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Organe de la Société i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r é e de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et dee Syndicats i n d u s t r i e l s .

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Texte intégral

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PA.M Jules Gfeller

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Mercredi 8 Juin 1892

ABONNEMENTS

Un an : Six mois :

Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

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Organe de la Société i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r é e de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et dee Syndicats i n d u s t r i e l s .

I n d u s t r i e b o î t i è r e

En reproduisant, dans notre dernier numéro, une Chronique horlogère, publiée dans le Petit Comtois, nous disions que nous aurions à revenir sur les apprécia- tions qu'elle contient.

Nous n'avons pas à intervenir dans les plaintes formulées contre les deux admi- nistrations des douanes et" du contrôle français par l'industrie boîtière de Besan-

çon, pour la bonne raison que nous ne voyons aucun inconvénient à ce qu'elles apportent des entraves à la concurrence que nous fait la boîte d'or française. Mais nous retenons deux choses de la chroni- que reproduite.

La première, que nous avons déjà eu l'occasion de signaler, d'accord sur ce point avec la Société des intérêts indus- triels de la Chaux-de-Fonds, c'est que les boîtes brutes françaises, une fois qu'elles ont passé la frontière et reçu le poinçon fédéral, sont, par le fait, nationalisées comme produit suisse. Nous ne revien- drons pas aujourd'hui, sur les conséquen- ces de ce fait, ni sur ce qu'il a d'irraison- nable.

La seconde est toute dans cette phrase de la chronique, que nous reproduisons encore, tant elle nous paraît instructive pour nos monteurs de boîtes.

Si donc une haute intervention ne vient aplanirles difficultés soulevées par l'admi- nistr°tion, la grande manufacture bisontine de boîtes sera forcée de se dédoubler et de fonder en Suisse une usine destinée à la fa- brication des boîtes pour ce pays.

Jusqu'ici, on disait volontiers, dans les milieux intéressés, que les conditions de fabrication de la boîte d'or n'étaient pas les mêmes en Suisse qu'en France, que Besançon jouissait de certains avantages dont il ne nous est pas possible de béné-

ficier, enfin que la Société générale de Besançon ne devait pas, à son organisa- tion en fabrique, à son outillage perfec- tionné, à la circonstance quelle est son propre acheteur d'or, de pouvoir concur- rencer nos ateliers suisses.

- D'après les passages cit£s plus haut, il faudrait croire que nos concurrents bi- sontins ne craindraient pàs*d'engager la lutte sur notre propre territoire et qu'ils envisagent que leur force d'organisation déploierait ses effets aussi bien en Suisse qu'en France.

Nous nous contentons, pour aujour- d'hui, de signaler ce point de vue si net- tement affirmé par le porte-voix de la Société générale et nous le livrons à la sérieuse attention de nos monteurs de boîtes suisses, patrons et ouvriers.

L a C r i s e

Nous disions, dans notre dernier numéço, que la commission extra-parlementaire nom- mée par le Grand Conseil neuchittelois pour étudier les moyens de venir en aide aux ou- vriers sans travail s'était réunie dans les lo- caux de la Chambre cantonale du commerce, de l'industrie et du travail.

En ouvrant la séance, M. le Conseiller d'Etat R. Comtesse a présenté un état de la situation actuelle, qui est en même temps une indication de la tendance générale qu'aura la Chambre neuchàteloise. Nos lec- teurs nous sauront gré de mettre sous leurs yeux le discours de l'honorable Conseiller d'Etat.

* * *

I Messieurs !

Dans sa séance du 18 mai 4892, le Grand Conseil a adopté une proposition chargeant le Conseil d'Etat d'étudier avec l'aide d'une Commission extra-parlementaire, par quels

moyens pratiques l'on pourrait arriver à remé- dier aux conséquences du chômage total ou partiel dont souffrent, dans les conditions actuelles de notre industrie et avec une crise qui paraît vouloir sa prolonger, un certain nombre de nos ouvriers.

Vous avez bien voulu, Messieurs, en pre- nant place dans cette Commission, prêter votre concours pour cette étude que nous allons entreprendre et poursuivre avec le sin: cère désir d'arriver promptement à une appré- ciation exacte de la vérité et au soulagement de ceux que la crise atteint plus particulière^

ment par des mesures pratiques et immédia- tement réalisables.

