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@ÜËÎË. ïrie. ARTSÎ Interactive BEAUX ST. PETERSBOURGET LES TRESORS DE L ERMITAGE THE ART OF THE CZARS

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Academic year: 2022

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@ÜËÎË

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BEAUXARTSÎ Interactive

ST. PETERSBOURGET LES TRESORS DE L’ERMITAGE

THE ART OF THE CZARS

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ST. PETERSBOURG

ET LES TRESORS DE L’ERMITAGE

Tout visiteurqui adéjà écritsur cetteville bordantlaNévan’a pas manquéde citer son étourdissante élégance, sa beautéde joyau sophistiqué posé sur la cimed’un vaste pays vivant encoreen grande partieau moyen—âge.Il n’en est pas un qui ne chanteles louangesde cette étrange lumièrequi envahitla cité, de ces nuages gonflés zébrant le ciel bleu pâle, réfléchis sur les façades de Rastrelli, emblèmede la cité. En descendantà la garedeMoscou,après avoir traversé des centaines de kilomètres d’une campagne sans âge, le visiteur découvre un St. Pétersbourg qui constitue encore pour les Russes d’aujourd’huiunchoc culturelaussi fort que celui qu’éprouvaientlescitoyens dutempsdePierreleGrand.

Le choixde Pierrele Grandqui s’est porté sur cettezone prochede l’embou—

chure de la Néva a quasiment posé le même problème que la décision de construire la capitaledes Etats-Unis nouvellement constitués à proximité de l’embouchure du Potomac, quelques 75 années plus tard. Les deux sites n’étaientrien moins quedes marais,un hâvre pourles moustiquesen été, une terre gelée sombreet arideen hiver. Les deux villesse trouvaient placéesen dehorsdes principales routes commercialesde leur pays, sans infrastructure,

ni économie,ni capacité productrice,ni même logements préexistants. Pourla constructiondeWashingtonDC., comme pour cellede St. Pétersbourg,deux nouvelles capitales a ajouter sur les cartes au 18ème siècle, toute la main d’oeuvreet tous les matériauxont dûêtre importés. PourPierre le Grand, dont

l’idée de la grande ville était symbolisée par le charme des briques rouges d’Amsterdam, il fut donc nécessaire d’édicter tout spécialement un ukase (décret impérial), interdisant l’utilisationde pierres rougesen tout endroitde cevaste empire,àl’unique exceptiondes constructionsde St.Pétersbourg.

Mais tandis que Washingtona été construite sous l’influence du classicisme français,St.Pétersbourga été pendant longtempslevivierdes idéeset del’art italiens. Aujourd’hui, la cité porte toujours la marque indélébile de Bartoloméo Rastrelli, un jeune architecte qui avait voyagé avec son père Carlo, sculpteur, pour aideràl’implantationde Peterhof. C’est donc Rastrelli qui a distillé dansla lumièreet la couleur uniquede la Néva, dansles ciels immensesdunordetdanslaneigedel’hiverunmélangedebaroque italienet d’âme traditionnelle russe quoique tout cela ait été principalement dicté par les matériauxde construction dont il disposait. Le chromatisme rastrellien a rendu grâceet élégance aux gros et lourds pilastresde stuc sculptés pardes mainsqui n’avaient jamais connules cannelures délicateset graciles ; et qui défient encore l’agressionduventet de l’eaude mer.

Tout cela devait changer, bien sûr. Au début du 19ème siècle,la Russie est apparue comme une puissance mondiale, et comme l’un des principaux acteursdes cours d’Europeet deschampsdebataille.De même,leclassicisme sombreetimpérialdugoût napoléonienabalayélepastiche rastrellien, impro- visé avec bonheur, des palaiset des églises. St. Pétersbourg devint, comme Paris, BerlinetLondres, une villede boulevards rayonnantàpartir de places imposantes, elles-mêmes couronnées parletrophée d’une quelconque victoire.

