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Machines élévatoires et appareils pneumatiques

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237792

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237792

Submitted on 1 Jan 1881

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Machines élévatoires et appareils pneumatiques

Félix de Romilly

To cite this version:

Félix de Romilly. Machines élévatoires et appareils pneumatiques. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10

(1), pp.303-312. �10.1051/jphystap:0188100100030301�. �jpa-00237792�

(2)

00

et, à la surface

extérieures, l’équation

conduit à

l’équauion

ou bien

les

équations (3)

et

(4)

déterminent

Q

et

Q’

en fonction de

P,

et de même pour les termes

comprenant

zx et xv dans le

poten-

tiel V.

On traiterait d’une manière

analogue

le cas le

potentiel

con-

tiendrait un terme de la forme Mxvz.

MACHINES ÉLÉVATOIRES ET APPAREILS PNEUMATIQUES;

PAR M. FÉLIX DE ROMILLY.

1. MACHINES ÉLÉVATOIRES. - On obtient

depuis longtemps

l’élé-

ation de 1 eau par des machines

rotatives ;

toutes consistent en un

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100030301

(3)

cylindre

immobile dans

lequel

circulent des aubes

mobiles ;

la

force

en1ployée

est la force

centrifuge.

La hauteur atteinte est

d’environ 30Bl. M. Gwvnne et

plus

tard L.-D. Girard ont pro-

posé

chacun une machine rotative formée de

cylindres analogues, multiples

associés. Celle de Girard élevait l’eau à 40 m :

c’est, je crois,

la

plus grande

hauteur attein te par des machines à force

centrifuge.

La machine que

je

propose élève l’eau à une hauteur

beaucoup plus grande :

un

appareil

de laboratoire mu à la main montre l’é- lévation de l’eau à 150m. Cette machine est très

simple

de construc-

tion et constituée sur des

principes

différents. C’est la

partie

exté-

rieure

qui

tourne.

Elle se compose essentiellement de deux

pièces :

10 une tur-

bine, simple cylindre

à deux bases et sans

aubes;

2" un tube fixe.

Prenons un

type

pour

exemple.

La turbine

( fig. 1 )

est formée par un

cylindre A, droit,

creux, Fig. 1.

de

petite hauteur,

à bases

parallèles.

Une des

bases, B,

est reliée à

un axe

qui

la traverse normalement. L’autre

base, D,

laisse passer librement l’axe C par un

large

orifice circulaire

concentrique.

Le tube fixe se compose de deux

parties.

Il s’élève d’une

part, H;

jusqu’à

la hauteur l’eau doit être

portée,

et

pénètre

d’autre

(4)

part, E,

par 1 ouverture de la seconde

base,

d’abord

parallèlement

à

l’axe,

et se recourbe ensuite suivant un rayon

jusque

tout près

de la

paroi cBlindnquc

intérieure de la turbine.

Cette dernière

hartie, plongée

dans 1 eau

circulante, prend

la

forme d’un

poisson grossièrement

dessiné

(fig. 2),

d’oit son

Fia. 2.

nom,

qui présenterait

sa bouche ouverte P au courant affluent.

A

partir

de cet orifice

d’introduction,

le tube augmente de section suivant un cône de 5° à

6°,

tout en se recourbant pour

rejoindre

sa

partie cylindrique (fig. 3,

vue et

coupe).

Fig. 3.

L’apparcil

fonctionne ainsi : la turbine est mise en

rotation;

le

liquide,

par la force

centrifuge,

forme un anneau

appliqué

à la

paroi intérieure;

le tube

présente

normalement au courant sa sec-

tion d’orifice et

reçoit

ainsi l’eau

tangentiellement

au cercle

qu’elle décrit;

le

liquide

monte par ce tube

jusqu’à

une hauteur

correspondant

à sa vitesse et croissant comme le caiià de celle-ci.

