A NNALES DE LA FACULTÉ DES SCIENCES DE T OULOUSE
M OHAMED -K HEIR A HMAD
Sur le problème d’isomorphisme et la suite de dimension
Annales de la faculté des sciences de Toulouse 5
esérie, tome 8, n
o1 (1986-1987), p. 93-101
<http://www.numdam.org/item?id=AFST_1986-1987_5_8_1_93_0>
© Université Paul Sabatier, 1986-1987, tous droits réservés.
L’accès aux archives de la revue « Annales de la faculté des sciences de Toulouse » (http://picard.ups-tlse.fr/~annales/) implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions).
Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitu- tive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright.
Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques
http://www.numdam.org/
- 93 -
Sur le problème d’isomorphisme
et
la suite de dimension
MOHAMED-KHEIR AHMAD (1) (2)
Annales Faculté des Sciences de Toulouse Vol. VIII, nOl, 1986-1987
RÉSUMÉ. - Dans ces papiers nous démontrons les théorèmes suivants :
1) Si D6 =
{1}
alorsZ[G] ~ Z[H]
=~ G’ = H’ quels que soient les groupes de torsion G et H.Ce théorème est plus général que celui de J.RITTER et S.SEHGAL Arch.
Math. Vol. 40
(1983).
2) Si G et H sont de torsion alors Z[G] ~ Z(H) =~ ^~
Ds
pour i j 2(i + 1). .
Ce théorème est aussi plus général que celui de T.FURUKAWA Math. J.
Okayama Univ. Vol. 23
(1981).
Puis nous donnons une méthode simple pour démontrer de nombreux résultats connus sur le problème d’isomorphisme.
ABSTRACT.- We denote by
Z(G)
the integral group rings of a group G and by Di the i th dimension subgroup of G.J.RITTER and S.SEHGAL
[1]
showed that : : "if G is finite, if D6 = {1}and if G has a prime exponent p then Z (G) ^r Z (H) ~ H" .
In this paper, we prove that : if D6 = {1} then
Z[G] ~ Z (H)
~ G ^- Hfor all torsion groups G and H.
Also, T.FURUKAWA
[2]
showed that : : "if G is a torsion group thenZ[G] ~ Z(H)
=> ^-~Di
for all j with i j 2i(D~
is thei th dimension subgroup of H)" . .
Hère we prove that : if G and H are torsion groups then
Z(G) ^~
=~for all j with i j 2 (i + 1) . .
Introduction
Soit G un groupe de torsion
(en particulier
fini ou localementfini)
. Leieme sous-groupe de dimension de
Z[G]
est le groupeD=
= G~ [1-f-
,où est l’idéal
d’augmentation
deZ ~G~ .
(1) Université de Tichrine, Lattaquié - Syrie
{2~ J’adresse mes plus vifs remerciements à Monsieur le Professeur Jean-Pierre Soublin
qui m’a permis de venir cet été à l’Université de Provence pour réaliser cet article et avec
qui j’ai pu discuter de ce travail
Dans
[1]
J.RiTTER et S.SEHGAL ont démontré le théorème suivant :"Si G est
fini,
si{1}
et si G’ a unexposant premier
p alorsZ[G] ~ Z[H]
=~ G’ ^-~ H’" Nous démontrons ici que : siD6 - ~ 1 }
alorsZ[H]
==~ G’ ^_r H’quels
que soient les groupes de torsion G et H.D’autre
part,
dans[2,th.A]
T.FURUKAWA a démontré que : "Si G est ungroupe de torsion alors
Z[G] ~ Z[H]
=~Di %D?
pour ij
2ioù
D~
est le i eme sous-groupe de dimension deZ ~H~"
Nous démontrons ici que si G et H sont de torsion alorsZ[G] ~ Z[H]
=~Dâ
pourNotations. - Dans tout ce
qui
suit : G et H sont des groupes detorsion,
Sp
: Z ~G~ --~ Z[H]
est unisomorphisme
normalisé(voir [3]p.63-64).
