\
NATIONS UNIES
CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL
Distr. : GENERALE
E/ECA/CM.13/10 9 mars 1987
FRANCAIS
Original : ANGLAIS
COMMISSION ECONOMIQUE POUR
Huitieme reunion du Co^ite techniqueit
preparatoire plenier
Addis-Abeba (Ethiopie) 13 - 20 avril 1987
Point 6 del'ordredu Jour provisoire
Vingt-deuxieme sesnion de treizieme reunion de la
des ministres
Addis-Abeba (Ethiopie) 23 - 27 avril 1987
5 de l'ordre du jour provisoire**
* E/ECA/TPCW.8/1.
** E/ECA/CM.13/1.
M87-926
i i
i
I. INTRODUCTION
A. La cries -1 ^antaire et -,r-^* ™ perspective
Au cours des deux dernieres_ decennies a graduellement perdu les
ses investissements
la satisfaction de ses besoins. le ext6rleure
s
et les gouverneuents africains proble
previsions prises isolement.
elle a montre comment des politiques fermes ™ a conStruction de routes
^investissements complementaires dans les ^~» et du developpement d un
en zone rurale, de la recherche « ""«™ J contribue a une transformation nouveau systeme d'ecoles *"agriculture avaient dif£.renceB soclo-economiques fondamentale de 1'agriculture Evidemment xl , a ^^ ^ comparaison fait et structurelles majeures entre 1 Inde et ? q permettant non seulement^i
fondamentale de g
et structurelles majeures entre
apparaitre que 1'Afriqu- P-^
^^ ^ cop
? q permettant non seulement
habitants mais ^galement de se procurer
2 4
: , i =n Afrinue s'est manifested sous
, La grave situation alimentaire et agrlcole ■•» "ri^ la zone sah^lienne,
aiv.»it formes : dans certains P^^^/^^l^t de betail. Nombre de
on a assiste a des ^placements, massifs de J^P nets de produit8 de basepays de la region qui, a un moment, "«=«^ 7mchlJl et les cereales ont soit comme l'huile de palme, 1. cacao, le s.sal 1 aondiaux 30it sont devenus de perdu la place qu'il. occupaxent •« l««t. de base. D'autres pays qui etaient grands importateurs de «•« "^^^"^.^ent a present principal-™* grace
a un moment les greniers de 1 «"^e S mternationale a l'Afrique a atteint
E/ECA/CM.13/10 Page 3
■!,; -.:: :
8. I Le present documen
sevissent :
«« .« «* *-.!«.
a) Renforcement du personnel scientifique local;
b) ;.Renforcement des services nationaux do rcch
de creer etde diffuser davantage de technique cd ; sur le transfert de technologie; et
afin
c) Mobilisation de ressources
international pour aider au development agrx
plan national .et
9. Les
ssssr ^
creation de centres intem.txo ^
la periode minimalo necessaire pour xreer. et base en Afrique »t pour mef.'.re la •ci.nee
1'agriculture en Afrique,
rcer, des infrastructures de
technicue au service ae
-
****u
et on espere que c t
a encourager la conmunaute inteiMttonaia a la faim et la peuvrete en Afriqua.
XI. Son principal objet par vers 1'action en rapport svec
re..ource. financieres et ^f-Hu«s dest n3
et agricole en Afrique (ou 4jM
pour 1991 par 1 ■Assemble, general,gtre proclan.ee Annee ^^f^brLe
au cours de laqueile ftteafewt «l, b.eeset egalement lances des plans **£*<£*£
prochaines decennies. La situate-:, ag.air que la mobilisation devrait K fa^ro san= tai.
