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Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne)1752-1935

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Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne)1752-1935

Valentina Alzati

To cite this version:

Valentina Alzati. Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande- Bretagne ; Allemagne)1752-1935. Littératures. Université Paris Saclay (COmUE), 2018. Français.

�NNT : 2018SACLV050�. �tel-02045995�

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Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne)1752- 1935

Thèse de doctorat de l'Université Paris-Saclay, préparée à l'Université de Saint-Quentin en Yvelines

École doctorale n°578 : Sciences de l’homme et de la société (SHS)

Spécialité de doctorat : littérature générale et comparée

Thèse présentée et soutenue à Saint-Quentin en Yvelines, le 15 novembre 2018, par

Valentina Alzati

Composition du Jury :

PR d’Histoire contemporaine, UVSQ (CHCSC - directeur) Président Jean-Claude Yon

PR de Littérature comparée, Université du Maine Rapporteur Nathalie Prince

PR émérite, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle Rapporteur Jean-Paul Sermain

MCF, spécialiste de Mme d’Aulnoy, Université de Bordeaux Examinateur Anne Defrance

PR de Littérature comparée, membre de l’IUF, UVSQ Directeur de thèse Evanghélia Stead

N N T : 2 01 8S A C L V 05 0

(3)

2

Université Paris-Saclay

Espace Technologique / Immeuble Discovery

Route de l’Orme aux Merisiers RD 128 / 91190 Saint-Aubin, France

Titre : Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne) 1752-1935 Mots clés : contes de fées ; littérature fin-de-siècle ; Romantisme ; Mme d’Aulnoy ; histoire du livre ; illustrations.

Résumé : Les contes merveilleux naissent à la fin du XVIIe siècle et renaissent, sous des formes profondément renouvelées entre le XVIIIe et le XXe siècle. L’œuvre de Marie Catherine Le Jumel de Barneville, baronne d’Aulnoy, publiée en deux volumes – Les Contes des Fées (1697) ; Contes nouveaux ou les Fées à la mode (1698) – favorise la définition du genre, lors de sa naissance. En outre, les contes les plus connus de l’auteure, « l’Oiseau bleu », « le Nain Jaune », « la Belle aux Cheveux d’Or », « Serpentin Vert » et « la Princesse Printanière », participent à la renaissance du genre pendant le Long XIXe siècle. Pendant cette époque, Mme d’Aulnoy fascine les historiens pour sa vie déréglée, est comparée à Charles Perrault et transformée en Mother Bunch par les intellectuels romantiques tandis que ses contes merveilleux continuent à être lus et publiés, mais sous des formes très différentes par rapport aux premières éditions. Dans la première partie du XIXe siècle, les textes des contes sont lourdement modifiés afin de les adapter à un public plus large. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les contes sont réévalués dans la tradition lettrée. Certains éditeurs français récupèrent les récits originaux de Mme d’Aulnoy et les proposent aux lecteurs à l’intérieur d’éditions souvent illustrées.

Des éditeurs et des intellectuels étrangers proposent des traductions souvent fidèles des contes. Les textes adaptés sont encore très diffusés car l’adaptation permet de rapprocher les contes à une nouvelle conception du genre construite à partir des récits de Charles Perrault.

Dans cette même période, les récits de Mme d’Aulnoy permettent aussi de définir les caractéristiques de la littérature d’enfance et de jeunesse. L’illustration, présente dans de nombreuses éditions de l’époque, permet la participation des nouveaux volumes à la naissance du livre comme objet culturel. Les nombreuses rééditions des contes merveilleux les plus connus de Mme d’Aulnoy favorisent la création de réécritures et de transpositions pour le théâtre, présentes dans la culture anglaise. Les réécritures complètes – tout comme les transpositions – présentent des traits stylistiques qui relèvent du merveilleux perverti comme un renversement des conclusions, le mélange de plusieurs trames, la multiplication d’objets symboliques et une profonde transformation des personnages qui reflètent, désormais, la culture fin-de-siècle. La reprise de certains thèmes, motifs et personnages permet de mieux comprendre l’importance du souvenir littéraire dans le renouvellement du genre merveilleux. Les transpositions pour le théâtre permettent de souligner le lien qui existe entre le théâtre et les nouveaux moyens de reproduction graphique des images et l’évolution du spectaculaire. La presse illustrée tout comme les affiches des spectacles permettent d’attirer les spectateurs. Ce travail permet de souligner l’importance de la production de Mme d’Aulnoy et de mettre en relief en quel sens ses contes merveilleux ont contribué à enrichir plusieurs genres et plusieurs modèles relevant de la culture fin-de-siècle.

Title : The Fairy tales of Mme d’Aulnoy and their success in Europe (France ; Italy ; Great-Britain ; Germany) 1752-1935 Keywords : fairy tales ; fin-de-siècle literature ; Romanticism ; Madame d’Aulnoy ; book history ; illustration.

