TABLEAUX TABLEAUX ANCIENS ET MODERNES DE L'ÉCOLE FRANÇAISE. De feu le D ISAMBERT LA MARQUISE DE POMPADOUR PAR NATTIER M 6 ESCRIBE.

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TABLEAUX

ANCIENS ET MODERNES

DE LA COLLECTION

De feu le D

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ISAMBERT

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TABLEAUX

DE L'ÉCOLE FRANÇAISE

DONT L'UN REPRKRENTK

LA MARQUISE DE POMPADOUR

PAR NATTIER

M

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ESCRIBE

COMMISSAIRE -PR

ISEDR 6, rue de Hanovre,

M. HARO * PEINTRE -EXPERT

14, rueVisconti, etrue Bonaparte,^'20

TABLEAUX

ANCIENS ET MODERNES

DE LA COLLECTION

De feu le D

^r

ISAMBERT

ET

TABLEAUX

DE L'ÉCOLE FRANÇAISE

DONT L'UN REPRÉSENTE

LA MARQUISE DE POIPADOUR PAR NATTIER

VENTE HOTEL DROUOT, SALLE N° 8

Le Vendredi 9 Mars 1877

A 2

HEURES

1/2

-2*C=—

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EXPOSITIONS

PARTICULIÈRE Le Mercredi

7

Mars 1877

M

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ESCRIBE

C MM ^ISSAIRE^-PRIS F.l'1 6, rue du Hanovre, ô

PUBLIQUE

Le Jeudi

8

Mars 1877

M. HARO * PEINTRE-EXPERT

11,rueVisconti, et rueBonaparte, 20

Chez

lesquels se dislribue le Catalogue

CONDITIONS DE LA VENTE

Elle sera faite au comptant.

Les acquéreurs payeront 5 pour 100 en sus des adjudications.

CE CATALOGUE SE DISTRIBUE

A PARIS CHEZ

M» ESCRIBE COMMISSAIRE

^- rR ISR U R

C, ruedu Hanovre,C

M»

HARO * PBINTKB-BXrSRT

14,rueVucouti,etrue Bonaparte.20

Le nom du docleur Emile Isambert éveille dans

l'esprit

de précieux souvenirs d'une

vie

honorable par- tagée entre

la

science et

l'art.

Fils

d'un jurisconsulte éminent, Emile Isambert a cherché sa voie en dehors des études du droit.

S'étant d'abord appliqué à

la

chimie,

il

y ^{puisa cet}

amour des sciences naturelles qu'il a

si

heureusement développé, et devenu bientôt attaché d'ambassade,

il

prit aussi le goût des voyages, parce

qu'il

y

^{vit le}

meil- leur moyen d'étudier les questions d'art qu'il était jaloux de connaître.

^Il

parcourut une partie de

l'Alle-

magne et presque toute

l'Italie.

Le sens esthétique qu'il avait reçu de

la

nature

s'affina,

pour ainsi dire, au contact des chefs-d'œuvre

qu'il

étudiait avec un zèle enthousiaste. Doué d'une nature ardente, infatigable,

il

suivit dès

les

premières années de sa jeunesse

la

double voie

qu'il

devait parcourir tour

à

tour et à ce labeur

il

a épuisé ses forces. Médecin, géographe, critique

d'art, il

mêlait

les

voyages aux concours,

l'art

à

la

science, les

études sur

les

primitifs à ses recherches sur

le

chlorate de potasse, les travaux laryngoscopiques

à la

lecture des hiéroglyphes; car

il

avait toutes

^les

curiosités et toutes

les

aptitudes.

De plus autorisés parleront de sa vie médicale, de son dévouement professionnel

^,

de ses travaux

comme professeur agrégé à

la

Faculté de médecine et

comme médecin des hôpitaux de Paris;

titres

dus à de brillants concours.

Ses recherches ethnographiques et géographiques dont

il

a consigné

les

résultats dans son guide en Orient sont une autre preuve de cette existence

si

bien remplie

et si

studieuse.

Pour nous, qui avons toujours vécu dans son

inti-

mité, bien que l'amitié dût nous entraîner

à

prolonger cet éloge, nous devons nous arrêter en nous bornant

à

signaler au public son intéressante collection.

HARO.

