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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Fonctions d’it´erations vectorielles, it´erations rationnelles.

J´erˆome Laurens et Herv´e Le Ferrand Universit´e de Bourgogne

SEA95

Vector iterations, rational iterations Abstract

We deal with polynomial systems of equations. The use of extrapolation methods for solving these systems, leads to vector rational iterations.Some results on rational iteration are proved.

We take an interest in the image of a regular curve by the Henrici’s method. Our purpose is to obtain domains of the plane where the iterations are well defined. By using Maple, some examples based on the Henrici’s transform are given.

(2)

Introduction

Dans le cas scalaire , la m´ethode de Steffensen appliqu´ee `a la r´esolution de 𝑓(𝑥) = 𝑥 :

𝐿(𝑥) =

𝑥 − 𝑓(𝑓(𝑥))−2𝑓(𝑓(𝑥)−𝑥)(𝑥)+𝑥2 , 𝑓(𝑓(𝑥)) − 2𝑓(𝑥) + 𝑥 ∕= 0 𝑥 , 𝑓(𝑓(𝑥)) − 2𝑓(𝑥) + 𝑥 = 0

𝑥𝑘+1 = 𝐿(𝑥𝑘) 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑥0.

si 𝑓(𝑠) ∕= 1 convergence quadratique , sur la dynamique de telles it´erations voir Iserles.

Soit `a r´esoudre le syst`eme

(★) 𝑓(𝑥) = 𝑥 avec 𝑓 : Ω ⊂ IR𝑛 → IR𝑛, Ω ouvert de IR𝑛.

∙ on a isol´e un point fixe 𝑥 de 𝑓.

∙ hypoth`ese classique que 𝑓 est diff´erentiable en 𝑥 avec la matrice 𝑓(𝑥)−𝐼 inversible (𝐼 est la matrice identit´e 𝑛×𝑛).

La m´ethode de Newton : on prend la fonction d’it´eration suivante 𝐹(𝑥) = 𝑥 − (𝑓(𝑥) − 𝐼)−1(𝑓(𝑥) − 𝑥)

et on calcule les termes de la suite

𝑥𝑘+1 = 𝐹(𝑥𝑘) 𝑥0 fix´e.

Si 𝑓 est de classe 𝐶1 sur un voisinage de 𝑥, F est diff´erentiable en 𝑥 et 𝐹(𝑥) = 0. La suite 𝑥𝑘+1 = 𝐹(𝑥𝑘), avec 𝑥0 suffisamment proche de 𝑥, va converger vers 𝑥. On a une convergence super- lin´eaire.

(3)

On peut construire aussi des fonctions d’it´erations `a partir de m´ethodes d’extrapolation vectorielle.

∙ la m´ethode d’Henrici (1964),

∙ l’epsilon algorithme vectoriel de Wynn (1962)

∙ l’epsilon algorithme topologique de Brezinski (1975)

∙ M.P.E (“Minimal Extrapolation Algorithm”) Cabay, Jack- son(1976)

Nature de la fonction d’it´eration 𝐺 et convergence :

a) elle n´ecessite le calcul d’un certain nombre d’it´er´ees de 𝑓, mais pas le calcul d’une matrice jacobienne.

b) si 𝑓 est lipschitzienne, convergence quadratique , mais avec une hypoth`ese tr`es forte, dite hypoth`ese d’uniforme inversibilit´e (Ortega-Rheinboldt 1970)(r´esultat de conver- gence : Ortega-Rheinboldt 1970, Noda 1984, Jbilou-Sadok 1990, Nievergelt 1991, HL 1993)

c) en g´en´eral, la fonction 𝐺 n’est pas prolongeable par continuit´e en 𝑥 en une fonction encore not´ee 𝐺satisfaisant `a𝐺(𝑥) = 𝑥. La mˆeme remarque vaut pour la diff´erentiabilit´e.

Projet : trouver des r´egions du plan stables pour la fonction d’it´erations.