Abstract The marvelous is a genre born in the late seventeenth century and reborn, in deeply renewed forms, between the nineteenth and twentieth centuries. The literary production of Marie Catherine Le Jumel de Barneville, Baroness d’Aulnoy, published in two volumes – Les Contes des Fées (1697) and Contes nouveaux ou les Fées à la mode (1698) – helps to define the genre at its birth. The best-known tales of the author, such as “the Blue Bird”,

“the Yellow Dwarf”, “the Fair Maid with Golden Hair”, “Green Serpent” and “the Princess Springtime”, take also part in the renaissance of the genre during the Long Nineteenth Century.

During that time, Madame d’Aulnoy fascinated the historians for her unsettled life; she was compared with Charles Perrault and transformed into Mother Bunch by romantic intellectuals, while her tales continued to be read and published, in new forms. In the first half of the nineteenth century, they are part of anonymous editions, where the texts are heavily modified to be adapted to a wider audience and to an artistic conception of the marvelous.

During the second half of the nineteenth century, fairy tales are revalued as texts of the written tradition with consequences on their fortune. Some French publishers retrieved original stories and offered them to readers within illustrated editions. Foreign publishers and intellectuals offered precise translations of the tales.

Adapted texts are still widely known, because adaptation brings the tales closer to

a new conception of the genre built from the short tales of Charles Perrault. In this same period, Mme d’Aulnoy's tales promoted some reflections about the characteristics of children and youth’s literature in long prefaces dedicated to adult readers. The illustration, being in many volumes of the time, allowed the participation of the new editions at the birth of the book as a cultural object. The new editions of the tales promoted the creation of prose and verse rewritings and of transpositions for theater in England. Complete rewritings and transpositions presented stylistic features that fall under the concept of

“merveilleux perverti”, such as the reversal of conclusions, the fusion between two different stories, the proliferation of symbolic objects and a profound transformation of the characters who reflect the nineteenth century culture. Some themes and motifs make it also easier to understand the importance of literary memory in the renewal of the genre. Theater transpositions helped to highlight the link between theater and new means of graphic reproduction of images, and the evolution of spectacular elements.

The illustrated press as well as the posters of the shows made it possible to attract spectators through the colors, the staging of memorable characters or famous actors. To draw a conclusion, it is possible to say that this work underscores the importance of Ms.

d'Aulnoy's production and highlights how her wonderful tales contributed to enrich several genres and several models of late nineteenth century culture.

AGER

(4)

3

A

VERTISSEMENT

Cette thèse est le fruit d’un travail approuvé par le jury de soutenance et réalisé dans le but d’obtenir le grade de Docteur de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en- Yvelines. Ce document est mis à disposition de l’ensemble de la communauté universitaire élargie.

Il est soumis à la propriété intellectuelle de l’auteur. Ceci implique une obligation de citation et de référencement lors de l’utilisation de ce document.

D’autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction illicite encourt toute poursuite

pénale.

(5)

T

ABLE DES MATIERES

A

VERTISSEMENT

3

T

ABLE DES MATIERES

4

L

ISTE DES TABLEAUX

7

L

ISTE DES FIGURES

8

1. I

NTRODUCTION

14

2. P

REMIERE PARTIE

: L

A VIE DE

M

ME D

'A

ULNOY ET LA FORTUNE DE SES CONTES

26

I. La vie de l’auteure 30

II. La vie et l’œuvre de l’auteure vues par les historiens et les critiques littéraires 33 III. « Madame d’Aulnoy ou la fée des contes » : l’auteure comme figure imaginée 48

IV. Un aperçu chronologique des contes 57

3. D

EUXIEME PARTIE

:

LA RECEPTION DES RECITS MERVEILLEUX

94

V. Les premières nouvelles éditions des contes 97

A. Les imprimeurs 111

B. Les péritextes des nouvelles éditions : adaptation et naturalisation 115

C. Les textes : entre traduction et adaptation 123

D. Conclusions partielles : les nouvelles éditions romantiques 132

VI. Les éditions de la seconde moitié du siècle 134

A. Traducteurs et éditeurs : variété et différenciation 143

B. Les péritextes des nouvelles éditions 146

C. Les textes dans les nouvelles éditions : nostalgie et adaptation 155 D. Conclusions partielles : les contes de Mme d’Aulnoy pour des lecteurs adultes

171

VII. Les contes dans la littérature d’enfance et de jeunesse 172

A. Les auteurs et les éditeurs : la création d’un réseau 191

B. Les péritextes et la construction d’un cadre théorique 200

C. Les textes des contes dans la littérature d’enfance et de jeunesse 219

(6)

5

D. Conclusions partielles : Mme d’Aulnoy et la définition de littérature d’enfance

et de jeunesse 250

VIII. Conclusion générale de la deuxième partie 252

4. T

ROISIEME PARTIE

:

