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HAL Id: jpa-00237181

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Submitted on 1 Jan 1876

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Des diverses théories données pour expliquer les mouvements du radiometre de Crookes

G. Lippmann

To cite this version:

G. Lippmann. Des diverses théories données pour expliquer les mouvements du radiometre de Crookes.

J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.220-226. �10.1051/jphystap:018760050022000�. �jpa-00237181�

(2)

220

DES DIVERSES THÉORIES DONNÉES POUR EXPLIQUER LES MOUVEMENTS DU RADIOMETRE DE CROOKES;

PAR M. G. LIPPMANN.

Les

premiers appareils

et les

premières expériences

de M. Croo- Les ont été décrits dans ce

journal,

tome

IV,

p.

58, 1875. Depuis

cette

époque,

le radiomètre a

pris

une nouvelle forme

qui

est

connue de tous ceux

qui s’occupent

de

physique,

et

qui

ne dif-

fère essentiellement de la forme

première

que par ceci : les ailettes verticales sont en

général

au nombre de

quatre;

les bras horizon2013

taux

qui

les retiennent se réunissent à une

chape

semblable à celle

de

l’aiguille aimantée ;

la

chape

repose sur un

pivot

vertical : le

petits

moulinet se trouve ainsi mobile autour d’un axe

vertical ;

il est

d’ailleurs enfermé dans un

globe

de verre scellé à la

lampe

et où le

vide est fait.

Cet

instrument, qu’on appelle

le radiolnètre de

Crookes,

a donné

lieu à un

grand

nombre

d’expériences

et de théories

intéressantes;

nous nous proposons surtout de faire connaître les diverses théories

qui

ont été

proposées

pour

expliquer

les mouvements divers que

prend

l’instrument :

I. Dans la

première

Note

(1) qu’il

a

publiée,

M. Crookes n’a pas hésité à considérer le mouvement comme

produit

par l’action ré-

pulsive

de la chaleur. Il a

essayé

de montrer

qu’il

ne

pouvait

pas être attribué à l’influence des courants d’air et

ensuite,

comme con-

firmation de son

explication,

il a

ajouté

que la nature nous donnait des preuves de cette action

répulsive

de la chaleur. « Dans cette

partie

de la radiation solaire que l’on

appelle chaleur, dit-il,

nous

avons la force

répulsive, qui,

se

propageant successivement, explique

le

phénomène

des

cométes,

la forme et les

changements

des nébu-

leuses » . C’est une théorie que M.

Faye

avait donnée

depuis plusieurs années;

avant M.

Faye même, Laplace, F’resnel, Saigey, Forbes,

Baden

Powell

avaient

parlé

de cette

forces plusieurs

même avaient

essayé

de démontrer directement son

existence,

mais sans que leurs

expériences

aient convaincu les

physiciens.

(’) Proceedings of the royal Society, t. XXII, p. 37, décembre 1873.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050022000

(3)

Dans son Mémoire

présenté

à la Société de

Physique

de Londres

et inséré dans le

Plzilosophical Jlagazitze (1),

M. Crookes se pro-

nonce moins nettement ; il pense

qu’aucune

théorie ne rend compte de tous les

phénomènes qu’il

a

observés,

mais

cependant

il croit

que la théorie

qui

attribue le mouvement aux radiations est la

plus

raisonnable.

Mais comme, selon

lui,

aucune des théories

proposées

ne

peut

rendre

compte

de tous les

phénomènes,

il conseille de

s’abstenir et de varier les

expériences.

II.

Déjà plusieurs

observateurs avaient reconnu que la

présence

d’une source lumineuse exerce sur des

appareils

-trés- délicatement

suspendus ,

fléaux de

balance, aiguilles aimantées,

levers très-

légers,

des

perturbations appréciables

et même

gênantes.

M.

Neesen, qui

avait eu l’occasion de faire cette remarque lors de ses

expériences

sur l’élasticité du fil de cocon, a voulu étudier

expérimentalement

les conditions de cet effet de la lumière. Il a

opéré

sur une balance

de torsion à fil de cocon et dans

l’air (2).

M. Neesen croit

pouvoir

attribuer le mouv ement du levier dans ce cas aux courants

qui

se

produisentdans

l’air

qui

s’échauffe

inégalement

en ses différentes

parties,

soit par contact avec les

parties

de

l’appareil

que touche le rayon, soit de

proche

en

proche

par conductibilité. M. Neesen fait varier les distances

qui séparent

la

palette éclairée,

dont il étudie

le mouvement, des

parois

du vase

qui

sert de cage, et il trouve des

résultats variés et conformes à ses

prévisions.

M.

Poggendorff (3)

incline à croire que cette

explication ,

par l’action des courants

d’air, explication

fondée sur la dilatation et la

pesanteur

de

l’air,

est exacte

quand

on

opère

avec IVI. Neesen à la

pression atmosphérique.