J'ai le devoir, Messieurs, de vous remercier tout d'abord de votre concours et de cher- cher ensuite à déterminer avec vous com- ment nous devons procéder et quelle marche nous devons suivre pour remplir la tâche qui nous est assignée.

Il me paraît, Messieurs, que notre premier soin doit être de nous éclairer aussi complè- tement que possible sur l'étendue de la crise actuelle, sur son caractère, sur sa durée pro- bable, en étudiant la situation présente du travail pour nos diverses catégories d'ou- vriers, le chômage plus ou moins intensè- dont ils souffrent et la diminution des gains qui en résulte. Ge n'est que lorsque nous aurons fait cette enquête, recueilli les plain- tes des intéressés, les dépositions et les té- moignages de ceux qui peuvent nous rensei- gner d'une manière utile et sûre parmi nos chefs d'ateliers, nos patrons, nos ouvriers, nos syndicats, enregistré et groupé un certain nombre de faits décisifs, d'informations pré- cises et exactes que nous pourrons alors ar- rêter des conclusions et discuter, en toute connaissance de cause, sur la nature et la portée des remèdes à appliquer.

Je présume, Messieurs, que les éléments de cette enquête peuvent être assez prompte- ment réunis, analysés et classifiés et qu'il sera facile au Secrétaire de notre Chambre cantonale du Commerce, de l'Industrie et du Travail, qui pourra vouer toute son activité à ce travail d'enquête et utiliser les ren- seignements et les matériaux qui existent déjà en grand nombre, de mettre prochaine- ment sous nos yeux, dans huit ou dix jours peut-être, un tableau groupant d'un côté les renseignements et les chiffres fournis par nos chefs d'ateliers et nos patrons et de l'autre ceux qui résulteront des dépositions de nos

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196 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

ouvriers et de nossyndicats ouvriers. Il pourra aussi consulter avec fruit un certain nombre de personnes, négociants et fournisseurs, qui consentiront, sans doute, volontiers à nous renseigner sur la situation. De cette manière, nous arriverons à contrôler les assertions des uns et des autres, à dégager la vérité et à baser notre opinion et nos conclusions, non pas sur des généralités, sur des appréciations plus ou moins vagues, plus ou moins person- nelles et qui pourraient être consenties, mais sur un ensemble de faits précis et sur des certitudes acquises.

Personne, sans doute, ne met en doute l'existence de la. crise; les initiatives déjà prises à la Chaux-de-Fonds l'affirment suffi- samment. Mais il s'agit, au moment où nous sommes, d'examiner si ces initiatives sont suffisantes, si elles répondent bien aux be- soins qu'il faut soulager et si elles ne doivent pas être complétées par d'autres mesures.

Pour cela, il importe que nous puissions ap- précier aussi exactement que possible quelle est l'intensité du malaise, quelle est la di- minution des affaires et du travail dans les diverses branches de notre industrie horlo- gère et quelle est dans chacune d'elles le nombre des ouvriers travaillant normalement, celui des ouvriers qui ne sont que partielle- ment occupés et enfin celui des ouvriers peu nombreux, espérons-le, qui sont condamnés au chômage complet. Il eut été désirable que cette enquête nécessaire eut été entreprise plus tôt, afin de ne pas être placés, comme nous le sommes encore en présence d'affir- mations contradictoires et dans une trop grande incertitude d'opinion.

Permettez-moi de vous soumettre, au point de départ de notre mission, mes vues per- sonnelles, auxquelles vous vous associerez peut-être, sur la manière en laquelle il me paraît que nous devons comprendre et rem- plir le mandat qui nous est confié et sur l'es- prit qui doit nous diriger les uns et les autres.

En premier lieu, nous devons éviter de grossir et d'exagérer le mal et chercher à rester dans une juste appréciation des faits.