CREATION ET EVOLUTION D

UNE ICONOGRAPHIE POUR LES

CONTES

254

I. Texte-Image, la complexité d’un rapport ancien 256

II. La passion des illustrateurs pour les contes 262

III. Les éditions de luxe illustrées 271

Les frontispices des éditions des contes de Mme d’Aulnoy 280 IV. Imaginaire et images pour les contes de Mme d’Aulnoy 292

V. Les contes de Mme d'Aulnoy en objets 330

VI. Conclusion générale de la troisième partie 372

5. Q

UATRIEME PARTIE

:

LES REECRITURES DES CONTES

374

I. Les écrivains qui réécrivent l’œuvre de Mme d’Aulnoy 384 II. Reprises et échos : mémoire et dialogue intertextuel 392

A. Le motif de la métamorphose. 399

B. Les portraits des princesses 410

C. Les reprises et les détails : introduction 426

III. Echos et détails dans la littérature d’enfance et de jeunesse 434 IV. Echos et détails dans la littérature pour les adultes 444 V. Citation et réécritures complètes : exemples de merveilleux perverti 467

A. Les titres 469

B. Robert de Montesquiou, Maurice Mac-Nab et Robert de Bonnières : la valeur

du mélange dans la citation 470

C. La modernisation des contes dans les réécritures 473

D. La modification des trames narratives 476

E. Les portraits des personnages 481

F. Des référents fin-de-siècle dans les contes : style et objets 488

VI. Les réécritures des contes de Mme d’Aulnoy : conclusion 493

(7)

6. C

INQUIEME PARTIE

: L

ES CONTES DE

M

ME D

’A

ULNOY ADAPTES AUX SCENES

495

Mme D’Aulnoy 497

VII. L’adaptation des contes : dramaturgie et spectaculaire 516

A. Les trames 517

B. Objets et personnages : modernité et tradition 529

C. Les aspects idéologiques et les référents réels 554

VIII. Le spectaculaire 565

A. Éléments spectaculaires dans les pièce inspirées par Mme D’Aulnoy 566

IX. Le théâtre comme produit culturel 575

X. Conclusions partielles : les contes de Mme d’Aulnoy au théâtre 583

7. C

ONCLUSIONS GENERALES

585

8. B

IBLIOGRAPHIE

594

I

NDEX DES NOMS

667

(8)

7

L

ISTE DES TABLEAUX

Editions originales. p.66

Facsimile imparfaits et véritables facsimile. p.68

Réimpressions d’un seul conte. p.69

Anthologies de l’œuvre de Mme d’Aulnoy. p.73

Anthologies mixtes. p.76

Tableau 6 : La rencontre entre Florine et l’Oiseau Bleu dans la tour – images de la première moitié du siècle.

p.296

Tableau 7 : La rencontre entre Florine et l’Oiseau Bleu dans la tour – représentations de la seconde moitié du siècle.

p.300

Tableau 8 : « la Belle aux Cheveux d’Or » dans la première moitié de 1800. p.304 Tableau 9 : « La Belle aux Cheveux d’Or » après 1840. p.305 Tableau 10 : La Belle aux Cheveux d’Or délivre Avenant. p.311 Tableau 11 : La rencontre du Nain Jaune et de Toute-Belle. p.314

Tableau 12 : La laideur de Truitonne. p.318

Tableau 13 : Le portrait de Serpentin Vert. p.323

Tableau 14 : Le géant Galifron. p. 325

Tableau 15 : Histoire de l’Oiseau Bleu (Epinal, 1873). p.335

Tableau 16 : The Yellow Dwarf (1875-1901). p.347

Tableau 17 : « L’Oiseau Bleu », lanterne magique. p.368

Tableau 18 : « La Belle aux Cheveux d’Or », lanterne magique. p.370

Tableau 19 : Les pièces de théâtre. p.498

Tableau 20 : Les scènes de groupe. p.569

(9)

L

ISTE DES FIGURES

Fig. 1 CLINTON Peters, couverture pour THACKERAY RITCHIE (Anne) [et al.], The Fairy Tales of Madame d’Aulnoy, Newly Done into English, chromolithographie, Londres, 1892, Lawrence and Bullen [collection privée].

p.276

Fig.2 GASKIN (Arthur), couverture pour BARING-GOULD (Sabine), A Book of Fairy Tales, dorure,

Londres, 1894, Methuen and Co. [collection privée]. p.276

Fig.3 CLINTON Peters, en-tête pour « The Blue Bird », dans THACKERAY RITCHIE (Anne) [et al.],

op.cit., gravure, Londres, 1892, Lawrence and Bullen [collection privée]. p.278 Fig.4 CLOUZIER (Antoine), frontispice pour Les contes des Fées par Madame D***, gravure sur bois,

