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PA M. Jules G

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Texte intégral

(1)

PA M. Jules G

Gfeller

Berne

: .,

1

Les consulats suisses à Χί&βΕβρέ reçoivent le journal.

Quatrième année. — N

0

54 P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Samedi 5 juillet 1890.

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

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O r g n n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u n t , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Syndicat des fabriques d'ébauches.

{Suite.)

Chose singulière, on critique le syndi- cat, jusque dans ses plus justes résolu- tions. Ainsi, que n'a-l-on pas dit de la prime de quantité et surtout de la prime de fidélité. Et pourtant, l'une et l'autre répondent a un sentiment d'équité et de justice.

La prime de quantité existait déjà avant le syndicat; mais elle n'était soumise à aucune réglementation et faisait l'objet d'un marchandage entre acheteur et ven- deur. Telle fabrique, disait l'élablisseur,

•me fait un rabais de tant pour cent sut- une commission d'un nombre déterminé de grosses de finissages ; si vous m'accor- dez un pour cent ou un demi pour cent de plus, je vous donne la préférence. La prime était alors un agent direct de la baisse des prix, cl les rabais ainsi con- sentis en faveur des gros preneurs étaient tels, qu'il jiè>reslail plus rien à accorder aux petits.

Aujourd'hui, rien de semblable; le taux de la prime est fixé d'après une échelle correspondante aux quantités et tout le monde étant traité de la même façon, la justice ν trouve son compte.

Quant à la prime de fidélité, à laquelle

le droit à la prime de quantité est subor- donné, elle a soulevé contre elle, une opposition formidable.

Réunissez les deux primes en une seule, et donnez-la nous sous forme de prime de quantité, sur la totalité des marchandi- ses que nous achèterons aux établissements syndiqués, mais ne nous obligez pas indi- rectement à tout acheter chez-vous, c'est une atteinte à la liberté des transactions.

Ainsi parlaient les opposants au syn- dicat.

Il y avait quelque naïveté dans ce cri de détresse. Le syndicat y répondait très judicieusement et très logiquement:

Nous vous offrns une prime de fidélité et nous l'avons faite du même taux pour tous nos preneurs, parce que la fidélité doit être récompensée pour elle-même.

Mais nous voulons quelque chose de vous en échange: c'est l'engagement de prendre dans les etablissemvtds syndiques, la to- talité des ébauches et finissages que vous consommez. Cet engagement ne vous coûte rien, puisque nous sommes en mesure de vous offrir et dans d'excellentes conditions de qualité et de bien facture, ce que vous pouviez acheter antérieurement dans les quelques fabriques dissidentes.

Et puis, si vos convenances personnel- les ou vos relations d'amitié, vous empê- chent de rompre vos rapports d'affaires avec tel ou tel établissement non syndiqué, usez de votre influence pour l'engager à adhérer au syndicat; il y sera reçu à bras ouverts, et tout le monde sera satis- fait.

C'est bien ainsi que se pose la ques- tion; et nous sommes persuadés que si les élablisseurs qui boudent encore le syndicat, avaient déployé, en sa faveur, la dixième partie du zèle qu'ils ont mis à lui susciîer des ennuis et à lui dresser des embûches, il ne serait plus question de fabriques dissidentes.

D'ailleurs, l'opposition au principe de la prime de fidélité, et do la prime de quantité qui en découle, ne tiendra pas devant la répartition qui en sera faite à la fin de chaque année. Et la somme to- tale, qui tombera ainsi comme manne dans la poche des élablisseurs fidèles, n'est pas à dédaigner ; qu'on en juge plu- tôt. On sait que. pour donner toute sécu- rité aux clients du syndicat, chaque fa- brique verse à la fin de chaque mois, le

total approximatif des primes de fidélité et de quantité qu'elle doit à l'ensemble de ses preneurs. Ces sommes sont réu- nies et déposées à la banque, au compte spécial des primes. Or, pour le mois de juin dernier, le total des sommes ainsi

versées, dépasse le chiffre de 40,000 fr. ; c'est donc une somme d'environ 500,0(JO francs qui sera distribuée, à la fin ,de l'année, aux établisseurs clients fidMes du syndicat.