Mais dans les

expériences

de M.

Crookes,

où le vide est si

parfait qu’il

ne reste

qu’une

masse d’air insensible à la meilleure

balance,

on

doit,

suivant M.

Poggendorn*,

chercher

une autre

explication

des mouvements

rapides

et

réguliers

que la lumière

produit.

III. La nécessité d’une nouvelle

explication

résulte d’ailleurs de

(1) Société de Physique de Londres, juin 1874, et Philosophical magazine, août I874, t. XLVIII, p. 8 r .

(S) Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. I44,I875.

(3) Annales de Poggendorff., t. CLYI, p. 4S3, I875.

(4)

222

ce fait que

plus

le vide est

parfait, plus

les

appareils

de M. Crookes

fonctionnent sûrement. MM. Dewar et Tait

(1)

ont même mon-

tré

qu’ils

fonctionnent dans un v ide assez

parfait

pour

empê-

cher l’étincelle d’une forte bobine

d’induction,

dans un vide au

charbon. Ces savants

expérjlncntateurs

donnent la 111anière de faire ce vide : on l’obtient en

épuisante

avec la pompe à mer- cure, l’air d’un espace contenant une certaine

quantité

de char-

bon de bois. On maintient ce charbon au rouge

pendant

que l’on pompe,

puis

on le laisse

refroidir;

le charbon absorbe alors une

partie

de l’air que la pompe avait

laissé,

mais une

partie

seule-

ment ; rien ne

permet pourtant

d’admettre que le vide absolu soit réalisé.

MM. Dewar et Tait se sont attachés à montrer que la

palette

éclairée ne se met en mouvement que si ses deux faces sont échauf- fées

inégalement ;

la face la

plus

chaude est celle

qui

inarche

en avant. Ainsi une

palette

de sel gemme ne se

déplace

pas, parce

qu’elle

est

transparente

et diathernlane. Vient-on à éclairer

sa face

antérieure,

la face

postérieure

étant recouverte de noir de

fumée,

le sel gemme s’écliauflè par conductibilité au contact du noir de

fumée,

et cela

plus

que la face

postérieure

de la couche de noir de

fumée,

parce que le noir de fumée conduit très-mal la chaleur : d’où

répulsion apparente

de la

palette

par la lumière.

Dans une

seconde, expérience,

ils écliauffent la face

postérieure plus

que la

première.

A cet

effet,

ils recouvrent la face

postérieure

du sel gemme d’une couche de

phosphore ordinaire ;

ce

phosphore

transparent

pour les autres rayons ne l’est pas pour les rayons ultra-

violets ;

il absorbe ces rayons, et en même

temps

il se transforme

en

phosphore

rouge avec

dégagement

de chaleur. La couche de

phosphore

s échaune

donc;

il en résulte que la

palette

est sensible

aux rayons ultra-violets et

qu’elle

marche vers la source rayon-

nante. Elle ne

paraît

donc

plus repoussée;

elle semble

attirée,

con-

trairement à l’action attribuée

plus

haut à la radiation. Le soufre

transparent

se

comporte

coinme le

phosphore transparent.

Mais

pourquoi

la face la

plus

chaude se trouve-t-elle comme

repoussée

par l’air?

Quand

cet effet a lieu à la

pression atmosphé-

(1)Nature, t. XIII, p. 2I7; I5 juillet I875.

(5)

rique,

MM. Dewar et Tait sont d’avis de l’attribuer aux courants

d’air,

comme le disait M.

Neesen; mais,

dans un vide

très-parfait, l’explication

serait différente. Le

phénomène

serait une

conséquence

du mécanisme par

lequel

on

explique aujourd’hui

les

propriétés thermiques

et

élastiques

du gaz,

conséquence

à coup sûr fort cu-

rieuse et

qui

mérite

qu’on s’y

arrête. M. Johnstone

Sto11ey

l’a dé-

veloppée

dans deux articles du

Philosophical Magazine (1).

Es-

sayons de la résumer en peu de

lignes.

A la

pression atmosphérique,

la face chaude d’une

palette

est

recouverte d’une couche mince d’air

qu’elle

échaufffe à son contact

et

qui

est par

conséquent plus chaude,

moins dense que le reste de la masse

d’air,

mais d’ailleurs en

équilibre

de

pression

avec cet

air.

