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Academic year: 2022

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(1)

Chapitre II : Méthodes d’exploration et pathologies de l’appareil respiratoire

• II 1 Méthodes d’exploration

– II 1.1 Imagerie médicale

– II 1.2 Mesure des volumes et des débits respiratoires : la spirométrie.

• II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air.

– Bronchites

– Emphysème pulmonaire – Asthme

– Asbestose

• II 3 pathologie liée à un facteur génétique.

– Mucoviscidose

(2)

II 1.1 Imagerie médicale

II 1.1.1 Les techniques radiographiques

Ces techniques sont basées sur l’absorption différentielle des rayons X par les organes.

Radiographie conventionnelle .

Inconvénients : la superposition des différents plans exposés ne permet pas d’apprécier la profondeur des lésions.

(3)

II 1.1 Imagerie médicale

II 1.1.1 Les techniques radiographiques

Ces techniques sont basées sur l’absorption différentielle des rayons X par les organes.

La scanographie ou tomodensitométrie permet d’obtenir des coupes de

l’organe étudié et de le reconstituer en 3 dimensions.

(4)

II 1.1 Imagerie médicale

II 1.1.2 Une technique d’endoscopie

La fibroscopie bronchique ou fibro-bronchoscopie.

Fibroscope est un

endoscope souple en fibre de verre, conducteur de lumière.

(5)

II 1.2 mesure des volumes et des débits respiratoires : la spirométrie.

La spirométrie permet la mesure des volumes respiratoires et le calcul des capacités respiratoires.

3,3 L 1,2 L 1 L

4,8 L

(6)

Spirogramme d’un sujet adulte sain

Capacité pulmonaire totale = VRI + VC + VRE + VR Capacité vitale = VRI + VC + VRE

Capacité inspiratoire = VRI + VC

Capacité résiduelle fonctionnelle = VRE + VR

Capacité pul. Totale =3,3 + 0,5 + 1 + 1,2 = 6 L Capacité vitale = 3,3 + 0,5 + 1 = 4,8 L

Capacité inspiratoire = 3,3 + 0,5 = 3,8 L Capacité résiduelle fonct. = 1 + 1,2 = 2,2 L

(7)

II 1 méthodes d’explorations de l’appareil respiratoire

SYNTHESE

Les anomalies fonctionnelles (cancer, bronchite, emphysème …) sont détectées à l’aide de :

La radiologie standard ou conventionnelle basée sur l’absorption différentielle des rayons X par les organes.

La scanographie associant radiographie et informatique, permettant une reconstitution en 3 dimensions de l’organe exploré (à partir de coupes de celui-ci), précisant la nature, la position et l’étendue de la lésion.

La fibroscopie bronchique permettant l’observation directe des lésions endo-bronchiques, les biopsies et l’exérèse d’une tumeur.

La spirométrie est une épreuve fonctionnelle respiratoire renseignant sur les volumes respiratoires et permettant de calculer les capacités

respiratoires.

Capacité pulmonaire totale = VRI + VC + VRE + VR Capacité vitale = VRI + VC + VRE

Capacité inspiratoire = VRI + VC

Capacité résiduelle fonctionnelle = VRE + VR

(8)

MOTS CLES

Radiologie conventionnelle

Scanographie

Fibroscopie bronchique

Spirométrie

(9)

II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air Bronchites

Définition : inflammation d’un segment ou de l’ensemble de la muqueuse des bronches.

Bronchite aigüe : affection de courte durée.

Etiologie : infection généralement virale

Conséquences : inflammation de la muqueuse de la trachée et des bronches responsable d’un

œdème au niveau de la

muqueuse avec paralysie des cils d’où l’encombrement des

bronches.

Signes cliniques :

o Dyspnée

o Douleurs thoraciques

o Toux, d’abord sèche, puis grasse.

o Fièvre > 38°

Bronchite chronique : affection de longue durée.

