E. EDLUND. — Untersuchung über die Wärme-erscheinungen in der galvanischen Saüle, und über die elektromotrichen Kräfte (Recherches sur les phénomènes calorifiques dans les piles et les forces électromotrices); Annales de Pogg., t. CLIX, p. 240; 1876

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Submitted on 1 Jan 1877

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E. EDLUND. - Untersuchung über die

Wärme-erscheinungen in der galvanischen Saüle, und über die elektromotrichen Kräfte (Recherches sur les

phénomènes calorifiques dans les piles et les forces électromotrices); Annales de Pogg., t. CLIX, p. 240;

1876

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. E. EDLUND. - Untersuchung über die Wärme-erscheinungen in der galvanischen Saüle,

und über die elektromotrichen Kräfte (Recherches sur les phénomènes calorifiques dans les piles et les

forces électromotrices); Annales de Pogg., t. CLIX, p. 240; 1876. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1),

pp.129-130. �10.1051/jphystap:018770060012901�. �jpa-00237256�

I29

trice,

^{de telle sorte} que le rapport ^des intensités

s’approche

^de

plus

^en

plus

^{de celui}

qui

caractérise le spectre fluorescent type, ^à

mesure que les rayons excitateurs ^sont

plus absorbables ;

4° Que

la lumière

fluorescente,

^{observée à}

grande ^distance,

^est

formée d’un

mélange

de couleurs dans

lequel

les rayons très-ab- sorbables sont en moindre

proportion

que

quand

^{on observe à}

faible

distance ;

50

Qu’en

^observant la fluorescence par transparence, ^comme l’a fait

Lubarsch,

^la

proportion

des rayons les

plus

absorbables est

fortement

diminuée;

60

Qu’elle

^{est, au}

contraire,

^aussi

grande

que

possible quand,

l’observation étant effectuée du côté des rayons

incidents, l’angle

d’incidence est

très-grand.

Toutes ces

conséquences

ressortent naturellement de la for- mule

(1),

^et il semble que celle-ci

n’implique

que des

hypothèses

très-naturelles.

Rien dans cette théorie

n’exige

que ^la loi de Stokes

soit,

^en

gé- néral,

^{vérifiée. Elle}

explique,

^au

contraire,

^très-bien le désaccord des

expériences

^de

^Lommel,

^{faites dans} des conditions

théorique-

ment les

plus favorables,

^{avec celles de ses} contradicteurs

( 1 ).

E. BOUTY.

E. EDLUND. 2014 Untersuchung ^{über die} Wärme-erscheinungen ^{in der} galvanischen Saüle, und über die elektromotrichen Kräfte (Recherches ^{sur les} phénomènes ^calo- rifiques ^{dans les} piles ^{et les forces} électromotrices); Annales de Pogg., ^t. CLIX,

p. 240; I876.

M. Favre a

montré (Comptes ^i,e7idus,

^t.

LXIX)

due,

lorsclm’mn

élément Pt-H Cl-Zn ou ht-H Cl-Cd

produit

^{un courant dans un}

fil de

très-grande résistance,

^la

température

^{de cet} élément, s’abaisse.

31. Edlund en conclut _que

l’hypothèse généralement

admise de l’é-

galité

^{entre la chaleur}

produite

par l’action

chimique

^et celle pro- duite _{par le} passage ^du courant est inexacte.

Pour

lui,

^la

production

^et l’entretien du courant nécessitent dans

(1) Voir Journal de Ph)’sÍqlle, ^t. Y I, p. gfi.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060012901

I30

la

pile

^une

absorption

de chaleur

équivalente

^{au travail} du courant,

et par suite ^une diminution dans l’échauffement de la

pile ^même;

et tout courant

qui parcourt

^un élément dans le sens de sa force

électromotrice y produit

^un abaissemènt de

température,

^tandis

qu’il produit

^{une élévation}

lorsqu’il

passe dans ^{le sens}

opposé.

^Il

explique

ainsi l’échauffement considérable des voltamètres observé par ^{M. Favre}

(Coinptes

^{rendus, t.}

LXVI)

^{et Raoult}

(Annales,

t.

IV);

^cet échauffement serait

égal

^{à l’excès du travail}

électrique (produit

^{de la}

quantité

d’électricité par ^la force électromotrice de la

polarisation

^des

électrodes)

^sur la chaleur nécessaire pour ^dé- composer l’eau

(M.

^Edlund

néglige

la résistance _{propre du} volta-

mètre).

^Il

explique

^{de même} les résultats obtenus par MM. w.

Thomson et

Bosscha, qui

^ont observé des échauffements dans deux voltamètres parcourus par le même courant et dont les électrodes

négatives

étaient différentes. M. Edlund a d’ailleurs fait

l’expé-

rience suivante : un courant traverse deux voltamètres

identiques,

entre

lesquels

^un commutateur est

disposé

^{de telle sorte} que le

courant est

toujours

^{de même sens dans le}

premier,

^et

change,

^au

contraire,

^{sa direction}

très-rapidenient

dans le second. Tandis

qu’on

^{observe un abondant}

dégagement

^de gaz dans le

premier,

celui-ci s’échauffe

beaucoup plus

que le

second, où, cependant,

^le

dégagement

gazeux ^est

beaucoup

^moindre.

A. POTIER.

L. BLEEKRODE. 2014 On electrical conductivity ^and electrolysis ^{in chemical com-} pounds ( Sur ^la conductibilité électrique ^et l’électrolyse ^des composés chimiques);

Proceedings of ^the Royal Society, ^t. XXV, ^n° 175, p. 322.

Les corps étudiés sont surtout des _gaz

liquéfiés

^{et des}

liquides

comme le

sulfure

^de

^carboj2e,

^la

^benzine,

^le

zinc-éthyle,

^{le tetra-}

chlorure

d’étain,

^{e tc .}

Les gaz étaient

liquéfiés

par la méthode de

Faraday

^{dans des tubes}

de verre

très-épais,

^dans

lesquels

^on avait soudé des fils de

platine communiquant

^{avec la}

pile.

^{Le courant était}

primitivement

^fourni

par une

pile

^{de I0 à 80 éléments}

^Bunsen, grand

^{modèle. Dans une}

seconde série de recherches faites avec M. Warren de la

Rue ,

M. Bleekrode se servit de la

pile

^{à chlorure}

d’argent

^de

⁸⁰⁴⁰

^élé-