, aux
dif-férens
points
delaquelle
menant des rayons, ces rayons seront les élémensrectilignes
d’une certaine surfaceconique ayant
même centre que lasphère. Mais ,
si l’onprend
le rayon de lasphère
de tellemanière que tous ces élémens se confondent en une seule
droite ,
cette droite
indiquera,
par sa direction celle de l’un des diamètresprincipaux ,
et le rayonqui remplira
cette condition sera la moitiéde la
longueur
de ce diamètre.Imitons
analitiquement
ceprocédé. D’abord,
enposant
pourabréger
il viendra
(2),
pour lescoordonnées
ducentre ,
En y
transportant l’ongine ,
et faisant encore pourabrégcr
l’équation (1)
deviendrasimplement
I67 L’équation
de lasphère ayant
son centre à la nouvelleorigine
et son rayon
égal à
r , estSoient
donc
z=mz, y=nz leséquations
du diamètrepassant
parl’un
quelconque
despoints
de l’intersection des deuxsurfaces ;
ilviendra,
en substituant dans leséquations (5)
et(6) ’y
d’où
on conclura par l’élimination de z2Telle est donc la relation
qui
doit exister entre m et n pour quela droite ,
dont leséquations
sont x=mz et y=nz, soit située surla surface du cône.
On
voitqu’à chaque
valeur de l’une de cesquantités répondront
deux valeurs del’autre ;
çequi
revient à direque tout
plan
conduit parl’origine perpendiculairement ,
soit auplan
des xz soit au
plan
des yz , coupera la surfaceconique
suivantdeux de ses
génératrices.
Mais,
si l’on suppose que lerayon
r ait été choisi de manièreque toutes ces
génératrices
se confondent entre elles et avec un des diamètresprincipaux ;
il devra arriver que, soitqu’on
résolve l’é- ,quation (8)
parrapport à
m ouqu’on
la résolve parrapport
à n y la valeur de 1"une ou de l’autredé
cesquantités
seraunique
ouce
qui
revient au même, se réduirauniquement
à sapartie
ration-nelle. En
exprimant
cette doublecondition, c’est-à-dire ,
en sup-primant
le radical dans cetteéquation
résoluesuccessivement
parI68 LIGNES ET SURFACES DU SECOND ORDRE.
rapport
à m et à n , et chassant ensuite ledénominateur ,
on ob-tiendra ,
entransposant ,
les deuxéquations
lesquelles
ne sont, ausurplus,
que les dérivées de(8) , prises
succes-sivement par
rapport
à m et parrapport
à n. Telles sont donc leséquations qui
feront connaître les valeurs de m et de nqui
con-viennent aux
diamètres principaux, lorsque
toutefois r sera déter-minée conformément à la
présente hypothèse.
Au moyen de ces
équations, l’équation (8)
sesimplifie ;
en enretranchant en effet la somme des
produits respectifs
decellés-ci
par m et n, elle devient
Eliminant
donc m et n de cettedernière ,
au moyen deséqua-
tions
(9),
et faisant encore usage desabréviations déjà employées
ci-dessus il viendra
Cette
dernière équation
fera connaître leslongueurs
desdemi-dia-
mètres
principaux ;
on en conclura ensuite leursdirections ,
aumoyen
deséquations (g).
Onconviendra
encore iciqu’il
n’estguère
QUESTIONS I69
présumable
que tout autreprocède puisse
conduire aubut
d’une manière tout à la fois aussisimple
et aussi élémentaire.Ceux
qui
désirerontplus
dedéveloppemens
sur cesujet,
pourront consulterl’ouvrage déjà
cité sur la Discussion et la construction deslignes
etsurfaces
du secondordre ;
ouvrage danslequel je
mesuis
principalement
attaché à faire connaître les caractères et la cons-truction des huit cas
qùe présente l’équation à
deuxvariables,
etdes
quinze
cas queprésente
cellequi
en renferme trois.QUESTIONS RÉSOLUES.
Solution du III.e problème de géométrie proposé à la
page 28 de
cevolume ;
Par M. J. B. DURMXDE.
PROBLÈME. Des
troisquarrés qui peuvent être inscrits
à unmême
triangle scalène, quel
est leplus grand
etquel
est leplus petit ?
Solution. Il est évident que ce
problème
seréduit
au suivant :Des deux
quarrés
inscritsqui reposent
sur deux côtésinégaux
d’un même
triangle, quel
est leplus grand
etquel
est leplus petit ?
C’est donc sous ce