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C'est ainsi que la section fribourgeoise de la Fédération romande des Consommatrices y participe pour la première fois dans ce numéro

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Academic year: 2021

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PRO FRIBOURG

INFORMATIONS

Secrétariat: Stalden 14, 1700 Fribourg - Cotisation: ordinaire 12 fr.; de soutien 24 fr. — C.C.P. 17-6883 1700 Fribourg Vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s'occupe de vous. Montalembert En distribuant au mois d'octobre notre bulletin à tous les ménages de la ville, nous faisions un pari.

Celui de créer un nouveau canal d'information, réellement indépendant, sans appui officiel ni ressources publicitaires, au service de la défense du cadre de vie.

Grâce aux lecteurs fribourgeois, ce pari a été tenu. Le nombre des adhérents de Pro Fribourg a passé de 600 à 750 et PRO FRIBOURG INFORMATIONS paraîtra désormais régulièrement.

Cet effort d'information, nous allons le poursuivre dans le cadre d'une Communauté d'action élargie. C'est ainsi que la section fribourgeoise de la Fédération romande des Consommatrices y participe pour la première fois dans ce numéro.

Cela tout naturellement car les Consommatrices romandes se battent efficacement pour une meilleure information. Dans leur revue «J'achète mieux», elles affirment:

«...En conquérant lentement son droit à l'information, le consommateur du même coup conquiert son droit à être respecté comme adulte. Cela est vrai aussi du citoyen. Que de faits, sous tous les régimes, les gouvernements ne tentent-ils pas de dissimuler, afin de maintenir leurs prérogatives ! La récente affaire de l'introduction des polyphosphates dans les préparations de viande en est un exemple flagrant. Qui a informé le public de ce qui se préparait avant que l'ordonnance ne soit prise? Qui lui a demandé son avis? Personne. Plus la décision passait inaperçue, mieux cela valait aux yeux des responsables. Voilà le signe évident d'un manque de respect du citoyen.»

C'est donc aux citoyens de se faire respecter.

Communauté

d'action de groupements fribourgeois

pour la défense de l'environnement Mars 1973

En bref

LE COUP DE PIED DE L'ANE! La vigoureuse campagne d'information menée par Pro Fribourg dans l'affaire de l'Eurotel et du plan d'aménagement n'a pas été du goût de l'autorité communale. Elle a réagi par une mesure aussi mesquine qu'inefficace : en cessant de nous convoquer à ses conférences de presse! Interrogé, le Syndic s'est abrité derrière son Conseil communal. Ce qui donne une piètre idée d'une commune qui ne conçoit l'information que dirigée et aseptisée. Le «secret de l'information» en somme.

FORMOL ET NAPHTALINE. La création d'une

«commission culturelle» ne va pas sans mal. Convoqués pour consultation, les représentants des associations cultu¬

relles se sont trouvés mis en face d'un règlement déjà approu¬

vé par le Conseil communal! Ce règlement porte la marque d'un dirigisme étroit: les 7 membres de la commission seront nommés par le Conseil communal dont seulement 3 «sur propositions» des sociétés culturelles. Ses préro¬

gatives sont bien minces puisque les prélèvements sur le

«Fonds culturel» seront décidés par le Conseil communal

«qui peut à cet effet consulter la Commission culturelle».

Celle-ci n'ayant pour tâche que «de donner, sur demande, son préavis sur l'utilisation de ce fonds». M. Masset s'en expliquait: «Nous devons être très prudents, d'autant plus prudents à l'égard des milieux artistiques que ce sont des individualistes, qui ne parviennent généralement pas à se mettre d'accord». Et de répondre aux objections par un:

«Il faut faire confiance à la Commune». Ce à quoi Jean-

Pierre Dorthe rétorqua: «Si vous ne faites pas confiance aux milieux artistiques, comment voulez-vous que ces milieux vous fassent confiance?»

Nous assistons néanmoins au lent démarrage d'une politique culturelle. Le Fonds recevra une première attribution de 50 000 francs. Va-t-on maintenant utiliser ces modestes ressources pour le «prestige» (on envisage un «prix de la ville de Fribourg»!) ou pour stimuler des activités créatrices?

DE L'EAU DANS LE GAZ. À fin novembre, les Services Industriels ont annoncé une hausse des tarifs de l'eau de 32%. L'une des principales raisons invoquées étant des achats d'eau importants auprès du Consortium des eaux du Grand-Fribourg. Si l'on examine les comptes de la Commune, on constate que les achats d'eau étaient bud- getés en 1972 à 70 000, pour passer à 250 000 francs en 1973, soit une augmentation de 180 000 francs. Mais la hausse des tarifs, elle, va produire un surplus de recettes d'env.

600 000 francs ! La Commune montre le bout de l'oreille quand elle ajoute fort candidement «Les Services indus¬

triels attendent de cette opération un surplus de recettes qu'ils entendent avant tout investir dans la rénovation et l'agrandissement du réseau de distribution urbain du gaz...