Etiologie : bronchites aigües

fréquentes ou atteintes des voies respiratoires par des substances toxiques (fumée de tabac)

Conséquences : inflammation persistante provoque :

o Accumulation de mucus qui entrave la ventilation et les échanges gazeux o Rétrécissement irréversible du calibre

des bronches

Signes cliniques :

o Symptômes persistent au moins 3 mois et depuis plus de 2 ans.

o Bronchorrhées abondantes

o Dyspnée d’effort évoluant vers une insuffisance respiratoire chronique.

(10)

II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air Emphysème pulmonaire

Définition : pneumopathie irréversible affectant le parenchyme pulmonaire caractérisée par une distension permanente des structures

respiratoires associée à une détérioration des parois alvéolaires.

Etiologie : tabagisme rarement génétique.

Les lésions pulmonaires apparaissent suite à une bronchite chronique ayant évolué sur plusieurs années.

Conséquences :

o fibrose pulmonaire (épaississement et perte d’élasticité du tissu conjonctif)

o Les alvéoles et les bronchioles respiratoires sont détruites et remplacées par de grandes cavité remplies d’air.

Signes cliniques :

o Dyspnée

o Asthénie (sans + force) o cyanose

(11)

Radiographies et endoscopies

(12)

II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air asthme

Définition : maladie inflammatoire chronique caractérisée par une augmentation de la sensibilité de la trachée et des bronches à des stimuli variés qui induisent un rétrécissement

diffus du calibre des voies respiratoires.

Etiologie : maladie plurifactorielle

(facteurs déclenchant divers : allergènes, agents infectieux, substances irritantes, efforts physiques, stress…)

Conséquences :

o Broncho-constriction (contraction muscle lisse)

o Œdème de la muqueuse bronchique o Hypersécrétion de mucus

Signes cliniques : évoluant par crises.

o Dyspnée sifflante à l’expiration o Oppression thoracique

o Toux

Traitements

o Broncho-dilatateurs o Anti-inflammatoires

Signes cliniques

(13)

II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air Asbestose

définition : Affection pulmonaire due à l’inhalation massive et prolongée de fibres d’amiante.

Conséquences :

o Fibrose pulmonaire (=

épaississement et perte

d’élasticité du tissu conjonctif des poumons et de la plèvre)

o Cancers des bronches et de la plèvre

Signes cliniques : apparaissent 20 à 40 ans après l’exposition à l’amiante.

o Dyspnée évoluant en insuffisance respiratoire pouvant être

mortelle;

o Tumeurs cancéreuses

(14)

II 2 Pathologies liées à la qualité de l’air.

SYNTHESE

Bronchites

Définition : inflammation d’un segment ou de l’ensemble de la muqueuse des bronches.

Emphysème pulmonaire

Définition : pneumopathie irréversible affectant le

parenchyme pulmonaire caractérisée par une distension permanente des structures respiratoires associée à une détérioration des parois alvéolaires.

Asthme

Définition : maladie inflammatoire chronique, caractérisée par une augmentation de la sensibilité de la trachée et des bronches à des stimuli variés qui induisent un rétrécissement diffus du calibre des voies respiratoires.

Asbestose

Définition : Affection pulmonaire due à l’inhalation massive et prolongée de fibres d’amiante.

(15)

MOTS CLES

• Bronchites

• Emphysème pulmonaire

• Asthme

• asbestose

(16)

II 3 Pathologie liée à un facteur génétique La mucoviscidose

définition : maladie génétique, caractérisée par un dysfonctionnement généralisé des glandes exocrines responsable d’un épaississement de leurs sécrétions.

Etiologie : le gène muté code pour une protéine membranaire (CFTR) anormale.

La protéine CFTR sert de canal membranaire à l’ion Cl⁻.

L’absence de CFTR au niveau des

membranes plasmiques diminue la sortie des ions Cl⁻ ainsi que celle de l’eau.

Conséquences : production de mucus très épais qui obstrue les conduits naturels.

Fréquence : 1 naissance sur 4500. En France : 200 enfants naissent par an – environ 5000 malades.

Signes cliniques : obstruction des conduits naturels est

responsable d’affections respiratoire, digestive et génitale.

(17)

La mucoviscidose

(18)

II 3 Pathologie liée à un facteur génétique

SYNTHESE

La mucoviscidose

Définition : maladie génétique, caractérisée par un dysfonctionnement généralisé des

glandes exocrines responsable d’un

épaississement de leurs sécrétions.