Je sais bien que lorsqu'on interroge des gens qui souffrent dans leur existence de tous les jours, dont le malaise tend à s'aggraver, on rencontre naturellement des opinions, très pessimistes, des doléances souvent exagérées et que la vérité souffre parfois du pessimisme auquel on est enclin. — Nous tâcherons, Messieurs, d'échapper à ce défaut en n'ac- ceptant que des renseignements sûrs et dignes de foi et qui nous permettent de diagnostiquer exactement la situation.

Nous devons, en second lieu, ne pas per- dre de vue cette règle de prudence, c'est que nos intérêts industriels nous commandent de ne rien exagérer et de ne pas laisser s'accré- diter au dehors l'idée que le malaise est plus grand chez nous qu'il n'est ailleurs, que la situation de nos affaires, la diminution du travail présentent chez nous un caractère particulièrement alarmant et une gravité toute exceptionnelle. Je n'ai pas besoin d'in- sister, Messieurs, sur le danger qu'il y aurait de notre part à dénoncer publiquement notre situation industrielle comme particulière- ment mauvaise et le dommage qui ppurrait résulter pour notre production industrielle, de l'aveu que nous irions faire d'une crise et d'une misère dont le degré dépasserait ce que l'on constate dans d'autres cantons et d'autres milieux horlogers. Nous avons, ne l'oublions pas, des rivaux qui nous surveillent et qui ne manqueraient pas d'exploiter contre nous le retentissement que nous irions don- ner à l'état de nos affaires, à des aveux im- prudents, à des déclarations inconsidérées;

on pourrait en inférer que notre industrie est plus éprouvée que d'autres, qu'elle donne des signes d'affaiblissement et même de dé-

périssement, qu'elle a une force de résistance moindre que les industries concurrentes et cela risquerait de nous faire du tort et de dé- tourner de nous des acheteurs et des clients fidèles. Soyons donc circonspects et prenons la bonne habitude de nous expliquer entre nous avec franchise et confiance, de nous rapprocher dans l'étude des questions qui intéressent la destinée commune de nos pa- trons et de nos ouvriers, l'existence de notre industrie et d'écarter les défiances, les suspi- cions et les rancunes souvent peu justifiées qui nous sont funestes aux uns et aux autres, parce qu'elles risquent de nous condamner à des luttes stériles, de décourager les bonnes initiatives, de paralyser tous les efforts qui doivent être poursuivis de part et d'autre pour la défense de nos intérêts industriels.

Permettez-moi d'espérer que l'institution d'une Chambre de l'Industrie et du Travail contribuera à ce résultat et que c'est ici que nous apprendrons à venir discuter en toute sincérité et en toute discrétion en évitant les révélations inutiles autant que fâcheuses, les moyens de remédier aux difficultés passa- gères auxquelles n'échappe aucune iudustrie, de nous soutenir dans les mauvais jours et d'affermir notre situation industrielle !

C'est dans cet esprit que nous devons nous efforcer de travailler, si nous voulons ne pas faire fausse route, mais arriver à établir entre nos groupes patronaux et ouvriers, dans ce mouvement ascensionnel des associations syndicales, les relations et l'entente néces- saires, pour résoudre progressivement- et pa- cifiquement, sans perte de temps, sans lutte stérile, toutes les questions qui intéressent le capital et Ie travail dans notre industrie hor- logère.

Nous allons donc, Messieurs, nous enqué- rir aussi promptement que possible de l'état actuel du travail dans notre industrie, de l'étendue du chômage parmi nos ouvriers, des réductions de gains et des pertes de sa- laire auxquels ils sont exposés, puis ensuite examiner, ce qui est évidemment le côté dé- licat et difficile du problème, les moyens les plus efficaces dejeur venir en aide. Tout en réservant des décisions définitives, nous pou- vons déjà aujourd'hui discuter éventuelle- ment et par anticipation la nature de ces moyens :

. ; (A suivre.)

Extrait d'un journal-d'horlogerie de Londres

Les montres anglaises se ressentent vive- ment de la crise actuelle, et la plupart des fabricants aussi bien à Londres qu'à Coventry, se plaignent de n'être pas occupés, sauf quel- ques fabriques de renom qui ont la chance d'avoir des ordres arrières à exécuter. Les fabriques renvoient une bonne partie de leurs ouvriers, et on nous dit qu'une maison de Londres, fabriquant principalement la montre compliquée, a renvoyé les */β de son person­

nel, et une autre maison a renvoyé d'un seul coup 30 ouvriers.

