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* à partir d une flamme existante

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Academic year: 2022

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א ב ד ג ה ו ז ח ט י

SOUCCOT Paris Cannes Strasbourg Marseille Lyon Nice Netanya Ashdod Jerusalem Londres New-York Miami 02/10 allumage à 19h09 18h53 18h47 18h59 19h00 18h52 18h02 18h03 17h43 18h17 18h17 18h48 03/10 allumage* après 20h11 19h51 19h50 19h58 20h00 19h50 18h59 18h59 18h57 19h22 19h14 19h39 Fin des premières fêtes 20h09 19h49 19h47 19h56 19h58 19h48 / / / 19h20 19h13 19h38

Un animal peut être sacrifié seulement à partir du huitième jour après sa naissance.

On doit célébrer les différentes fêtes du calendrier juif et y offrir les sacrifices de chacune en particulier. Il s’agit de la fête de Pessa’h, de Chavouot, de Roch Hachana, de Yom Kippour et de Souccot.

Hachem dit au prophète Zacharie : « viendra un jour où Je réunirai toutes les nations pour les juger et les punir. Je sévirai contre tous ceux qui ont touché à Jérusalem. Toi, Mon peuple, tu récupèreras toutes les richesses des nations et tu vivras dorénavant en paix. Les survivants parmi les nations viendront faire allégeance à Hachem à Jérusalem. Ce jour-là, le nom d’Hachem sera reconnu par tous et Il règnera sur toute la terre ».

Tout le peuple se réunit à Jérusalem pour inaugurer le Temple bâti par Salomon au mois de Tichrei. Les Cohanime et Léviime apportèrent les différents ustensiles et mobiliers du Temple à l’intérieur du Temple que Salomon avait bâti. Les Cohanime portèrent l’Arche sainte dans laquelle se trouvaient les Tables de la loi. Pendant ce temps, le roi et le peuple firent des sacrifices sans compter en l’honneur de l’inauguration. Dès que tout fut placé dans le Temple, le nuage divin l’emplit. Alors le roi Salomon se tourna vers le peuple et bénit Hachem en ces termes : « béni soit Hachem Qui a promis à mon père le roi David, que ce serait moi, son fils, qui lui bâtirait un Temple. Béni soit Hachem Qui a tenu parole. »

Nos Sages enseignent : « lorsque les juifs montaient au Temple lors des « Chaloch Régalime », qui sont les fêtes de Pessa’h, Souccot et Chavouot, ils puisaient pour toute l’année de la lumière divine, la « Ché’hina ».

C’était aussi une occasion pour remercier Hachem dans Son Temple et ainsi, ils prenaient des forces pour accomplir Sa volonté lorsqu’ils revenaient chez eux. »

Du vendredi soir 2 OCTOBRE au dimanche soir 4 OCTOBRE

2020

* à partir d’une flamme existante

POUR TOUTE INFORMATION OU INSCRIPTION : ET 06 52 11 79 68parachakids@gmail.comDirection de la publication : Mme S. Kalmenson

Projet dédié à la mémoire du Rav Messod André Touboul A’’h – המלש 'ר ןבה''ע דועסמ 'ר ח''הרה תמשנ יוליעל

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En 1970, je me suis installé à Crown Heights, le quartier de Brooklyn (New York) où habitait le Rabbi ainsi qu’une importante communauté Loubavitch.

Avant Souccot, Reb Elye Gross me demanda si j’avais déjà acheté un Etrog. C’était la première année que j’achetais un Etrog de Calabre (Italie), comme le veut la tradition Loubavitch. Quand je répondis que, non, je n’y avais pas encore pensé, Reb Elye me suggéra de l’acheter chez un certain individu car celui-ci avait besoin de clients pour nourrir sa famille.

J’acceptai le conseil et me rendis au domicile de cette personne pour choisir un Etrog. En effet, il est connu que, quand on achète un Etrog, on recherche à la loupe les moindres défauts, on s’attarde sur chaque détail : la couleur, la forme, la taille du fruit afin d’accomplir la Mitsva de la meilleure façon possible. Chaque petite tache peut invalider l’Etrog, le rendre moins compétitif…

Bref, je regardai les Etroguim que cet homme proposait à la vente mais aucun ne me plaisait : celui- ci était trop vert, celui-ci trop petit, un autre encore avait une forme bizarre… Non, vraiment ! J’étais déçu et, de plus, ennuyé car j’étais le seul client présent et je n’aimais pas sortir ainsi sans rien acheter. À ce moment, Reb Elye entra et je me sentis soulagé : je pourrais ainsi m’éclipser en même temps que lui sans causer trop de peine au vendeur.

