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Imagerie de la Sclérose en PlaquesImagerie de la Sclérose en Plaques

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(1)

Imagerie de la Sclérose en Plaques Imagerie de la Sclérose en Plaques

Pr Fabrice Bonneville Pr Fabrice Bonneville

Service de Neuroradiologie - CHU Toulouse U.V.T 7 avril 2011

(2)

Objectifs

Montrer l’intérêt de l’IRM conventionnelle dans la SEP

Rappeler les signes IRM en faveur du diagnostic de SEP

Découvrir quelques diagnostics différentiels en IRM

(3)

Quiz

A

D

G : toutes

B

E

H : aucune

C

F

(4)

Sclérose en Plaques

Maladie inflammatoire du SNC

Démyélinisation et dommages axonaux

Une des maladies invalidantes

les plus fréquentes chez les jeunes

Touche env. 2.000.000 / monde

Femme/ homme : 2/1

Age : 20-40 ans

(5)

Symptômes révélateurs

0 10 20 30 40

Fourmillements Troubles de la marche Faiblesse MI BAV Faiblesse MS Diplopie Troubles urinaires Vertiges Convulsions

%

(6)

Symptômes évocateurs

( Symptômes cliniques isolés (CIS)

Névrite optique rétrobulbaire

Signe de Lhermitte

Troubles de la marche

(7)

Comment fait-on le diagnostic ?

Dissémination spatiale

(signes cliniques différents)

Dissémination temporelle (poussées et rémissions)

(8)

A quoi ça sert l’IRM ?

Signe clinique évocateur de SEP

– Confirmation du diagnostic

– Éliminer ou redresser le diagnostic

Évoquer le diagnostic alors que non suspectée

Suivre une SEP en recherche

Étudier la SEP

Ge AJNR 2006

(9)

Anapath de la SEP

Inflammation

Démyélinisation

Gliose

Perte axonale

Remyélinisation

(10)

Traduction en Imagerie

1. Inflammation

– T1 gado : Prise de contraste – Imagerie cellulaire: USPIO – Spectro : Choline

– Perfusion : micro-vascularisation

(11)

2. Démyélinisation

– Hypersignaux T2 – Spectro : lipides

– Tenseur de diffusion

– Transfert de magnétisation

Traduction en Imagerie

(12)

3. Gliose:

– Hypersignaux T2

– Spectro : myo-Inositol – Tenseur de diffusion

Traduction en Imagerie

(13)

4. Perte axonale

– Hypersignaux T2

– Hyposignaux FLAIR – Hyposignaux T1

– Atrophie (épaisseur CC) – Spectro : NAA (global) – Diffusion : ADC

Traduction en Imagerie

(14)

5. Remyélinisation

– Spectro : NAA

– Transfert de magnétisation – Tenseur de diffusion

Traduction en Imagerie

(15)

A quoi sert vraiment l’IRM conventionnelle ?

Poser le diagnostic ?

Confirmer le diagnostic ?

Évoquer le diagnostic ?

Montrer une sémiologie IRM évocatrice

Éliminer d’autres diagnostics

Intérêt en essais cliniques

– Efficacité du ttt

(16)

Comment poser le

diagnostic de SEP ?

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Temporelle Spatiale Dissémination

Clinique

ou

IRM

Clinique

ou

IRM

(17)

Rôles de l’IRM

Rôle dans dissémination spatiale

• Décompte des lésions

• Apparition d’une nouvelle lésion

• Lésion asymptomatique médullaire

Rôle dans dissémination temporelle:

• Après un syndrome clinique isolé

• Apparition d’une lésion pdc, 3 mois après

• Apparition d’une lésion HT2, 30 j

IRM permet alors de poser le diagnostic à la place d’une 2ème poussée clinique

– L’IRM permet d’accélérer le diagnostic précoce*, de plusieurs mois voire années**

**Dalton et al. Ann Neurol 2003

*Montalban, Neurology 2010

(18)

Lésion :

ZHST2 > 3mm T1 normal ou hypo

Lésion active :

rehaussement Persiste 2 - 6 semaines

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

(19)

Critères Mc Donald - 2001

Dissémination spatiale (3 des 4):