Si 𝑓 est polynomiale i.e

𝑓 = (𝑃1, . . . , 𝑃𝑛) 𝑜𝑢 𝑃` 𝑖 ∈ IR[𝑥1, . . . , 𝑥𝑛],

la fonction d’it´eration vectorielle est une fraction rationnelle vectorielle `a plusieurs variables

(4)

On supposera dans toute la suite que 𝑥 = 0.

It´erations rationnelles dans IR𝑛 Notations

𝐻(𝑥) =

𝑁1

𝐷 (𝑥), . . . , 𝑁𝑛 𝐷 (𝑥)

𝑁𝑖 ∈ IR[𝑥] (𝑥 = (𝑥1, . . . , 𝑥𝑛)) et 𝐷 ∈ IR[𝑥].

Si 𝑃 ∈ IR[𝑥] est de degr´e total 𝑑, on ´ecrira : 𝑃 =

∣𝛼∣≤𝑑

𝑐𝛼𝑥𝛼 avec les conventions ;

𝑠𝑖 𝛼 = (𝛼1, . . . , 𝛼𝑛), ∣𝛼∣ = 𝛼1 + ⋅ ⋅ ⋅ +𝛼𝑛 𝑒𝑡 𝑥𝛼 = 𝑥𝛼11 ⋅ ⋅ ⋅𝑥𝛼𝑛𝑛. On supposera que 𝑁𝑖(0) = 𝐷(0) = 0 et que pour tout 𝑖, 𝑁𝑖 et 𝐷 sont premiers entre-eux.

𝑁𝑖 = 𝑑𝑖 𝑒𝑡 𝑑 = sup

𝑖

𝑑𝑖 𝑁𝑖 =

∣𝛽∣≤𝑑

𝑐(𝑖)𝛽 𝑥𝛽 𝑒𝑡 𝐷 =

∣𝛾∣≤𝑑

𝑑𝛾𝑥𝛾 𝑝𝑖 = inf

𝛽 (∣𝛽∣, 𝑐(𝑖)𝛽 ∕= 0) (∈ IN) 𝑒𝑡 𝑞 = inf

𝛽 (∣𝛽∣, 𝑑𝛽 ∕= 0) (∈ IN) (on a ainsi :

𝑁𝑖 =

∣𝛽∣=𝑝𝑖

𝑐(𝑖)𝛽 𝑥𝛽 +

𝑝𝑖<∣𝛽∣≤𝑑

𝑐(𝑖)𝛽 𝑥𝛽 𝑒𝑡 𝐷 =

∣𝛾∣=𝑞

𝑑𝛾𝑥𝛾 +

𝑞<∣𝛾∣≤𝑑

𝑑𝛾𝑥𝛾) 𝑟 = ∥𝑥∥ = (𝑥21 +⋅ ⋅ ⋅ +𝑥2𝑛)12, 𝒮𝑛−1 = {𝑥 ∈ IR𝑛/∥𝑥∥ = 1}

𝑠𝑖 𝐴 ∈ IR𝑛, 𝑐𝑜𝑛𝑒(𝐴) =ˆ {𝑡𝑎 / 𝑡 ∈ IR+, 𝑎 ∈ 𝐴}.

(5)

Expression de 𝑁𝐷𝑖

Lemme 1 Il existe des polynˆomes 𝑆𝑖 et 𝑇𝑖, 𝑖 = 1 `a 𝑛, et deux polynˆomes 𝑆 et 𝑇 tels que :

a) 𝑆𝑖 est homog`ene de degr´e 𝑝𝑖 et 𝑆 est homog`ene de degr´e 𝑞

; b)

𝑁𝑖

𝐷(𝑥) = 𝑟𝑝𝑖−𝑞𝑆𝑖(𝑥𝑟) + 𝑟𝑇𝑖(𝑟, 𝑥𝑟) 𝑆(𝑥𝑟) + 𝑟𝑇(𝑟,𝑥𝑟) . 𝑆 ne s’annulle pas sur la sph`ere unit´e

Proposition 1 On suppose que 𝑆 ne s’annulle pas sur 𝒮𝑛−1 et que 𝛼 = inf𝑖(𝑝𝑖 − 𝑞) ≥ 2.

