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Chapitre 8 : Se cultiver, vivre en société et produire à Andenne et à Huy.

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Chapitre 8 : Se cultiver, vivre en société et produire à Andenne et à Huy.

Depuis plusieurs semaines, nous vivons confinés. As-tu entendu parler de certaines difficultés que pouvaient rencontrer tes parents pour s’approvisionner ? Ont-ils dû changer leur façon de faire leurs courses ou changer leurs habitudes alimentaires ?

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Lis attentivement le document et réponds aux questions ci-dessous.

Doc 1

La pandémie de coronavirus pourrait provoquer une pénurie alimentaire mondiale et un effondrement des prix payés aux agriculteurs.

https://www.lalibre.be, Isabelle Lemaire (avec Belga & AFP) Publié le 14-04-2020 à 09h56 -

Restrictions d'exportations, stocks de denrées qui ne se vendent plus : avec la pandémie de coronavirus, tout concourt à une nouvelle catastrophe pour le monde agricole et les habitants des pays pauvres.

La pandémie de coronavirus, les perturbations dans la chaîne d’approvisionnement des produits alimentaires et les mesures protectionnistes prises par les États pour juguler la propagation du Covid-19 pourraient causer une pénurie alimentaire mondiale, ont averti le 1er avril les présidents de l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et

l'agriculture, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et de l'Organisation mondiale de la santé.

"Les incertitudes liées à la disponibilité de nourriture peuvent déclencher une vague de restrictions à l'exportation", provoquant elle-même "une pénurie sur le marché mondial", ont-ils déclaré dans un communiqué commun. Ils s'inquiètent notamment du

"ralentissement de la circulation des travailleurs de l'industrie agricole et alimentaire" qui bloquent de nombreuses agricultures occidentales, et des "retards aux frontières pour les

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2 containers" de marchandises qui entraînent un "gâchis de produits périssables et une hausse du gaspillage alimentaire". "Nous devons nous assurer que notre réponse face à la pandémie de Covid-19 ne crée pas, de manière involontaire, des pénuries injustifiées de produits essentiels et exacerbe la faim et la malnutrition", concluent-ils.

Plusieurs pays, parmi les plus importants producteurs et exportateurs de certaines denrées de base (le Vietnam pour le riz et le Kazakhstan pour la farine de blé) ont temporairement suspendu leurs exportations. La Russie, gros producteur de blé pourrait faire de même. De quoi rendre les marchés nerveux, avec une envolée des prix et des ruptures de stock à la clé. A la lumière de cette situation, il devient urgent de se repencher sur la question de l’autonomie alimentaire de l’Europe, estiment certains.

Appel à l’Europe pour stocker les invendus

Des États membres et syndicats agricoles demandent à l’Union européenne d’aider à constituer des stocks de denrées alimentaires qui ne se vendent presque plus à cause de l’épidémie de coronavirus. Avec la fermeture des restaurants, des cantines scolaires et des marchés, des produits comme les produits laitiers et le poisson frais sont en mal d’acheteurs. Il faut dès lors envisager et financer une solution de stockage privé afin d’éviter une chute dramatique des prix payés aux producteurs et un gaspillage alimentaire qualifié de "sans précédent" par l’eurodéputé français Eric Andrieu. La Belgique soutient cette option. D’autres voix s’élèvent pour demander à l’Europe un stockage public des produits laitiers et de la viande d’agneau pour maintenir les prix à un niveau acceptable pour les agriculteurs.

La pomme de terre belge en danger

Ce sont les associations professionnelles qui le signalent : "le secteur belge de la pomme de terre est profondément secoué par la crise mondiale du coronavirus". Alors que les Belges se sont jetés sur les chips, les pommes de terre fraîches et surgelées en cette période de confinement et que la demande reste élevée, des producteurs rencontrent pourtant de gros soucis.

Le contexte est le suivant. La Belgique exporte une très grande partie de sa production de pommes de terre et les problèmes de logistique s’accumulent à cause de blocages aux frontières et de manque de conteneurs. De plus, des entreprises intermédiaires qui fournissent les chaînes de fast-food ont temporairement cessé leur activité, tout comme ces restaurants. Les débouchés de vente deviennent donc plus rares. Les pommes de terre stockées dans les hangars des producteurs qui n’ont plus d’acheteurs ne vont pas se conserver indéfiniment. Les pertes pourraient donc être très importantes pour ces

agriculteurs belges.

1) Définis le mot pénurie.