- Si N est un sous-groupe normal de G
(notation
Na G) désignera
l’idéal bilatère de
Z[G] engendré par {1 -
et :Z[G]
-;Z[G/N]
sera
l’homorphisme qui prolonge
linéairementl’homomorphisme canonique
G -~
G/N,
enparticulier wG(G)
=w(G)
est l’idéald’augmentation
et6G
= 6 estl’homomorphisme d’augmentation.
- Si X est un groupe, X’ =
est
le sous-groupe dérivé de X. . Pour démontrer nosrésultats,
nous avons besoin des trois lemmes sui- vantsqui
sont bien connus : :LEMME 1. - Soit N a G. Si x E
Z[N]
est tel que x Ew (G)wG (N)i
alorsx E 1.
Démonstration. Soit un
système
dereprésentants
des classesde G modulo
~V,~ :
: G --~ Nl’application
définie par n.Prolongeons
a linéairement :
Z[G]
-~Z~N~.
On a alors : x =~e
x8~t-1 (1 - où
x8 E
w(G)
et n8t EN,
maispuisque
z EZ ~N~
on a :car xe E ~ E
c~(N) (par
définition deQ).
.LEMME 2.-
(II))
Soit N a G et g E G. Alors g E N’ t~ g = 1mod .
LEMME 3.- lemma
1.,~~
Soit cp :Z~G~ -~ Z~H~
unisomorphisme
normalisé et soit N a G. Alors il existe N* a H
unique
tel quep(wG(N))
=úJH(N*) où N*
={h
EH; 6N
=1}.
Remarque
1.I)
Soient N et M deux sous-groupes normaux de G tels que N C M alors =cuG/N(M/N)
carquels
que soientg ~ G et m ~ M on a : 03B4N(g(1
-m))
=gN(N
-mN) puisque 03B4N
est unhomomorphisme.
II) Soit p : Z[G]
--~Z[H]
unisomorphisme normalisé,
soit N a G etsoit N* le sous-groupe normal de H déterminé par le lemme 3
(ce
sous-groupe sera
appelé
le sous-groupe normal de H associé au sous-groupe normal N deG).
On peut voir facilementqu’on
a unisomorphisme
normalisé[G/N] -_~ Z ~H/N* ~ tel
que = seraappelé : l’isomorphisme
induit par p et associé à N.
III) Soit 03C6
:Z[G]
-->Z[H]
unisomorphisme
normalisé. Soient N Ç M deux sous-groupes normaux de G et soient N* C M* leurs associés de Hrespectivement.
On a lespropriétés
suivantes :a)
Sip(M)
C H alorsp(M)
= M* . ._
b) Si 03C6
:Z[G/N]
~Z[H/N*]
estl’isomorphisme
induit par p, alors~
1)
sip(M) - ~
alorsSp (wG (M) )
= =cuH(M*),
, d’oùQ
= M* . .2)
parI)
etII)
on a :IV) Si 03C6
:Z[G] ~ Z[H]
est unisomorphisme
normalisé et si z(resp.
z* )
est le centre deG. (resp.
deH)
alors = z*. En effetsi g
e z,p(g)
est unité d’ordre
finicentral
deZ[H]
et E z*([3]
corol. 1.7p.46)
d’oùz* et de même
(z*)
Ç z, doncp(z)
= z*.V)
Si N* est le sous-groupe normal de H associé au sous-groupe normal N de G alors N*’ est associé àN’,
card’après
le lemme 3 on saitqu’il
existe un sous-groupe normal M* de H tel que
Sp (wG (N’) )
= Ona M*
Ç
N’* car : m E M* ~ m -1 E ~ EwG (N’)
CwG(N)2 (puisque
g E N’ ~ g ED2 (N) ,
le 2ème sous-groupe de dimension deZ[N], (voir [3] Prop.