Il y a dans ce chiffre, une éloquence toute particulière, qui vaut bien un bon argument; et ce n'est pas aller trop loin que de dire: les primes offertes par le syndicat sont, pour l'élablisseur prévoyant, une véritable caisse d'épargne. Nous di- sons, pour l'établisseur prévoyant, car il est certain que celui qui ferait intervenir, en déduction de ses prix de revient ou de ses prix de vente, ce qu'il eompte re- cevoir à la fin de l'année sous forme de prime, ferait preuve d'une ignorance complète de ses véritables intérêts, et contribuerait, sans nécessité aucune, à l'avilissement du prix de vente des mon- tres. Mais on sait quel est le sort réservé un jour ou l'autre, aux vendeurs à la baisse. Le syndicat a prévu le cas, et l'in- solvabilité entraîne la perte de tout droit à la répartition; des primes.

Quoique la guerre de pièges et d'em-

buscades faite jusqu'ici au syndicat par

quelques établisseurs dont le nombre va

heureusement en décroissant, l'ait un peu

paralysé dans l'exécution de quelques

points de son programme général, une

question des plus importantes est actuel-

lement à l'étude: c'est celle de la limita-

tion de la production des ébauches, par

l'application d'un système permettant de

l'accélérer ou obligeant à la ralentir se-

lon les besoins réels de la consommation,

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-

c

258 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

et d'éviter ainsi l'accumulation de stocks qui peuvent, à un moment donné, peser lourdement sur l'équilibre financier de quelques établissements.

Dans un précédent article, nous avons signalé la tentation qu'une accumulation d'ébauches en stocks improductifs ne manquerait pas de créer: pour l'établis- seur qui serait poussé à des achats dis- proportionnés à ses besoins, à condition d'obtenir des prix inférieurs à ceux des tarifs établis; pour le fabricant d'ébau- ches, qui pourrait céder, par faiblesse ou par nécessité, à la tentation de pouvoir dégorger ses stocks, même au prix d'une infraction aux règles admises. De plus,

— on ne saurait trop le répéter — la baisse du prix de l'ébauche, qui accom- pagnerait la liquidation du trop plein des stocks, serait inévitablement suivie d'une baisse correspondante du prix de vente des montres et d'une dépréciation des stocks de montres, en fabrique et à l'é- tranger.

Aussi faut-il savoir gré au syndicat, d'avoir abordé cet important et difficile problème. Mais pour qu'il le puisse ré- soudre dans un sens favorable à l'intérêt général, il faudrait qu'il se sentit appuyé el secondé par les établisseurs; il faudrait tout au moins que ceux qui ne sont pas ralliés encore, consentissent à observer une neutralité bienveillante, qui se trans- formerait en réelle sympathie, le jour où le syndicat, débarrassé des entraves qu'on met à son développement, pourrait mieux affirmer l'utilité de la mission qu'il rem- plit dans notre ménage industriel.

De ce côté là, nous sommes heureux de pouvoir le dire, des symptômes ré- jouissants sont à signaler et nous avons eu l'occasion d'entendre, de la bouche même de l'honorable président de la So- ciété des fabricants d'horlogerie de notre principale place horlogère, que les der- nières mesures prises par le syndicat, de concert avec les établisseurs, avaient puissamment contribué à faire tomber les préventions de la première heure. Au- jourd'hui tout le monde reconnaît que la dissolution du syndicat serait un véritable désastre, et que la création de nouvelles fabriques d'ébauches ne correspond à aucune nécessité.

Cette constatation réjouissante vient bien à point, dans un moment où le syn- dicat s'apprête à faire une démarehe amicale auprès des fabriques dissidentes, pour les engagera s'unir à lui. Carl'oppo- silion contre le syndicat qui se manifes- tait dans quelques milieux d'établisseurs, était le principal argument mis en avant par les dissidents, pour justifier leur at- titude; cet argument ne peut plus être invoqué, aussi est-il permis d'espérer que la tentative honorable qui va incessam- ment être faite, sera couronnée du succès qu'elle mérite.

Il y va de l'intérêt bien entendu de tous, le syndicat ayant besoin de com-

pléter son groupement pour pouvoir exé- cuter tout son programme, et remplir son rôle nécessaire au milieu de notre orga- nisation industrielle.

Syndicats professionnels.

On lit dans les journaux genevois : Monsieur le Président et Messieurs les Mem-

bres du Haut Conseil fédéral à Berne.

Monsieur le Président et Messieurs, Les soussignés, membres des syndicats ouvriers du canton de Genève, viennent vous soumtttre respectueusement leurs vues et leurs desiderata sur le projet de législation du travail, que vous avez manifesté l'inten- tion de soumettre à l'étude d'un Congrès uni- versel, convoqué par votre haute autorité.