Alors on peut prolonger par continuit´e 𝐻 en 0 en posant 𝐻(0) = 0. 𝐻 est de plus diff´erentiable en 0 avec 𝐻(0) = 0.

On a de plus :

∥𝑥𝑘+1∥ = 𝑂(∥𝑥𝑘𝛼)

Remarque 1 Si 𝛼 = 1, on prolonge toujours 𝐻 par continuit´e en 0, en posant 𝐻(0) = 0. On perd cependant la diff´erentiabilit´e et il faut regarder

min𝑖 inf

𝑟∈IR+ sup

𝑥∈𝒮𝑛−1

𝑆𝑖(𝑥) + 𝑟𝑇𝑖(𝑟, 𝑥) 𝑆(𝑥) + 𝑟𝑇(𝑟, 𝑥)

. Remarque 2 Dans IR2, la condition

∃𝑀 > 0 ∀𝑥 ∈ 𝒮𝑛−1 ∣𝑆(𝑥)∣ ≥ 𝑀

(6)

´

equivaut `a : le polynˆome `a une variable 𝑆((1, 𝑡)) a mˆeme degr´e que 𝑆 et n’a pas de racine r´eelle.

𝑆 s’annulle sur la sph`ere unit´e

𝑆 s’annulle sur 𝒮𝑛−1, consid´erons 𝒦 ⊂ 𝒮𝑛−1∖𝒩 une partie compacte et donnons une condition suffisante de convergence : Proposition 2 Si la propri´et´e suivante est vraie

𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑥 ∈ IR𝑛, 𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑒(𝒦)ˆ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒 𝐻(𝑥)

∥𝐻(𝑥)∥ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝒦 et si de plus 𝛼 ≥ 2, il existe un voisinage 𝒲 de 0 tel que si 𝑥0 ∈ 𝒲 ∩𝑐𝑜𝑛𝑒(𝒦), la suiteˆ

𝑥𝑘+1 = 𝐻(𝑥𝑘) est d´efinie, converge vers 0 et

∥𝑥𝑘+1∥ = 𝑂(∥𝑥𝑘𝛼).

Remarque 3 La condition 𝐻(𝑥) ∈ 𝑐𝑜𝑛𝑒(𝒦)ˆ est ind´ependante du d´enominateur 𝐷 de la fonction 𝐻.

Remarque 4 Dans IR2, l’ensemble 𝒩 est fini.

(7)

Exemple 1 On consid`ere la fonction : 𝐻(𝑥) = ( 𝑥31

𝑥1 − 𝑥2, 𝑥32 𝑥1 −𝑥2).

On a ici, 𝑆(𝑥1, 𝑥2) = 𝑥1 − 𝑥2 et 𝛼 = 2. On peut prendre pour 𝒦, l’ensemble

𝒮𝑛−1 ∩ 𝒜

o`u 𝒜 est ´egal `a

{𝑥1 ≥ 0, 𝑥2 ≥ (1 + 𝜖)𝑥1} ∪ {𝑥1 ≤ 0, 𝑥2 ≥ (1 − 𝜖)𝑥1}

∪ {𝑥1 ≤ 0, 𝑥2 ≤ (1 + 𝜖)𝑥1}

∪ {𝑥1 ≥ 0, 𝑥2 ≤ (1 − 𝜖)𝑥1} (0 < 𝜖 < 1).