._-tiv
er, aar..
des rcssources pour combattr,
i-opositions orientees
L nobili,ati03 de
, . .oductioo al
;^ P ^ ^
Cettl date pourr6it. certe,
_ e?Sr8,pou4« a unS Snnee
devant d^arrer i^djUteflent
e.f d'n.e telle urgence
1?. VA.se.blee ,
notait avec une profonde preoccup
de ragriculture «pi^ ->*'«
l'autosuffisance alimentaire ^
que 1'aide etrangere peut jouer un role P mOnde si des ressourceo supplementaire, ..o^
generale reconnatt egalcment que 1- iota.o.
directment lie au recul de U. f?l^t \a d facteurs naturels tels que la Sehesse & M c
Q considerable
ppement du tiers
^ de VAfriqua eS>:
est aggrave par des Le present rapport
Recherche agricole en Afrique; et lesmut«"«»"£; Ce\u' U , i.mpor,te au secteur agricole en Afrique en 5 a f "' ™ ' M une stratfigi. efficace plus haut chef c'est de conf™Va Umites d'un projet .troltement defini mala
^1 SfcTjE^S ^^JU 'sent ^eve^nt exposes el-
dessous. ...
:17, Au^rd'hui selon 1'avis d'inveStisseraent ^
^&^^er^^t.iorq
ne comportent aucun Ichantiilon .ur 1'Afrique.
18. Quatre i^portants points se .46*****
Pre^ierement, des vari»te,0 «*lior«e. . de co.on,
de cafe et.de the ont permis une •J^B^
fpurni.: .des ^^^JS^
il y a aujou,rd'
^ d'
fc present p
n Afrique
?ar
environ 18
^roducteur de Z au Kenya
proauc, , f &a aujou,rdhux environ 0 p
e type d'puverture rsndu possible par la
a'l-huUe de palme au Zaire,, d*ne, W.■ anne^s
les anneeo 50 et au Kenya dans > MLUfg, ^^ ^ ces importantes ouyertures. .n a,ent Pae. %rouve 8 mustrent scientifiques ou dans la presse on genera., elles ^ en^11
role que la recherche agricole peat jo». a ^ te« d
nouvelles techniques en Afrique meoe. ,T^^™^ ^ qu'a 1'exception d<M> travaux de recherch
(1932-194?) et au Kenya (1955-1964), la
l d'ortation
sur
y. ^
& - realise, grac-
* imbabWe dar.s
Bien que le de
mals hvbride 4U, Zimbabwe 'racherche itaient (1932194?) et u y
axes sur les. cultures d'exportation. , montre egal3ment
:
Qrtse agraire acCuelle
en Afrique et qui sont lies en
alimentaire. Les gouvernementa de era I1 accent ppmme par le m*&* a 4ee degr.es les systemes de . .^cherche. agricole ont ete incpnditionnels d>ne recherche
i'engemble souffart tie leur politique. Les riches
ont besoin d'etre rastaures
3J
t COT.ttau^ a. ,.mettre
°rechc;rclle agricola Mie
i'absence dadepter
" &griculteurs- on«" dans
faibleSse de leur peuvoir
^/^exploitatior, .agricole
soucieux d'un profit a court
fe d recherche actueis
E/ECA/CM.13/10 Page 7
25. En resume. Importation developpement d'un pays donne.
X'Scart entre U transit
de Au
dans des cycles de projet d'une
s«de accuel
POUr
de trois a cinq ans
en pratique eat financiers et
26. L'une des opinions les plus repandues, che« ^^^ ^
grand nombre de techniques agricoles eProOT;e"lceunlt*ur18qUe £ J^qui concerne les
L savoir cogent les di«-«/"^If8 iSptio^"i -S. en Ifrique de l'E.t
cultures cerealieres, il est etabli qu a 1 ««Pclon d^veloppement et de et en Afrique australe, du sorgho hybrid, au Soudan etdu ^ „, ^
Ut*. a la creation de techniques en
27. Au cours des 25 annees qui ont suivi ^J*
concernant le developpement agricole et le role de, la dans la transformation de lagriculture .» Af^qu.-
convaincu que le transtert de techniques en P«"^"lier
wmM
ft- • en plus
en Afrique sous-
de te-phniques
types de recherche nentionnes plus haut ^etTZZ K
des pays sont deja dotes de cent«' ^V'-J'V.^cUrche fondamentale appliquee
la priorite devrait a present etre domfc la ™ d lque de 1'eau, de 1.