Tel est

l’appareil

pour la montée de

l’mm,

dans sa forme géné-

rale. Il peut éte,,cr l’eau â toute hauteur: sa vitesse n’a de limite que dans la résistance à la force

centrifuge

de la matière dont il

est forme. Nous supposons que leau arrive d une source par le tube S dans la turbine

qui

l’élève. Mais deux cas peuvent encore

se

présenter

: io la turbine CWt

placee

à la hauteur même ou l’on

N’etit élever l’ eau: elle est placée à une hauteur intérmédiaire.

(5)

Premier cas.

-La turbine est placée

au niveau

supérieur( fig. 4).

Ce cas donne lieu à un

procédé

nouveau : au lieu d’élever

l’eau,

on

la

précipite

de toute sa vitesse vers le niveau inférieur par le tube H décrit

précédemment.

L’eau

acquiert

la vitesse donnée par la

turbine, plus

celle de sa chute. Le bout inférieur de ce tube de descente se termine par un cône

L,

par l’eau sort

en jet.

Vis-à-vis de cet orifice se trouve un autre orifice

G,

de section Fig. I

plus grande

d’un

tiers,

de

moitié,

du

double,

etc. Cet orifice

plus grand,

en forme de cône de

environs,

sert d’entrée au tube

d’ascension E. Le tube

lanceur,

dans sa

partie inférieure,

est com-

pris

dans un tube F

enveloppant, concentrique,

donnant accès à

l’eau tout autour de

lui;

ce tube

enveloppant vient,

en conver-

geant,

aboutir à l’orifice d’élévation. Cet

appareil d’entraînement,

relativement

petit,

est

plongé

dans la nappe d’eau B inférieure.

Dans ce

système,

on ne

peut

conserver la force vive du

jet

lancé

( 1 );

mais la

quantité

de mouvement est conservée si l’on

(1) On m’a accusé d’avoir commis cette erreur pour l’air, bien que je ne me sois jamais servi que du terme très classique de qzcazttité de mouvement (Journal de Phy-

(6)

307

met entre les dieux urinccs une distance d environ quatre fois le diamètre de l’orifice

récepteur. C’est, après expérience,

la même

distance que pour l’entraînement de l’air. Mais

ici,

à

l’opposé

de

ce

qui

a lieu avec

1"air,

le tube

enveloppant

donne un résultat que

ne dunnent pas les orinces

placés vis-à-vis

librement.

Une fois l’eau

montée,

une

partie

est déversée en

dehors, K;

l’autre, )1,

rentre dans la turbine pour servir à un nouvel entrai- nement.

Remarque.

- Il ne faut pas calculer la

quantité

d’eau

entraînée, d’après

la vitesse du

jet s’élancaiit

librcment dans l’air. En

eiet,

l’eau inférieure au repos n’est au repos que relativement au spec-

tateur. Dans la

réalité,

les deux eaux doivent être considérées

comme

ayant

un mouvement relatif inverse l’une de l’autre. On

aura donc en eau montée moins que ne donne le calcul fait sur le

jet

libre. Le déficit est comblé par une moindre

dépense

d’eau

lancée par la

turbine;

cette vérité est mise hors de doute par des

expériences

l’on

emploie,

au lieu d’une

turbine,

un réservoir

supérieur fixe dont

la

dépense

est notée.

Ce nouveau

système

d’élévation d’eau n’est pas

spécial;

il

peut

être

employé

avec une pompe

quelconque.

Il trouvera surtout son

application

dans les

mines,

il

importe

d’avoir la machine hors des

profondeurs.

Second cas. - Dans le cas où la turbine est

placée

dans une

posi-

tion

intermédiaire,

on

emploie

simultanément les deux moyens. La turbine

reçoit

toute l’eau

montée,

la refoule dans le tube

déjà

dé-

crit, qui se bifurque

pour en lancer une

partie

en

bas,

tandis que l’autre monte au niveau voulu. Dans le cas où la turbine est

placée plus près

du niveau inférieur que du niveau

supérieur,

pour ne

pas

perdre trop

de force vive on

peut

avoir recours à deux tur- bines de

grandeur

différente montées sur le même axe.