Reb Elye prit le premier Etrog qu’il trouva, demanda combien il coûtait, le paya puis sortit : j’en profitai pour sortir discrètement avec lui en bredouillant au-revoir.

Une fois dehors, je demandai à Reb Elye :

- Vous avez trouvé facilement un bel Etrog ? Moi, j’ai regardé attentivement tout le stock et aucun ne me semblait intéressant !

- Pour moi, répondit Reb Elye, le plus bel Etrog est celui qui permet à un Juif de gagner un peu d’argent pour les fêtes de façon respectable…

De fait, m’expliqua Reb Elye, je n’ai même pas choisi le plus beau spécimen car, dans ce cas, les clients suivants n’auraient vraiment rien trouvé d’intéressant et tous les efforts de ce Juif auraient été vains.

J’ai vraiment été très impressionné par ce raisonnement, par cette attention, par ce tact et cette délicatesse envers un Juif qui avait des problèmes de Parnassa (gagne-pain).

Pendant la fête de Souccot, je rencontrai Reb Elye dans la Choul (synagogue) et, par curiosité, je regardai de quel Etrog il se servait pour la Mitsva des Quatre Espèces : certainement, pensai-je, il avait dû s’acheter un autre Etrog bien plus beau car c’est un homme qui a les moyens de s’offrir ce qui se fait de mieux. Il n’avait sans doute acheté ce premier Etrog que pour permettre à un Juif de gagner dignement sa Parnassa. Mais je fus très étonné de constater qu’en fait, il utilisait l’Etrog de ce marchand qu’il m’avait conseillé !

J’ai été sidéré ! C’était si émouvant, un geste d’une si grande noblesse de cœur que je décidai d’écrire au Rabbi pour lui raconter cette histoire de pure Ahavat Israël, d’amour du prochain sans aucune contrepartie !

Un Étrog et une lettre - 1

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Le cœur battant, je me rendis au 770 et racontai toute l’histoire à un des secrétaires du Rabbi en lui demandant s’il n’était pas présomptueux de ma part de n’écrire au Rabbi que pour lui raconter cela.

À l’évidence, le secrétaire n’était pas content de ma question : « Tous les jours, le Rabbi reçoit des piles de lettres de gens qui lui confient leurs soucis et leurs problèmes. Or là, tu as une belle histoire de pure Ahavat Israël qui causerait tant de plaisir au Rabbi et tu hésites ? ».

Je compris le message.

Je me rendis chez quelqu’un que je connaissais et qui avait une très belle façon d’écrire à la main, un véritable don pour la calligraphie. De plus, il était un peu poète et sut très bien réécrire mon histoire avec des expressions bibliques et talmudiques absolument touchantes. Il utilisa d’ailleurs un papier à lettres de qualité spéciale et ne se priva pas de dessiner des enluminures dignes d’un document royal. Quand il eut fini, j’apportai la lettre et la tendis au secrétaire pour qu’il la dépose dans le bureau du Rabbi.

Le lendemain, je reçus un coup de téléphone du secrétaire :

- Je n’ai pas encore de réponse pour toi, précisa-t-il d’emblée, mais je veux te décrire ce qui est arrivé : j’avais posé ta lettre au-dessus d’une pile de lettres car je voulais que ce soit la première que le Rabbi lirait. Effectivement, le Rabbi l’a prise en premier : je suis resté à la porte pour observer sa réaction.

Le Rabbi a commencé à la lire et j’ai remarqué qu’il ne la lisait pas rapidement comme il avait l’habitude de le faire avec son courrier habituel. Il semblait se concentrer sur chaque phrase, lisait chaque mot avec une satisfaction évidente, mot à mot, ligne par ligne et, au fur et à mesure, son sourire devenait de plus en plus grand !

Oui, ta lettre a causé beaucoup de satisfaction au Rabbi !