DESIGNATION

ANGELIGO (Giovanni

fra.

di Fiesole)

(Attribué _à)

1.

— Jésus

et les

Docteurs.

Le Denier deCésar.

B.

—

H., 0",25. L., 0»>,22.

ANDRE DEL SARTE

(École de)

2.

— Le

Christ

mort, soutenu par Joseph d'Arimalhie au moment de l'ensevelissement.

B.

—

H., 0°\77. L., 0»,60.

ASSELYN (Jean)

3.

— Paysage

italien.

Vue

prise

aux bords du Tibre.

j?

^**','*'

T.

—

H., 1-.00. L.. 1

m

_,3o.

& 2&!>V ^{yr^.}

— 6 —

BACKHUYSEN (Lldoff)

<7 t? £

^{^'}

— Entrée du port de Flessingue.

Vue

priseparun grostemps.

Signéà droitesurune épave : L. B.

T.

—

H., ⁿ\S9. L.. 0'".86.

BAROCCI (Federico)

5.

— Décollation de

saint

Jean.

T.

—

H., ',64. L., 0"',49.

BARTOLOMEO (Fra)

(École de)

G. — La Madeleine au pied de

la

Croix.

B.

—

IL,

m

_{,2/. L., 0'\10.}

&0

BERGHEN (Dirck. Van)

Le Retour du marché.

Paysage avecfigures. Effetdesoleil coucliant.

B.

—

H., 0">, 33. L.,0">

:/,G.

't&

4&0

—

⁷

BOUCHER (François)

?

«

8. — Vénus.

Ladéesse, assise àdemi-vêlue,a près d'elle deux colombes.

Ancienne collection de M. Verdier de Bordeaux.

T.

—

H., m

,70. L., C°",57.

BOSCH (Jérôme)

Peintre, sculpteur etgraveur, né à Bois-le-Ducen

U50.

9.

— L'Adoration des Mages.

B.

-

H., 4m

,28. L., 0"\72.

BREUGHEL (de Velours).

10. — Paysage

et

vue d'une

ville

incendiée,

petites figures peintes

avec

la finesse

d'une miniature.

C.

—

^H.,

^m

,18. L.,0™,25.

BREKELENKAMP (Quiryn van)

1.

— Le Médecin empirique. •/^

B.

—

H., 0»,3*. L.,0m

,25.

"i^f^

*3

BRIL (A.)

12. — L'Ermitage.

Anachorète dans une grotte, à gauche, fond de paysage!

Signéà droitesur

un

troncd'arbre: A.Bril, etdaté : 1596.

C.

—

H.,O'",^. L., 0">,23.^•

BRIL (Paul)

(Attribué _à)

•-/

'

tf ^d3. — Le Bon Samaritain.

B.

—

H., m

,23. L., 0»',34.

GASTIGLIONE (Benedetto)

ih- — OITrande au dieu Pan.

Pâtres, satyresetanimaux.

Forme

ronde.

—

^m,27.

CRANACH (Lucas Sunder)

Dit leVieux.

jCy O ^15. — Léda

(d'après

Léonard de

Vinci).

(Collection Demidoff)

B.

—

H., m

,50. L., 0»',38.

—

9

.CRANACH (Lucas Sunder)

(Le Vieux)

fajpj^

46. —

Portrait

de Martin Luther.

IIestreprésentégrandeurnaturelle,vuàmi-corps,montrant au spectateur

un

^livre ouvert surlequel on lit en allemandla

premièreépître à Timothée.

Ce peintre,

un

desplusgrandsartistesquel'Allemagneait produitfut

un

des premiers adeptesdela doctrinede Luther, dontil partagea volontairement ^la captivité, etcequi rend ce portrait doublement précieux, c'est que les changements, les repentirsindiquentqu'ila été peint d'aprèsnature.

Signé

du

Dragon etdaté : 1539.

B.

—

Haut. m

,82. Larg. m_,62.

-Y-^œt?

CRANACH (Lucas Sunder)

— Vénus

et

l'Amour.

En

haut, on litledistiquesuivant:

Oceani

quondam

spumis Venusorta ferebat,

Nunc

spumis, Luca, Vino renatatuis.

B.

—

H.,4-,00. L.,

O"^?.

