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Pour une géographie des espaces poreux. Polymorphie et polysémie des communautés fermées

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Pour une géographie des espaces poreux. Polymorphie et polysémie des communautés fermées

MAGER, Christophe, MATTHEY, Laurent

Abstract

Cette huitième livraison d'Articulo - Journal of Urban Research – qui regroupe des communications issues du colloque titré « Les communautés fermées, entre innovation et fortification résidentielles » organisé en 2011 à l'initiative de la Fondation Braillard Architectes (Genève), de l'Institut de géographie de l'Université de Lausanne et de l'Institut des sciences de l'environnement de l'Université de Genève – construit une lecture délibérément paradoxale des espaces clos. Se pourrait-il que ceux-ci, à la fois réservés à l'entre-soi et enchâssés dans des enveloppes spatiales dont ils captent les ressources les plus à même de diminuer leur entropie, procèdent d'une logique appelant une théorie des porosités liminales ? Les six monographies rassemblées ici ont ainsi pour propos de travailler à une lecture des communautés fermées qui, tout en les soumettant à la critique, tendent à dépasser l'usuel rejet qu'elles inspirent pour mieux comprendre et discuter l'urbanité incertaine qui s'y dessine.

Elles cherchent surtout à dessiner les voies possibles d'une réarticulation de ces espaces [...]

MAGER, Christophe, MATTHEY, Laurent. Pour une géographie des espaces poreux.

Polymorphie et polysémie des communautés fermées. Articulo - Journal of Urban Research , 2012, no. 8, p. 7

DOI : 10.4000/articulo.2088

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:72829

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Articulo - Journal of Urban Research

8 | 2012 :

“Particules élémentaires”?

Pour une géographie des

espaces poreux. Polymorphie et polysémie des communautés

fermées

For a geography of pore spaces. Polymorphism and polysemy of the gated communities

C

HRISTOPHE

M

AGER AND

L

AURENT

M

ATTHEY

Abstracts

Français English

Cette huitième livraison d’Articulo - Journal of Urban Research – qui regroupe des communications issues du colloque titré « Les communautés fermées, entre innovation et fortification résidentielles » organisé en 2011 à l’initiative de la Fondation Braillard Architectes (Genève), de l’Institut de géographie de l’Université de Lausanne et de l’Institut des sciences de l’environnement de l’Université de Genève – construit une lecture délibérément paradoxale des espaces clos. Se pourrait-il que ceux-ci, à la fois réservés à l’entre-soi et enchâssés dans des enveloppes spatiales dont ils captent les ressources les plus à même de diminuer leur entropie, procèdent d’une logique appelant une théorie des porosités liminales ? Les six monographies rassemblées ici ont ainsi pour propos de travailler à une lecture des communautés fermées qui, tout en les soumettant à la critique, tendent à dépasser l’usuel rejet qu’elles inspirent pour mieux comprendre et discuter l’urbanité incertaine qui s’y dessine. Elles cherchent surtout à dessiner les voies possibles d’une réarticulation de ces espaces susceptibles de faire de la frontière un élément de porosité.

This eighth delivery of Articulo - Journal of Urban Research – which includes communications from the Colloquium titled "The gated communities, between residential

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innovation and fortification", organized in 2011 on the initiative of the Braillard Architects Foundation (Geneva), the Institute of Geography, University of Lausanne and the Institute of Environmental Sciences, University of Geneva - builds a deliberately paradoxical reading of (en)closed spaces. Could it be that these spaces – both reserved to togetherness as well as embedded in spatial envelopes from which they capture the most able resources to reduce their entropy – proceed from a logic calling for a theory of liminal porosities? The six monographs gathered here seek to work for a reading of the gated communities, that, while subjecting them to criticism, tends to go beyond the usual rejection they inspire to understand better and to discuss the uncertain urbanity they form. These contributions try especially to draw the possible ways of a rearticulation of these spaces able to make the border an element of porosity.

Index terms

Mots-clés : communautés fermées, espaces clos, frontière, porosité Keywords : gated communities, closed spaces, border, porosity

Full text

De l’avènement d’une troisième ville aux apories du typologisme...