Maisà la différencede Paris, St. Pétersbourg est restée fidèleà son héritage.

Elle a préservé le caractère intime de ses rues, loin du bruit des immenses perspectives,avec leurs jeux délicatsde canaux bordés d’arbres, etleursche-

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mins pavés. C’estcecaractèreet cette beauté queson détracteurle plus viru- lent - lerégime soviétique n’a pas puentamer- oupratiquementpas. Malgré les grandes cheminées des innombrables usineset des centrales énergétiques qui ont abîmé à tout jamais la ligne d’horizon délicate de l’ancien

St.Pétersbourg d’où émergaient tourset volutes dorées, malgréle laisser—aller qui règne dans maints palaisenruineetle dangerréel qu’ils représentent pour lespiétons passantàproximité, malgrélecôté sordidede ses restaurantset de ses bars - à l’exception des lieux fréquentés par une élite disparue

St.Pétersbourgasurvécu, fidèleà son nom une fois de plus.

LA PRODUCTION

Peu de temps après quelegroupe ArtSpacese soitvuconfierlatâchede pro- duireun programme interactif surSt. Pétersbourg et sursa collection d’artla plus célèbre:l’Ermitage,uncertain nombre d’événementsont, non seulement, entraîné maintes révisionsduprojet original, mais ont également assuré qu’il s’agissaitlà de l’un des programmesles plus ambitieux jamais enregistrés sur CDI. Le script fut écrità une époqueoù lapolitiquede Pérestro‘1‘ka deMikhaïl Gorbatchev avait amené l’Union Soviétiqueauborddu gouffre.Un program- me surSt. Pétersbourgà cette époquene constituerait doncpas seulementun témoignage sur l’une des cités les plus précieuses au monde, mais rendrait également compte de la chute d’une sociétéet d’une culture dans un climat révolutionnaire dontleparoxysmen’a rien àenvieràceluiqui balayalerégi—

me tsaristeen 1917. De plusen plus,les scénaristesduprogrammesesentirent attirés parle rôle catalyseurde ladynastie tsaristeaudéveloppementde la cité et de ses arts : un nouveau chapitre du programme, dont l’émergence a été favorisée parlapublicationàpoint nomméde lacorrespondancedeCatherineII

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ainsi que des lettresdu dernier tsar Nicolas11. Ces documents s’avérërentsi riches qu’ils finirent paren constituer un volet séparé, dans lequel les deux monarques reviventàl’aidedes mots et des pensées qu’ils avaienteux—mêmes consignés.

La gravitédes événementsde septembre 1991 faillirent interdire l’enregistre- mentdu titre. En effet,àl’arrivéedel’équipedetournage,lesderniers convois de camions militaires quittaient à peine la grande place du Palais d’Hiver.

Quelques jours avant, les citoyens de St. Pétersbourg (qui s’appelait encore Léningrad à cette époque) s’étaient soulevés contre le coup d’état qui avait failli renverser Gorbatchev- manifestationde la “puissancedu peuple” russe qui aurait semblé impensableàn’importe quel observateur occidental encore quelques mois auparavant. C’est peut-être grâceàl’euphoriequi régnaitdans la ville (rebaptisée alorsSt. Pétersbourg) que l’équipede photographes s’est vue accorderdes facilités d’accèsque personne jusqu’alors n’avait eues avant eux, au Palais d’Hiver,aux extraordinaires salleset couloirsde l’Ermitage,à labasiliqueSt.Nicolaset aux rites orthodoxes russes,à lacathédraleSt. Isaac.

Celle—ci, d’ailleurs, après avoirété sécularisée parles soviétiques et baptisée

“Muséede laReligion”, connaitrapeu detemps aprèssonpremier servicereli—

gieux depuis la Révolution l’enterrementdu Grand Duc Vladimir, dernier héritierdutrône russe.