Paris, Claude Barbin, 1698 [archive en ligne : http://le- bibliomane.blogspot.it/2010/06/mon-cher-barbin-des-contes-de-perrault.html (consulté en avril 2018)].

p.280

Fig.5 Page de titre et frontispice anonymes dans Les contes des Fées par Madame D***, gravure sur bois, chez Meindert Uytwerf, marchand libraire, 1698 [image contenue dans SMITH (Paul J.),

«Fables Esopiques et contes de fées : l’imitation différentielle dans les frontispices », RELIEF 4, n. 2 (2010), p.40].

p.282

Fig.6 RAYMOND, frontispice dans Suite des Contes Nouveaux ou Les Fées à la Mode, gravure sur cuivre

Paris, Cie des Libraires, 1711 [dans J.P.SMITH, op.cit., p.41.] p.283 Fig.7 CLOUZIER (Antoine), frontispice dans Histoires ou contes de temps passé par Charles Perrault, Pairs,

Claude Barbin, 1697 [dans J.P.SMITH, op.cit., p.38.]. p.283

Fig.8 VAN VIANEN (Jean) allégorie frontispice dans Nouveaux Contes des Fées, gravure sur bois, Amsterdam, E. Roger 1708. [Archive en ligne. URL : http://utpictura18.univ- montp3.fr/GenerateurNotice.php?numnotice=A9301&premiere&tab=A9301-A9304- A9306-A9307-A9305-A9309-A9311-A9310-A9308-A9303 (consulté en décembre 2015)].

p.284

Fig.9 ANONYME, frontispice dans LEWALD (August), Blaue Märchen für alte une junge Kinder, gravure,

Stuttgart, Scheible, 1837 [coll. privée]. p.289

Fig.10 J. C. DEMERVILLE, frontispice dans Les Contes Choisis, chromolithographie, Paris, Librairie

Pittoresque de jeunesse, 1847. [coll. privée]. p.289

Fig.11 ANONYME, dessin de la page du titre, dans Contes des fées contenant la Reine de l'île des fleurs, l'Oiseau bleu, la Belle aux cheveux d'or, le Prince Désir, par Mme d'Aulnoy, gravure sur bois, Paris,

Derche, 1842. [Archive électronique Gallica [URL :

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9369369.image (consulté en décembre 2017)].

p.290

Fig.12 CRAMER (Rie), « Nearly Bedtime ! » frontispice en couleur dans DOUGLAS (Barbara), Favorite

French Fairy Tales, chromolithographie, London, G.G. Harrap & co., 1921. [coll. privée]. p.290 Fig.13 ANDREW B.L (atelier), frontispice dans le VIe volume de The Child’s Fairy Library, London,

Joseph Thomas, 1837. [Archive.org. URL :

https://archive.org/details/childsfairylibra03aulniala (consulté en décembre 2017)].

p.291

Fig.14 ANONYME, page du titre dans L’Oiseau bleu, conte des fées, par Madame D***, gravure sur bois, Monbéliard, Librairie de Deckherr frères, 1846 [gallica.bnf.fr URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k683588 (consulté en décembre 2015)].

p.295

Fig,15 ANONYME, frontispice dans L’Oiseau bleu, conte des fées, par Madame D***, gravure sur bois, op.cit. [gallica.bnf.fr URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k683588 (consulté en décembre 2015)].

p.295

Fig.16 ANONYME, en-tête de « L’Oiseau bleu », dans Contes des fées contenant la Reine de l’île des fleurs, l’Oiseau bleu, la Belle aux cheveux d’or, le Prince Désir, par Mme d’Aulnoy, gravure sur bois, op.cit.

[gallica.bnf.fr URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9369369/f23.image (consulté en janvier 2016)].

p.296

Fig.17 J.C.DEMERVILLE,11e planche dans Les contes choisis, lithographie, op.cit.1847 [coll. privée]. p.297

(10)

9

Fig.18 ANONYME, vignette dans Blaue Mährchen für alte und junge Kinder, gravure, op.cit. [coll. privée]. p.297 Fig.19 Lettrine pour le conte « L’Oiseau bleu », dans Les contes choisis, gravure, op.cit. [coll. privée]. p.298 Fig.20 ANONYME, en-tête pour « L’Oiseau bleu » dans Contes des fées, gravure, Paris, Garnier frères,

1860 [coll. Privée]. p.300

Fig.21 DESANDRE (Jules), en-tête pour « L’Oiseau bleu », dans M.GUERRIER DE HAUPT, Contes des fées par Mme d’Aulnoy, gravure sur bois, op.cit. [gallica.bnf.fr URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6581768x (consulté en octobre 2015)].

p.300

Fig.22 ANONYME, planche pleine page pour « The Blue Bird » dans Fairy Picture Book of Old Stories

chromolithographie, op.cit. [coll. de la British Library]. p.300

Fig.23 FORD (Henry James) vignette pour « The Blue Bird », dans LANG (Andrew), The Green Fairy Book, peinture à encre, op.cit. [gutember.org URL: https://www.gutenberg.org/ebooks/7277 (consulté en septembre 2012)].

p.300

Fig.24 STAAL (Gustave), vignette pour « L’Oiseau bleu » dans Contes de Madame d’Aulnoy, gravure sur

bois, Paris, Garnier frères, 1882 [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.301 Fig.25 STAAL (Gustave), en-tête pour « L’Oiseau bleu », dans Contes de Fées, gravure, Paris, L.