Les communautés fermées constituent une forme urbaine parfois, sinon souvent, appréhendée dans une posture qui relève de l’irritation. De la quête d’un entre-soi sécurisé à la propension des plus privilégiés à faire sécession (Le Goix 2001, 2006), du désir d’un espace à soi à la volonté de privatisation des sites privilégiés (Smithsimon 2010), du spectre d’une ville fragmentée au cauchemar du pire des mondes possibles (Fullilove 2005), la diffusion des enclaves résidentielles privées et fermées apparaît en effet fréquemment comme une présence sombre planant sur l’avenir des villes et leur capacité à faire société (Low 2003, Charmes 2005). Rétablies dans un contexte épistémique plus ample – celui, idéal-typique, des rapports qu’entretiennent l’espace communautaire, l’espace public et l’espace privé dans la mise en tension de l’espace urbain en général –, l’émergence et la diffusion de cette forme urbaine signeraient ainsi l’avènement d’une troisième ville (Matthey 2008).

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À la ville d’Ancien Régime, qui inscrivait spatialement un espace de la communauté, aurait succédé une ville de la modernité, rendant son espace accessible à tous dans une logique d’uniformisation (Sennett 1978). La multiplication d’enclaves privées et/ou spécialisées qui accompagne de manière quasi simultanée le développement d’un espace public (Korosec-Serfaty 1991, Jost 1983) dessinerait les contours de ce qui pourrait être l’idéal-type de la ville contemporaine. Celle-ci pourrait être considérée comme un espace générique articulé par ce que les sociologues de l’école de Chicago appelaient des « régions morales », à savoir des « secteur[s] où prévaut un code moral divergeant ; [des] région[s] [de la ville] où les gens sont dominés, plus qu’on ne l’est d’ordinaire, par un goût, une passion ou quelque intérêt qui s’enracine dans la nature de l’individu » (Park 1925 [1995] : 130).

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L’idéal-type de la ville contemporaine renverrait ainsi à un espace composé notamment de communautés « affectuelles » entre lesquelles un individu mobile fluerait ; réalisant partiellement et provisoirement, certaines caractéristiques personnelles dans des espaces spécifiques de l’espace général. Les communautés

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... penserla polymorphie et polysémie des communautés fermées

Six monographies pour construire une lecture complexe

fermées dessineraient ainsi, dans la matérialité du territoire, les contours d’une socialité postmoderne métissant individualisme et désir d’être avec d’autres soi-même en s’agrégeant à des « personnalités collectives » dans un processus déjà thématisée par Richard Sennett dès 1978.

Il reste que les communautés fermées s’articulent à une forme générique qui est celle, large et diverse, des espaces dits clos, regroupant des configurations aussi diverses que des cours grillagées, des allées dont l’accès est contrôlé par un digicode, des espaces de sociabilités dont la devanture filtre l’accès à l’espace public en multipliant les signes communautaires, etc. Les efforts de théorisation se heurtent souvent à cette polymorphie et à cette polysémie de la clôture résidentielle.

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Éviter l’écueil du typologisme de la diversité passe par la prise en compte du fait que l’un des éléments transversaux des communautés fermées est, paradoxalement, une certaine porosité. Leur mise à distance spatiale, par la séparation, et sociale, par la célébration des mèmes (Blackmore 2007), reformulation contemporaine des

« personnalités collectives » de Sennett – ne les constitue en effet pas pour autant en systèmes absolument clos. Les communautés fermées composent de facto des organisations intermédiaires, sensibles aux espaces encadrants, mais aptes à en contrôler les flux (passages, circulations, etc.) (Merle 2011). Partant, la communauté fermée est une forme institutionnelle de l’entre-deux, qui, contrairement aux espaces anti-héros de Bonerandi et Roth (2007), revendique une intermédiarité différenciatrice, voire discriminante. Ce ne sont donc pas la forme de la clôture ou la morphologie des communautés fermées qui importent, mais les modalités de leur fabrication en tant qu’espaces écotonaux, c’est-à-dire des espaces, qui posés « à la limite » sont aussi « en contact ».

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C’est précisément à cette géographie des communautés fermées en tant qu’espaces poreux – à la fois réservés à l’entre-soi et enchâssés dans des enveloppes spatiales dont ils captent les ressources les plus à même de diminuer leur entropie – qu’aspire à participer ce numéro d’Articulo – Journal of Urban Research qui regroupe des communications issues du colloque titré « Les communautés fermées, entre innovation et fortification résidentielles » organisé en 2011 à l’initiative de la Fondation Braillard Architectes (Genève), de l’Institut de géographie de l’Université de Lausanne et de l’Institut des sciences de l’environnement de l’Université de Genève.