Graissage. -

Il est

important

d’avoir un

graissage

d’autant

plus

assuré et

plus

actif que la turbine tourne

plus rapidement.

C’est

ce

qu’on

obtient en

plaçant

sur l’axc deux

petites

turbines

(jig.

1,

sique, t. IV, p. 267 et 334). Je relève cette accusatiun parce qu elle a été reproduite

par les journaux étrangers ( F’ortschritte der Physik ).

(7)

R,R’ ),

renfermant chacune une des

pointes

de l’axe et la vis creuse

fiie

qui

sert de

crapaudine.

Elles fonctionnent comme la

grande

turbine.

L’huile est amenée de la

petite

turbine dans la vis creuse par un

petit tube,

de là à l’extrémité de

l’axe, qui,

par sa rotation, la lance dans la

petite turbine,

d’olt elle retourne à la vis creuse par

une circulation incessante. Le

petit

tube

comprend,

dans son

passage, ltne

petite

lanterne LL’ en verre,

qui

sert à surveiller la circulation de l’huile.

L’lmile y est introduite avant la mise en

marche;

on la l’erme

ensuite

hermétiquement.

Inutile

d ajouter

que ces

petites

turbines

sont tournées en sens inverse l’une de

l’autre, quel

que soit le

plan

dans

lequel

circule la

grande

turbine.

Il. APPAREILS PNEUMATIQUES. - On

peut

annexer à la turbine décrite un

appareil d’ashiration.

En voici

deux,

conçus

diaprés

des

idées nouvelles :

1° Le

principe

du

premier appareil

est celui-ci : si l’on fait tomber

un jet liquides

sur une surface en repos du même

liquide,

l’air est entraîne dans sa

profondeur,

en bulles

nombreuses;

ces

bulles remontent vers la

surface; mais,

si le niveau

liquide

POUB ait être

placé

au-dessus du

jet,

une fois

produites,

les bulles venant du bas ne

pourraient plus

retourner vers leur niveau

d’origine.

C’est

là le

principe;

voici comment il est réalisé

(fig. 5).

Fig. 5.

Comme pour l’entraînement de

l’eau,

un

jet liquide s’échappe

de l’orifice extérieur A du tube de la turbine. Ce

jet

est lancé de

bas en

haut. Au-dessus,

à

quelque distance, concentriquement

et

normalement à

ce jet,

se trouve un orifice

plus large B,

dans

lequel le jet s’engage.

Cet orifice est

l’origine

d’un cône

diB-ergcanL

peu à peu. Le cune se

remplit

d’abord par le

liquide

lance et

terme an-dessus du

jet

une surface

liquicle

que la force du

jet

(8)

309

empêche

de tomber. Le

jet,

en y

pénétrant,

y entraine J’air ou le gaz

qui

l’entoure en bulles nombreuses

qui

ne peuvent

plus

re-

descendre : c’est le vide par

barbotage.

Elles

s’échappent

par le

haut,

soit dans

l’atmosphère,

soit dans un

récipient

si l’on veut les

recueillir. Un tube

E,

venant s’ouvrir latéralement dans le cône su-

périeur

de

sortie,

ramène le

liquide

élevé à la

turbine, qui

le fera

jaillir

de nouveau. A cause de la

rapidité

du courant, le cône su-

périeur peut

encore se terminer par un tube recourbé

qui

ramènera

ensemble

liquide

et bulles dans la turbine où la

séparation s’opérera.

Le

jet

et les deux orifices sont contenus dans une

petite

chambre F

close, communiquant

par un tube T avec le

récipient

à vider.