– 1 T1G+ ou ≥ 9 lésions hyper T2 (si pas de Gado+) – ≥ 1 infratentorielle

– ≥ 1 juxtacorticale

– ≥ 3 périventriculaires

Dissémination temporelle

– Nouvelle lésion hyper T2 (30j) – Nouvelle lésion T1G+ (3 mois)

(20)

Femme, 51 ans:

contrôle de lésions inflammatoires de la SB

RÉSULTATS

A L'ÉTAGE SOUS-TENTORIEL :

Le IVème ventricule est médian, de taille normale et il n'y a pas d'anomalie de signal parenchymateuse ni de prise de contraste pathologique visible.

A L'ÉTAGE SUS-TENTORIEL :

Les structures médianes et le système ventriculaire sont en place, de taille normale.

Il existe de multiples zones nodulaires, en hypersignal FLAIR et T2 de la substance blanche péri- ventriculaire, des centres ovales et à la jonction cortico-sous-corticale, certaines en hyposignal T1 et au moins trois lésions, prenant le contraste discrètement : deux en frontal, paramédianes gauches, et une, en frontal externe droit, au niveau de la jonction cortico-sous-corticale.

EN CONCLUSION

Lésions multiples nodulaires et confluentes de la substance blanche péri-ventriculaire et de la

jonction cortico-sous- corticale, dont au moins trois prenant le contraste, compatibles avec une maladie inflammatoire, à comparer au précédent examen.

11/2007

(21)

- multiples ZHST2 de la substance blanche péri- ventriculaire, des centres ovales et à la jonction cortico-sous-corticale - hyposignal T1

- au moins trois lésions, prenant le contraste discrètement

CONCLUSION

compatibles avec une maladie inflammatoire

Femme, 51 ans :

contrôle de lésions inflammatoires de la SB

(22)

11/2007

Femme, 51 ans :

contrôle de lésions inflammatoires de la SB

RÉSULTATS

A L'ÉTAGE SOUS-TENTORIEL :

Le IVème ventricule est médian, de taille normale et il n'y a pas d'anomalie de signal parenchymateuse ni de prise de contraste pathologique visible.

A L'ÉTAGE SUS-TENTORIEL :

Les structures médianes et le système ventriculaire sont en place, de taille normale.

Il existe de multiples zones nodulaires, en hypersignal FLAIR et T2 de la substance blanche péri- ventriculaire, des centres ovales et à la jonction cortico-sous-corticale, certaines en hyposignal T1 et au moins trois lésions, prenant le contraste discrètement : deux en frontal, paramédianes gauches, et une, en frontal externe droit, au niveau de la jonction cortico-sous-corticale.

EN CONCLUSION

Lésions multiples nodulaires et confluentes de la substance blanche péri-ventriculaire et de la

jonction cortico-sous- corticale, dont au moins trois prenant le contraste, compatibles avec une maladie inflammatoire, à comparer au précédent examen.

(23)

Femme, 51 ans

contrôle de lésions inflammatoires de la SB

11/2007 02/2008 HST2 aspécifiques &

Métastases de Cancer du sein

(24)

Critères de Mc Donald

Négatifs Positifs

SEP DiagnosticAutre Autre

Diagnostic

SEP

Se = 75% Sp = 83%

CIS

(25)

3 critères parmi :

≥ 9 ZHST2 ou 1 Gd+

≥ 3 périventriculaires

≥ 1 juxta-corticale

≥ 1 sous-tentorielle

Lésion médullaire :

Équivalente à 1 sous-tentorielle Compte pour une lésion Gd+

Si lésion Gd+ médullaire

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination spatiale dissémination spatiale

new

(26)

3 critères parmi :

≥ 9 ZHST2 ou 1 Gd+

≥ 3 périventriculaires

≥ 1 juxta-corticale

≥ 1 sous-tentorielle

Lésion médullaire :

Équivalente à 1 sous-tentorielle Compte pour une lésion Gd+

Si lésion Gd+ médullaire

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination spatiale dissémination spatiale

new

(27)

3 critères parmi :

≥ 9 ZHST2 ou 1 Gd+

≥ 3 périventriculaires

≥ 1 juxta-corticale

≥ 1 sous-tentorielle

Lésion médullaire :