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De fait, c’est cette diversité des espaces clos, qui résulte du « déploiement d’un arsenal sécuritaire », que nous invite à découvrir Gérald Billard (« Entre fermeture et perméabilité, analyse des contrôles d’accès des résidences sécurisées en France »).

S’intéressant à la fois à leur diffusion et leur banalisation, l’auteur questionne la fragmentation des espaces urbains susceptible d’être produite par ces dispositifs. Il invite le lecteur à une lecture complexe dans un appel à une explicitation des gradients

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de fermeture des espaces clos.

Elisabeth Dorier, Isabelle Berry-Chikahoui et Sébastien Bridier (« Fermeture résidentielle et politiques urbaines, le cas marseillais ») s’attachent, contre certains a priori qui tendraient à en faire des lieux sans histoire, à rétablir ces espaces dans un temps long, celui des « héritages fonciers » ; ils révèlent, parallèlement, le poids très contemporain d’une « action municipale orientée vers l’attractivité territoriale et une offre immobilière spéculative ». L’article s’achève sur une question – certes rhétorique – énoncée sous forme de paradoxe : se pourrait-il que les espaces clos soient un moyen d’assurer la mixité sociale ?

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Fanny Vuaillat (« Les rues fermées : du collectif à la collectivité. Regards croisés Nantes/Recife ») travaille, pour sa part, à clarifier la question de savoir ce que signifient, au juste, les rues fermées pour les acteurs concernés. L’auteure montre ici comment « l’installation d’un obstacle au passage instaure une frontière qui impose un rapport négocié […] du collectif à constituer à la collectivité ». S’esquissent alors les linéaments de ce que l’on nommera un espace poreux. Un espace poreux qui résulte singulièrement de ce que « les pouvoirs publics […] laissent des marges de manœuvre à une négociation » en jouant de « frontières, physiques et juridiques, malléables et poreuses ».

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S’intéressant au cas de l’Île-de-France – et développant un regard qui est plus celui du praticien du territoire que du chercheur en sciences sociales ou en études urbaines – Céline Loudier-Malgouyres (« Les ensembles d’habitat individuel fermés en Ile-de- France. Des morphologies surprenantes, à l’encontre des images supposées ») aboutit à des résultats qui lui paraissent relever d’un registre qui est celui des messages à faible probabilité. L’auteure note en effet que « [c]es formes [encloses sont] plutôt bien intégrées à leur environnement urbain, participant même à l’effort actuel de densification urbaine ». Il lui apparaît néanmoins que « sans réellement contribuer au modèle redouté de ville fermée et sécurisée, ces formes urbaines, rigides et faiblement mutables, tendent [...] à figer le tissu urbain et à peser d’un poids non négligeable dans la gestion communale ».

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Magdalena Górczyńska (« Specificity of gated neighbourhoods in the Bielany district (Warsaw) ») s’intéresse quant à elle aux logiques présidant à la création de communautés fermées en Pologne. Elle cherche à discuter la question de savoir si ces espaces résultent ou non de pratiques sécuritaires. Sa monographie la conduit à une lecture prudente. Le sentiment d’insécurité n’explique que partiellement les choix résidentiels des personnes résidant dans les ensembles fermés de Bielany et qui inscrivent, au demeurant, leur vie dans des espaces diversifiés.

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Patrick Le Guirriec (« Les condominios brésiliens : des territoires politiques sans peuple »), enfin, s’attache à comprendre la dimension politique des espaces concernés par les dispositifs d’enclosure au travers d’une logique paradoxale de reterritorialisation du politique. C’est pourquoi il lui semble urgent « d’étudier les relations qui se nouent, tant à l’intérieur des murs, que dans les rapports avec la société globale », ne serait-ce que pour voir si ces nouveaux territoires du politique aspirent à faire sécession.

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Ces six monographies ont ainsi pour propos de travailler à une lecture des communautés fermées qui, tout en les soumettant à la critique, tend à dépasser l’irritation qu’elles inspirent pour mieux comprendre et discuter l’urbanité incertaine qui s’y dessine. Elles cherchent surtout à dessiner les voies possibles d’une ré- articulation de ces espaces susceptibles de faire de la frontière un élément de porosité ; tâchant, à l’heure de la remise en cause du collectif, de faire de chacun une « particule élémentaire » (pour reprendre Michel Houellebecq) – à la fois traversante et indisciplinée.