dans les domaines de la £»^ £'lt.'t°£ ^rlcole Jxte \» particulier pour
mecanisatlon appropnee, de 1 "P101""0" agdeB cuitures intercalates et des
c.qul est du probleme dee bet. de trait des cu organiques, derotations de cultures de la '"^^ £S£*™1 « *• V'introduction
agags
et de porter recede ...
55
probifemes.33. Toutefois, par.i les problems les plus, gr«v.. ^^ ^
de la recherche en Afrique figurent »««* ;/ f ^ des centres de distribution qui fait que les ^?™J>7^r Jelll* soient adoptees et recherche ne parviennent pas ™* "\r« J'-voli des syste-es de distribution et appliquees. Cela renforce la n««s8"e d LaeVs0"ai;ie8 relations entre les services
1 ^^v^^'"ur^" i
1: ^^r^v^.^«^
diffusion de techniques si necessaires au progres.
„.
:
"•
agriculteurs (y compris les petites agricultrices)
35. Etant donne ,ue par le passe, la g
I fort potentiel, la -Partition de 1. aux zones
considerations fprr.ulation des
re88ources
par le passe.
36. Au cours des deuX dernieres ^
apporter un soutien genereux aux centres
B, Development A* la recherche fonrianentale en Afrlgg
dans les centres
■ ■ E/ECA/CM.13/10 Page 11
rechercha applique et ^alement
a~ avstemes ***<*«*«* de recherche apricple
Bellb du Nigeria).
les pays afrlcains
renforcer leurs systemes de ^^^^^^^^ue produit au niveau recueillir, scocker et, te18te^U °adehor8 de le-ur8 pays. Dane certains
materiel local- *
directement aux activites -«»••/"• ^ reche"che. Lea agriculteuts
agricultcur* aient un role a jouerj an. ^ re^ite8 de recherche et, effectuer elalement aider k «t.bUr ^ "^.^^oitation agricole. Un plus grand nombre certains des tests prevus dans .1 ex|loita"^™ J 8Ur le terrain plutSt qu en de travailx d-V rechferche *•"«"**"« variabilite des conditions naturelles
tenu de 1 i*^""^Jf1*.^nculfur. doivent particip.r rmnn « *" r.nfore««nt des capaciUs
et une d.pendance
excessive & l'egard d'experts etrangers.
43. U. do^rs sont conscients d. U penurie g ^iS^
gestionnaire, afticaihs. .^is la pratique^ueUe q formation unlverBitalre grand ..onbra d'etudiar.ts africains a 1 ««a"Ser Pre80udre le6 :problemes de main- luperieure n6 saurait Stre le ■eilleur moyen de resou P geui ^ ^^^
L Af.iue dans le secteur agricole etant don £ ^^ ^
renfcbntres par l'Afrique
44. Aussi, « formation des
de la maitri,, et du doctorat de La forBatlon universitaire
2 Entretlen. ef, Wiloration de la gualite des sols
nec ^rtOaisniiP de creer des revenue
mmwmmm d^incitation devant pertnettre d'obtenir 1c soutien necessaire a cet SHHE" i
3. Humid itc. et_ coiiB.ervation.des, sols
tropicales entrainent un tenu du fait
excessif ou une erosion dee sols,
est possible d'accroitre la sprite alimentaire
50
la gestion.
des pompes a eau fonctioimant a l'energie solaire, a I'^nergie
I1amelioration de la gestion des ressources en eau.