CRANACH (Luc Sunder)

18. — Lucrèce.

B.

—

H., 0»,45. L., 0»,2Z».

z

V

JJ

{

—

10

—

CRANACH (Luc Sunder)

(LeJeune)

J9. — Lucrèce.

B.

—H.,

^m,28. L., m_,22.

CERQUOZZI (Michel-Ange des Batailles)

^/ ^{y/° 20.} —

Raisins,

pêches, pastèques

et fruits divers.

T.

—

H., m

,86. L., 0"',96.

COQUES (Gonzalès)

^/("û ^21. —

Portrait

d'homme.

y

^Ovale.B.

—

^{H., m,14. L.,} m ,M.

DELACROIX (Eugène)

^y ⁽⁷ 22. — Notre-Dame des Douleurs.

Esquissedu premier tableau exécuté par

Eugène

Delacroix danssajeunesse,pourlachapelle des

Dames

du Sacré-Cœurà Nantes.

Provientde lavente d'Eugène Delacroix sousle n° 133.

T.

—H.,

0"\40. L., m_,27.

11

—

DELACROIX (Eugène)

23. — La Montée au Calvaire.

D'aprèsle tableaude

Rubens

quiestau

musée

deBruxelles.

Provient de la vented'EugèneDelacroix. N° 165

du

Cata- logue.

T.

—

H., 0™,58.L., 0«,40.

DELACROIX (Eugène)

25. — Bacchante couchée.

Esquisse provenant de la vente d'Eugène Delacroix. Sous

len"128.

T.

—

H., m

,36. L., m

,45.

DERELLE

26. — Jeune Femme jouant de

la

cornemuse.

Signé à gauche etdaté : 17G9.

T.-

H., m

,61. L., m_,50.

J^

DELACROIX (Eugène)

24. — Le Sabbat de Faust dans

la vallée

de Valpurgis.

-f(*

^'

SJ

Esquisseprovenant dela vented'Eugène Delacroix.N° 142

£

du

Catalogue.

T.

—

II., m_{.33. L., 0"\40.}

-^#

^v

—

12

—

DOMINIQUIN

(Écolede)

27. — Saint-Jean

évangéliste.

T.

—

H., ^n,33. L., m ,20.

DURER (Albert)

(École de)

28. — Adam.

B.

—

H., 0">,35.L., 0"»,22.

DURER (Albert)

(École de)

29. — Eve.

B.

—

H., m

,35. L., m ,M.

DUGHET (Gaspard)

30. — Paysage avec

^figures.

Vue

priseen Italie.

T.

—

H., m

,32. L., m_,40.

13

—

DROOGSLOOT

31. — L'Hôpital Saint-Job à Utrecht.

Doyen

de lacorporation de Saint-Luc à Utrecht, il futaussi régentde l'hôpitalSaint-Job.

Dans lepremier plan, à gauche,un groupe de malheureux estropiésattendentleur tourpourentreràl'hôpital, d'autres se pressent pourarriver àtemps àla distribution dessecours.

T.

—

H.,

m

,79. L., 1»',40.

'^2 &

^ï^éSe*** ?£&4&Vé

ⁱ

DROUAIS (Le Fils) 32. — Le jeune

Écolier.

11 estreprésenté assisdevantune table, jouant avifcune co- lombe qu'il retient prisonnière, au lieu de faire ses devoirs.

Figure mutine et espiègle. Ancienne collectionde

M.

Verdier de Bordeaux.

T.

—

H.,0-,70. L., m ,58.

-^v^-

FRAGONARD

(D'après)

33. — Le Verrou.

Cette peintureaété attribuéeà Challe.

T.

—

II.,0™,46. L., 0-.54.

^-7^2 3

FRANCK

Combat des Amazones aux bords du Thermodon.

Variante du tableaudu

Musée

de Munich.

B.

—H.,

0"',61. L., 1m ,03.

fr*

lft

—

SY 00 35. —

FRANCK (Dominique)

Concert des Anges. Adoration de

la

Sainte Famille par

les

Anges

et les

Séraphins.

Signé à gauche.

G.

—

H.,0»,63. L., 0">,51.

'/^

GÉRICAULT (Théodore)

36. — Parabole du ^Diable semant

l'ivraie

pendant

le

som- meil des

travailleurs.