Vidéo : https://www.1jour1actu.com/info-animee/cest-quoi-une-penurie

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3 2) Cite 3 éléments différents qui pourraient expliquer une pénurie alimentaire ?

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3) En quoi consiste la suspension des exportations ?

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4) A contrario, pourquoi les prix de certains produits risquent-ils de diminuer fortement ?

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……….. . 5) Pourquoi la situation de la pomme de terre belge est-elle particulièrement

contradictoire ?

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4 Doc 2

Coronavirus en Belgique: pourquoi est-il difficile de trouver de la farine en grande surface ?

https://www.rtbf.be, Céline Biourge

Publié le vendredi 10 avril 2020 - Mis à jour le vendredi 10 avril 2020 à 19h49

Illustration - La demande exponentielle de farine n'est pas la seule raison de sa pénurie dans les grandes surfaces. - © FREDERICK FLORIN - AFP

Depuis le 13 mars, date des premières mesures contre le coronavirus en Belgique, certains produits plus que d’autres sont difficiles à trouver dans

les grandes surfaces. Et c’est principalement le cas pour la farine. Un produit devenu phare comme l’explique Aurélie Gerth, porte-parole de Carrefour Belgique : "On a fait une liste des produits qui ont connu la plus forte croissance depuis la crise, et en numéro un, c’est la farine. D’ailleurs,

le papier toilette n'est même pas dans le top 10 !".

Comment expliquer cet engouement ? D’abord parce que vous êtes

nombreux à retrouver le plaisir de faire du pain maison. Ensuite, parce que la pâtisserie avec les enfants est également devenue une activité fort prisée en cette période de confinement.

Un problème de conditionnement

Mais cette demande exponentielle n’est pas la seule raison de cette

pénurie : "Nous sommes habitués en farine de faire soit du vrac soit de faire des sacs de 25 kg. Mais quand on doit aller sur des sacs de 1-2 ou 5 kg, il faut une autre organisation. Il faut des ensacheuses qui puissent le faire, et certainement aussi des sacs", explique Claude Bodson, négociant en céréales.

De la farine, il y en a donc largement en suffisance en Belgique. Nous en produisons assez et la prochaine récolte reste encore à venir. Et si demain vous en voulez une tonne, vous en trouverez facilement.

Le problème, c’est le conditionnement (le petit conditionnement ne représente que 2 à 5% de la distribution en Belgique) car les moulins, équipés d’une machinerie capable de produire de petits emballages, sont

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5 plutôt rares. Il y en a deux en Wallonie. Les Moulins de Statte à Huy en font partie.

Une désindustrialisation qui coûte cher

Depuis le 13 mars, son propriétaire, Guy De Mol, est largement sollicité. Il a plus que doublé sa production et travaille aujourd’hui six jours sur sept. Et s’il a du mal à suivre, c’est à cause de la désindustrialisation : "Du fait de la désindustrialisation de cette région depuis 30 ans, il y a beaucoup de secteurs qui tournent autour de notre entreprise qui ne sont plus là ou qui sont en raréfaction de produits. Au premier rang desquels : les sacs.

Aujourd’hui, il y a de moins en moins d’imprimeurs, de faiseurs de papiers et donc quand vous vous adressez à des fournisseurs en 1, en 2 ou en 5 kg, les gens vous disent qu’ils sont à court de stock !"

C’est d’ailleurs également le cas pour les étiquettes. Ce qui l’oblige

actuellement à faire des emballages avec des sacs blancs et d’imprimer les étiquettes réglementaires (dans les deux langues), qu’il doit ensuite coller sur les sacs : "C’est énormément de main-d’œuvre. Cela prend beaucoup de temps de faire une tonne en 2 ou en 5 kg. Et aujourd’hui, on nous annonce des délais de trois à quatre mois pour nous fournir à nouveau en sac !"

"Repensons notre modèle localement !"

Guy De Mol précise que "depuis toujours, et c’est normal, la grande distribution a des marges très petites et donc il fallait que ses acheteurs principaux achètent au bas prix. Et donc, quand vous allez dans les rayons de la grande distribution aujourd’hui et que vous regardez le prix d’attaque du 1 kg, c’est un sachet de farine aujourd’hui qui n’est pas produit avec des blés belges (et en tout cas pas wallon). Il n’est pas moulu dans un moulin belge. Et, il est emballé sans doute avec des emballages provenant d’on ne sait d’où."

Pour lui, il faut donc repenser localement : "C’est une crise dramatique, mais c’est clairement une opportunité aujourd’hui pour notre secteur et l’ensemble des secteurs de l’alimentation de dire : 'Repensons notre modèle localement !'".

