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Diffusion Brillouin stimulée dans une fibre optique biréfringente multimode

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00245155

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00245155

Submitted on 1 Jan 1984

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Diffusion Brillouin stimulée dans une fibre optique biréfringente multimode

A. Saissy, J. Botineau, D. Ostrowsky

To cite this version:

A. Saissy, J. Botineau, D. Ostrowsky. Diffusion Brillouin stimulée dans une fibre optique biréfringente multimode. Revue de Physique Appliquée, Société française de physique / EDP, 1984, 19 (1), pp.33-37.

�10.1051/rphysap:0198400190103300�. �jpa-00245155�

(2)

(Reçu le 22 juin 1983, révisé le 14 septembre, accepté le 19 septembre 1983)

Résumé. 2014 Nous étudions la propagation d’une impulsion lumineuse dans une fibre optique biréfringente multi- mode, en régime de diffusion Brillouin stimulée, en fonction des conditions de couplage et de polarisation. Pour une puissance incidente de l’ordre du watt nous observons une atténuation brutale du front arrière de l’impulsion et

une forte rétrodiffusion. Un modèle théorique, basé sur une modulation spatiale de la constante diélectrique,

nous permet de décrire correctement les faits expérimentaux observés.

Abstract.

2014

We study the propagation of a light pulse through a birefringent multimode optical fibre, in state of stimulated Brillouin scattering, with respect to excitation conditions and polarization. Experimentally we establish

that a sharp attenuation of the trailing edge and strong backscattering result from one watt incident power. A theoretical model, based on spatial modulation of the dielectric constant, give a good description of the experiment.

1. Introduction.

La propagation d’une impulsion lumineuse dans une

fibre optique s’accompagne généralement d’une modi-

fication de son profil temporel. Suivant les mécanismes mis en jeu, différentes situations peuvent se présenter.

Ainsi la dispersion normale d’une fibre produit un élargissement des impulsions à faible intensité lumi- neuse, par contre pour des intensités plus grandes

et dans le domaine spectral de la dispersion anormale

on peut obtenir une compression de l’impulsion [1].

Avec des intensités plus importantes, des processus de diffusions stimulées prennent naissance [2, 3], ils se

traduisent par une atténuation importante de l’im- pulsion. Cette atténuation est située au centre de

l’impulsion dans le cas de la diffusion Raman. Dans la présente note nous étudions l’atténuation et la rétrodiffusion liées à la diffusion Brillouin stimulée

(D.B.S.) dans une fibre optique biréfringente multi-

mode à coeur elliptique, en configuration de simple

passage. A notre connaissance seule une étude de ce

type a été entreprise par R. H. Stolen [4] sur une fibre biréfringente monomode à coeur circulaire, en confi- guration de résonateur. La conservation de la pola-

risation lumineuse est plus difficile à réaliser dans une

fibre biréfringente multimode [5], aussi une étude de

l’influence de la polarisation sur le seuil de la D.B.S.

dans ce type de fibre nous paraît utile. En effet la création d’une D.B.S. à faible seuil dans une fibre

multimode constitue un moteur très efficace pour la réalisation d’un miroir à conjugaison de phase dans

une fibre optique [6]. D’autre part la présence d’une

D.B.S. agissant différemment sur chacun des modes de la fibre instaure une discrimination entre ces modes.

Dans un premier temps nous étudions expérimen- talement, en fonction du couplage et de la polarisa- tion, la propagation d’une impulsion lumineuse en présence d’une D.B.S. ainsi que la rétrodiffusion qui

lui est associée. Nous chiffrons le seuil de la D.B.S.

Par la suite à l’aide d’un modèle simplifié nous inter- prétons les principaux faits expérimentaux observés.

2. Etude expérimentale.

Le dispositif expérimental est représenté sur la figure 1.

Il est constitué par un laser YAG pulsé, délivrant des impulsions lumineuses de largeur à mi-hauteur 5 ns,

’sa fréquence est doublée par un cristal de K.D.P.

La lumière verte, Àp = 0,530 pn4 ainsi produite est couplée dans une fibre optique biréfringente de lon-

gueur 50 m à l’aide d’un objectif de microscope X 10.