(19)

MOTS CLES

• Mucoviscidose étymologie :

muco = mucus, visc. = visqueux, ose = état

(20)

BRONCHO-PNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE ou BPCO Définition : affection définie par une élévation de la résistance à

l’écoulement de l’air pendant l’expiration forcée.

• Bronchite chronique

• Emphysème pulmonaire

• Asthme

• mucoviscidose

(21)

Chapitre III : Physiologie de l’appareil respiratoire.

III 1 PRESENTATION DES ECHANGES RESPIRATOIRES

III 2 MECANISMES DES ECHANGES GAZEUX III 2.1 AU NIVEAU DES POUMONS

III 2.2 AU NIVEAU DES TISSUS III 2.3 BILAN

III 3 TRANSPORT DES GAZ SANGUINS

III 3.1 STRUCTURE DE L’HEMOGLOBINE III 3.2 TRANSPORT DU DIOXYGENE = O2

III 3.2.1 COMBINAISON O2 A L’HEMOGLOBINE

III 3.2.2 COURBES DE SATURATION DE L’HEMOGLOBINE

III 3.2.3 MODIFICATIONS DE LA SATURATION DE L’HEMOGLOBINE

III 3.2.3.1 EXPERIENCES

III 3.2.3.2 TRANSPOSITION DE CES EXPERIENCES AUX ECHANGES GAZEUX PULMONAIRES ET TISSULAIRES.

III 3.2.3.3 LE MONOXYDE DE CARBONE = CO

III 3.3 TRANSPORT DU DIOXYDE DE CARBONE = CO2

III 3.3.1 FORME DISSOUTE

III 3.3.2 FORMES COMBINEES

III 3.3.2.1 IONS HYDROGENOCARBOMATES

III 3.3.2.2 COMPOSES CARBAMINES OU CARBAMATES

III 3.3.2.3 SCHEMAS FONCTIONNELS DES ECHANGES DE CO2

(22)

Les échanges gazeux

• Equation bilan du catabolisme (dégradation) du glucose

C6H12O6 + 6 O2  6 CO2 + 6 H2O + ATP 22

(23)

chapitre III.

III 1 Présentation des échanges respiratoires

SYNTHESE

Deux zones d’échanges gazeux :

Au niveau pulmonaire - échange entre le sang et l’air alvéolaire : le sang s’enrichit en O2 et s’appauvrit en CO2 = hématose.

Sang hématosé = sang enrichi en O2 et appauvri en CO2 (représenté par la couleur rouge)

Au niveau tissulaire - échange entre le sang et la cellule (par l’intermédiaire de la lymphe interstitielle) : le sang s’enrichit en CO2 et s’appauvrit en O2

Sang non hématosé = sang appauvri en O2 et enrichi en CO2 (représenté par la couleur bleue)

L’activité cellulaire nécessite de l’ATP. La synthèse d’ATP, se traduit par une consommation d’O

2

et un rejet de CO

2

, de ce fait la respiration tissulaire est à l’origine de la

respiration pulmonaire.

(24)

MOTS CLES

• Hématose

• Sang hématosé

• Sang non hématosé

• Dioxygène = O₂

• Dioxyde de carbone = CO₂

(25)

III 2 Mécanisme des échanges gazeux

III 2.1 Au niveau des poumons:

Mécanisme = diffusion

Sens : du milieu de forte pression partielle vers le milieu de faible

pression partielle, jusqu’à tendre à un équilibre des pressions partielles

o O2 diffuse de l’air alvéolaire vers le sang car PO2 alvéolaire > PO2 du sang non hématosé

o CO2 diffuse du sang vers l’air alvéolaire car PCO2 du sang non hématosé > PCO2 alvéolaire

Bilan : le sang entre dans les

poumons non hématosé et en sort hématosé - c’est l’hématose.