M´ethode d’Henrici pour un couple de polynˆomes Rappels

(a) on choisit un vecteur 𝑥0 ;

(b) `a l’´etape 𝑘 on pose 𝑢0 = 𝑥𝑘, on calcule 𝑢1, 𝑢2, 𝑢3, par 𝑢𝑖+1 = 𝑓(𝑢𝑖), 𝑖 = 0, 1, 2,

puis on pose 𝑥𝑘+1 :=

𝑢0−[𝑢1−𝑢0, 𝑢2−𝑢1][𝑢2−2𝑢1+𝑢0, 𝑢3−2𝑢2+𝑢1]−1(𝑢1−𝑢0) (c) test, retour en (b).

(8)

On a formellement :

G(x):=

𝑥−[𝑓(𝑥)−𝑥, 𝑓2(𝑥)−𝑓(𝑥)][𝑓2(𝑥)−2𝑓(𝑥)+𝑥, 𝑓3(𝑥)−2𝑓2(𝑥)+𝑓(𝑥)]−1(𝑓(𝑥)−𝑥).

(𝑓𝑖 la 𝑖𝑖`𝑒𝑚𝑒 it´er´ee de 𝑓)

On pose 𝑓 = (𝑃1, 𝑃2) et on suppose toujours que le point fixe est l’origine.

D´eveloppement limit´e de l’it´eration de Henrici

𝑥(𝑡) courbe r´eguli`ere param´etr´ee par 𝑡, 𝑥(0) = 0, nous cherchons son image par 𝐺. Nous posons :

𝑥(𝑡) = 𝑡.𝛾 + 𝑡2

2.𝛿, (𝛾, 𝛿 ∈ IR2) 𝑓(𝑥) = ∇.𝑥 + 1

2.𝑥𝑇.𝐷.𝑥, ∇ ∈ ℳ2(IR), 𝐷 ∈ (ℳ2(IR))2

∇ est la jacobienne de 𝑓 en 0, 𝐷 =

𝐷1 𝐷2

o`u 𝐷1 est la hessienne de 𝑓1 en 0, 𝐷2 la hessienne de 𝑓2 en 0,

𝐴 = ∇ − 𝐼, 𝐵 = [𝛾,∇.𝛾], 𝐴, 𝐵 ∈ ℳ2(IR).

Proposition 3 Le d´eveloppement limit´e de la courbe 𝑡 7→

𝐺(𝑥(𝑡)) en 𝑡 = 0 a pour partie principale 𝐺(𝑥) ≈ 𝑡2

2𝑑𝑒𝑣(𝐺, 𝛾) o`u 𝑑𝑒𝑣(𝐺, 𝛾) est le vecteur :

𝑑𝑒𝑣(𝐺, 𝛾) = 𝐴−1.(−𝛾𝑇.𝐷.𝛾 − ([𝛾𝑇.𝐷.𝛾,(∇.𝛾)𝑇.𝐷.∇.𝛾]

+[(∇.𝛾)𝑇.𝐷.∇.𝛾,(∇2.𝛾)𝑇.𝐷.∇2.𝛾])Ω),

Ω ´etant un vecteur qui ne d´epend que des coefficients de la matrice ∇.

(9)

Remarque 5 Notons que ce d´eveloppement confirme le car- act`ere quadratique de la m´ethode.

Remarque 6 Si 𝑓1 et 𝑓2 sont des polynˆomes, 𝐺 est ra- tionnelle, donc le coefficient de 𝑡2 est `a priori une fraction ra- tionnelle en les coordonn´ees du vecteur 𝛾. En fait on a mieux, ce coefficient est une fonction polynˆomiale vectorielle de degr´e 2 des coordonn´ees de 𝛾.

Remarque 7 Ce d´eveloppement reste valable mˆeme si 𝛾 est un vecteur propre de ∇.

Domaines de stabilit´e

On associe au vecteur 𝛾 = (cos(𝜃),sin(𝜃)) le vecteur 𝑑𝑒𝑣(𝐺, 𝛾).