1.14p.75)
et g - 1 Ew(N)2
CwG(N)2, donc
lesgénérateurs
dewG(N’)
sont danswG(N)2)
d’où m - 1 E =C et comme m - 1 E
Z(N*~
on a m - 1 Ew(N*)2) (lemme 1),
d’où m e N*n (1-~- w (N* ) 2~
=D2 (N*) = N*’,
donc M* Ç N*’et par suite
Sp(wG(M’))
CwH(N*’)
et de la mêmefaçon
on montre queÇ
wG CN’)
d’où =wH (N*~)
.D’après
cequi précède,
on voit que si :Z[G]
-;Z ~H~
est unisomorphisme normalisé,
si N C M sont deux sous-groupes normaux deG,
si N* C M* sont leurs associés de Hrespectivement,
et si on pose A =w(G) wG (N)
alors lediagramme
suivant est commutatif.Diagramme
1où Sp~ pour
i =
1, 2, 3
estl’isomorphisme
induit par p,~y est
l’homomorphisme
naturel03B4N
estl’homomorphisme
induit parDN (on
akerry
Cker 03B4N)
03C8
estl’homomorphisme
induit par ï(on
aker 03B4N
Cker 03B3
par le lemme2).
Les lettres avec étoile sont définies d’une
façon
exactement semblable à leurshomologues
sans étoile. On notePROPOSITION 1. Avec les
hypothèses
et les notationsprécédentes,
ona :
a~ K(M, N) (resp. K* (M*, N*))
est un groupemultiplicatif
de(resp.
: M --~K(M,N) (resp. 7M..
: M* -~K*(M*, N*)),
est un
homomorphisme
de groupessurjectif
et ker = N’(resp. ker 03B3*|M*
=
N*~ }
et par suiteM/N’
^_rK(M, N)
et M*/N*
^_rK* (M* , N* )
.b~ K(M, N)
est un sous-groupe normal deK(G, N)
.c~
=K* (M* ~ N*)
~SW (M/N)
=M*IN*
-Ç .
d~
SiM/N
est contenu dans le centre deG/N
alorscp2(K(M, N))
=K*(M*,N*),
, enparticulier
on aSp2(K(N,N))
=K*(N*,N*)
etSp2(K(N, N))
est un sous-groupe normal de et deK* (M*, N*).
Démonstration.-
a)
On a =K(M, N)
car il est évident que7(M)
ÇK(M,N).
Or x = A E
K(M, N)
~bN (x) ~ M/N
~ il existe un m’ E Mtel que x - m’ E
ker6N
= ===~ ~ - m’ =1)
oùTi E
Z[G],
et ni E N ~ x - m’ =Ei ai(ni - 1)
+X,
où X e A etai E
Z,
car Ti =(ri )
+Xi
= ai +Xi
où ai E Z etXt
EW (G) ,
doncx = 1 +
(m’ - 1)
+~,. ai(ni - 1)
+X,
la formule(X - 1)
+(Y - 1)
=(XY - 1) - (X - 1) (Y - 1) implique
que x = m +Y,
où m e M et Y EA,
d’où Y E
A,
d’où x -~- 0 - m -t- 0 -~ (m)
, doncK (M, N)
=~r (M)
.Cela
signifie
queK(M, N)
est un groupemultiplicatif
et que 03B3|M est unhomomorphisme
du groupe M sur le groupeK(M, N)
.En utilisant le lemme 2 on voit immédiatement que ker =
N’,
d’oùK(M, N).
PourK*(M*, N*)
on a la même démonstration.b)
M A G =~ 0 ~K(M, N)
0K(G, N).
c)
Si =K* (M*, N*~
alorsquel
que soit mN deM~N
ona :
donc Ç et de même Ç
M~N
d’oùM*
Réciproquement,
si pi(M/N)
= M*~N*
alors :où m E M par suite
~N"~2(x -~’ 0)
=~N*~2(m ’~’ 0)
= = Eon en déduit que +
A)
eK* (M* , N* ),
donc CK* (M*, N*),
de mêmeSp21 (K* (M*, N*))
ÇK(M, N),
doncSp2 (K(M, N))
=K* (M* , N* )
~Sp 1 (M/N)
=M* /N*.