Cotte copie faite par Géricault, d'après le Tintoret, a été achetée, à sa vente, parEug. Delacroix.

Provient de la vente d'Eug. Delacroix, où il était désigné sous le titre« Le

Sommeil

des Apôtres, d'après leTitien », sous len° 228.

B.

—

H., 0",78. L., 0-.57.

^^

GRUND ^(Norbert)

37. — Les Saltimbanques, ^scène

villageoise.

B.

—

H., 0"\34. L., 0",53.

y^ ^{38. —}

GRUND ^(Norbert)

Foire de

Village,

pendant du précédent.

B.

—

H.,

0%34.

^{L., 0"\53.}

15

HEEMSKERK (Egbert Van)

39. — Scène de Cabaret.

Ce

peintreavait l'habitude d'introduire son propre portrait danslesscènesburlesquesqu'il aimait à reproduire.

Signé

du monogramme.

B.

—

H.,

m

_{,56. L.,} 0">,82.

KEERINGKX (Alexandre)

40. — Le Grand Chêne dans

la

Forêt.

Lesouvrages dece maître sont assez rares. Il se distingua

c

\

parlafinesse deslointainset lesfeuillages qu'ilexécutaavecune

[

grandeperfection.

Signé.

B.

—

H., 1™,05. _L., 4

m

_,21.

LANCRET

(Écolede)

41. — Les Bergers

galants, pastorale.

T.

-

H., 0"',42. L.,

m

_,70.

LANTARA

42. — ^{Le Lac,}

^effet

^de

^clair

^{de lune.} "-^^/^/^

B.

—

H., 0™,16. L., m ,24]

VY 4 ^{A3. -}

— 16 —

LANTARA

Paysage,

effet

de

clair

de

lune.

B.

—

H., m

,48 , L.,

m

_,24.

LARGILLIÈRE (Nicolas)

—

Portrait

de Saint-Floren

lin

(Phélypeaux, comte de).

Né

en 1705 etmort en 1777, il futcrééduc de la Vrillière,

membre

de l'Académie des sciences, ministre d'État sous Louis

XV,

il futl'adversaire déclaré deChoiseul, lui succéda au département des affaires étrangères et joua

un

rôle très- importantdans lesintrigues desfavorites royales.

Ila laisséson

nom

^à unerue deParis, où il avaitunsuperbe hôtel,habité plus tard par Talleyrandetl'empereurAlexandre.

Il est représenté assiset écrivant.

Dans

le fond une biblio- thèque, à droite une porte entr'ouverte laissant voir la

cam-

pagne. Charmant intérieur et riches accessoires peints avec beaucoup d'espritetde finesse.

T.

—

H. 0"',59. L. m ,78.

Zj5.

—

LEBRUN (Charles)

Entrée d'Alexandre dans Babylone.

Esquisse.

P.

—

H., 0-,52.L., 0"',85.

M A AS

Sf* ^{46. — Le Prêche.}

Intérieurd'un temple protestant.

Signé en bas d'un pilierIC Maas.

B.

—

H., 0"',46. L., 0-,39

—

17

—

MATSYS (Quintin)

(École do)

l\l.

— Adoration du

Christ

mort avant l'ensevelissement.

B.

—

H.,

m

_{,56. L.,} m ,4l.

-^yr<?

MIEL (Jean)

US. — Paysans

Italiens et

Bohémiens près d'une

hôtellerie.

T.

-

H., 0™,65. L., 0™,85.

fSb

MIÉR1S (Guillaume)

l\9.

— Suzanne surprise par

les vieillards.

Signé à gauche etdaté 1707.

B.

—

H., m_{,36. L.} m

,31.

MOLENAER (Jean)

50. — ^Musiciens,

intérieur

flamand.

B.

—

H., m

,38. L. m ,55.

18 —

NATTIER (Jean-Marc)

£ ^{'tf~é? 51. —}

^Portrait

^de

^la

Marquise de Pompadour.

Cette femme

remarquable par sa beauté fut longtemps en Francel'arbitre du goût et de la mode.

