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novembre 2011

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Texte intégral

(1)

novembre 2011

Génie électronique, électrotechnique et optique

EXERCICE1 4,5 points

1. a.

1reboule

2eboule

V1 V2 V3 R0 R5

V1 0 0 0 10 15

V2 0 0 0 20 25

V3 0 0 0 30 35

R0 10 20 30 0 0

R5 15 25 35 0 0

b. Dans 13 cas sur 25 le joueur ne reçoit rien : la probabilité est donc égale à 13

25= 52

100=0, 52.

Le joueur reçoit plus de 20 euros dans 6 cas sur 25, d’où une probabilité de 6

25= 24 100=0, 24.

2. a. On construit le tableau des « gains » en retranchant 15 de chaque cas du tableau précédent :

1reboule

2eboule

V1 V2 V3 R0 R5

V1 −15 −15 −15 −5 0

V2 −15 −15 −15 5 10

V3 −15 −15 −15 15 20

R0 −5 5 15 −15 −15

R5 0 10 20 −15 −15

On en déduit le tableau de la loi de probabilité de la variable aléatoireX:

xi −15 −5 0 5 10 15 20

p(X=xi) 13 25

2 25

2 25

2 25

2 25

2 25

2 25 b. On a E(X)= −15×13

25−5× 2 25+0× 2

25+5× 2

25+10× 2

25+15× 2

25+20× 2 25=

−195−10+0+10+20+30+40

25 = −105

25 = −21

5 = −4, 20 (().

Sur un grand nombre de parties la perte moyenne pour un joueur est égale à 4,20(.

c. En remplaçant 15 par un mise demeuros on obtient une nouvelle loi de probabilité :

xi m 10

m

10 m

15 m

20 m

25 m

30 m

35 m p¡

X=xi¢ 13 25

2 25

2 25

2 25

2 25

2 25

2 25

2 25

On a alors : E(X)= −m×13

25+(10−m)× 2

25+(15−m)× 2

25+(20−m)× 2

25+(25−m)×

2

25+(30−m)× 2

25+(35−m)× 2 25=

(2)

−13m+20−2m+30−2m+40−2m+50−2m+60−2m+70−2m

25 =270−25m

25 Le leu est équitable si l’espérance est nulle :

E(X)=0 ⇐⇒ 270−25m

25 =0 ⇐⇒ 270−25m=0 ⇐⇒ 270=25m ⇐⇒

54=5m ⇐⇒m54 5 =108

10 =10, 80(.

Le jeu est équitable si la mise est égale à 10,80(.

EXERCICE2 5,5 points

1. a. P(−3)=(−3)3+5×(−3)2+10×(−3)+12= −27+45−30+12=57−57=0.

−3 est donc une racine deP. Il existe donc des complexesbetctels que : P(z)=(z+3)¡

z2+bz+c¢

=z3+bz2+cz+3z2+3bz+3c=z3+(b+3)z2+ (3b+c)z+3c.

En identifiant avec l’énoncé, on obtient le système :

b+3 = 5 3b+c = 10

3c = 12

⇐⇒

b+3 = 5 3b+c = 10

c = 4

⇐⇒

b+3 = 5

3b = 6

c = 4

⇐⇒

b+3 = 5

b = 2

c = 4

Finalement :P(z)=(z+3)¡

z2+2z+4¢ . b. P(z)=0 ⇐⇒ (z+3)¡

z2+2z+4¢

=0 ⇐⇒

½ z+3 = 0

z2+2z+4 = 0 ⇐⇒

½ z = −3

z2+2z+4 = 0

Résolution de l’équation du second degré :∆=4−4×4= −12=¡ 2ip

2

<

0 : il y a donc deux racines complexes : z2=−2+2ip

3

2 = −1+ip

3 etz3= −1−ip 3.

Finalement les solutions sont : z1= −3; z2= −1+ip

3; z3= −1−ip 3.

2. a. Voir la figure b. Voir la figure

c. L’angle vaut 90 degrés.

d. Il semble que les points O, B et S sont alignés.

3. a. On azB=zB+4= −1+ip

3+4=3+ip 3.

D’où¯

¯zB¯

¯

2=32+¡p 3¢2

=9+3=12 et¯

¯zB¯

¯=p 12=2p

3.

En factorisant ce module on a : zB=2p

3 Ãp

3 2 +i1

2

! . Or cosπ6=

p3

2 et sinπ6=1 2, donc zB=2p

cosπ6+i sinπ6¢

=2p 3eπ6.

b. On admet que S est l’image du point Bpar la rotationr de centre O et d’angle+π2. On a donc :

zS=eiπ2zB=2p

3eπ6+π2 =2p

3e46π=2p 3e23π.

(3)

c. zB= −1+ip

3. Donc|zB|2=1+3=4⇒ |zB| =2.

En factorisant ce module : zB=2

Ã

−1 2+i

p3 2

! . Or cos23π= −12et sin23π=

p3 2, donc zB=2¡

cos23π+i sin23π¢

=2e23π.

Conclusion : B et S ont des affixes de même argument : ils sont alignés avec O.