.D’après
la remarque 1,III,a)
on aSp 1 (M/N)
= M*/N*
~Sp 1 (M/N)
ÇH/N*
.d)
SiM/N
ç centreG/N
alorsSpl (M/N)
ÇH/N* (par
la remarque1,IV)
cequi implique
parc)
queSp2(K(M, N))
=K*(M*, N*),
le reste esttrivial.
d’où le résultat demandé.
COROLLAIRE 1.- Avec les
hypothèses
et notations de laproposition précédente
et si on suppose queM~N
Ç centre alors -M* M*
/N*
. Enparticulier,
si N est abélien alors M ^_r M* .[D’après
la démonstration ded)
eta)
de laproposition].
Remarque I~
En choisissant M et N defaçon particulière,
laproposition
1, nous donne d’une manière trèssimple beaucoup
de résultatssur le
problème d’isomorphisme [en particulier, quand
G estfini] .
Exemples. 1 ) N/N’
^-r N*/N*’
et si N est abélien alors N ^_r N*(par a) et d) ).
2)
Si G estmétabélien,
enprenant
M = G et N = G’ on trouve immédiatement que G ~ H.3)
Si G est un groupe fini ayant un sous-groupe abélien normal N tel queG/N
soit2-groupe
hamiltonien alors car dans cecas-là,
on aSP1 (G/N)
ÇNIH*.
.4)
Si G estnilpotent
fini et si M est un p-sous-groupe normal de G d’ordrep, p2 , p3,
oup4
alors M ^-r M* .5)
Si{1}
= zo C zi C z2 C ...[resp. {1} == zô
Cz; C z2
C...]
estla suite centrale ascendante de G
[resp.
deH]
alors pour tout i > 1 on az*i /z*’i-1,
enparticulier
z2 ^-rz2.
II)
On définit le sous-groupe de dimension de G parpour i =
1, 2, 3, ...,
on a alors une suite descendante : G =Di
DD2
D... D ... cette suite est
appelée
la suite de dimension deG,
et il estbien connu que :
Di
est un sous-groupecomplètement caractéristique,
etque
Dj]
ÇDi+h
pour tout iet j
la suite de dimension est donc unesuite centrale
Di / Di+ 1
Ç centre .PROPOSITION 2. -
Soit 03C6 : Z[G] ~ Z[H]
unisomorphisme normalisé,
soit N un sous-groupe normal de
G,
soit N* son associé de H et soitla suite de dimension de N
(resp,
deN*).
. On a alors lespropriétés
suivantes :
1) Di(N*)
est associé àDi(N)
pour i =1, 2,
..., enparticulier
siDk(N)
= 1 alorsDk(N*)
= 1.,~~ Di(N)/Di+1 (N)
^-r pour i = 1, 2, ... enparticulier
si
Dk
= 1 alorsDk (N* )
= 1.Démonstration. 1) D’après
la remarque 2.11Dt (N)
est un sous-groupe normal deG,
donc il existe un sous-groupe normalMi
de H tel que=
wx (Mi )
. On aMi
ÇDi(N*)
car : h EMi
#h - 1 E =~
Sp-1 (h - 1)
E ç Eg - 1 E Ç
wG(N)i,
, donc lesgénérateurs
dewG (Ds (N) )
sont danswG (N)i ~
~ h - 1 EwH(N*)i
et comme h - 1 EZ[N*] ~
il résulte du lemme 1que h -
1 Ew(N*)i
d’où h EDi(N*),
, doncMi
ÇDz (N * )
et par suite
Sp (wG (Di (N) )
=wH (M* )
ÇwH(Di(N*))
et de même on aÇ
wG CDi (N) )
d’oùSp (wG (Di (N) )
=wH(Di(N*))
pouri = 1,2,...
2) D’après
la remarque1, III, b)
on a(N)
est associé àet
puisque
est abélien[contenu
dansle centre de
N/Dz+1 (N) on
a ~ pouri = 1, 2, ....
COROLLAIRE 2. - Soit N un sous-groupe normal de G et soit N* son
associé de
H,
si N estnilpotent
de classedeux,
N* l’est aussi.Démonstration.- Soit N =
Ni
~N2
~N3 =
1resp.N* = Ni
D7V~
D7V~
D...]
la suite centrale descendante de N(resp.
deN* ), d’après
[(3) Propo.