Techniques:,de stockaee,, djacheminement ct de coipmerciali,satj.on
destockage, d'acheminement et de cotnmercialieatxon des
E/ECA/CM.13/10 Page 15
.lta.nt.lr.). n'attirent pas !%
igalercent les causes qui sont a I souffre 1. secteur agricole en
* ' to ni-esente section examine
/e Ugrav p£e de resource, dont
de 1« 8" tendances lite, aux flux
"„* matiere de financement devant
agricole
56. L-exa.nen de* besoins futurs en matiere de
"nu des tendances anterieures. <M recon^
l lart des
"ue
Jg secteur
nu des tendances a ^ U« ^ ^ ^^ ,
agricole dans la plupart des WBJ*T£*™aa long des deux demieres decennles.
de ressources financieres pratiquement tout au 1»8 aux £lux de res8ources Cela s'appliquait a la fois aux capitaux publics et pr de deveioppement
externes'et internes. La part du go^^^Z^ I la proportion de la
allouees au secteur agricole eta1: tr« £ai P intcrieur brut. C'est population ainsi qu'a la part du secteur_dans^ 1 P ^agriculture dans les
ainsi que, dans 1. milieu des annees^ 70 la par ^ ^ ^^
dalles
publique au developpe.ent plus loin.57. Le volume relative^ent faible des flux■»^^ST^i S
agricole n'est pas 1. seul probi™. ^ 1 ^^ etait loin d'etre judicieux
avait ete destine une large part des flux de ™«° bials desquelles les
Tout co-e les structures £"*£?°£"^»lti«, etaient loin d'Stre
gouvemements etaient en contact avec les g res80urce8 anterieures etaient appropriees. En particulier, on a esttae^ que 1 fiux projets agricoles au
aUouLs de maniere ml-""1*- " d" ^^interventions des gouvemements dans
detriment des petits exploitants .«' »» 1^™ et dans Veur co.mnercialisation
la fixation des prix d-8 P"^ ^production des petits agriculteurs. Celaentravaient gravement le development ^. de re.«ourc. & destination de Vagriculture
ne veut pas dire que tous les mouven.ents *»••«"» sur llu1:iu.atlonont eu des .££et. n6gatifs mais Pl""*^™^'0^ conditions necessaires a un
de ressources rares n'a pas ?•"*• de "? agriculture qui est le noyau de
flnancleres B.
58. ;L.A£rique connatt ^^
depuis le debut des annees 70 et qui
^
ae I'Afrique a continuant baisse entre 1980 et 1983June chute de,J> 9 p,100).
Par allleura, les d^caissements nets effectlfs au tltre de 1 atu n , varier au cours de la periode 1979 a 1984.
Tableau 1 : Engagements, au titre. de, l.'APD^nJaveur, de,.V,
"'* toutes sources confonduea.
1979
(en millions de dollars)
1930 1981 1982 1983 1984
Total de l'Afrique dont
Sud du Sahara Nord du Sahara Pays africainB non
specifies
11 107,1 13 299,1 13 059,4 12 943,7 12 552,6 14 044,8 8 133,6 9 900,9 9 3C4.O 9 649,4 9 749,0 10 164,4 3 266,8 3 474,3 3 064,2 2 542,9 2 906,4
2 792,9
180,6 131,4 201,1 230,1 260,7 974,0
Source . FAO, Computerized data bank on external assistance to agriculture, 12.8.¥6r.
Tableau 2 : Decaissements nets, au. £itre d_e 1..'API) -*—^ f^Tde" l'Afrique, 1979-1934
(en millions de dollars)
Total de l'Afrique dont
Sud du Sahara Nord du Sahara Pays africains non
specifies
1979 1980 1981 1982
8 871,6 6 424,8 2 254,8
192,1
10 429,6 7 547,1 2 710,9
176,6
10 471,0 7 512,1 2 751,5
207,4
10 525,1 7 756,4 2 557,6
211,1
1983
9 993,5 7 533,9 2 237,9
221,7
1984
11 148,8 7 830,2 2 358,9
959,7
Source : OCDE, repartition geographique dt.s flux financiers vers les pays en
d£veloppement.