Rav Yehouda Clapman – L’Chaïm 1593 Traduit par Feiga Lubecki

Un Étrog et une lettre - 2

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SOUCCOT - LE 15 ET 16 TICHREI

• Le mot « Souccot » fait référence à un toit qui nous fait de l’ombre.

• Lorsque les juifs sont sortis d’Egypte, Hachem les a protégés en les entourant des

« Anané kavod », colonnes de nuées qui les guidaient et les mettaient à l’ombre de

tout danger.

• Pour revivre ce miracle chaque année et remercier Hachem, on résidera dans des maisons où le toit ne sera pas fixe et solide comme un toit habituel, mais il sera provisoire (à l’image des juifs habitant dans des tentes dans le désert).

QUE FAIT-ON DANS LA SOUCCAH ?

• Pendant les sept jours de Souccot, on doit résider dans la Souccah c’est-à-dire avoir ses activités principales dans la Souccah.

• Nous devons consommer nos repas sous la Souccah. Si possible, même pour boire de l’eau ou manger un fruit ou un légume, on le fera sous la Souccah.

• Avant de manger un repas (pain ou gâteau), il faut faire la bénédiction « Barou’h Ata Ado-naï Elo-hénou Mele’h haolame achère kidéchanou bémitsvotav vétsivanou léchev bassouccah ».

COMMENT CONSTRUIRE LA SOUCA ?

• La Souccah doit avoir au-moins trois murs capables de résister à un vent habituel.

• Son toit doit être composé de matière végétale naturelle ettachée du sol.

• Il ne doit pas y avoir d’espace non recouvert sur le toit.

• Rien ne doit séparer le toit de la Souccah et le ciel, ni la personne sous la Souccah et son toit.

Souccot

LES QUATRE ESPÈCES

• Hachem nous bénit pendant le mois de Tichrei concernant tous nos besoins. Il bénira aussi nos récoltes de l’année à venir.

• Pour cela nous allons prendre quatre espèces végétales et réciter des prières.

• Voici les quatre espèces : 1. Étrog

2. Loulav 3. Hadassime 4. Aravote.

• Avant Yom Tov, on fait un bouquet avec la branche de palmier, les feuilles de myrte et de saule.

Étrog Hadassime Aravote

Loulav

une branche de palmier

trois feuilles de myrte minimum deux feuilles de saule

Un cédrat

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COMMENT ACCOMPLIT-ON LA MITSVA DU LOULAV ?

• Duranttous les jours de Souccot, sauf Chabbat, on fera la bénédiction sur les quatre espèces de la manière suivante :

On prend le Loulav dans la main droite en le tenant bien droit devant nous, on fait la bénédiction

« Barou’h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè’h haolame achère kidéchanou bémitsvotav vétsivanou al Nétilate Loulav ».

• La première fois où l’on fait la Mitsva du Loulav, on fera également la bénédiction « Barou’h Ata Ado-naï é-lohénou mélè’h haolame chéhé’héyanou vékiyémanou véhiguianou lizmanne hazé » en prenant le Etrog dans la main gauche.

• On secoue ensuite le tout trois fois dans les directions suivantes : d’avant en arrière : à droite, à gauche, en face, en haut, en bas, derrière.

• Un gaucher tiendra le Loulav avec la main gauche et le cédrat avec la main droite.

1er JOUR DE YOM TOV

• Le plus tôt possible, on essaiera si possible de se rendre dans une Souccah pour y accomplir la Mitsva du Loulav (sinon la Mitsva du Loulav peuttre accomplie partout).

Attention ! Cette année, le premier jour tombe un Chabbat. On ne fera donc pas la Mitsva du Loulav ce jour-là mais seulement le lendemain.

• On se rend à la synagogue pour la prière du matin et le « Halel », louanges à Hachem pour Le remercier de Ses miracles, suivis de la lecture de la Torah, puis de la prière du Moussaf.

• On se rend ensuite dans la Souccah pour prendre le repas de fête, en commençant par le Kidouch sur une coupe de vin, on se rince les mains puis on récite la bénédiction « Al Nétilate Yadaïm », suivie de la bénédiction du Motsi sur deux « ‘Hallote », pains de fête. On trempe un morceau de ce pain dans le miel avant de le consommer, puis on consomme le repas de fête suivi de la bénédiction du Birkate Hamazone.