Ameublements,habillements,coiffures,tout rappelaitla

Pom-

padour.Elle adonné son

nom

àun stylequi estsurtoutcaracté- riséparlarecherche

du

jolidansl'ornementation. Elle cultivait elle-même les Arts avec succès,

notamment

^la musique, le dessin et la gravure.

JamaisNaltier ne futmieux inspiré. Ce portrait est

un

des morceaux les plus rareset lesplusséduisantsdel'École Fran- çaise.

La Marquiseest représentée en Diane chasseresse. Elle est assise et de grandeur naturelle.

Vue

deface, lesseins presque découverts, elle regarde le spectateur et tient un arc de la

main gauche.

En

la voyant on se rappelle involontairementle quatrain suivant quisetrouve en bas d'une gravure du temps :

Avec destraitssi doux, l'amouren laformant Luifitun cœur sivrai,si tendre etsifidèle

Quel'amitié crut bonnement Qu'il la faisait exprèspourelle.

Cette

œuvre

faitcomprendre le titrede peintre des Grâces queses contemperainsdonnaient àNattier.

Conservation exceptionnelle souslesvieuxvernis.

T.

—H.,

^1",00. L.,

<K80.

Nota.—

Le portrait de

M

^{n, e} de

Pompadour

ornait le châ- teau deMénars, près deBlois; cile l'avait donnéàsonfrère M. deMarigny.

—

¹⁹

—

NEER ^{(Eglon van der)}

j

52. — Le ^{Joueur de Violon.}

B.

-H.,0

^{m,l7. L., ra,15.}

NEEFS ^(Peter)

53. — Intérieur

^d'Église.

Ce petittableau aétéégalement^{attribué à}Steinweyck.

B.

-H.,0"\31.

L., 0'",45.

PARROCEL

5^

^#

_ Combat de

Cavaliers.

T.

—

_H.,0^m,29. L., m_,48.

PARROCEL

55. — Combat de Cavaliers, pendant du ^précédent.

T.

—

H., 0"\29. L., m_,46.

-ÎW

7^^

— 20 —

«

REMBRANDT (Van Ryn)

(Écolede)

— -^-é? é? O ^{56. —}

^Portrait

^d'une Courtisane.

Çf- /y^,^

^{Latète est peinte} très-largement et la physionomie pleine

C,

"

, devivacité.

'

_JE.

—

H.,

m

_,77.

L

, 0"\C3.

RUYSDAEL (Salomon)

^?<^ <? 57. — Marine.

Mer

légèrementagitéeavec barqueset navires, dans lefond les bordsde l'Escaut.

H., m_{,40. L.,} m_,36.

RUYSDAEL (Salomon)

# S* ^{é°<? 58. — Marine.}

Pendant du précédant.

H., 0«,40. L., m ,36.

SCHOPIN

59. — Roméo

et Juliette*

T.

—

H., 0-,46. L., m ,30.

Nota.

—

Horace Vcrnet atraité les

mêmes

^{sujetsdans sajeu-}

nesse, ainsiqueSchopin,pour M.Fould.

21

STEEN (Jean) 60. — Fumeur.

Nous

avons laissé l'ancienne désignation; ce petittableau étaitcatalogué

comme

étantdeSteen; il porteenbas,àgauche, uneautre signature avec unedate.

B.

—

H., m

,15. L., 0'-,13.

TENIERS (David)

61. — La

Fileuse.

Signé à gauche.

B. Ovale.

—

H., ^ra,33.t,., m_2o.

WYCK (Thomas)

62. — L'Alchimiste.

11 est représenté dans son laboratoire, assis près d'une fenêtre et lisant. Des alambics, des cornues, de

nombreux

accessoires finement peints remplissentcet intérieur à l'aspect cabalistique. Derrièrele tableau, ily^aunevieille note presque

illisible, qui mentionne avec force détails l'achat de ce tableau en 1760.

T.

—

H., 0<",39. L.,

0-34.

rV<7

f*

— 22 -

ZORG

— Y ^ ^{é? 63.} — Intérieur de

Cuisine.

/Jûû

T.

—

H.,0»,47. L., ^ra,5S

^Y/? V ^64. — Sous ce numéro

les

tableaux non catalogués.

(/âû^f^t^GL

PAIUS»

—

Impt. i.

CLlïB. —

A.Quanti* etC-,ruo SiUat-Bouolt.

—

|314|