Dans la pratique, une m´ethode possible est de consid´erer 𝑢 : 𝜃 7→ 𝑎𝑟𝑔𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡(𝑑𝑒𝑣(𝐺, 𝛾))

Exemples

Exemple 1 (Ortloff)

𝑓 = (1

3𝑥1 − 1

6𝑥2 + (𝑥1 − 𝑥2)2 12 ,−1

6𝑥1 + 1

3𝑥2 + (𝑥1 − 𝑥2)2 12 ).

Si 𝐺 = (𝐺1, 𝐺2), on obtient : 𝐺1 = 𝐺2 =

−−𝑥31 +𝑥21𝑥2 +𝑥1𝑥22 − 8𝑥31𝑥2 + 12𝑥21𝑥22 −8𝑥1𝑥32 + 2𝑥41 + 2𝑥42 − 𝑥32 157𝑥21 − 314𝑥1𝑥2 − 200𝑥1 + 157𝑥22 − 200𝑥2

En remarquant que si 𝑥1 ∕= 0, 𝐺(𝑥1, 𝑥1) = 0, on obtient donc 0 en it´erant deux fois 𝐺 !

(10)

Remarque 8 Si 𝑢 est une application lin´eaire inversible, la fonction d’it´eration de Henrici associ´ee `a la fonction 𝑢−1∘𝑓 ∘𝑢 est ´egale `a 𝑢−1 ∘ 𝐺∘ 𝑢. Donc en fait dans le cas de l’exemple ci-dessus, avec un bon choix de 𝑢, on est ramen´e au cas de la fonction

(𝑥1, 𝑥2) 7→ (𝑥1

6 + 𝑥1𝑥2 3√

2, 𝑥2 2 ).

Exemple 2

La partie lin´eaire de 𝑓 est une homoth´etie de rapport 𝑎 diff´erent de 1 et de −1 :

𝑓 = (𝑎𝑥 + 𝑥21

2 + 𝑥1𝑥2 + 𝑥2

3 , 𝑎𝑥2 +𝑥21 +𝑥1𝑥2 +𝑥22)

Le d´enominateur de 𝐺 prend la valeur 93312(𝑎 + 1)2(𝑎 − 1)4 au point (0,0). 𝐺 est donc d´efinie, continue, diff´erentiable en 0 et on peut voir que 𝛼 ≥ 3.

Exemple 3

𝑓 = (−2𝑥1 − 3𝑥21 + 3𝑥22,2𝑥2 + 2𝜆𝑥1𝑥2) L’ellipse correspondante est donn´ee par :

𝜃 7→ (4 cos(2𝜃),4𝜆sin(2𝜃)).

On a 𝑆(cos(𝜃),sin(𝜃)) = −12 cos(𝜃).La fonction 𝑢 admet 0 comme point fixe. La d´eriv´ee en 0 vaut 2𝜆. On peut donc affirmer que dans le cas o`u ∣𝜆∣ < 12, il existe un secteur stable autour de l’axe des abscisses pour l’it´eration. Si 𝜆 = 1, on a un cercle et dans ce cas il n’y a pas de r´egion stable.

(11)

Exemple 4

𝑓 = (−2𝑥1 − 3𝑥21 + 3𝑥22,2𝑥2 + 𝑥21 + 2𝑥1𝑥2 − 𝑥22).

On obtient une ellipse de nouveau centr´ee `a l’origine. On a 𝑆(cos(𝜃),sin(𝜃)) = −6 sin(𝜃). Il n’est pas possible de d´eterminer de r´egion stable.

Exemple 5

𝑓 = (−𝑥1 −3𝑥21 + 3𝑥22,2𝑥2 + 2𝑥1𝑥2)

L’origine se trouve `a l’ext´erieur de l’ellipse. On a 𝑢([−𝜋, 𝜋[=

[−𝜋 + 0.05,−𝜋 + 1] et 𝑆(cos(𝜃),sin(𝜃)) = −6 sin(2𝜃). On a un secteur angulaire stable pour l’it´eration.

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