• On se rend l’après-midi à la synagogue pour la prière de l’après-midi, « Min’ha ».

VEILLE DE YOM TOV

• En l’honneur de la fête, on prépare la maison, on cuisine des succulents repas de fête, on se faittout propre et on se vêtit de ses plus beaux habits.

• On ne travaille pas Yom Tov.

• Les filles dès l’âge de trois ans allument une bougie et les mamans minimum deux.

1er SOIR DE YOM TOV

• On se rend à la synagogue pour la prière du soir, « Maariv ».

• On se rend ensuite dans la Souccah pour y consommer le repas de fête.

• C’est une obligation de prendre un repas sous la Souccah le premier soir de Souccot même si l’on n’a pas très faim.

• On récite le « Kidouch », bénédiction de fête sur une coupe de vin, on se rince ensuite les mains puis on récite la bénédiction « Al Nétilate Yadaïm », suivie de la bénédiction de « Motsi » sur deux « ‘Hallote », pains de fête.

On trempe un morceau dans le miel avant de le manger.

• On consomme ensuite le repas, suivi de la bénédiction d’après-manger, le

« Birkate Hamazone ».

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2ÈME SOIR DE YOM TOV

• Après la tombée de la nuit, les filles dès l’âge de trois ans allumeront une bougie à partir d’une flamme existante et les mamans minimum deux.

• On se rend à la synagogue pour la prière du soir, « Maariv ».

• On se rend ensuite dans la Souccah pour y consommer le repas de fête.

• On récite le « Kidouch », bénédiction de fête sur une coupe de vin, on se rince ensuite les mains et on récite la bénédiction « Al Nétilate Yadaïm », suivie de la bénédiction de « Motsi » sur deux « ‘Hallote », pains de fête. On trempe un morceau dans le miel avant de le manger.

• On consomme ensuite le repas suivi de la bénédiction du « Birkate Hamazone ».

• Cette année, le deuxième soir, nous quittons le Chabbat, nous réciterons donc une bénédiction spéciale dans le Kidouch.

SIM’HATE BETH HACHOÉVA

• Lors des sept jours de Souccot, on faisait une offrande d’eau que l’on versait sur l’autel.

• La nuit précédente, on allait puiser l’eau dans une source qui s’appelait le

« Chiloa’h » ettoute la nuit on dansait au Beth Hamikdach.

• Aujourd’hui aussi, on se réjouit durant les nuits de Souccot et on danse.

‘HOL HAMOED

• Les jours de ‘Hol hamoed ont également une sainteté.

• On utilise ces jours pour ajouter dans l’étude de la Torah et pour faire des Mitsvot.

• On a le droit d’allumer lumière et prendre la voiture.

• On écrit seulement si c’est nécessaire.

• Si des travaux sont urgents ou indispensables, on aura le droit de les faire durant ‘Hol hamoed.

• Chaque jour, on lit la Torah et on récite le Halel.

2ÈME JOUR DE YOM TOV

• Le plus tôt possible, on essaiera si possible de se rendre dans une Souccah (sinon la Mitsva du Loulav peuttre accomplie partout) pour y accomplir la Mitsva du Loulav.

• On se rend à la synagogue pour la prière du matin et « Halel », louanges à Hachem pour Le remercier de Ses miracles, suivis de la lecture de la Torah et de la prière du Moussaf.

• On se rend ensuite dans la Souccah pour prendre le repas de fête, en commençant par le Kidouch sur une coupe de vin, on se rince les mains puis on récite la bénédiction « Al Nétilate Yadaïm », suivie de celle de Motsi sur deux « ‘Hallote », pains de fête. On trempe un morceau de pain dans le miel avant de le consommer, puis on mange le repas de fête suivi du Birkate Hamazone.

• On se rend l’après-midi à la synagogue pour la prière de l’après-midi « Min’ha ».

SORTIE DE FÊTE

• On récite la prière du soir suivie de la bénédiction de fin de fête, « Havdala », sur une coupe de vin.

SIM’HATE YOM TOV

• Chaque Yom Tov, on doit se réjouir. À Souccot, nous devons nous réjouir encore plus que les autres fêtes.