1.14p.75)
on aNi (resp.
=Dz (N) (resp. Di(N*))
pouri =
1, 2, 3 d’après
laproposition 2, Ni
est associé àNi
pour i =1, 2, 3,
d’oùN3 -
1.PROPOSITION 3.2014 Soit p :
Z[G]
--~Z[H]
unisomorphisme normalisé,
et soit :
(resp.
H =Di
~D2
~ ... ~Di
~...)
la suite de dimension de G(resp.
deH)
. On a alors lespropriétés
suivantes :1~ Di
est associé àD=
pour i =1, 2, 3, ...
2) Di/Di+1
~Di
pour i =1, 2, 3, ...
^r pour i
j 2 (i
+1)
^.
Di
pour ij 2 ( i
-~-1 )
9)
SiD~o
est abélien pour unio >
2 alors ^_- pour tout iio
,~~
Si G est un groupe tel queDk
= 1 alors ^_r pour tout i> 2
Démonstration. 1) D’après
lapropriété
de laproposition
2.2) D’après
le corollaire de laproposition
1 on a :Ds/Dt+x
^_rDz
et^_.
Di /Di+1
pour i =1, 2,
...puisque
Ç centreG/Di+1.
- 101 -
D’autre
part,
est associé à et pour ij 2(i
+1)
on a :Di+l]
çD2(=+1)
çD~
etd’après
la remarque1,III,b), D~ /D=+1
estassocié à
. Si i +
1 j 2(i
+1)
on aD~
CDi+.1,
d’oùD~
C > estdonc abélien et par suite
D~ /Di+1, D~ /Di+1
et on a vu que ^-rDi
Donc pour
i j 2(i
+1). Maintenant,
sii
j
2i alors est abélien carDi
=Di~
ÇD2t
ÇDi,
d’oùDi/Dj
^-rDi
..
Si j
= 2i + 1 on pose G =G/D2i+1
et H = alorsd’après [[4]
th.
3.2]
on aDi(G)
= etD1+1 (G)
= et de mêmepour
H, d’après
cequi précède :
et sontisomorphes.
MaisD=+1 (G)
est abélien car Ç ÇD2i+1
doncD=+ 1
et de même(H)
d’oùDi (G)
^-rDi (H)
c’est-à-dire que ^-’D= /D2=+ 1
~.
Si j
=2(i
+1)
on considère G ==G/D2(s+1)
et H = ontrouve de la même manière que
pour j
= 2i + 1 : ^-rD= /D2(z+1).
Donc
Di /D~
pour ij 2 (i
+1).
3)
Cela découle immédiatement du corollaire de laproposition
1.4)
SoitDk
={1}
et soiti > 2
alors 2i > k d’oùDi
=Di~
ÇD2s
ÇDk - ~ 1 }
doncDi
est abélien etd’après
lapropriété 3) précédente
on aD=-1
",Di-l
Remarque
~3.I) D’après
lapropriété 4)
de laproposition 3)
siD6
= 1, alorsD2
etD;
sontisomorphes
et comme G’ =D2,
H’ =D; (voir [3] Prop.
1.1.4
p.75)
on a G~ ~.II) D’après
lapropriété 2)
de laproposition 3, Di/ Dj
etD; /D?
sontisomorphes
pour ij 2 (i + 1)
et si l’onprend
i =1; j
=2 (i
+1)
= 4 ontrouve
isomorphisme
entreG/D4
etH/D4.
.Références
[1] RITTER. (J.) and SEGHAL (S.).2014 Isomorphism of group rings, Arch., Math.,
t. 40, 1983, p. 32-39.
[2] FURUKAWA (T.). - On isomorphism invariants of integral group rings, Math. J.
Okayama Univ., t. 23, 1981, p. 125-130.
[3] SEGHAL (S.K.).2014 Topics in group rings.2014 Marcel Dekker, New York, 1978.
[4] LOSEY (G.).- On dimension subgroups, Trans.Amer.Math.Soc., t. 97, 1960,
p. 474-486.