A Coventry, la fabrication des boîtes de montres à la machine n'a pas l'air de bien prospérer, car la Société de la fabrique Coventry Watch Case Manufacturing Com- pany est dissoute et la raison sociale tracée du registre du commerce.

L'Ecole d'Horlogerie de Londres est en voie de dissolution, l'Association ou Corpo- ration des Bijoutiers et Orfèvres ayant cessé de lui allouer le subside annuel de .300 1. st.

(qui servait à couvrir une bonne partie des

frais), et cela sous le prétexte que l'Ecole ne remplit pas le but qu'on en attendait.

Cette année, malgré le mauvais état des affaires dans notre commerce d'horlogerie, et les plaintes que l'on entend de tous côtés, les statistiques annoncent un chiffre d'impor- tation de montres en Angleterre considéra- blement plus élevé que pendant les 4 mois correspondants en 1891 et 1890.

Voici les chiffres tels que les fournit le Bureau de statistique :

Importation de montres :

en Avril 1892 . . . 1. st. 67,101

» 1891 . . . » 53,858

» 1890 . : . » 54,912 du l °r Juillet au 30 Avril 1892 1. st. 248,020

» s 1891 » 202,263

» » 1800 » 209,952 Augmentation en 1892 pendant les 4 pre- miers mois de plus de 40,000 1. st., soit plus de 1,000,000 de francs !

Avis important

Les fabricants et négociants en horlogerie qui recevraient des demandes de marchan- dises provenant du nommé :

CARLO BIANCHI, Via St-Gregorio ?i° 15, Milan,

sont invités'à se renseigner sur cette maison, avant d'entrer en relation avec elle. Ils trou- veront des renseignements auprès de la Chambre cantonale du commerce, ou du Secrétariat de la Société intercantonale des Industries du Jura, à la Chaux-de-Fonds.

BREVETS D'INVENTION

LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS

h o r l o g e r i e e t b i j o u t e r i e

Enregistrements

Cl. 53, n° 47-24. 10 mars 1892, 61/4 h. p. — Boîte à musique perfectionnée. — Gautschi Henry-Adolph, Philadelphie (Etats-Unis A.

du N.) — Mandataire: Imer-Schneider E., Genève

Cl. 64, n° 4699. 5 mars 1892, 6 h. ρ — Comp­

teur d'observations à pointage perfectionné.

— Weidemann C-L., fabricant, 1, Place du Lac, Genève (Suisse). — Mandataire : Imer-Schneider E., Genève.

Cl. 64, n° 4706. 2 mars 1892, 6 h. p. — Mé- canisme de mise à l'heure perfectionné s'appliquant à n'importe quel calibre de montre. — Favre Frères, fabricants, Cor- moret (Suisse). — Mandataire : Imer- Schneider E., Genève.

Cl. 64, n° 4729. 5 mars 1892, 6 h. p. — Mé- canisme de chronographe avec ou sans compteur. — Jeannot Paul, 65, rue du Parc, Chaux-de-Fonds; et Burri-Haldi Louis, Bienne (Suisse). — Mandataire : Imer-Schneider E., Genève.

Cl. 65, n° 4698. 4 mars 1892, 4 h. p. - Uhrenhemmung. — Knecht Hermann, horloger, Stein-s/Bh., et. de Schafïhouse (Suisse).

Cl. 65, n° 4702. 3 décembre 1891, 6 h. p. — Horloge nocturne. — Embriaco R.-P.-G.- B., Borne (Italie). — Mandataire : Imer- Schneider E., Genève.

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

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Radiations

Cl. 64, n° 440. — Nouveau système de ra- quettes à longueur réglable.

Cl. 64, n° 1875. — Perfectionnement apporté aux encliquetages de remontoirs.

Cl. 64, n° 1915. — Boîte de montre avec garda-glace métallique.

Cl. 64, n» 3196. — Montre.

Cl. 64, n° 3226. — Nouveau système de montre.