LES VISITES

Etant donné la richesse sans précédent des nouvelles séquences (auxquelles s’ajoutaitlaphotographie d’artdue àSteward, TaborietChangdeNew York),

le programmeadonné naissanceà un second volet- une visite interactivede

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la villeelle—même,étendue le longde la Névaet accessible à tout moment grâceà une cartede la fin du 19ème siècle rendue “interactive” parlatechno—

logie de l’écran tridimensionnel.Ici, le spectateur peut visiteret flâner aussi lontempsqu’il luiplaît-dumonastère Nevskyà laforteressedePierreet Paul, du Conservatoireau cimetière Thikvin,et se laisser allera ladécouvertedes géantsde lamusiquerusse.

LA MUSIQUE

La musique était également devenue l’une des composantes essentielles du programme.Peu de temps auparavant, le Los Angeles Chamber Orchestraet son chef invité Heiichiro Ohyama avait accepté d’enregistrerlabande sonore de ce programme interactif c’estla première fois qu’un orchestreinternatio—

nal de grande envergure enregistraen exclusivitéune bande sonore pour un programme multimédia. Pour évoquerla courde Pierrele Grand,lechoix se porta sur Archangelo Corelli (1653-1713). Corelli est peut-êtrelereprésentant le plus influent du style italien qui conquit l’Europe dansle sillagedu Haut Baroque. Musicien de chambre à la courde la reine Christine de Suèdeen 1675, son style virtuose conquitlacourde St.Pétersbourg,qui àcette époque- là, cherchaità copier l’apparat culturelet le raffinementde la cour suédoise.

Le Concertode Noël ou Concerto Grossoen sol mineur, Opus6,Numéro8, a sans doute été écrit vers la fin du 17ème siècle au moment où le style de Corelli était bien établiet où lemusicien était considéré commel’un des com—

positeurs les plus influents de son époque. L’influence de Corelli sur la musiquede cour russefut très importante, bien qu’il ne subsiste que peude tracesà ce sujet. L’hommageleplus profonddes Russesàl’héritage laissé par lemaître italiena, sans aucun doute,étérendu par Sergueï Rachmaninov dans

sonOpus42, Variations surunthèmedeCorelli, écriten 1931.

Pour mettreen musiquele règne de la Grande Catherine, l’orchestre joue la fameusesuite Holbergde Grieg (1843—1907),écrite à l’occasiondu bicente- nairedu dramaturge norvégien Ludwig Holberg.La cour mauditede Nicolas Il et l’amour fatal du tsar pour Alexandra ont été illustrés par la romance douce—amère de la Vocalise pour cordes de Sergueï Rachmaninov

(1873—1943).Rachmaninovlui—même victimede larévolution russeapasséle restede sa vie en exil, mis àl’index parlacommunauté artistique soviétique.

Enfin, le thème principal du programme est la magnifique et envoûtante Sérénade pour cordes de Petr Ilitch Tchaikovsky (1840—1893). Le premier mouvement apparaît dès l’ouverture du programme, majestueux, avec les puissantes superpositionsenclefde solmajeur. Tchaikovskyfut véritablement lecompositeurle plus importantde l’époque romantique puisqu’ilaeffective—

ment forgéune synthèse entrelatradition occidentaledans lamusique russeet les nouvelles tendances pronées parle mouvement slavophile nettement plus radical,et qui prônaitunretouraux sourcesde lamusique populaire.

LES SEQUENCES FILMEES

Mais les surprises n’étaient pas terminées. Un renseignement provenant des Archives NationalesdeWashingtonD.C. aguidénos pas vers une cave voûtée du Hoover Institutede San José, Californie. C’est qu’une sériede bobines de films originaux était conservée sous le nom de “collection Axelbank”, celles—ciprésentaient des séquences exclusives et passionnantes du Tsar Nicolas,de sa femme Alexandraet de leurs enfants, tournées quelques mois

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seulement avant leur exécution parune milice soviétique dansune villa proche d’Ekaterinenburg. Jamais auparavant une séquence originale n’avaitété utili—

sée dans un programme CD—I, et sûrement pas dans le format cinémascope queles directeurs artistiques jugèrent nécessaireà l’ambianceduprogramme.