Hachette, 1889 [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.301 Fig.26 BROWNE (Frederick Gordon), vignette pour « The Blue Bird » dans PLANCHÉ (James

Robinson), Fairy Tales, by the Countess d’Aulnoy. Translated by J.R. Planché, dessin, op.cit. [coll.

privée].

p.301

Fig.27 Couverture dans CONTESSA M. C. D’AULNOY, L’uccellin bel verde ed altre fiabe,

chromolithographie, op.cit. [coll. de la Biblioteca Sormani (Milan)]. p.301 Fig.28 G. VAGNETTI (Gianni),vignette, dansCOLLODI (Carlo), op.cit., dessin, Firenze, Bemporad,

1925 [coll. privée]. p.303

Fig.29 PETERS (Clinton), vignette dans THACKERAY RITCHIE (Anne), op.cit. [coll. privée]. p.303 Fig.30 ANDREW BL (atélier), en-tête pour « The Beauty with Golden Locks » dans The Child’s Fairy

Library, op.cit. gravure [archive.org. URL :

https://archive.org/details/childsfairylibra03aulniala (consulté en décembre 2017)].

p.304

Fig.31 ANONYME, en-tête de « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Contes des fées contenant la Reine de l’île des fleurs, l’Oiseau bleu, la Belle aux cheveux d’or, le Prince Désir, par Mme d’Aulnoy, op.cit.,

gravure sur bois [gallica.bnf.fr URL :

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9369369/f23.image (consulté en janvier 2016)].

p.304

Fig.32 ANONYME, planche pleine page pour « The Fairy One with Golden Locks » dans Fairy

Picture Book of Old Stories, chromolithographie, op.cit. [coll. de la British Library]. p.305 Fig.33 STAAL (Gustave), vignette pour « La Belle aux Cheveux d’Or » dans Contes de Madame

d’Aulnoy, gravure, op.cit. (1882) [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.305 Fig.34 FORD (Henry James) vignette pour « The Story of Pretty Goldilocks », dans LANG

(Andrew), The Blue Fairy Book, Edited by Andrew Lang, dessin à encre, op.cit. [archive.org URL:

https://archive.org/details/AndrewLangsTheBlueFairyBook (consulté en septembre 2012)].

p.306

Fig.35 CLINTON (Peters), en-tête pour « Fair Goldilocks », dans TAHCKERAY Ritchie (Anne), The

Fairy Tales of Madame d’Aulnoy, Newly Done into English, dessin, op.cit. [coll. privée]. p.306 Fig.36 STAAL (Gustave), en-tête pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Contes de Fées, gravure,

Paris, L. Hachette, 1899 (réimpression) [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.306 Fig.37 ANONYME, planche dans Belle aux cheveux d’or, lithographie, London, Blackie & Son, 1907

[coll. de la British Library]. p.306

Fig.38 MORIN (Henry) première page pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Conte des fées, par Madame d’Aulnoy et Madame Leprince de Beaumont, illustrations de Henry Morin, op. cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France].

p.307

Fig.39 D’AVENE (Simone), en-tête pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans M.D’AULNOY, Contes

de fées (1935), op.cit. [coll. privée]. p.307

Fig.40 CRAMER (Rie) planche décorant « Goldenlocks », dans DOUGLAS (Barbara), Favourite French

Fairy Tales, dessin en couleur, op.cit. [coll. privée]. p.307

(11)

Fig.41 GORDON BROWNE (Frederick), planche pour « The Fair with Golden Hair », dans MME D’AULNOY et PLANCHÉ (James Robinson), in Fairy Tales, by theCountess d’Aulnoy. Translated by J.R. Planché, gravure, op.cit. [coll. privée].

p.307

Fig.42 STAAL (Gustave), vignette pour « La Belle aux Cheveux d’Or », Contes des fées (1883), gravure,

op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.311

Fig.43 FORD (Henry James) vignette pour « The Story of Pretty Goldilocks », dans LANG

(Andrew), The Blue Fairy Book, Edited by Andrew Lang, dessin à encre, op.cit. [archive.org URL:

https://archive.org/details/AndrewLangsTheBlueFairyBook (consulté en septembre 2012)].

p.311

Fig.44 PETERS (CLINTON), vignette pour « Fair Goldilocks », dans THACKERAY RITCHIE (Anne),