Cl. 64, n° 3245. — Régulateur de raquette, système Alcide Vaucher.

Cl. 64, n" 3296. — Porte-cylindre mobile, système Petit.

Cl. 64, n° 3457. — Nouveau genre d'aiguilles de montres. A

LISTE DES DESSINS ET MODÈLES

Enregistrements

N". 375. 19 mai 1892, 6 heures. — Cacheté.

7 modèles. — Calibres de montres. — Brandi & frères Louis, Bienne (Suisse). — Mandataire : Imer-Schneider E., Genève.

N0 376. 22 mai 1892, 11 heures. — Ouvert.

— 1 modèle. — Calibres de montres. — Knûss Auguste, "Villeret (Suisse). — Man- dataire : Furrer Gottfried, Bienue.

N0 379. 25 mai 1892, 11 heures. — Ouvert.

— 1 modèle. — Calibres de montres. — Obrecht & C'0 P., Granges (Suisse).

Prolongations

N» 90. 24 mars 1890, 12 h. — (II0 période . 1892/95.) — 6 modèles. — Aiguilles de , montres. — Lançon Ferdinand, Bienne . (Suisse), enregistrement du 24 mai 1892.

N°93. 26 mars 1890, 11 h. — (IIe période 1892/95). — 1 modèle. — Mouvements de

montres. — Couleru-Meuri Ch., Chaux-de- Fonds (Suisse), enregistrement du 21 mai 1892.

N0 99. 13 avril 1890, 8- h. — (IIe période 1892/95). — 12 dessins. — Cadrans de montres pour l'horlogerie. — Nicolet Geor- ges, Chaux-de-Fonds (Suisse), enregistre- ment du 31 mai 1892.

N0IOl. 30 avril 1890, 6 h. — (IIe période 1892/95). — 1 modèle. — Calibre do mon- tre de poche. — Philippe Adrien, Genève (Suisse). — Mandadaire : Imer-Schnfider E., Genève, enregistrement du 27 mai 1892.

N° 104. 9 mai 1890, 6»/* b. — (IIe période 1892/95). — 2 modèles. — Targettes pour mise à l'heure et décoration de cadrans. — Couleru-Meuri, Chaux-de-Fonds (Suisse), enregistrement dr 21 mai 1892.

N" 115. 6 juin 1890, 8 h. (IIe période 1892 95).

— 1 modèle. — Horlogerie. — Société anonyme de la fabrique d'horlogerie J.-J.

Badollet, Genève (Suisse). — Mandataire : Cherbuliez A.-M., Genève, enregistrement du 30 mai 1892.

Radiations

N»90. 24 mars 1890, 12Ίί. — 10 modèles sur 16. — Aiguilles de montres. — Lançon Ferdinand, Bienne (Suisse), éteint le 24 mars 1892.

N · 104. 9 mai 1890, 6'/* h. — 1 modèle sur 3.

— Boîte de montres. — Couleru-Meuri, Chaux-de-Fonds (Suisse), éteint le 9 mai 1892).

C O T E DE L'ARGENT du 8 juin 1892 Facturé aux monteurs de boîte.

L'argent 800 laminé et fil à fr. 121. 85 le kilo id. 805 id. id. » 122.65 id.

id. 875 id. id. » 133.15 id.

id. 900 id. id. » 136. 80 id.

id. 935 id. id. » 141.95 id.

L i s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur -de- Lis : Liste dressée Mardi 7 Juin 1892, à 5 heures du soir : M. Salasnik, Russie, — Frxnkel, Francfort.

A. Mendelssohn, de Londres et Afrique du Sud, Serre 49.

ÏI«ÎH a n n o n c e s c o n c e r n a n t l e s of 1res e t d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o u d ' e m - p l o y é s p o u r l ' h o r l o g e r i e , a i n s i q u e l e s c o n v o c a t i o n s d ' a s s e m b l é e s d ' a s - s o c i a t i o n s p a t r o n a l e s e t o u v r i è r e s j o u i r o n t d ' u n p r i x d e f a v e u r e t s e r o n t i n s é r é e s à r a i s o n d e I O c e n t i m e s l a l i g n e o u s o n e s p a c e .

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

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