Cet

appareil,

que

j’appelle

la

pnéole,

ne saurait être confondu

avec la

trompe,

dont il diffère par le

principe

même de son fonc-

tionnement. Dans la

trompe,

les deux orifices sont presque de même

diamètre;

l’eau

s’applique

sur la

paroi

du tube

récepteur,

formé d’un cône très

allongé,

et c’est son adhérence

qui

détermine

l’appel

d’air. Si l’on retournait le nouvel

appareil,

l’orifice

supé-

rieur ne

pourrait

absolument pas servir comme

trompe,

car le

jet

y

passerait librement,

le diamèlre étant

trop grand

pour que l’adhé-

rence avec la

paroi puisse

se

produire.

La

pnéole agit

par en- traînement et

barbotage

dans une masse

liquide.

On

peut,

du reste, en retournant la

trompe, produire

le même

effet,

mais on

conserve dans ce cas,

llllltllelllent,

la

petite

différence de diamètre des deux orifices. C’est alors le maintien d’une masse d’eau au-

dessus du

jet qui

constitue la différence

palpable

entre les deux

appareils.

Voici les

avantages

de la

pnéole :

1 °

L’appareil,

une fois en

marche,

n’est pas troublé

par la

mise

en communication subite avec l’air ambiant ou avec un

grand

ré-

cipient

à

vider,

ce

qui amène,

avec la

trompe ,

une

rupture

d’adhérence ou

désamorçag e .

Un autre

avantage,

et celui-là

capital,

c’est de

pouvoir

faire le

vide avec le mercure, ce

qui

avait été tenté en vain avec la

trompe.

Le vide par l’eau est limité par la tension de vapeur d’eau. Avec le mercure, le vide est celui-même du baromètre.

J’ajoute qu’il suffit,

pour que

l’appareil fonctionne,

d’une

quantité

très

petite

d’eau ou de mercure. Avec

l’eau,

on fait à la

main,

en huit mi-

nutes, le vide à

7oo--

de mercure dans un

récipient

de 51it.

(9)

On

peut

encore se servir de la

pnéole

comme soufflerie et pour

transvaser les gaz.

Le second

appareil

à faire le

vide,

la

spirelle,

est ainsi conçu :

La

spirelle

est entièrement

plongée

dans le

liquide,

eau ou mercure,

circulant dans la turbine

(ou

encore dans un courant

quelconque).

Elle consiste

simplement

en une fente

pratiquée

sur un tube

houché du côté où il

pénètre

dans la turbine. Cette fente doit

remplir

certaines conditions. Elle doit être

dirigée

dans le sens du

rayon ou

parallèle

à une

génératrice

du

cylindre.

Le bord de la

fente sur

lequel

le

liquide

passe d’abord doit être relativement

plus

élevé que

l’autre,

de

quelques

dixièmes de

millimètre,

de ma-

nière à former une

petite

cataracte.

Quant

au

plan

des deux

plages qui

limitent la

fente,

le

liquide

allant vers la fente doit trouver une

plage

droite ou

légèrement

montante, et,

après

la

fente,

une

plage

descendante. L’autre bout du tube est relié au

récipient

à vider.

La

spirelle peut prendre

des formes très variées. En voici deux

exemples :

Le tube

(fig. 6) prend

à son extrémité

l’aspect

d’une

Fig. G.

laine B à double

tranchant coupant

le courant. La fente C est rec-

tiligne

et

règne

dans la

partie immergée,

des deux

côtés,

au mi- lieu du

plat

de cette sorte

d’épée.

Une autre forme consiste en

ria, 7.

un

appareil pisciforme (fig.7),

semblable à celui

qui

sert à monter

l’eau ; seulement,

un cône A est fixé devant

l’orifice,

le recouvrant en

le

dépassant

un peu par sa

base,

formant ainsi une fente circu-

(10)

laire,

tandis que son sommet se

présente

au courant. On peut donner à cette

spirelle

la forme d’un

ellipsoïde

très

aplati

dans le

sens de la moindre résistance.