Ils estiment, que les plus intéressés à une bonne solution des problèmes que comporte l'examen de ce projet, sont avant tout les ouvriers, victimes de la situation actuelle et, pour cette raison, ils croient qu'il est de leur devoir de vous exprimer la nécessité de con- naître leurs idées, leurs besoins, leurs aspi- rations, sans quoi, avec la meilleure volonté du monde, il sera difficile, sinon impossible, d'arriver à l'amélioration de leur sort et de prendre des mesures qui mettent fin à une situation pleine de périls, soit à cause des grèves et de leurs conséquences désastreuses et pour l'ouvrier qui n'a que ce moyen d'ob- tenir l'augmentation d'un salaire insuffisant pour vivre et, pour l'industriel, le patron qui ne peut obtenir une production régulière pour lutter contre la concurrence commer- ciale.

Convaincus que vous poursuivez un but patriotique et humanitaire, les soussignés ont donc pensé vous apporter leur concours pour vous faire connaître ce qui, selon eux, vous permettra de réaliser une législation du travail vraiment utile et satisfaisante pour leurs intérêts.

A ces fins, ils vous soumettent un bref ex- posé des points principaux sur lesquels ils pensent que doit être établie la législation du travail.

Confiants dans votre sollicitude, nous vous présentons, Monsieur le Président et Mes- sieurs, l'assurance de notre parfaite considé- ration.

Au nom des Syndicats professionnels ou- vriers du canton de Genève.

Le Comité d'initiative : (Suivent les signatures).

D e s i d e r a t a p r é s e n t é p a r IeM Sy nili t-a(M o u v r i è r e d e G e n è v e .

Dans chaque corps de métier, il doit y avoir un Syndicat de patrons et un Syndicat d'ouvriers.

Ces Syndicats comprennent les membres ouvriers et patrons de la même profession, dans un arrondissement déterminé.

L'Etat doit provoquer la création de ces Syndicats dans chaque arrondissement qu'il détermine.

Ils se constituent conformément a la loi et acquièrent, par l'inscription au registre offi- ciel du commerce national, la personnalité civile et juridique.

Ils nomment leur bureau et forment leur organisation intérieure d'après des statuts élaborés, puis votés par la majorité absolue de leurs membres.

Leur action légale ne s'étend pas en dehors de l'arrondissement déterminé dont ils font partie.

Une fois constitués dans chaque corps de métier, les Syndicats de patrons et les Syn-

dicats d'ouvrie s ont pour mission d'établir un règlement de travail et de salaire, qui sera soumis au vote régulier des membres des Syndicats.

Ce règlement, une fois volé, sera sanc- tionné par l'autoi ité locale et fera loi pour chaque corps de métier, jusqu'à sa dénon- ciation par les Syndicats et son remplace- ment par un autre règlement.

Ces règlements doivent fixer le maximum d'heures de la journée de travail et le mini- mum des salaires, en prenant pour base l'ap- titude de chaque ouvrier ou employé.

Ils doivent stipuler les conditions d'hygiène des locaux appropriés aux matières premiè- res employées, soit à ces matières premières, soit aux machines.

Ils doivent également fixer les clauses et conditions du travail, selon chaque corps de métier, soit pour les hommes, les femmes et les enfants et fixer les clauses et conditions des contrats d'apprentissage pour les deux sexes.

Dans les contestations entre l'employeur et l'employé, les tribunaux prennent pour base de leurs décisions les règlements éta- blis par les Syndicats et sanctionnés par l'autorité locale.

Exportation.

L'agence consulaire des Etats-Unis com- munique le tableau suivant, résumant l'ex- portation d'horlogerie du district consulaire de la Chaux-de-Fonds aux Etats-Unis d'Amé- rique du Nord :

t e o o i * * » Fr. Fr.

Avril . . 606,116 »68 544,619 » 73 Mai . . 565,374 »(·3 555,429 » 48 Juin . . 591,227*29 434,631 » 79

1,762,718 » - 1,534,681 » — I " trimesf0 1,256,965 » 04 1,553,631 » 26 3,019,683 » 04 3,088,312 » 26 Les trois derniers mois valent donc miepx que les correspondants de l'année dernière ; cependant, au total, nous sommes à ce jour en retard de fr. 69,000 sur 1889. Espérons que les mois à venir rétabliront l'équilibre en faveur de l'année 1890.

NOUVILLRS DlVIiRSES

V o t a t i o n s u r lAHHiirnnce o b l i g a - t o i r e . — Le Conseil fédéral a fixé au diman- che 26 octobre prochain, soit au jour des élections pour le renouvellement périodique des membres du Conseil national, la date de la votation du peuple soisse et des Etats con- fédérés sur l'arrêté fédéral du 13 juin 1890 concernant la compétence législative à accor- der à la Confédération en matière d'assurance en cas d'accident et de maladie.