La polarisation lumineuse rectiligne est dirigée approximativement suivant l’axe lent de la fibre,

à la sortie de la fibre la lumière est en grande partie polarisée rcctilignement Les modes de gaine de la

fibre sont éliminés à l’entrée et à la sortie de la fibre à l’aide d’une huile d’indice élevé. Le coeur de la fibre

est elliptique avec les dimensions 2 a = 4,5 pm et 2 b = 6,5 gm En faisant varier le couplage à l’entrée

de la fibre on peut exciter séparément deux modes,

3.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:0198400190103300

(3)

34

Fig. 1.

-

Dispositif expérimental, Cm = cellule de mesure,

Cd = cellule de déclenchement.

[Experimental configuration, Cm = recording detector, Cd = triggering detector.]

un mode uniformément éclairé (mode LPO,) et un

mode à deux lobes (mode LP11). La lumière sortant

de la fibre est dispersée par un réseau, la présence d’une

diffusion Raman stimulée se traduit par l’apparition

de nouvelles raies dans le spectre.

Une photodiode à réponse rapide nous permet de visualiser la forme temporelle de l’impulsion lumineuse

verte sur un oscilloscope large bande. Une forme

caractéristique de l’impulsion lumineuse correspon- dant à un bon couplage est donnée sur la figure 2a.

n cons a e que e ron arrière e impu sion umi-

neuse est fortement atténué, la montée s’effectue en

10 ns alors que la descente a lieu en 4 ns. Pour un

couplage moins bon à l’entrée de la fibre l’impulsion

est symétrique figure 2b. Cette déformation de l’im-

pulsion lumineuse n’est pas due à la diffusion Raman stimulée car au contraire, quand cette dernière se

manifeste l’impulsion lumineuse est plus large et

atténuée en son centre figure 3. La conservation de la

polarisation lumineuse par la fibre biréfringente permet d’obtenir un comportement non linéaire plus marqué. En effet, une lame biréfringente étant placée

sur le faisceau excitateur, si on l’oriente de manière

à ce que la lumière sortant de la fibre reste polarisée linéairement, alors la polarisation lumineuse inci- dente, un axe optique de la lame et un axe de la fibre

sont confondus ; dans ce cas un seul axe optique de la

fibre est excité et l’impulsion est dissymétrique figure 4a. Si la lame est déréglée, les deux axes de la

fibre sont excités et l’impulsion est symétrique figure 4b.

Nous retrouvons là un comportement similaire à celui des lasers Raman et Brillouin à fibre vis-à-vis de la polarisation lumineuse par R. H. Stolen [4].

En effet ce type de laser présente une variation d’un facteur deux du gain suivant que la polarisation

lumineuse est rectiligne dans toute la fibre ou bien à polarisation variable. Dans le cas qui nous intéresse ici, la diffusion Raman étant exclue, il reste l’hypothèse

d’une diffusion Brillouin stimulée, les variations de

Fig. 2.

-

a) Oscillogramme d’une impulsion intense à la

sortie de la fibre (échelle temporelle 10 ns/cm) ; b) oscillo-

gramme d’une impulsion moins intense.

[a) Shape of a strong pulse at the fibre output; b) idem a) but for less intensity.]

Fig. 3.

-

Impulsion à la sortie de la fibre en présence d’une

diffusion Raman stimulée.

[Pulse at the fibre output for stimulated Raman scattering.]

forme de l’impulsion lumineuse étant dues aux varia-

tions du gain Brillouin avec la polarisation. La

diffusion Brillouin se manifeste surtout en rétrodif- fusion. Pour prouver son existence, nous avons

étudié la lumière rétrodiffusée par la fibre. Une lame

séparatrice placée sur le faisceau lumineux excitateur,

à une distance de un mètre de la face d’entrée de la

fibre, récupère la lumière rétro diffusée par la fibre.

Cette lumière n’est intense que lorsque seul le mode

fondamental est excité. En excitant différentiellement les modes de la fibre, on peut pour sensiblement la même intensité lumineuse à la sortie de la fibre,

obtenir une impulsion rétrodiffusée importante ou

non. Ceci nous indique que la réflexion sur la face

d’entrée de la fibre n’intervient pas dans la rétrodiffu-

sion. La lumière rétrodiffusée est constituée par une

(4)

Fig. 4.