Fermeture de la turbine. - La

turbine,

dans sa marche

rapide,

laisserait

échapper quelques gouttes projetées, malgré

la

protec-

tion de la hase

annulaire ;

on N obvie : en

plaçant

une bande N

parallèle

au

cylindre

derrière le

poisson

terminant le tube

(fig.2, V);

en formant un rebord intérieur

( fig.. 8,) A auquel

on donne

Fia- S.

la coupe d’un lmitiélne de cercle dont toutes les

tangentes

sont di-

rigées Bcrs

la

paroi cylindrique

intérieure. Un couvercle

plan B,

immobile,

couvre toute la

partie

ouverte de la

base;

son bord

épais épouse

la forme du

rebord

dont il est

éloigné

par un intervalle très étroit. L’axe traverse ce couvercle sans y toucher. Un

Inénage

encore deux ouvertures pour les tubes de montée et de descente du

liquide.

Les

tubes,

ainsi que le

couB ercle,

sont fixés au bâti de la turbine. Ce couvercle est en dieux morceaux pour la faci- lité de sa pose. Avec la bande et ce

couvercle,

il ne se

perd

pas la

plus petite gouttelette

d’eau ou de mercure.

Conclusion. - Dans cette

description sommaire, j’ai

c:té

obligé

d’omettre bien des

détails ;

ce que

j’ai

dit suint toutefois a donner

une idée des divers

appareils.

Je ferai remarquer, en

terminant,

que leur avantage réside en

grande par tie

dans la diminution des résis-

tances

passives auxquelles

les autres

engin,

pompes ou machines

rotatiycs,

sont soumis. Dans les uns le frottement (lit

piston,

dans

les autres le frottement de l’eau tourbillonnant contre des

paroi;?

(11)

immobiles, produisent

une résistance

qui

n’existe pas dans une machine où l’entraînement est

produit

par la

paroi

elle-même et la

résistance seulement par un

engin

très

petit, pisciforme,

à contours

fuyants.

Pour le

démontrer,

on donne à un

appareil

à main la vi-

tesse

qui correspond

à la

production

du vide. On cesse alors brus-

quement

de l’actionner : il fait encore un millier de tours. On

pourrait

dire

qu’il

en serait de même avec

n’importe quelle

machine

si le volant était suffisamment

grand. Mais,

dans

celle-ci,

la

partie

active de

1 appareil

est

précisément

sur le bord du

cylindre liquide qui

sert de volant. Pour établir la

comparaison,

il faut supposer le

piston

d’une pompe frottant contre son volant comme dans son

cylindre.

Dans ces

conditions,

l’arrêt serait presque instantané.

RECHERCHES SUR LA CHALEUR SPÉCIFIQUE DES MÉLANGES D’EAU ET DES TROIS ALCOOLS PRIMAIRES C2H4O2, C4H6O2 ET C6H8O2;

PAR M. LE Dr F. ZETTERMAN.

J’ai l’honnemr de

présenter

ici un résumé de

quelques

recherches

que j ai entreprises (’ )

pour déterminer la chaleur

spécifique

des

mélanges

d’eau et des trois alcools

primaires C2H4O2,C4H6O2

et CGH802.

I. Je me suis servi d’une méthode de

comparaison analogue

a celles de MM. Pfaundler et Jamin. Deux calorimètres

cylindri-

ques

égaux

en

argent mince,

de

om, i62

de hauteur et

am, 0256

de

diamètre au

fond, étaient,

dans toute leur

hauteur,

entourés de fils

de

cuivre,

recouverts de

soie,

de

omm,

2 de diamètre. La résistance des fils

était,

à la

température

moyenne des

expériences, respective-

ment de

3o,45

et de

30,95

siemens. Les calorimètres fermés par des bouchons

supportant

les thermomètres furent

placés

dans

des

tuyaux cylindriques

en

bois,

à fonds en soie et à

parois

inté-

rieures revêtues de duvet de cygne. Le tout fut introduit dans deux

(1) Studier ôfver specifzà-t J7a,.rne (A. kademik 4flialidlitig af Fridolf Zetterman. Hel-

singfors, 1880).

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