S e r v i c e t é l é g r a p h i q u e a v e c I a F r a n c e . — D'après le contrat en vigueur pour les taxes télégraphiques entre la Suisse et la France, on paie par mot : 10 centimes rayon-frontière et 15 centimes p o u r l e s e i - vice plus éloigné. Sur ces taxes, la Suisse perçoit, par mot, 4 centimes dans le premier cas, et 6 centimes dans le second. La France propose maintenant de fixer désormais entre les deux pays une taxe unique de 121/2 cen- times par mot, sur laquelle la Suisse perce- vrait 5 centimes et la France 71/2 centimes.

Cette taxe serait identique à celle que nous

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S5T-V < s · '• » ' ·' -

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 259

avons avec l'Allemagne, qui ne prévoit pas non plus de rayon-frontière, et à celle du service pour l'intérieur de l'Autriche.

M. le directeur Roten, délégué suisse à la Conférence de Paris, a été autorisé par le Dé- partement fédéral des postes, à conclure avec la France une convention dans le sens pré- cité, sous réserve de ratification par le Con- seil fédéral.

IiPH lialIoiiB d i r i g e a b l e s . — Une in- formation des plus intéressantes est donnée au Radical au sujet des expériences d'aréos- tats dirigeables tentées par l'atelier militaire de Meudon.

Depuis l'année 4884, où, pour la première fois, le ballon de forme allongée, imaginé par MM. Renard et Krebs, s'éleva de l'ate- lier de Chalais, les deux inventeurs n'ont pas cessé de chercher la solution définitive du problème.

Il leur fallait trouver un moteur plus puis- sant sous un volume restreint ; or, on affir- me que M. Renard vient de voir ses-efforts couronnés de succès. Il a établi un moteur d'une force de soixante-dix chevaux ne pe- sant (que 400 kilogrammes et d'un volume très peu considérable. C'est un moteur élec- trique susceptible de marcher dix heures.

On voit l'importance de cette découverte ; aussi l'a-t-on tenue secrète jusqu'à ce jour.

Actuellement toutes les expériences prépara- toires ont eu lieu et on achève le moteur type définitif. Dans quelques jours aura lieu une ascension du ballon de Meudon, qui cette fois, actionné par le nouveau moleur, manœuvrera au gré des aèrostiers ; c'est du moins la conviction du capitaine Renard.

C o n s u l . — Le Conseil fédéral a accordé son exéquatur à M. Emile Jacot, négociant à

Berne, en qualité de consul de la République orientale de l'Uruguay, en cette résidence.

E t a t s - U n i s . —Les Etats-Unis, qui comp- taient jusqu'ici quarante-deux Etats, en au- ront désormais quarante-quatre. La semaine prochaine, Ie Congrès votera l'admission du territoire de Wyoniing et le Sénat discute en ce moment celle de l'Idaho. Ces deux terri- toires sont situés le premier à l'ouest, le se- cond à l'est des Montagnes Rocheuses. Il ne restera pi as, dès lors, que trois territoires non reconnus comme membres de la Confé- dération, l'Ulah, Γ Arizona et l'Alaska, plus la région réservée aux Indiens, qui est enta- mée du reste chaque jour par les colons américains. Mais l'accession des deux nou- veaux Etats aura son importance politique, car dans tous deux c'est le parti républicain qui domine; ce parti gagne ainsi quatre sé- nateurs de plus, en sorte que, d'ici à cinq ans, il est assuré de la majorité au Sénat.

I i î s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée jeudi 3 juillet 1890, à 5 heures du soir : MM.

Schuchmann, Moscou. — Ronsperger, Vien- ne. — Kanny, Bombay. — Levis. Paris. — Pullak, Vienne. — Michalowski, Constanti- nople. — Lourié, Moscou. — Stem, Buda- Pesth.

COTE DE L'ARGENT

du 18 juin 1890

Fact· ré aux monteurs de boites.

L'argent 800 laminé et fil à fr. 141. 80 le kilo id. 805 id. id. £ 1 4 2 . 6 5 id.

id. 875 id. id. „ 1 5 4 . 9 0 id.

id. 900 id. id. ,,159.20 id.

id. 935 id. id. %, 165.20 id.

P r i è r e d ' a d r e s s e r l e s c o m m u n i - c a t i o n s à l a R é d a c t i o n d e l a F El» K- B A T I O i V HORIiOCiKKK S U I S S E , à B i e n n e .

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