-

a) Impulsion à la sortie de la fibre pour une pola-

risation linéaire dans la fibre; b) impulsion à la sortie de la fibre pour une polarisation variable dans la fibre.

[a) Output pulse for linear polarization in fibre; b) idem a) but for variable polarization.]

impulsion très étroite de durée, 4 ns, suivie d’un fond continu de durée 20 ns, figure 5. D’autre part, l’analyse

des relevés oscillographiques révèle que l’impulsion

rétrodiffusée apparaît bien avant que l’impulsion

incidente parcourt toute la fibre (250 ns). Ce n’est donc

pas la longueur totale de la fibre (50 m) qui intervient

mais seulement une partie. Il résulte donc qu’avec

une puissance lumineuse incidente de l’ordre du watt, il est possible de créer une puissante rétrodiffu- sion Brillouin stimulée capable d’atténuer complète-

ment le front arrière de l’impulsion pompe. Ce résultat

est à comparer au cas moins intense où seulement le sommet de l’impulsion est atténué.

3. Etude théorique.

Lorsqu’une fibre optique est le siège d’une rétrodiffu- sion Brillouin stimulée il se crée par électrostriction

une onde sonore, p.(r, t), se propageant dans la même direction que l’onde excitatrice, EP(r, t), et

une onde Brillouin rétrodiffusée, Eo(r, t), de manière

à satisfaire les règles de conservation

Pour une rétrodiffusion colinéaire à l’axe de la fibre,

les trois vecteurs d’onde sont colinéaires et le module de ka est voisin de 2 kp.

Dans le cas de la silice qui nous intéresse ici, la fréquence de l’onde acoustique est de 33,8 GHz [7],

Fig. 5.

-

a) Impulsion rétrodiffusée pour un bon couplage

dans la fibre ; b) cas d’un couplage moins bon.

[a) Backward pulse for good coupling; b) idem a) but for

bad coupling.]

sa durée de vie 03C4a ~ 7ns(’ta = 1/0393 avec 0393 = 145 MHz largeur à mi-hauteur de la courbe de diffusion Bril- louin spontanée à 33,8 GHz).

La vitesse de l’onde sonore longitudinale

vi = 5 950 m/s est négligeable devant la vitesse de

l’impulsion lumineuse, d’autre part, sa durée de vie (7 ns) est légèrement supérieure à la largeur à mi-

hauteur (5 ns) de l’impulsion excitatrice. Ainsi,

pour interpréter l’atténuation brutale du front arrière de l’impulsion excitatrice nous supposerons que l’onde sonore, créée à un instant correspondant au

maximum de l’impulsion, produit une modulation spatiale de la constante diélectrique (effet photo- élastique) qui diffractera à son tour le front arrière de

l’impulsion excitatrice lors de son passage. Soit

(1) cos Kz la modulation de la constante dié-

lectrique avec K = ka, et P = . E la polarisation rayonnée par Ac. Ecrivons la décomposition modale

du champ dans la fibre :

où E,(x, y) désigne le profil transversal du mode v ;

nous nous placerons dans l’approximation des modes

LP avec une polarisation suivant un axe de biréfrin-

gence. Les ondes laser incidente et Brillouin rétro-

diffusée ayant des pulsations voisines, on supposera

(5)

36

L’équation de propagation sera satisfaite si :

avec

Considérons la situation où la fibre supporte deux modes, le mode 1 étant excité préférentiellement de

manière à ce qu’il présente de la D.B.S., le mode 2

servant de sonde. Remplaçons P par son expression,

sachant que K - 203B2(1).

On peut ne garder que les termes peu oscillants dans les équations ci-dessus, soit :

Si l’on considère les modes LPo 1 et LP 11 ayant les profils transversaux suivants :

alors par raison de symétrie Q12 est nul car e(l,(X, y) possède essentiellement la symétrie du mode E(01)t.