1'agriculture, les engagements publics au
rir r.i*r^^ns:S. i=s;uaterauxet »79Ua 1980 Tde i'bI a 1983 13/. Les donnees disponibles pour
E/ECA/CM.13/10 Page 19
» diminuer le montant des
Heureusement toutefol.. la- L!;
faltes pays par pays at K cout total
compte tenu du Programme prlorita ire 1986-1990. L'objectif dans le domaine , Programme prioritaire au co»r. da. 5 annee,
. 57,4 milliards de *,"•» •»"**•« £ X°°e
du Programme prioritaire. Cela veut dire que
P1US haut dans le secteur -l^-f^r« e^
pour les cinq prochai
prioritaire national
£ et agricoie fixe dans 1.
entaire e 1W| a 199O a ete etabli
allant d1986 lWcution
its domains gencraux identifies
miulards de dollars scront
e montant, la. pays africains
de dollarB Sur leurs ressources de dollars qui doit etre
rntlrturrr^r\?it
comble par la coramunauc4 intemationale.
BY. Un important element dans J. present 1 ■ importance de la recherche agricoie pour
technologie appropriee pour I'""-""""
n^cessite d'augments de fa5« '^^
a la recherche agronomique. Le Programme
d- 1'Afrique ne donne -^~»'?f"t ™
a la recherche dans les "•*facon a fournir un* estimation des pour l.s inatitut. de recherche ^
annees, le l£~«V~.^ ? "
etude du PNUD et del, AO J pays en developpement 14/.Elements pertinents raeo-anda pour
document
1 p. 100 du PIB agricoie 15/.
en Afrique et la financieres consacre'ee redressement econoraique sur la part qui irait a 1'agriculture. De financieres futures necessaires au cours des prochaines et recommandations d'une nationale dans certains
une analyst complete de tous les
le developpement et la croissance recherche agronomique entre agricoie et au moins
68. Dans le cadre du Programme prioritaire,
tendant a ce quo l'cm consacrc a la "^"^"^Y^;- entre 5,74 et 11,48
globaux alloues a X' W1^"™' ^« recherche agronomiques natlonaux en milliardB de dollars dans les i™tltut, ^ «c * represente un
Afrique au cours des ^^^Tentre 1 2 et 2,3 milliards de dollars et c'est
investissement annuel se situant entre 1,2 et: Z,J mil refonoes dans une estimation correcte des ressources necessaires pour.^perer i ^ present le domaine de la recherche telles que ilong de la perlode
11)
iii) iv) v)
b) i)
ii)
te general* des Nations Unies, ***
dts Nations Unies;
Constitution du secretariat international pour »-JX*l
Creation d'un fonds special international;
Trfrfli-ft menbres des decisions et
Transmission aux ctai-»
"efc generaIt.
S!a^I^BxiciltioiL£rtotS^^
:,itaillees, Le^rograsS-^^^H^-^
international de
E.ablissement des organs nationaux de coordination^ =
dfc collecU de fonds
iv)
,. national, g
politiquce en matter* d
constitution des co^s de liaison sous-r,8ionauX en
6t d^tudes sur la politic a.ricole,
vii)
au niveau In
Etabliss_t de ps
organisms de coordination
etablissement des programs regionaux par Us
Afie,
SS3. dt iS
'= ™r le Conite consultatlf des Nations
xl) Suivi et evaluation ces progr^s par le Comit
Units.
c)
Etablissement des programs a moy.n
d) hgJl^uSi^JS^
3,
a) Engagements des
.t a
a resoudr*. les problemes du riform.. dt politiques .t de
6t< prls rfans le Programme
E/ECA/CM.13/10 Page 23
Stre
4. • Dotation, enj>ersormel et financepcnt
. Co^pte ~ a. s
re port., aux questions de j»«»».l
des\nnees international souli8ne
en son paragraph 21 ce qui suit :
"La proclamation d ■ ann^s pas conduire a une roli
j
^t^ pris. .