25

(26)

III 2 Mécanisme des échanges gazeux

III 2.2 Au niveau des tissus

Mécanisme = diffusion

Sens : de la zone de forte pression partielle vers une zone de faible pression partielle, jusqu’à tendre à l’équilibre des pressions partielles

o O2 diffuse du sang vers le cytoplasme des cellules en passant par la lymphe interstitielle car PO2 du sang hématosé

> PO2 de la cellule

o CO2 diffuse de la cellule vers le sang en passant par la lymphe interstitielle car PCO2 cellulaire > PCO2 du sang

hématosé

Bilan: le sang entre dans les tissus hématosé et en sort non hématosé.

26

(27)

III 2 Mécanisme des échanges gazeux – III 2.3Bilan

Cas du O2

Analyse : PO2 de l’air atmosphérique (=20,2kPa) > PO2 alvéolaire (=14kPa) > PO2 sang veineux ou non hématosé (=5,3kPa).

La PO2 sang artériel ou hématosé (=14kPa) > PO2 cellulaire (=4kPa).

Interprétation : l’O2 diffuse de l’air atmosphérique dans l’alvéole.

De l’alvéole vers le sang (alors hématosé) et du sang vers les cellules.

Cas du CO2

Analyse : PCO2 cellulaire (= 6,6kPa) > PCO2 sang artériel (=5,3kPa).

La PCO2 sang veineux (=6,1kPa) > PCO2 alvéolaire (= 5,3kPa)

Interprétation : Le CO2 diffuse du cytoplasme cellulaire vers le sang (alors non hématosé) et du sang vers l’alvéole pulmonaire .

27

(28)

1 mm Hg =

Les gaz diffusent dans

le sens de leur gradient

décroissant de pression

partielle

(29)

III 2 MECANISMES DES ECHANGES GAZEUX

SYNTHESE

Nom du mécanisme = diffusion

Sens de la diffusion : le gaz diffuse du milieu où sa pression partielle est la plus forte vers le milieu où sa pression partielle est la plus faible.

Le gaz diffuse jusqu’à tendre à l’équilibre des pressions partielles dans les 2 milieux.

Au niveau des poumons

L’O2 diffuse de l’alvéole vers le sang.

Le CO2 diffuse du sang non hématosé vers l’alvéole.

Donc le sang entre dans les poumons non hématosé et en sort hématosé.

Au niveau des tissus :

L’O2 diffuse du sang vers la cellule.

Le CO2 diffuse de la cellule vers le sang.

Donc le sang entre dans les tissus hématosé et en sort non hématosé

(30)

MOTS CLES

• Diffusion

(31)

III 3 TRANSPORT SANGUIN DES GAZ III 3.1 STRUCTURE DE L’HEMOGLOBINE

(32)

Q 11 : Schématiser la molécule d’hémoglobine.

Q 12 : Indiquer les constituants principaux de la molécule d’hémoglobine.

o L’hème o Globine

Q 13 : Justifier le terme hétéroprotéine qui qualifie cette molécule.

o Car l’Hb est constituée d’une partie protéique : la

globine et d’une partie non protéique : l’hème.

(33)

III 3 TRANSPORT SANGUIN DES GAZ III 3.1 STRUCTURE DE L’HEMOGLOBINE

SYNTHESE

La molécule d’hémoglobine est constituée par :

• 1 globine comprenant 4 chaînes polypeptidiques

• 4 hèmes, comprenant chacun un ion Fe²⁺ qui

se lie de manière réversible au dioxygène.

(34)

MOTS CLES

• Hème

• Globine = 4 chaînes polypeptidiques

• Ion Fe²⁺

(35)

Transport du dioxygène

• 2% d’O

2

dissous dans le plasma

• 98% d’O

2

combiné à l’Hb présente dans les hématies

35

(36)

Combinaison d’O

2

à l’hémoglobine

36

(37)

Courbe de saturation de l’hémoglobine en d’O

2

taux d’oxyhémoglobine

% de saturation =

taux d’Hb totale

La saturation de l’Hb en dioxygène augmente avec la PO2 mais cette

augmentation n’est pas proportionnelle:

la courbe obtenue est une sigmoïde.

37

(38)

Courbe de saturation de l’hémoglobine en dioxygène

PO₂ élevée →

PO₂ faible →

(39)

Modification de la saturation de l’Hb en d’O

2

39

Lorsque la courbe se déplace vers la droite, pour une PO2 donnée, le % de saturation diminue donc

l’oxyhémoglobine se dissocie et libère le d’O2.