Le système précédent se réduit donc à :

Pour les conditions aux limites Ai ~ 0 et B,(L) = 0,

nous obtenons :

et :

avec :

L étant la longueur sur laquelle la constante diélec- trique est modulée. Sur la figure 6, nous avons tracé

T 1 en fonction de L/Lc. Pour connaître la valeur de

T 1 correspondant aux conditions expérimentales,

calculons Lc et L. Si le profil E,(x, y) est normalisé

de manière que :

Pour longueur de modulation L, nous prendrons

la longueur de l’impulsion lumineuse sur laquelle

l’intensité est supérieure ou égale au seuil ls de la

diffusion Brillouin stimulée, soit :

2 1 = largeur à mi-hauteur de l’impulsion.

Le facteur de gain Brillouin stimulé de la silice est y = 4,02 x 10-9 cm/W, a étant les pertes de la fibre.

Alors Is = 03B1/~03B3 où ’1 est un facteur correctif voisin de 1/20 [8]. Pour des pertes à 0,53 03BCm telles que

a e une su ace e coeur

de 22,9 x 10-8 cm2 nous obtenons 130 mW PS

790 mW soit avec une puissance Po de 1 W une plage

de valeurs de L donnée par 0,970 m L 2,84 m.

Fig. 6.

-

Variation du coefficient de transmission de la fibre en fonction de la longueur de modulation L de la constante diélectrique. Cas d’un accord parfait b = 2 P -

K = 0.

[Fibre transmission coefficient versus modulation length L

of the dielectric constant]

(6)

plus faible et l’impulsion sera dissymétrique. La

conservation de la polarisation par la fibre nous

apparaît donc comme une nécessité pour accentuer la déformation de l’impulsion et augmenter la rétro- diffusion.

Dans une situation expérimentale réelle, l’impulsion

incidente n’est pas couplée intégralement dans le

mode fondamental LP01, une partie peut se propager selon le mode suivant LP11. Pour connaître l’in- fluence du réseau de diffraction créé par le mode

LPo 1 sur la propagation du mode LP 11, calculons b2 et Q22. La théorie du guidage faible dans les fibres

optiques permet de calculer la grandeur b = (fl/k - ng)/(nc - ng) en fonction du paramètre caractéristique

V = ka(n2c - n2g)1/2 avec nc (respt ng) indice de réfrac-

tion du coeur (respt gaine) de la fibre du rayon a. Pour la fibre utilisée, nous avons V - 3,44, ne - ng ’"

3,5 x 10-2 à 03BB = 0,53 jmi soit Ô2 - 3,7 x 103 cm-1.

La valeur minimale de T2 est 1

-

P2 avec

P = 2 Q22/03B42; donnons à Q22 la même valeur que

Qll, soit 1/30, alors nous obtenons P - 10-’ donc T2 = 1. Le mode LP11 n’est pas perturbé par le mode LP.1. Ceci nous permet d’expliquer les varia-

tions de profil de l’impulsion transmise avec le cou- plage. Si l’on part d’une situation où le mode LP01 est

fortement excité, en faisant varier le couplage, on va

exciter aussi le mode LP 11 qui sera transmis sans atténuation, l’impulsion transmise va se symétriser

et la rétrodiffusion diminuer. Il en résulte que si, dans

propageant dans une fibre optique biréfringente avec

une puissance voisine du seuil de la diffusion Brillouin

stimulée, a son front arrière atténué brutalement. A l’aide d’un modèle théorique simplifié nous avons

estimé, pour une impulsion de puissance 1 W et de largeur à mi-hauteur 5 ns, que si l’onde sonore créée lors de la diffusion Brillouin stimulée produisait une

modulation relative de la constante diélectrique de

l’ordre de 10-’ alors moins de 13 % de l’onde lumi-

neuse est transmise. Ceci est bien conforme aux obser- vations expérimentales. Nous avons vérifié que la conservation de la polarisation lumineuse dans une

fibre biréfringente multimode est suffisante pour abaisser le seuil de la diffusion Brillouin stimulée. Le modèle que nous avons développé nous permet de tenir compte de la présence de plusieurs modes dans

la fibre; en particulier les modes faiblement excités

seront absents dans l’onde rétro diffusée. Une fibre

optique biréfringente multimode constitue donc un milieu original, capable de mettre en action une forte

diffusion Brillouin stimulée à faible puissance lumi-

neuse et facilement intégrable dans des systèmes optiques plus complexes.

Remerciements.

Nous remercions M. Monerie du C.N.E.T. Lannion pour la fibre biréfringente.

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Références

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