Quand

la raréfaction du gaz est

très-grande,

cet

équilibre

de

pression

n’a

plus

lieu. En

effet,

à la

pression ordinaire,

les molé-

cules de gaz contenues dans 1 millimètre cube sont si

nombreuses’

que la distance moyennes que l’une d’elles

peut parcourir

avant

d’en rencontrer une autre est

de 1 10000

de

millimètre ;

si la raréfac- tion est

poussée à 1 4000000 d’atmosphère,

ce nonlbre atteint

400

milli-

mètres,

car l a

fréquence

des chocs intramoléculaires diminue très-

rapidement

avec le nombre des molécules. Or le

globe

de verre de

l’appareil

n’a que

quelques

centimètres de

diamètre ;

il en résulte

qu’un grand

nombre de molécules

d’air, après

avoir rencontré la

face chaude d’une

palette,

rencontrent le verre froid avant de heur- ter, soit de

l’air,

soit une

palette

froide. Il y a

refroidissement,

c’est-à-dire diminution de

vitesse,

au contact du verre

froid;

il en

résulte que les molécules

qui

ont touché le verre

produisent

sur

les

parties

froides de

l’appareil

des chocs moins violents que si la

rencontre du verre n’avait pas eu

lieu;

en d’autres termes, cette

rencontre du verre rend moins forte la

pression qui

serait trans-

mise dans les

parties

froides de

l’appareil

par le mouvement des molécules en

question ;

en

particulier

la

pression

sur les faces

froides des

palettes

est par là moins

grande :

d’où une

inégalité

des

pressions

sur les faces froides et chaudes d’une

palette,

au lieu de

l’égalité qui

a lieu

quand

le verre se trouve hors de

portée

des mo-

lécules

qui

ont rebondi sur la face chaude.

l ’ ) Philosophical Magazine, p. 17,-182, et p. 305-3I4; 1876.

(6)

224

Ainsi,

dans la théorie

mécanique

des gaz, on

explique l’égalité

de

pression

en tous les

points

d’une

enceinte,

en admettant que le gaz se compose de molécules

indépendantes qui peuvent

avoir les

températures (c’est-à-dire

les

vitesses)

les

plus dillérentes,

et dont

les chocs sur les

parois produiraient

la

pression ;

mais cette trans-

mission

intégrale

de la

pression

en tous les

points

n’a lieu que

si,

en tous les

points,

le choc a lieu entre des corps que l’on

puisse regarder

comme

parfaitement élastiques;

la

paroi

de verre se corn-

porte

comme un corps

parfaitement élastique

par rapport aux mo- lécules gazeuses

qui

ont la même

température qu’elle;

mais elle se

comporte

comme un corps mou par

rapport

aux molécules

qui

ont

touché la face chaude d’une

palette ;

dans ce cas la

paroi

de verre

intercepte

une

partie

de leur force vive et

s’oppose

à la transmission

intégrale

de la

pression.

Le radiomètre de Crookcs est

donc,

pour MM. Dewar et

Tait,

un

petit

moteur

thermique, lequel

d’ailleurs utiliserait au

plus 1 5000000

de

l’énergie

lumineuse.

IVl. Fizeau attribue

également

à la dilatation de l’air les effets observés dans le radiomètre. Ce savant

parait

attribuer

l’inégale température

de l’air sur les deux faces non à

l’inégalité

de

tempé-

rature des deux

faces,

mais à

l’inégalité

de leurs

pouvoirs

éinissifs

et conducteurs

(1) -

IV.

L’inégalité

de

températures

des deux faces d’une

palette joue

aussi un rôle essentiel dans une théorie

proposée

par M. le

profes -

seur Challis

(2).

Seulement ce n’est

plus l’air,

c’est l’éther lumi-

neux

qui pénètre

tous les corps

qui produirait,

par sa réaction

contre les mouvements moléculaires et

atomiques

des

palettes,

le

mouvement observé. L’auteur

renvoie,

pour

l’intelligence

de cette

théorie,

à ses travaux antérieurs sur la

mécanique

moléculaire.

Une théorie

qui

attribue l’action

répulsive

aux vibrations de l’éther a été aussi donnée par M. Ledieu dans les

Comptes

rendus

de l’Académie des Sciences. Elle est

exposée

dans trois Notes suc-

cessives : le choc des

particules

d’éther sur les

palettes produirait

le mouvement

(3).

(i) Comptes rendus du 29 mai I87G, t. LXXXII, p. I252.

(2) Phil. Mag., p. 395-398; I876.

(3) Comptes rendus, t. LXXXII, p. I293, I372 et I476.

(7)

V. Dès que le radiomètre fut connu, M.

Reynolds (1)

a

proposé

d’attribuer le fonctionnement du radiomètre à l’émission de gaz ou

de vapeurs condensées par la couche de noir de

fumée,

émission

produite

par l’échauffement de cette couche. Pour combattre cette

explication,

M. Crookes a fait une

expérience qui

a montré

qu’un

radiomètre où le vide a été fait

pendant

que l’instrument est main-

tenu au rouge ne

perd

rien de sa

sensibilité;

elle est combattue

aussi par une

expérience

de M.