74. cependant, con.mant l^We international, des sans a.ri, 19S7 on a note
Cfc qui suit :
.Co^pte tenu de 1'i^ance du ^S et de U necessity d'obtenir un appui du pas un effet defavorable sur 1'execution
centre, M semble inevitabU ^^
de travall normal du 6upplementaires mais
face aux couts It6, a
de cinq ans 1983-1987 (voir annexe II).
76.76. A Xe
d'envisager la crfatlon au cours de la
Buts fet.
de 1'AIA.
1. Programme d.'ACttjm
78. Le present document rec0OTnande que Us questions priorities dans
d1action de l'AIA 1991 soient les suivantes :
critique des strategies et approches de developpement en vut
des'donateurs, d«. gouvemements et des a.riculteurs,
b) Politiques de prix et de commercialisation»
c) Petite irrigation et mlse en valeur dea eaun souterraines, d) Recherche sur les plantes r*BiStantes a la secheresse.
81. De8
vue d'un ,xamen
pas 'nsurlontable, a condition de
^ ^idiires Pourrai,nt
etre les suivants :
a) Un nouveau pacte pour ^litniner la faim en Afrique;
i) Nouv^aux engagements financiers de la part des principaux donateura;
il) Etudes de cas sur les programmes reWs d'aide bilaterale;
iii) Exan.en des politiques en matiere d'APD;
iv) Programme d« suivi a 1'intention du secteur agricole en Afrique.
b) Protection dee terres et protection de la vie-,
t) Gestion des terres, des sols et de 1'eau; ^ , ii) Conservation et gestion de l'eco^ysteme forestieri
iii) Etude de cas sur les mesures de protection et de conservation ayant
ou non donne d«s resultats; . _.; --
'; c) Science pour I1 alimentation et 1'agriculture : >"^
i) UtiHsation et developpement des connaissances indigenes;
ii) Nouveaux moyens de recherche agronomique a long terme, iii) Adaptation de la technologies
iv) Collaboration entre institutions de recherche.
d) Developpement de competence nouvelles pour une Afrique plus forte :
i) Formation accrue de la main-d'oeuvre;
ii) Collaboration entre institutions de formation.
C. PrincipeAd,'orga_nls.ation et d'action
regional et international
E/ECA/CM.13/10 Page 27
b) de l'AIA-
les priorites zonales dans le cadre des principes generaux
c) Etablir des programmes d'activites de'taille's; i
d) Coordonner les activity Hes organises exterieurs et arranger des echangfcs au niveau tntergouverneroental;
e) Etablir des liaisons avec les organises d'apput participants.
Glsenyi
Yaounde' Lusaka
86. Les comites de liaison sous-reeionaux pourraient etre
des MULPOC (Centres multinationaux de programmation et d execution des
suivants :
Afrique du Nord .. , Tanger
■'"■' "'"■ ' Afrimie de 1'OuPSt ■■•
Afrique centrale
Afrimie centrale de 1'Ouest
v '-f 'Afrique de lvEst et Afrique australe
- 3. Action au niveau international . •
87. Les principales organisations Internationales sont les suivantes :,
a) Organismes de financtment clbles:
b) Comite' consultatif des Nations Unies sur l'Anne'e Internationale
de I1 Afrique (AIA);
c) Organisarions be'nevoles Internationales; ,. , d) Autres contribuants financiers internationaux;
e) Services et organismes des Nations Unies;
" f) Organistne de'signe' chef de file;
g) Organisme d'appui;
rr-if*''- h) Secretariat international.