PROBLÈME 10 points

Partie A

1. gsomme de fonctions dérivables sur I est dérivable sur cet intervalle et : g(x)=2x−2

x =2x2−2 x =2

x

¡x2−1¢ . Comme x>0⇒ 1

x >0 : le signe deg(x) est donc celui du trinômex2−1.

Celui-ci est positif sauf entre les racines−1 et 1, donc ici : g(x)<0 sur ]0 ; 1[ ;

g(x)>0 sur ]1 ;+∞[ ; g(1)=0.

2. De la question précédente résulte que : gest décroissante sur ]0 ; 1[ ;

gest croissante sur ]1 ;+∞[ ;

g(1)=1+2=3 est le minimum degsur I.

x 0 1 +∞

g

3

3. On constante que sur I,g(x)>3>0 : la fonction est donc strictement positive sur I.

Partie B

1. a. De lim

x0lnx= −∞et lim

x0x=0+on déduit que lim

x0

lnx

x = −∞et comme limx0

1

2x−1= −1, par somme de limites, on conclut que : limx0f(x)= −∞.

b. Géométriquement le résultat précédent signifie que la droite d’équation x=0 est asymptote verticale àC au voisinage de zéro.

2. a. On sait que lim

x→+∞

lnx

x =0 et que lim

x→+∞

1

2x= +∞, d’où par somme de li- mites :

x→+∞lim f(x)= +∞.

b. Soitdla fonction définie sur I par :d(x)=f(x)− µ1

2x−1

=lnx x . Comme lim

x→+∞d(x)= lim

x→+∞

lnx

x =0, ceci montre que la droite∆d’équa- tiony=1

2x−1 est asymptote à la courbeC au voisinage de+∞.

(4)

c. On ad(x)>0 ⇐⇒ lnx

x >0 ⇐⇒ lnx>0 ⇐⇒ x>1 : ceci signifie que la courbeC est au dessus de la droite (∆) sur l’intervalle ]1 ;+∞[.

De même on ad(x)<0 ⇐⇒ x<1 : ceci signifie que la courbeC est au dessus de la droite (∆) sur l’intervalle ]0 ; 1[.

3. a. La fonctionf somme de fonctions dérivables sur I est dérivable sur I et : f(x)=

1

x×x−1×lnx x2 +1

2=1−lnx x2 +1

2=2−2lnx+x2 2x2 =g(x)

2x2.

b. Comme 2x2>0 sur I, le signe de f(x) est donc celui deg(x) qui a été trouvé à la question A 3. Doncg(x)>0 sur I entraînef(x)>0 : la fonction f est donc croissante sur I.

D’où le tableau de variation :

x 0 1 +∞

f12

−∞

+∞

4. a. f(1)=0+1

2−1= −1 2; f(2)=ln 2

2 +1

2×2−1=ln 2

2 ≈0, 345.

b. Sur l’intervalle [1 ; 2], la fonctionf est strictement croissante de−1 2<0 à ln 2

2 >0 : il existe donc un unique réelα∈]1 ; 2[ tel quef(α)=0 c. La calculatrice donne :

f(1, 4)≈ −0, 06 etf(1, 5)≈0, 02, donc 1, 4<α<1, 5 ; f(1, 47)≈ −0, 003 etf(1, 48)≈0, 005, donc 1, 47<α<1, 48.

5. f(1)= −1

2etf(1)=2−2ln 1+12 2×12 =3

2.

M(x;y)∈T ⇐⇒ yf(1)=f(1)(x−1)⇐⇒ y+1 2=3

2(x−1)⇐⇒ y=3 2x−2.

6. Voir à la fin Partie C

1. hproduit de fonctions dérivables sur I est dérivable sur I et h(x)=1

2×2×lnx×1 x =lnx

x .

2. On vient de démontrer quehest une primitive delnx

x sur I donc en particu- lier sur l’intervalle [2 ; e] et

Ze 2

lnx

x dx=[h(x)]e2=h(e)−h(0)=1 2(ln e)2

µ1 2(ln 2)2

=1 2−1

2(ln 2)2=1 2

£1−(ln 2)2¤ . 3. On a vu que pourx>1, la courbeC est au dessus de son asymptote∆. On a

donc l’aireA qui est égale (en unités d’aire) à l’intégrale de la différence de f(x) et de1

2x−1.

A = Z

2

elnx x +1

2x−1− µ1

2x−1

= Ze

2

lnx

x , soit d’après la question précé- dente :

A=h(e)h(2)=1 2

£1−(ln 2)2¤

unités d’aire.

Or une unité d’aire vaut 4×4=16 cm2 DoncA=16×1

2

£1−(ln 2)2¤

=8£

1−(ln 2)2¤

≈4, 16 cm2.

(5)

Annexe : à rendre avec la copie

1 2 3

−1

−2

−3

1 2 3 4

−1

−2

−3

−4 A

B

C

T

O →−

u

v

A

B

C S

(6)

Figure du problème

0 1

−1

−2

−3

1 2

C D

x=e

x=2

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