The Fairy Tales of Madame d’Aulnoy, Newly Done into English, dessin, op.cit. [coll. privée]. p.311 Fig.45 STAAL (Gustave), vignette pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Contes de fées (1899),

gravure, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.311 Fig.46 MORIN (Henri), illustration pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Conte des fées, par

Madame d’Aulnoy et Madame Leprince de Beaumont, illustrations de Henry Morin, op. cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France].

p.312

Fig.47 ANONYME, planche pour « The Yellow Dwarf », dans A Collection of Novels and Tales of the Fairies, Written by that Celebrated Wit of France, the Countess d’Anois, op.cit [archive.org URL : https://archive.org/details/acollectionnove01muragoog (consulté en janvier 2015)].

p.314

Fig.48 STAAL (Gravure), vignette pour « Le Nain Jaune », dansContes de fées, Garnier frères (1881),

gravure sur bois, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.314 Fig.49 Dessin à encre de FORD (HenryJames) in LANG (Andrew), The Blue Fairy Book, The Blue Fairy

Book, Edited by Andrew Lang, dessin à encre, op.cit. [archive.org URL:

https://archive.org/details/AndrewLangsTheBlueFairyBook (consulté en septembre 2012)].

p.314

Fig,50 GORDON BROWNE (Frederick (, vignette pour « The Fair with Golden Hair », dans MME

D’AULNOY et PLANCHÉ (James Robinson), in Fairy Tales, by the Countess d’Aulnoy. Translated by J.R. Planché, gravure, op.cit. [coll. privée].

p.314

Fig.51 CLINTON (Peters), dessin pour « The Yellow Dwarf », dans TAHCKERAY Ritchie (Anne), The

Fairy Tales of Madame d’Aulnoy, Newly Done into English, dessin, op.cit. [coll. privée]. p.315 Fig.52 GASKIN (Arthur), vignette pour « The Yellow Dwarf », dans BARING GOULD (Sabine), A

Book of Fairy Tales, gravure sur cuivre, op.cit. [coll. privée]. p.315

Fig.53 STAAL (Gustave), vignette pour « L’Oiseau bleu », dans Contes des fées, par Perrault, Mme d’Aulnoy, Hamilton et Mme Leprince de Beaumont, Garnier frères, 1883, gravure sur bois, op.cit.

[coll. de la Bibliothèque nationale de France].

p.318

Fig.54 STAAL (Gustave), planche pour « L’Oiseau bleu », dans Contes de Fées, (1899)

chromolithographie, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.318 Fig.55 ANONYME, planche pleine page dans Contes de fées tirés de Mme d’Aulnoy et de Mme Leprince de

Beaumont, lithographie, Guérin, 1907. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.319 Fig.56 ANONYME, planche pleine page et détail dans Les contes des Fées ou les enchantemens des bonnes et

mauvaises Fées. Nouvelle ed,, gravure, Billois, 1810. [coll. digitalisée URL:

http://utpictura18.univ-montp3.fr/GenerateurNotice.php?numnotice=A9445 (consulté en mars 2015)].

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Fig.58 STAAL (Gustave), deux vignettes dans Contes des fées, gravure sur bois, op.cit. (1883). [coll de la

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11

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Fig.63 STAAL (Gustave), vignette pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Contes de Fées, (1899)

gravure, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France]. p.326 Fig.64 CLINTON (Peters), planche pleine page pour « Fair Goldilocks », dans TAHCKERAY Ritchie

(Anne), The Fairy Tales of Madame d’Aulnoy, Newly Done into English, dessin, op.cit. [coll. privée]. p.326 Fig.65 GASKIN (Arthur),vignette pour « The Fair Maid with the Golden Locks », dans BARING

GOULD (Sabine), op.cit., gravure sur cuivre [coll. privée]. p.326 Fig.66 MORIN (Henry) planche plaine page pour « La Belle aux Cheveux d’Or », dans Conte des fées,

par Madame d’Aulnoy et Madame Leprince de Beaumont, illustrations de Henry Morin, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de France].

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Fig.69 Ve planche pour le volume Histoire de l’Oiseau bleu, chromolithographie, op.cit.

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Fig.71 XVIe planche pour le volume Histoire de l’Oiseau bleu, chromolithographie, op.cit.

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Fig.73 Ie planche dans Oiseau bleu, chromolithographie, op.cit. [coll. de la Bibliothèque nationale de

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internet de « La lanterna magica » URL : p.457

(14)

13

http://www.laternamagica.fr/resultat.plaques.php?id_serie=130 (consulté en mars 2015)].