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Hors dossier, Éric Chauvier (« Itinéraires dans la périurbanité « molle » : entre tout-

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fonctionnel et résistance ») enquête, dans le prolongement du numéro 5 d’Articulo et de son ouvrage Contre Télérama, dans le quotidien des territoires périurbains – cherchant à en expliciter l’esthétique ordinaire et sa paradoxale dimension politique.

Martina Löw (« “Être-noir” (Blackness) : une pratique collective à Salvador de Bahia.

Faire de la sociologie urbaine après le “cultural turn” ») quant à elle, livre un essai de sociologie urbaine post-tournant culturel et réfléchit, en écho presque d’un article publié dans cette même revue en 2009, à la spécialisation des villes dans la production de segments d’un imaginaire collectif qui structure fondamentalement ce qu’être Brésilien veut dire.

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Bonerandi E., Roth H. 2007. Pour une géographie des espaces anti-héros. Au-delà de la banalité des espaces intermédiaires. Communication au colloque Les dynamiques territoriales : débats et enjeux entre les différentes approches disciplinaires. Grenoble,

ASRDLF. http://edytem.univ-

savoie.fr/d/asrdlf2007/pub/resumes/textes/Bonerandi_Roth.pdf.

Blackmore S. 2007. La théorie des mèmes. Paris, Milo.

Charmes E. 2005. La vie périurbaine face à la menace des gated communities. Paris, L’Harmattan.

Fullilove M. 2005. Root schock. How tearing up city neighborhoods hurts America, and what we can do about it. New York, One World.

Jost H. U. 1983. Promenades dans la ville. In Walter Fr. (éd.) Vivre et imaginer la ville : 18e- 19e siècles. Genève, Zoé : 83-95.

Korosec-Serfaty P. 1991. Le public et ses domaines. Contribution de l’histoire des mentalités à l’étude de la sociabilité publique et privée. Espace et société 62/63 : 29-63.

Le Goix R. 2001. Les communautés fermées aux Etats-Unis, les aspects géographiques d’une sécession urbaine. L’Espace géographique 30(1) : 81-93

Le Goix R. 2006. Les gated communities aux Etats-Unis et en France. Une innovation dans le développement périurbain ? Hérodote 122 : 107-137

Low S. 2003. Behind the gates. 
Life, security and the pursuit of happiness in Fortress America. New York, Routledge.

Matthey L. 2008. Le quotidien des systèmes territoriaux : lecture d’une pratique habitante.

Généalogie et description herméneutique des modalités de l’habiter en environnement urbain.

Berne, Peter Lang.

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References

Electronic reference

Christophe Mager and Laurent Matthey, « Pour une géographie des espaces poreux.

Polymorphie et polysémie des communautés fermées », Articulo - Journal of Urban Research [Online], 8 | 2012, Online since 28 June 2012, connection on 28 May 2015. URL :

http://articulo.revues.org/2088 ; DOI : 10.4000/articulo.2088

About the authors

Christophe Mager

Christophe Mager, economist and demographer, graduated from the Ecole des hautes études en sciences sociales in Paris and got a Ph.D. at the Faculty of business and economics of the University of Lausanne. Senior tenured lecturer at the Institute of Geography in Lausanne, he is particularly interested in territorial prospective and in spatial analysis of social inequalities.

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Laurent Matthey has a Ph.D. in geography from the University of Lausanne. Scientific director of the Fondation Braillard in Geneva, he also is lecturer at the Institute of Geography of the University of Neuchâtel. Laurent Matthey conducts research in different fields of urban studies:

urban politics, urban landscape production, new urbanism, social and environmental justice.

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Merle A. 2011, De l’inclassable à « l’espèce d’espace » : l’intermédiarité et ses enjeux en géographie. L’Information géographique 2(75) : 88-98.

DOI : 10.3917/lig.752.0088

Park R. E. 1925 (1995). La ville : propositions de recherche sur le comportement humain en milieu urbain. In Grafmeyer Y., Joseph I. (éds.) L’École de Chicago : naissance de l’écologie urbaine. Paris, Aubier : 83-130.

Smithsimon G. 2009. Inside the Empire. Ethnography of a global citadel in New York. Urban Studies 47(4) :1-26.

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