Équivalente à 1 sous-tentorielle Compte pour une lésion Gd+

Si lésion Gd+ médullaire

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination spatiale dissémination spatiale

new

(28)

3 critères parmi :

≥ 9 ZHST2 ou 1 Gd+

≥ 3 périventriculaires

≥ 1 juxta-corticale

≥ 1 sous-tentorielle

Lésion médullaire :

Équivalente à 1 sous-tentorielle Compte pour une lésion Gd+

Si lésion Gd+ médullaire

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination spatiale dissémination spatiale

new

(29)

3 critères parmi :

≥ 9 ZHST2 ou 1 Gd+

≥ 3 périventriculaires

≥ 1 juxta-corticale

≥ 1 sous-tentorielle

Lésion médullaire :

Équivalente à 1 sous-tentorielle ET Compte pour une lésion Gd+

Si lésion Gd+ médullaire

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination spatiale dissémination spatiale

new

(30)

1 Gd+, 3 mois après l’évènement Initial, à un site différent Nouvelle ZHST2 par rapport À l’examen de référence (dans les 30 j de l’évènement initial)

Critères de McDonald

(2001, révisés en novembre 2005)

Imagerie

dissémination temporelle dissémination temporelle

new

(31)

Reproductibilité Mc Donald ?

Tous critères confondus :

– kappa < 0.40 (radiologues non experts)

Disséminations spatiale et temporelle

– kappa = 0.60 (experts)

– kappa = 0.29 spatiale, 0.52 tempo (non experts)

Reproductibilité interobservateur faible !!*

Korteweg et al. Eur Radiol 2007

(32)

Décompte des lésions

Dépend :

– Type de séquences: DP, FSE T2, FLAIR – Paramètres des séquences

– Épaisseur de coupes – Plans de coupes

– Champ magnétique

• En moyenne: 80 lésions en + 4T > 1.5 T*

Keiper et al. AJNR 1998

(33)

Protocole cerveau *

Repérage 3 plans

Sagittal FLAIR (pour le corps calleux)

Axial FSE DP/T2 (DP >FLAIR pour la fosse post)

Axial FLAIR (lésions sous-corticales)

Axial T1 sans et avec gado (0.1mmol/kg après 5 min)

Coupes axiales ≤ 3 mm≤ 3 mm

* Simon et al. AJNR 2006

(34)

Protocole moelle*

Repérage 3 plans

Sagittale T2

Sagittale T1 sans / avec Gado

+/- Axiales T2 et T1 gado, si lésion douteuse

Coupes sagittales ≤ ≤ 3 mm3 mm

* Simon et al. AJNR 2006

(35)

Critères de Swanton

Swanton, JNNP 2006, Montalban Neurology 2010

(36)

Swanton: Dissémination temporo-spatiale

Dissémination dans l’espace :

– ≥ 1 HST2 asymptomatique dans ≥ 2 /4:

• Périventriculaire

• Juxtacortical

• Sous-tentoriel

• Moelle

Dissémination temporelle:

– 1 T1Gado asymptomatique + 1 HST2 Gado- – Nouvelle T1gado ou HST2 n’importe quand

(37)
(38)

Au-delà des critères, évoquer le diagnostic et éliminer les diagnostics différentiels

Hypersignaux T2 SB, NON spécifiques

Signes évocateurs de SEP

– Lésions ovoïdes

– Lésions du corps calleux – Doigts de Dawson

– Dilatation périveinulaire – Hyposignal T2 des NGC

– Lésions médullaires asymptomatiques

Signes en faveur d’autres diagnostics:

– PDC > 3 mois

– Effet de masse +++

– PDC méningée

(39)

IRM

Activité > 3 mois d’une lésion Effet de masse +++

Rehaussement leptoméningé

(40)

IRM

Activité > 3 mois d’une lésion Effet de masse +++

Rehaussement leptoméningé

(41)

IRM

Activité > 3 mois d’une lésion Effet de masse +++

Rehaussement leptoméningé

(42)

Aspects des lésions de SEP

Hypersignaux T2 SB

Ovoïdes, arrondis

Perpendiculaire aux ventricules – Qq mm à qq cm

– Parfois halo moins intense (œdème) – Confluents

(43)

Localisation ZHT2

Substance blanche sus-tentorielle:

– Périventriculaire

• Ventricules latéraux

• Cornes temporales

– Sous-corticale (fibres en U)

Corps calleux

Disposition radiaire (périveineuse)

Nerfs optiques (STIR)

Lésions corticales (5%, FLAIR++)

En sous-tentoriel (10%)

– Pédoncule cérébelleux moyen – Plancher du V4, pont

(44)

Corps calleux,

perpendiculaire ventricules, pédoncule cérébelleux moyen

? ?