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p.578

(15)

1. I

NTRODUCTION

Certains récits rédigés, au XVII

e

siècle, par un groupe d’écrivains français, parmi lesquels il y a Charles Perrault, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, Marie Catherine Le Jumel de Barneville baronne d’Aulnoy, Antoine Galland et Marie-Jeanne Lhéritier de Villandon, connaissent un succès durable dans le temps et permettent la consécration d’un nouveau genre, considéré révolutionnaire à l’époque : celui des contes de fées. Dans le livre Les contes de fées, du classicisme aux Lumières

1

, Jean-Paul Sermain met en valeur la portée profondément novatrice de ce genre, affirmant que « le conte de fées a été porté par une ambition exceptionnelle, puisqu’il conteste, par sa matière et le traitement qu’il en fait, les choix d’écriture de la grande génération classique et les certitudes rationalistes de la pensée »

2

. Si les trames des contes de fées remontent déjà au Moyen Age, si des histoires merveilleuses sont connues et narrées depuis des siècles, c’est au XVII

e

siècle que ces textes prennent les caractéristiques textuelles qu’on leur connaît. En premier lieu,

« les auteurs associent les contes de fées à d’autres types de récits »

3

: les contes merveilleux se trouvent dansles cadres de nouvelles, de romans ou de récits. Les contextes narratifs dont ces récits s’enracinent offrent un soutient poétique au genre en train de s’imposer

4

. Ces éléments narratifs, présents dans les volumes Les Contes des Fées (1697) et Contes nouveaux ou les Fées à la mode (1698), rédigés par Mme d’Aulnoy ou bien dans La Tour ténébreuse et les Jours lumineux (1705) de Mademoiselle Lhéritier, permettent souvent la mise en scène de l’acte de la narration et justifient la création de contes merveilleux

5

. Cet élément ne sert pas uniquement à introduire les récits merveilleux, mais il en situe la naissance dans le domaine des salons et de la cour : les contes sont considérés comme un loisir pour des adultes nobles et comme un défi artistique et littéraire. Les contes jouent, en particulier, un rôle important dans la discussion entre les

1 SERMAIN (Jean Paul), Les contes de fées, du classicisme aux Lumières, Paris, Editions Desjonquères, 2005.

2 Ibid.¸p.17.

3 Ibid., p.20.

4 Ibid., p.22.

5 ROBERT (Raymonde), « L’insertion des contes merveilleux dans les récits-cadres », Féeries [En ligne], 1 | 2004 [URL : http://journals.openedition.org/feeries/70 (consulté en mars 2018)].

(16)

15

anciens et les modernes. Cet aspect émerge, en particulier, de l’introduction que Charles Perrault propose avant ses contes merveilleux. Les Anciens regardent aux classiques de la littérature classique, grecque et latine, comme à un modèle à imiter, Charles Perrault oppose, comme l’affirme Jean Paul Sermain, « aux Anciens une imitation très surprenante : elle s’applique désormais non pas à des textes mais à une tradition labile, jusqu’à alors méprisée. Elle ne se meusre pas à un modèle parfait, elle vise à rappeller […] une expérience primitive. […] »

6

, aux rapports avec les souvenirs du passé et une

« émotion enfantine »

7

. Les auteurs de cette époque qui voit naître les contes merveilleux,

« jouent sur une impression générale de réminescene par reprise partielle d’un motif, d’une structure, d’un décor, d’une situation, ils évoquent le mouvement psychologique et moral qui est à l’origine lointaine : lié à l’oralité, à un dialogue, sinon à un public autour du conteur, au plaisir d’inventer et à un souci éducatif »

8

du conte plutôt qu’à la reprise fidèle des modèles anciens.

Au-delà des caractéristiques narratives, les contes merveilleux dans les recueils publiés à cette époque, partagent aussi certains thèmes : animaux qui parlent, créatures monstrueuses ou mythologiques se multiplient dans les pages des récits ; les protagonistes subissent l’influence de pouvoirs magiques incontrôlables incarnés par les fées ou les génies. Cette influence magique est parfois représentée par la métamorphose.

Les princes et les princesses incarnent aussi des valeurs idéales, tandis que leurs antagonistes sont des créatures hideuses qui suscitent l’horreur du public qui lit les contes.

Les récits merveilleux, ainsi structurés, continuent à fasciner les lecteurs et les artistes dans le temps, mais rarement dans la forme originale. Jean Paul Sermain affirme que « vers 1760, le conte de fées classique est à peu près arrivé au terme de son développement créatif »

9

. Cela est démontré par deux phénomènes que le critique littéraire souligne dans son étude : « d’une part, l’émergence de deux types de récits […] :

6 SERMAIN (Jean Paul), op.cit., p.34.

7 Ibidem.

8 Ibid.¸p.35.

9 Ibid., p.29.

(17)

le conte moral et le récit fantastique. D’une autre part, une série d’entreprise éditoriale qui dressent l’inventaire des contes »

10

, dont le premier volume, qui présente une collection encore restreinte, mais significative pour permettre la diffusion des récits de la d’Aulnoy, est celui conçu par Charles Jospeh de Mayer et intitulé Le Cabinet des fées, ou Collection choisie des contes de fées et autres contes merveilleux (1785-1789). La présence des récits merveilleux pendant l’époque des lumières suscite cependant de nombreuses questions.