88. Financement escompte de sources exterteures. : L'obiectif ^^
prlnctpal de" la'dampagne de i'AIA est d^augmenter coneiderablement les fonds en faveur de 1'Afrique. Les -nesures ne'c«ssaires sont definies au paragraph^
precedent t entre 1 milliard 148 millions de . dollars et 2 mi 1 Hards 296 millions He Hollars par an pour les .instituts nationaux de recherche agronomioue sur lesquels 343 a 6«6 millions de dollars devraient provenir
93. L'organlsrae deslgne chef.. de .fiU fera fonction d 'organisme i^tWffOUWrwnsptal charge de co"ordonner les activites a entreprendre avant le debut de l'Annee Internationale. Cet organisme devrait notamment :
a) Deflnlr et superviser les activities du secretariat international!
b) Identifier les moyens d'obtenir un soutien financier et autre oour les activites envisagees;
f '■ ■' ' '
c> L'organisTne chef de file, en collaboration e'froite avec le service eouvernementai, devrait mettre en place les mp'canismes necessaires pour lrf gestion et le controle des fonds tant su niveau national ou'international \
d) Coordonner les activites des Institutions soeurs;
e) Suivre l'etat d'avanceroent du programme d'activites sur ta base des raoports e'tablis par les organisiws participants. Cela incluefait la publication de rapports wriodiques ainsi ou^ du rapport final oui porterait sur la strategic pour 1'agriculture en Afriaue dans le long terroe;
f) Fournir un appui par 1' tnterroe'dialre des bureaux regionaux aux activites prevues pour la cele'bration de l'AIA.
q^- L 'organiBTPe. d 'appui devrait etre un organise regional e'troitement associe'
aux operations ouotldiennes mene'es en Afriaue. II aurait pour principal fonction de coordonner, avec l'orjjanisme chef de file, 1'elaboration et l'exe'cution du programme d'activites et de fournir un soutien ope'rationnelau niveau regional.
95. Le secretariat international^ oreparera et diffusera des Infornrations sur HaIA, notainment au moyen ~"de flcbes, de pro lets de programmes et de
' 'i
sur HaIA, notainment au moyen e , p l
confe'rences de presse. II fera fonction d'organfsme d'appui aux groupes be'ne'voles de coordination nationaux et internationaux.
VI. CONCLUSION : L'ANNEE INTERNATIONALE POUR ELIMINER " ' LA FAIM ET LA PAUVRETE EN AFRIpUE
96. Le present document a pour principal ob let de proposer une Anne'e
Internationale pour pHTniner la fain> et la pauvrete en Afriaue grace a une noMlisation de ressources financierts et techno logiques pour accroftre la production alinientaire et agricole. On y note que l'Afrlque est dotee d'un immense potentiel agricole mais ou'ellt a progress Ivement perdu sa capacite
de nourrlr sa population croissante. Cette incapacite tient au fait qu' on a ne'glige 1'agriculture ainsi qu'aux insuffisances cumulatives des politiaues et des Institutions au cours des 20 dernieres anne'es. Les politiques extrovertles et favorIs ant les vilies nue de nombreux Etats africains ont adoptees apres la pe'riode colonlale, n'ont nas reconnu le role prioritaire de 1'agriculture en tant aue moteur du de'velopoement, L'interconnection entre ce role meconnu de 1'agriculture et d'autres facteurs favorables
importants - politfoues, sociaux, techniques* economiaues - ainsi oue les catastrophes naturelles - ont aggrave la situation, cause la crise agricole actuelle avec sea corollaires que sont la famine, la pauvrete et une de'pendance
accrue a l'egard de produits alimpntaires Importes.
E/ECA/CM.13/10 Page 31
Notes, . ;. . ;
■ ..'?'' 1/ Batique mondiale, Programme d'action concert* pour le d^veloppement
stable de I1Afrique au siid du Sahara.
--■■ 2/ ' FAO/UNFPA/IIASA, "Land and Population" document present* a Uvingt-
deuxiemt session de la Conference de la FAO, Rome, novembre 1983.2/ FAO The state of food and agriculture 1986, CL 90/2 - sup. 1, novembre
1986, pT 7, para. 30.4/ Reunion de donateurs aur la rehabilitation de 1'agriculture en Afrique,
Rome, 29 mars 1985.