1) Pourquoi est-il difficile de trouver de la farine en supermarché aujourd’hui alors que la Belgique en produit largement assez pour répondre à la demande ?

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6 2) Où se trouve donc le vrai problème au niveau de la filière ?

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3) D’après Guy de Mol quelle serait la solution pour ne plus rencontrer ce problème ?

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Nous pouvons donc constater aujourd’hui, que dans le contexte d’une crise comme on la connait avec le coronavirus, l’extrême dépendance de la Belgique à d’autres pays posent de gros

problèmes. La pénurie des masques au début de la crise ou dans le doc 2, la pénurie de l’emballage et de l’étiquetage alimentaire n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Gardons l’exemple du papier nécessaire aux étiquettes sur les sacs de farine et posons-nous ces deux questions qui guideront la suite de notre travail.

1) La situation que l’on connait aujourd’hui, de dépendance internationale, a-t-elle toujours été la même ? Qu’est-ce qui a changé au fil du temps ?

2) Ce système économique est-il le seul possible ? Quelles sont

les alternatives possibles ?

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1) La situation que l’on connait aujourd’hui, de dépendance internationale, a-t-elle toujours été la même ? Qu’est-ce qui a

changé au fil du temps ?

A) Observe et lis attentivement les doc 8 et 9 de la séquence 8 du référentiel. Complète le tableau ci-dessous. SF1, SF 3, SF4.

Doc 8 Doc 9

Carte d’identité du doc : Quoi ?

Qui ? Quand ? Où ?

Carte d’identité du doc : Quoi ?

Qui ? Quand ? Où ?

Peut-on lui faire confiance ? Justifie (Sujet, période, lieu)

Peut-on lui faire confiance ? Justifie (Sujet, période, lieu)

Concrètement, qu’est-ce que le doc t’apprend ?

Concrètement, qu’est-ce que le doc t’apprend ?

B) Localisation p 115 du cahier d’activité.

C) Facteurs de localisation ect p 119 à 125

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2) Ce système économique est-il le seul possible ? Quelles sont les alternatives possibles ?

Doc1

Le boom du circuit-court: les producteurs tiennent-ils le coup?

https://www.moustique.be/ Par Marise Ghyselings, Mardi 7 avril 2020 - 14:45 Face à la pandémie qui a bouleversé notre quotidien, les producteurs ont, eux aussi, dû s’adapter. Témoignages, entre succès et galères.

Le coronavirus se révèle être un nouveau défi pour les producteurs et maraîchers belges. Avec la fermeture des restaurants et des marchés, ils sont nombreux à devoir trouver d’autres moyens pour écouler leur

marchandise. La vente directe, en épicerie, via plateforme en ligne et les livraisons sont autant de plans B, qu’ils étaient nombreux à pratiquer déjà avant la crise. “Les producteurs wallons ont rarement un seul canal de distribution”, explique Claire Olivier, du Centre Interprofessionnel Maraîcher, qui regroupe une centaine de membres. Parmi ces derniers, un seul

producteur était exclusivement orienté vers les marchés. “Il a dû se tourner vers une solution alternative, il a décidé de faire des livraisons”. Pour les autres, le bilan est plutôt positif.

Ruée vers le circuit-court

Depuis le début du confinement, de plus en plus de Belges se tournent vers les commerces de proximité. Les fermes disposant d’un magasin ou

proposant des paniers tournent à plein régime. “Les demandes ont explosé, et certains n’arrivent pas à suivre. Les producteurs disent qu’ils ont doublé voire triplé leurs commandes habituelles”, constate la conseillère technique au CIM. Près de Nivelles, au coeur des champs, le petit magasin de la Ferme de la Baraque ne désemplit pas. Les frères De Paepe à la tête de cette entreprise familiale en sont ravis, même si cette nouvelle vague de clients augmente inévitablement le risque de contamination. “C’est un grand stress surtout pour mon épouse, qui gère le magasin. Même si on prend toutes les mesures de sécurités nécessaires, il y a toujours ce risque. C’est ça le plus dur”, explique Jan.

Bernard Deconinck est également confiant, malgré la perte temporaire de ses clients restaurateurs. “Je me tracasse pour eux parce que le milieu était déjà en difficulté. Mais aujourd’hui, on se fait de nouveaux clients”, confie le responsable de la Ferme de Gentissart à Villers-la-Ville, à quelques jours du début de la saison des asperges. “Beaucoup de gens redécouvrent la vente locale. Si par après on garde ces nouveaux clients, tant mieux, mais je pense que certains sont là parce qu’ils veulent simplement une excuse pour sortir de chez eux.” D’autres ont certainement voulu éviter les supermarchés

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9 pris d’assaut pour se tourner plutôt vers le circuit-court où l’échange social est plus présent, même à distance.