(40)

III 3.2.3.2 TRANSPOSITION DE CES EXPERIENCES AUX ECHANGES GAZEUX PULMONAIRES ET TISSULAIRES.

• Au niveau des tissus : effet Bohr

Le métabolisme entraîne : t° ↗, PCO₂↗ et le pH↘ ce qui favorise la dissociation de l’oxyhémoglobine.

Ce phénomène est amplifié par l’exercice physique.

• Au niveau des poumons : effet Haldane

La t°↘,PCO₂ ↘ et le pH↗ ce qui favorise la fixation

du dioxygène sur l’Hb

(41)

III 3 TRANSPORT SANGUIN DES GAZ III 3 2 Transport du dioxygène

SYNTHESE

 Le O₂ est transporté par le sang sous 2 formes :

2% sous forme dissoute dans le plasma : forme importante sur le plan fonctionnel car c’est-elle qui diffuse.

98% sous forme combinée à l’hémoglobine Hb + 4 O2 Hb(O2)4

Oxyhémoglobine

 Saturation de l’hémoglobine par le dioxygène :

 Courbe de saturation est une sigmoïde  que le % de saturation de l’Hb en O2 n’augmente pas proportionnellement à la PO2.

 Au niveau des poumons (sang hématosé) : PO2 élevée, PCO2 faible, t° basse et une augmentation du pH sanguin favorisent la

saturation de l’Hb en O2 donc la formation d’ oxyhémoglobine.

 Au niveau des tissus (sang non hématosé) : PO2 faible, PCO2 élevée, t° élevée et diminution du pH sanguin favorisent la dissociation de l’oxyhémoglobine donc la libération du O2 qui diffuse dans les cellules.

(42)

MOTS CLES

• Hémoglobine

• Oxyhémoglobine

(43)

Transport du dioxyde de carbone

• 5% sous forme dissoute dans le plasma : forme importante sur le plan fonctionnel car c’est-elle qui diffuse

• 95% sous 2 formes combinées :

7O% sous forme d’ions hydrogénocarbonates : CO2 se lie à une molécule d’eau (= hydratation du CO2 )

CO2 + H2O H2CO3 HCO3- + H+

acide carbonique ion proton hydrogénocarbonate

25 % sous forme de composés carbaminés

CO2 se fixe sur les groupements -NH2 libres des protéines du plasma ou sur la globine de la molécule d’hémoglobine

Pr-NH2 + CO2 Pr-NH-COOH

Protéines plasmatiques composés carbaminés

Hb-NH2 + CO2 Hb-NH-COOH

Hémoglobine carbaminohémoglobine

43

(44)

Transport du dioxyde de carbone

(45)

Schéma fonctionnel des échanges de CO

2

au niveau des tissus

45

(46)

Schéma fonctionnel des échanges de CO

2

au niveau des poumons

46

(47)

III 3.3 Transport du dioxyde de carbone

SYNTHESE

Transport du CO₂ :

5% sous forme dissoute dans le plasma : forme importante sur le plan fonctionnel car c’est elle qui diffuse.

95% sous 2 formes combinées :

7O% du CO2 se lie à une molécule d’eau (= hydratation du CO2 ) et forme des ions hydrogénocarbonates

CO2 + H2O H2CO3 H2CO3 HCO3- + H+

acide carbonique ion proton hydrogénocarbonate

25 % du CO2 se fixe sur les groupements -NH2 libres des protéines du plasma ou sur la globine de la molécule d’hémoglobine et forme de composés carbaminés

Pr-NH2 + CO2 Pr-NH-COOH

Protéines plasmatiques composés carbaminés

Hb-NH2 + CO2 Hb-NH-COOH

Hémoglobine carbaminohémoglobine

(48)

MOTS CLES

• Forme dissoute

• Formes combinées :

– Ion hydrogénocarbonate

– Composés carbaminés plasmatiques

– Carbamino-hémoglobine

(49)

Auto-évaluation : schéma bilan

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