(45)

Syndrome de Susac

(1979)

Microangiopathie rétine, cochlée, cerveau

(vasculopathie rétino-cochléo-cérébrale)

Micro-infarctus liés à des occlusions artériolaires

Lésions corps calleux et SB sous-corticale

(DD avec SEP (diffusion*))

Et NGC et cortex

Prise de contraste possible

Diminue dans le temps

*Xu et al.Magn Reson Imaging 2004;22:1295-8 White, et al. AJNR 2004;25:706-13

(46)

Susac ou SEP ?

(47)

Susac

Atteinte des NGC

Diffusion positive

Régression lésions

(48)

HS T2 très fréquent substance blanche sus-tentorielle

Possible dans l’ensemble des maladies systémiques

Touche la substance blanche profonde

GOUGEROT-

SJÖGREN (75%) LUPUS

(80%)

SAPL (85%) WEGENER

(75%)

« Vascularite » et Maladies de système

SARCOIDOSE (70%)

(49)

SEP: Doigts de Dawson

Orientation et forme (ovoïde) corrélée avec le trajet de veines médullaires

Lésions périveineuses

Distribution périveinulaire

(SB périventriculaire et profonde)

Tan et al AJNR 2000

(50)

Doigts de Dawson –

Localisation périveinulaire

(51)

Dilatation périveinulaire

Ge et al. AJNR 2005

(52)

Femme 27 ans. Déficit fluctuent Gche. « SEP ». Troubles conscience

(53)

Diagnostic différentiel des ZHT2

Hypersignaux T2, NON spécifiques

Leucoaraïose (50% > 50 ans)

– Distribution SB profonde et sous-corticale – Lacunes NGC et centre du pont

– Mais pas dans:

corps calleux, fibre U, nerfs optiques – Hypersignaux plus petits

– Pas orientés en périveinulaire

Lupus et SAPL (vascularite)

– Comme leucoaraïose

Behçet : diencéphale

Sarcoïdose : HST2 mais pdc leptoméningée

(54)

SEP: Hyposignaux T1 (black holes)

– Aigus : œdème (régressent)

– Chronique: trous noirs (black holes) destruction (atrophie irréversible)

• Large plaques évoluent vers trous noirs

• Trous noirs rares en sous-tentoriels

– Association PDC + et –

– Liséré hypersignal T1 possible

(débris lipidiques intramacrophagiques)

(55)

SEP connue, traitée,

déficit aigu, céphalées

(56)

Marqueur de l’inflammation active

Présentes surtout au début de l’évolution de la maladie

Témoin de lésions de la barrière hémato-encéphalique

Très précoces dans l’histoire de la plaque (1er signe*)

Durée très limitée dans le temps :

– 3 semaines à 1 mois en moyenne (< 3 mois)

Durée de la prise de contraste d’autant plus longue que la lésion est volumineuse

Pb de dose ?

– 3X dose : plus lésions **

Prise de contraste et SEP

* Grossman et al. Radiology 1988

** Sardanelli et al AJNR 2003

(57)

Type de prise de contraste

Nodulaire (2/3)

Annulaire (25%)

En C (anneau ouvert) (10%)

Atteinte splenium +++

(58)

PDC annulaire

PDC annulaire = micro-abcès

(59)

Diffusion et SEP

ADC très variable, HS front de démyélinisation

Centre : ADC augmenté

Périphérie : parfois un peu diminué, effet T2 ?

(60)

Vasculaire:

ADC diminué dans la SG

Vasculaire ou SEP

(61)

Diffusion, effet T2, HTA

(62)

Prise de contraste annulaire…

Est-ce vraiment une SEP ?