• C’est une Mitsva de boire 8,6 cl de vin ou jus de raisin chaque jour de fête, « Yom Tov et ‘Hol Hamoed ».

• Notre joie ne peut réelle que si l’on pense à notre prochain. C’est pour cela que l’on n’oubliera pas de distribuer aux nécessiteux ce dont ils ont besoin pour la fête.

Havdala

Pour les nécessiteux

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Dans les quatre espèces, je prends…

Un citron Un cédrat Un pamplemousse

Le toit de la Souccah est fait…

De briques De métal

De matière végétale

Quelle était l’offrande spéciale offerte seulement à Souccot?

De l’eau Du vin De l’huile

Le premier soir de Souccot, je mange un repas sous la Souccah…

Si j’ai un peu faim Si j’ai très faim

Même si je n’ai pas faim Combien de murs la Souccah doit-

elle avoir au minimum?

Deux Trois Quatre

La fête de Souccot commence le…

13 Tichrei 14 Tichrei 15 Tichrei

Aide Moshé à rejoindre le Étrog, Loulav, les Hadassime et les Aravote pour pouvoir accomplir la

Mitsva des 4 espèces !

Quelle est la réelle joie de Souccot?

Lorsque je me réjouis tout seul Lorsque je me réjouis avec mes amis

Lorsque je réjouis ceux qui sont dans le besoin aussi

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ח''הרה תמשנ יוליעל

ןאמלעדייא בוד 'ירא 'ר ןב ה''ע םולש 'ר הנש םישישמ הלעמל וקורמב תודהיו הרות ץיברהש

À la mémoire du

Rav Chalom ben Reb Arié Dov Eidelman Zal, Qui diffusa la Torah et le judaïsme au Maroc

durant plus de soixante ans.

ה''ומ םסרופמה בידנה תוכזל שייא 'יחיש הרש ותייערו בוד השמ

Pour le mérite de

Reb Moché Dov et son épouse Sarah Ayache Chéï’hyou

Dont l’amour et l’investissement pour la diffusion de la Torah et du judaïsme sont connus de tous et

n’ont aucune limite.

Puisse Hachem leur accorder toutes les bénédictions matérielles et spirituelles ainsi qu’à leur famille.

רופסל ילב השודק ינינע לכב עיקשמה בידנה תוכזל ןמסורג 'יחיש עגייפ ותייערו השמ 'ר

This project was generously funded in part by Mr Moshe and his wife Mrs Faige

Grossman London, England

Ce projet est dédié à la mémoire du

Rav Messod André Touboul A’’h

Qui œuvra sans relâche au service de l’éduction juive et de la communauté durant des dizaines d’années

המלש 'ר ןב ה''ע דועסמ 'ר ח''הרה תמשנ יוליעל

ל ח''הרה תמשנ יוליע

ל''ז יטילב השמ 'ר ןב ה''ע ריאמ 'ר ותשא תמשנ יוליעלו

ל''ז יטילב לאפר ר''ב ןילק'ג הכז תרמ שידקהש ו ייח לכ םה ללכה תבוטל

À la mémoire de

Meyer ben Moshe Bellity Zal et de son épouse

Zaka Jacqueline bat Raphael Bellity A’’h Qui ont consacré toute leur vie pour le judaïsme

בידנה תוכזל

'יחיש לזמ ותייערו ןתנוהי 'ר ר''וגב םתחפשמ לכו םה וכרבתיש Pour le mérite du Beth ‘Habad de Bonneuil

et de la communauté ainsi que les enfants du Gan Israël Bonneuil Chéï’hyou

Le support numérique de cet hebdomadaire est gratuit pour tous.

Pour le recevoir, veuillez-vous inscrire aux coordonnées suivantes :

Courriel : parachakids@gmail.com

 Tel et WhatsApp : 06.52.11.79.68

Toutes les organisations s’occupant d’enfants scolarisés dans le public ainsi que les écoles juives pourront disposer de cet hebdomadaire en support papier gratuitement.

Pour pouvoir en profiter, veuillez-vous inscrire au plus vite aux coordonnées citées ci-dessus.

Puisse l’étude de la Torah des enfants nous amener très prochainement à la délivrance, Amen.

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