Un logiciel spécial fut conçu - et chaque imagedu film fut minutieusement numérisée- afin de donnerà l’Artdes Tsarssa scène d’ouverture exception- nelle.

Outre cette ouverture et les 15 autres séquences filmées prélevées dans les bobines originales, le programme contient plusde 800 illustrations vidéo sur la ville, ses palais,ses monastèresses musées- tous accessibles parlebiaisde 128 menus interactifs séparéset accompagnésde 3 heures de musiqueet de dialogues.Ce programme,qui utilisela“quadruple compression numérique”, estleplus importantjamais enregistré surundisque CD-I.

Mais, plus important encore, ce qui avait débuté comme un programme sur l’art de l’Ermitage est devenu un document unique sur une Epoque, une Périodeetune Cité, située au carrefour de l’Histoire. Il s’agitlà, au sens le plus profond du terme,de la visite virtuelle à travers le tempsde l’une des merveilles de l’Europe une capitale d’empire occidentale au coeur de la Russie.

PAR OUCOMMENCER

Pour débuter le programme, le plus simple est certainement de sélectionner tout d’abord la Vue d’ensemble. Placée dans la partie inférieure gauchedu menu principal, la Vue d’ensemble donne accès à une introduction de 5

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minutes sur tous les programmeset fonctions essentiellesdu disque. Pour la sélectionner, utilisezlejoystick, la boule roulanteou tout autre dispositif de pointagede votre télécommande pour amener le curseur surle panneau Vue d’ensemble jusqu’à ce qu’il passeen surbrillance, indiquantainsi l’activation decette partieduprogramme.

Pour démarrer, appuyez surlebouton ] placé surledessusousurlagauchede votre télécommande.Rappelez—vousqu’à tout moment pendant cette séquence et pendant toutesles autres séquences vidéo, vous pouvez sauterune séquence et passer à la suivanteen appuyantsur ce même bouton 1. Ou bien, si vous préférez faire une pause et étudier à loisir une image vidéo, appuyez sur le bouton2 situé en bas ou àgauche de votre télécommande.Ce bouton arrête l’image, sans la moindre distorsion, offrant ainsi une définition aussi précise qu’un tirage papier, que seule la technologie numérique peut assurer. Pour continuer, appuyezànouveau surlemême bouton2.

Comme l’indiquela Vue d’ensemble,leprogramme se divise principalement entrois volets essentiels:

St. Pétersbourg, qui vous offre une visite interactive riche et approfondie de n’importequel quartierde laville;

Les Tsars, qui vous offre6 biographies détailléesdes principaux monarques de la dynastieRomanov, les vidéos adaptées pour l’écran de la Grande Catherine et de Nicolas II, fondées sur des lettres authentiques et d’autres sources. Chaque vidéo fait référence en parallèle soit à l’architecture,soit à l’artqui a été acquisà St.Pétersbourgsous lerègnedechaque souverain;

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L’Ermitage,qui vous offre une visite guidéedes principales écoles de cette vaste collection : l’école italienne, l’école flamande, l’école française, les impressionnistes et les modernes du 20ème siècle. les mots clé de chaque période sont expliquésen détail ; vous pourrez alors choisirdes détailsspéci- fiques pourune étude plus approfondie.