Comment est-il possible d’accepter le conte merveilleux, récit qui narre des histoires farfelues, dans un univres culturel qui se veut dominé par la raison ? Jean Paul Sermain contribue à donner une réponse à cette question lorsqu’il affirme que les contes, et leur matière explosive, continuent à être lus et appréciés car les lecteurs et les penseurs de cette époque portent un regard différent sur ces récits. Les philosophes et les intellectuels regardent aux contes merveilleux comme à des narrations ayant un fond de vérité qui peut être découvert une fois effacés tous les éléments trompeurs

11

. Après s’être détaché « du frivole contenu des contes […], on peut découvrir en eux la vraie figure de l’esprit humain, les processus de leurs activités, voir l’interaction de la parole, de la curiosité, de l’imagination qui accrédite dans la conscience et les collectivités les plus étranges erreurs »

12

. Les contes merveilleux deviennent, donc, des mirroirs puissants, qui permettent de voir et d’étudier la nature humaine sous une forme allégorique. Comme une véritable mythologie moderne, les récits fournissent une clé de lecture de la nature humaine, qu’au XVIII

e

siècle est aussi parodique.

Les intellectuels de l’époque romantique perçoivent les contes merveilleux comme des véritables documents historiques d’un peuple ; comme des narrations fabuleuses créées dans les campagnes ou comme les récits de véritables rencontres entre des écrivains et des fées. Afin de véhiculer ces interprétations des récits merveilleux, les écrivains et les éditeurs de cette époque substituent les récits-cadres des premières éditions avec d’autres qui permettent une nouvelle mise en scène du merveilleux comme née dans les campagnes et d’une imagination collective. Aujourd’hui on sait – grâce

10 Ibidem.

11 Cf.Ibid., p.48.

12 Ibid., p.49.

(18)

17

notamment aux études de Ute Heidmann

13

– que cette interprétation n’est pas correcte d’un point de vue historique ou critique. Dans l’ouvrage Textualité et intertextualité des contes   : Perrault, Apulée, La Fontaine, Lhéritier

14

, Ute Heidmann et Jean-Michel Adam « se proposent de les « (re)lire » au plus près du « texte » et dans leur historicité, c’est-à-dire dans le contexte de la fin du XVII

e

. Ils visent ainsi à rendre compte d’œuvres d’écriture complexe réinventant le genre du conte, d’un dialogue intertextuel avec les textes anciens et modernes et de textes en prise avec leur contexte socio-historique et culturel de production et d’interprétation »

15

. Afin de comprendre les contes merveilleux dans leur contexte, les critiques littéraires mettent en « œuvre le principe de « comparaison différentielle » pour explorer la manière complexe dont les contes de Perrault, mais aussi ceux de Mme d’Aulnoy, « dialoguent »

16

avec les textes anciens et modernes et comment par ce jeu de reprises/différenciations s’opère une « reconfiguration » du genre »

17

. En effet, « pour l’auteure, Perrault n’imite pas les textes anciens […] mais les transpose et en reconfigure la signification »

18

. Les récits de Charles Perrault et de Mme d’Aulnoy sont une œuvre écrite à un moment précis de l’histoire et le résultat d’un travail que les écrivains mènent à partir d’hypotextes écrits plus anciens.

Suite à la fausse interprétation romantique des récits merveilleux, les imprimeurs et les éditeurs de la première moitié du XIX

e

siècle proposent des rééditions des contes présents dans Le Cabinet des fées, ou Collection choisie des contes des fées, et autres contes merveilleux (1785)

19

, dans lesquelles les contes sont lourdement modifiés et anonymes, pour mieux les adapter à cette vision fantasmée. Ces nouvelles éditions connaissent un succès remarquable et une diffusion étendue grâce notamment au colportage.

13 HEIDMANN (Ute) et ADAM (Jean-Michel), Textualité et intertextualité des contes: Perrault, Apulée, La Fontaine, Lhéritier... Paris: Editions Classiques Garnier, 2010.

14 Ibidem.

15 TISSOT (Fabienne), « Ute Heidmann et Jean-Michel Adam, Textualité et intertextualité des contes. Perrault, Apulée, La Fontaine, Lhéritier », Semen [En ligne] 30 (2011), [URL : http://journals.openedition.org/semen/9036 (consulté en juin 2018)], p.193.

16 Ibid., p.194.

17 Ibidem.

18 Ibidem.

19 MAYER (Charles-Joseph de) [éditeur], Le Cabinet des fées, ou Collection choisie des contes des fées, et autres contes merveilleux, Paris, Cuchet, 1785. Ce volume a permis, mieux que les éditions originales, une diffusion des contes merveilleux pendant le XVIIIe siècle.

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