MétastaseM

AbcèsA

GlioblastomeG

IschémieI

ContusionC

DémyélinisantD

Résorption hématome/ RadionécroseR

(63)

GG

AA

DD MM

(64)

Types de prises de contraste

(65)

Prise de contraste en « C »

Astro bas grade

Cho/NAA ≈ 1 Cho/NAA = 3

(66)

Forme « pseudo-tumorale »

(67)

« IRM : Bilan de tumeur »

Pas d’effet de masse !

(68)

Formes particulières : Balo (alternance)

(69)

Formes particulières : Balo

(70)

Formes particulières : Marburg

Forme aigue, fulminante

Mort/ handicap qq mois

Grandes plaques coalescentes

(71)
(72)

1 mois avant…

1 mois avant…

1 mois après1 mois après

Biopsie: Glioblastome

(73)

ADEM pseudo tumorale

(74)

Encéphalomyélite aigue disséminée

Maladie démyélinisante aigue, surtout pédiatrique

Survient après infection ou vaccination

En général, monophasique

Toutes lésions de même « âge », même aspect IRM

Nouvelles lésions peuvent apparaître dans le mois

1/3 rechute : ADEM récidivante (après 3 mois)

25% deviennent SEP après 5 ans*

Touche surtout la SB sous-corticale, NGC, peu CC

Souvent grandes lésions, sans effet de masse

*Hartung; Neurology 2001

(75)

ADEM

(76)

Démyélinisation et diffusion

LEMPLEMP

(77)

Et les nerfs optiques ?

Névrite optique:

– signe classique – fréquent

– souvent inaugural

Présent dans SEP, Devic ou à son compte

Pas dans Mc Donald

50% de NO avec anomalies cérébrales à l’IRM, feront SEP

(78)

NO gauche

(79)

Dg clinique NO …

Dg IRM… aspergillose

(80)

50 ans. Dg de SEP. NO récurrente (IRM pas indispensable)

Méningiome

(+ artériolopathie)

(81)

Formes particulières : Devic (neuromyèlite optique)

Maladie différente de SEP

Association

– Névrite optique uni / bilatérale – Myélite transverse

Survenue synchrone ou retardée

En plus (2 des 3):

– atteinte médullaire IRM > 3 vertèbres – Anticorps NMO

– Pas de critère de Mc Donald

(82)

Devic

(83)

25% des patients

Cervical

Postéro-latéral

< hémie-moelle

Pas limite SB/SG

< 2 hauteurs vertébrales

Souvent multiples

Asymptomatiques

PDC comme cerveau

STIR plus sensible*

Lésions médullaires de SEP

*Rocca et al. AJNR 1999

(84)

Moelle C2 typique

(85)

Iffenecker et al J Neuroradiol 1998

Étude rétrospective de lésions médullaires

– Signal T1 et T2, gado

– Siège : Central et/ou périphérique (Ant / Post / lat) – Forme : nodulaire / triangulaire

– Hauteur (en vertèbres)

– Niveau (cervical, thoracique, cône)

(86)

Résultats

N= 27

– SEP : 11; ischémie: 5; sarcoïdose: 4 – CMV, radique, fistule durale,

Pour la SEP : 2/3 dorsal, 1/3 cervical (…)

Quand triangulaire : que SEP (7/11) (reste nodulaire)

Quand unilatérale pur : que SEP (4/11)

Quand multiple: que SEP (3/11)

Quand periphérique pur : SEP (80%)

Hauteur SEP :

– < 1 vert: 65%

– 1<H<2 : 30%

– > 2 vert : 5%

(87)
(88)

Atteinte médullaire postéro-médiane

Sclérose combinée : déficit B12

(89)

Ischémie médullaire subaiguë

(90)

Diagnostic

(clinique + LCS + sérologie) :

Maladie de Lyme

(91)

Quiz

A

D

G : toutes

B

E

H : aucune

C

F

(92)

Quiz

A

D

G : toutes

B

E

H : aucune

C

F

Lupus Lupus Susac

Susac ADEMADEM

Arteriolopathie

Arteriolopathie SEPSEP GBMGBM

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