Fizeau, qui

a montré

qu’un

radio-

mètre éclairé

également

de tous côtés par une couronne de

bougies

fonctionne indéfiniment avec une vitesse constante,

quoiqu’il

ne

puisse s’y produire

aucun abaissement de

température qui permettre

une

réabsorption

des gaz ; enfin on a vu que des radiomètres fonc- tionnent

parfaitement quand

on

remplace

le noir de fumée par un corps non poreux, tel que le

phosphore (2).

VI. L’action est-elle due à une force extérieure émanée du corps lumineux, ou est-elle

produite

par les réactions des molécules ga-

zeuses en mouvement? Le D’ Schuster a

proposé

un moyen de le reconnaître : il rend mobile tout

l’appareil

autour de son axe. Le

moulinet tournant dans un sens,

d’après lui, l’enveloppe

de verre

ne doit pas se

déplacer

en sens contraire des

palettes

si la force est

extérieure;

mais elle doit

prendre

un

pareil

mouvement si les ac-

tions sont toutes intérieures.

L’expérience

a montré à M. Scluster

que le

globe

tournait en sens inverse des

palettes.

Il en conclut que la théorie

qui

attribue le mouvement à la radiation directe serait réduite à néant. Mais M. Crookes

(3), qui

a fait flotter un de ses ra- dionlètres sur l’eau en l’entourant de

quatre bougies,

a vu que le

vase de verre finissait par être entraîné et par tourner dans le inènie sens que les

palettes,

d’un mouvement

uniforme,

mais avec

une vitesse de moins d’un tour par heure.

Parmi les

questions

que 31. Grookes s’est

posées,

il en est une fort

intéressante,

celle de la valeur de la force

qui

sollicite une

palette

mise en

présence

d’une source

calorifique

et lumineuse. NI. Crookes l’a déterminée par

expérience,

au moyen de la balance de torsion de Ritchie

(4).

Il a trouvé

qu’une bougie, placée

â une distance de

(1) Proceedings of the royal Society,t.XXII,p.40I;juin I874;t.XXIV,P. 388,I876.

(2) Proceedintfs of the royal Society, t. XXIV, p. 39I.

(3) Proceedings of the royal Society, t. XXIV, p. 276 et 279; 18,6.

(4) Procoedings of the royal Society, t. XXIV, p. 4og; I876.

(8)

226

3o centimètres d’une

palette

de 6 centimétres

carrés,

la

repoussait .

avec une force de

0mgr,03.

L’auteur a déterminé aussi l’influence des diverses

espèces

de rayons et celle de la nature de l’ailette.

A la fin de la Note où il donne ses dernières

expériences,

et

malgré

le titre de cette Note : « Sur la

répulsion

résultant de la radiation », M. Crookes croit devoir terminer par une déclaration dont voici la traduction : « On discute

beaucoup

à

présent

sur la cause de ces

mouvements, et

quelques méprises

semblent avoir cours sur mes

propres idées relatives à la théorie de la

répulsion

résultant de la radiation. Je désire saisir cette occasion pour détruire cette idée que

je

soutiens des

opinions

contraires à

quelques explications

fortement soutenues. J’ai établi dans

cinq

ou six occasions que

je

désire rester libre de toute théorie.

Depuis

les

quatre

années que

je

travaille ce

sujet, j’ai

amassé un

grand

fonds d’observations

expérimentales,

et ces observations me

permettent

souvent

d’aper-

cevoir des difficultés

qui peuvent échapper à

un

expérimentateur qui

n’a

opéré

que sur un ou deux instruments » .

W. SIEMENS. 2014 Messung der Fortplanzungsgeschwin digkeit der Electricität in suspen- dirten Drähten (Mesure de la vitesse de propagation de l’électricité dans des fils

télégraphiques aériens); Annales de Poggendorff, t. CLVII, p. 309; I876.

Appareils.

2013 Deux condensateurs ont leurs armatures exté- rieures réunies par un arc

métallique.

Leurs armatures intérieures

sont en communication avec deux

pointes placées près

d’un

cylindre métallique enregistreur

non

isolé ;

pour l’une des

pointes

la com-

munication est un fil court, pour l’autre une

ligne télégraphique.

On

décharge

simultanément les deux condensateurs en mettant l’ arc

métallique

en communication avec la terre, et on lit sur le

cylindre enregistreur

le

temps qui

s’écoule entre la

production

des étincelles.

Ces étincelles laissent sur le noir de

fumée,

dont on recouvre le

cylindre enregistreur,

des traces

composées

d’une

longue

série de

points, lorsque

la résistance du circuit est un peu

considérable;

M. Siemens attribue ce

résultat,

non à une série de

décharges

in-

termittentes,

mais à un courant se

prolongeant pcndant

un temps

appréciable

avec une intensité décroissante :

quand l’étincelle,

dit-il,

a

jailli

entre la

pointe

et un

point

du

cylindre,

l’air échauffé

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