LES AUTRES TOUCHES

Pour vous aiderà“naviguer” dans cet énorme programme, chaque point choisi offre une aide accessible par le point d’interrogation [?] placé dans le coin inférieur gauche de l’écran. Ce bouton permet d’obtenir une aide sonore concernant l’utilisationdel’écran visualiséoubienlamanièrederevenirà une autre partiedu programme.A tout moment,le spectateur peut laisserde côté cette aideou bien modifierson apparitionen sélectionnantleboutonreprésen—

tantles armoiriesdel’empire russe, placé surlebouton droitdel’écran, celale ramèneau menu principal. Enfin,il est possiblede mettrefin auprogramme en sélectionnant Epilogue dans le menu principal. Cette séquence offre une conclusion intéressante au disque en évoquant les derniers mots écrits par Tolstoïà la veillede sa morten faità la veillede la Révolution.Anouveau, grâce à des séquences historiques filmées, le programme donne une listede touteslesprincipales sources utilisées poursaréalisation.

LASERIEDES BEAUX ARTS

L’Artdes Tsars estlecinquième titre publié danslaSériedes Beaux Artspro—

duite par Philips Interactive Media pour édition exclusive sur CD-I.Les autres 9

titres sont Vincent Van Gogh : une Moisson de soleils ; La Renaissance à Florence et son complément Renaissance Gallery ; les Impressionnistes Français ainsi qu’un deuxième disque associé, le Monde de l’Impressionnisme.

Etant donnéque les collectionsde l’Ermitagese sont concentréesessentielle—

ment surl’art occidental,undisque associéà St.Petersbourg,et lesTrésorsde l’Ermitageserabientôt publiésous letitre : ARevolution of colourqui traitera de l’Art russe tel qu’on peut l’observer à la Galerie Tretiakov et à travers d’autres collections nationales russes. Ce disque complémentaire couvre la période allantdes balbutiements de Peredvichniky aux réalisations de l’Art Officiel Soviétique et s’accompagne d’éléments de la bande sonore de St.

Petersbourget les Trésorsde l’Ermitage. Réalisé sous la forme d’un poème audiovisuel musical,ce disquepeut être joué à la fois sur les lecteursdeCD—l

etsurles lecteursdeCD Audio.

A paraitre bientôt: l’Artdes Maîtres Hollandais,vaste visite du mondede la peinture hollandaisedu 17ème siècle.

Tous les disques de la Série “Beaux Arts” sont disponibles en anglais ainsi que dans leur version française, allemande, néerlandaise, italienneetespagnole.

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Ü°ËË

Le Compact Disque Interactifdonneà latélévisionune nouvelle dimen- sion: l’interactivité, aveclavidéo numériqueet laqualitéde son du disque compact. Pour exploiterlesCD-I, l’utilisateur dispose d’une télécommande

|HÏGF&CÜVË àtrois fonctions principales:

.Déplacement ducurseur

Cette fonction permetàl’utilisateurdeplacerlecurseur n’importesur l’écran lorsque cela est nécessaire pour sélectionner une action préciseou, d’une façon générale, une zoneou un objet actifs affichésàl’écran.

.Bouton d’action ]

Repéré parunpoint°,cebouton sertàlancer une action sélectionnéeaumoyenducurseur.

.Bouton d’action 2

Repéré par deux points°°,ce bouton peut selonlecas assurerlesmêmes fonctions quelebou- ton 1oupermettre d’en exécuter d’autres.

Pour localiserlacommandeducurseur etlesboutons d’action sur votre télécommande,repor—

tez-vousau manuel d’utilisationde votre lecteurCD—I. Nota: les fonctions peuvent varier selonledisque. Pour connaître ces fonctions, consultez les programmes d”’Aide” proposés danslaplupart des CD-I.

Le rangement etlamanipulationduCD-I nécessitent autantde soins que pourleCD audio.

Vous n’aurez pasànettoyerleCD-Isivouslemanipulez seulementen letenant parlesbords et lerangez directement danssonboîtier après utilisation.Sivotre disque présenteundéfaut de fabricationou de lecture, retirez-ledu lecteuret nettoyez—leavecunchiffon sec, propre, douxet non pelucheux en suivant toujours une ligne droite partantducentre dudisque et allant verslebord. N’utilisez jamais desolvantsou de produits abrasifs pour nettoyer votre disque.

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