5/ DES : ration e"nerg£tique.
6/ CEA, Situation de 1'alimentation et de 1'agriculture en Afrique, Addis-
Abeba, T4 fevrier 1984, tableau 5, p. 2.
JJ CEA, Africa's food and agriculture crisi_s ; prosp..ectives and prpiEosals
for 198? and 1986» ler avril 1985, p. 2.
8/ Adopte par les chefs d'Etat et de gouvernement africains en juillet 1985.
1/ Adopte par la treizieme session extraordinaire de l'Assemblee generale
des NatXons Unies tenue en mai 1986.
PNUD/FAO, National agricultural research, FAO, Rome 1984, p. 6.
11/ OUA/CEA, Propositions presentees par l'Afrique a la session
extrao^inaire de 1'Assemble generale consacree a la crise economique et sociale
en Afrique, AddiB-Abeba, mars 1986.
^ OCDE, Twenty-five years of development co-operation : A review, Paris,
1985, p. 214.
U/ PNUD/FAO, National agricultural research; rapport d'une etude
devaluation dans certains pays, Rome, Italie 1984.\5J Ibid, p. 65, para. 8.2.
16/ Un taux d'investissement d'au moins 1 p. 100 du PIB /gricole^daqnpsAA^
recherche tel que sugg^re dans l'etude PNUD/FAO et par un groupe de travail SPAAR demanderait un investissement annuel de 0,7 milliard de dollars des E.-U. Cette.
estimation est toutefois consid^ree faible car cela entralnerait une penune
technologique (PNUD/FAO, p. 65, para. 8.1).
* Guidelines for strengthening national agricultural research systems in sub-Saharan Africa, draft, octobre 1986, p. 11.
ETATS MEMBRES DE L'ONU ORG INTERNATIONALES
Asseir.blee g£nerale des N.U
Comite consultatif de I1ONU sur l'AIA
Service d'Etat national charge de
1'AIA
Organisme des N.U Chef de file
Fonda special national
Conseil national
de coordination
ONG NATIONALES
n
Autres contribuants financiers
Organisme d■appui
I—| deliberant, consul
I—l-tatif, d' appui
/ et contrdle,
\/ f inancement
O Groupes operationnele -^Finances et auivi
Relations
A A A
AnnexeII Ressourcesfinancieresn^cessaires—-—-r——■-■■...t-^iNL-cinQLimiaiequloqementde ttouslesmontantsenmilliersdedollarsE.-U.auxprixde1983) Programmed'opgrationspourTAnnee Reunionsr^gionales d'experts Activit^sd'appuides organisationsnon gouvernementales Projetsdedemonstration a)Planificationet coordination b)Avistechniques, assistancedirecte- Totalpartiel1 Personneltemporaire Formationaudio-visuelle etcommunicationpour Vappuiduprogramme Fraisdemission Communications Reunionsdegroupesde travailinterinstitu- tions
27,5 126,5 231,0 365,1 44,8 42,4 31,0 44,0
144,6 25,0
205,6 27,5 193,5 432,7 859,3 85,7 60,0 31,0 44,0
144,6
102,6 27,5 183,7 444,6 758,6 85,7 134,9 31,0 44,0
226,7 27,5 -174,7 -256,9 -685,8 144,685,7 -112,6 31,0 44,0
27,5 166,7 71,0 265,2 H4.685,7578,4 25,0183,750,0 44,9 44,0 34,2 169,6358,3662,6
735,1535,1 137,5137,5 845,2 1436,2 2,954,0 387,6
845,2 1436,2 2954,0 966,0 534,1584,1 168,9168,9 220,0220,0 34,2 1310,61973,2 169,6623,5662,64264,64917,2
Source :Annje international du lo^nt des sans «br, .- P,prrt du Secret.ir.
a/RB-budgetordinaire. b/XB-extrabudge"taire.K m o (DU) HH" MO