Manque de main-d’œuvre

Si une bonne partie des maraîchers parviennent à écouler leur production en ce début de crise, le CIM craint tout de même un manque de main d’oeuvre pour les récoltes à venir. “Pour les maraîchers, c’est une période creuse. Ils terminaient la production des légumes d’hiver et commencent maintenant celle des légumes d’été”, explique Claire Olivier, inquiète pour la suite. Le secteur horticole belge emploie quelques dizaines de milliers de saisonniers - de 15.000 en avril à 40.000 en mai -, majoritairement des travailleurs en provenance des pays de l’Est, qui ne pourront pas venir en Belgique en raison de la fermeture des frontières.

Luc Warnez comptait sur ces bras pour récolter plus de deux tonnes de fraises par jour. Après son passage au journal télévisé de RTL, le fraisiériste de Wépion a reçu de nombreuses demandes de volontaires. Mais un détail coince pour le moment: “un chômeur qui travaille en tant que saisonnier perd ses allocations de chômage”, explique Claire Olivier, en attente d’une décision du ministre fédéral à ce propos. Mais les fraises n’attendent pas.

“On va faire appel aux étudiants, aux jeunes travailleurs et aux réfugiés.

Normalement ça devrait aller”, confie Luc Warnez, sans pour autant crier de joie. La saison sera difficile. “On va s’organiser au fur et à mesure que la production arrive. Si on ne parvient pas à avoir assez d’argent pour replanter, on replantera moins. On continuera toujours, mais ce sera

beaucoup moins”, regrette ce producteur dont l’exploitation existe depuis 80 ans.

Pour certains, c’est catastrophique.

Pour Bernard Deconinck, qui pense avoir son équipe au complet, l’inquiétude se situe plutôt sur le long terme. “On a reçu beaucoup de sollicitations de volontaires pour venir nous aider. Mais si, imaginons, le confinement est levé dans trois semaines, notre saison de maraîchage ne sera pas finie. Dans mon cas, elle dure deux mois et demi. Cela veut dire que dans trois semaines, je devrai commencer à recruter des gens? On recommencerait à zéro alors qu’on atteindrait notre pic de production, c’est problématique”, se projette le maraîcher qui reste tout de même optimiste.

Surtout lorsqu’il compare sa situation à celle d’autres producteurs. “Pour certains, c’est catastrophique”. Le secteur laitier risque de payer au prix fort la crise actuelle. “Une perte de 15% en un mois”, selon L’Avenir.

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10 Doc 2

Relocalisation ou diversification : le débat du monde d’après (1) 21.04.2020

https://www.michel-edouard-leclerc.com/ (préside le Comité Stratégique des centres commerciaux E. Leclerc)

Va-t-on relocaliser les productions ("démondialiser" dirait Montebourg) ou retourner au monde d’avant ?

Une chose est sûre : le COVID-19 a montré cruellement les risques de pénurie dans la production nationale (en produits finis, comme en consommations intermédiaires, voire même en main d’œuvre !). L’affaire des masques chirurgicaux, c’est "LE" symbole.

La mondialisation facile des dernières décennies a fait croire qu’il y aurait toujours un fournisseur disponible quelque part. Le COVID-19 a démontré le contraire.

Challenges affirmait récemment que 20 à 50% des composants d’automobiles produites en France venaient de Chine. Quand Wuhan s’enrhume, Paris ne peut que tousser.

Nombre de dirigeants réexaminent aujourd’hui leurs chaînes de valeur et analysent leur dépendance non plus à des fournisseurs, mais à des zones de production.

L’État relancera peut-être la production de masques Made in France… ou peut-être reconstituera-t-il ses stocks de masques chinois, cette fois en quantités supérieures.

Les chefs d’entreprise s’interrogeront : dois-je diversifier mes zones d’approvisionnement ou dois-je reprendre toute ma production en propre ? Dans les deux cas, je ne crois pas que ce sera forcément synonyme de relocalisation dans l’Hexagone. Et vous, qu’en pensez-vous ?

D’après ces documents, quelles réponses pourraient amener le monde de demain pour ne plus se retrouver dans cette situation ?

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Concrètement, à notre échelle comment pouvons-nous faire pour changer les choses ?

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Références

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