(.Liberté du 28.11. 72). Tout cela parce que, ainsi que nous l'avons déjà relevé, l'usine à gaz est une réalisation non rentable qui ne parvient à équilibrer ses comptes qu'en rognant sur les amortissements. Mais est-il admissible de faire supporter la charge de nouveaux investissements à l'ensemble des habitants de la ville qui, s'ils consomment tous de l'eau, ne sont pas tous utilisateurs de gaz?

FRIBOURG PAR LE DESSIN ET LA GRAVURE

Exposition-vente au Stalden 14, 1er étage, du 21 mars au 14 avril 1973. - (Lundi et mardi: fermé)

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Plan de circulation:

Quand

c'est aux autos de passer...

Le plan de circulation est enfin revenu sur le tapis:

grâce au débat public du parti libéral-radical de la ville désireux sans doute, de prendre la température de l'opinion...

Avec succès, car bien que la présentation à la presse du projet de plan directeur de la circulation date de début juin 1972, 160 personnes assistèrent au forum du 25 janvier.

PRO FRIBOURG avait pourtant tenté d'ouvrir le débat à chaud, dès juin 1972, en présentant une série de propositions, dans le but de démontrer que des choix sont encore possibles, qu'une volonté politique (à la fois des habitants et des autorités) peut s'exercer pour faire de Fribourg une «ville habitable». Maintenant seulement, on annonce qu'une séance du Conseil général sera consacrée le 20 mars à ce plan de circulation, en n'en restant encore qu'au stade de la «discussion».

Le forum radical n'a pas apporté de clarté nouvelle, si ce n'est au niveau des réactions du public sous forme d'une levée de boucliers. Aussi souhaitable qu'était ce débat, autant la formule adoptée était inadéquate: à la table ronde siégaient des représentants des usagers, mais pas un seul urbaniste, à commencer par ceux chargés d'éla¬

borer le plan d'aménagement. PRO FRIBOURG, avant d'accepter de participer à ce forum, avait posé quelques questions, dont Tune s'imposait: «le plan directeur de la circulation sera-t-il présenté comme partie intégrante du plan d'aménagement, en tenant compte des autres fonc¬

tions de la ville et pas seulement de la circulation auto¬

mobile?» Ce à quoi le président du parti radical nous répondit: «Comme le plan d'aménagement de la ville de Fribourg n'est pas connu, il ne nous a pas été possible de demander qu'il en soit question lors de ce débat».

Ce qui était parler franc, mais n'allait pas arranger les choses. Car il ne suffit pas de proclamer, comme le fit Jean- Claude Bardy, président de séance, que l'autorité communale plaçait l'homme au centre de ses préoccupations, pour ensuite lâcher qu'on s'efforcerait de «faire cadrer» les plans de quartier avec le plan de circulation, ce qui revient à dire exactement le contraire.

II est ainsi apparu que les options prises au départ (il y a plus de dix ans, et Dieu sait si les choses évoluent vite dans ce domaine!) ne sont toujours pas remises en cause. On s'obstine à vouloir, avec la route express, irriguer, et partant, encombrer le centre-ville où les parkings souterrains vont agir comme autant d'aimants et rejeter des flots de véhicules aux heures de pointe.

Les propositions de PRO FRIBOURG n'ont pas provoqué d'étude objective de la part des services com¬

munaux. Par exemple, celle d'utiliser l'espace au-dessus des voies CFF pour faire passer la route express et amé¬

nager un vaste parking qui, lui, entre autres avantages, aurait un effet de dissuasion, en offrant de laisser sa voiture à la gare pour utiliser les transports publics. Ce qui fut taxé d'utopie en raison de la difficulté de traiter avec les CFF, pour finalement reconnaître qu'on avait pour ce faire pas même pris contact avec eux...

Sous la pression de l'opinion publique, les représentants des automobilistes étant les premiers à réclamer un centre- ville dégagé de la circulation, les autorités communales sont en train de corriger le tir. Ainsi le Syndic quand il affirme dans YIndépendant que «le coeur de la ville doit être réservé aux piétons et aux transports publics».

Il est cependant à craindre que ce changement soit purement verbal et n'entraîne aucune modification au niveau des faits.

...C'estpas m . piétons de tramer ! f per l'SHU HM2

La place de. la Oflte. (^]nolluiidh ? 3s.trû® fssrtfMre*

autour de la cathédrale. 20.000 autos t>;w&ur il tfcJ" dew. ^rr&iM/er des. soluH&vS rdMcQles

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CIVITAS NOSTRA Fédération internationale des quartiers anciens, Stalden 14, CH-1700 Fribourg

DOMAINE DES PIETONS

MARS 1973 Une étude de Jean-Louis Taupin architecte-urbaniste

Rouen, rue du Gros Horloge : Avant et après aménagement

La reconquête d'un lieu social essentiel

Les zones piétonnières sont depuis quelques mois un thème d'actualité. Le sujet mérite une grande attention et son éclosion dans l'opinion publique est remarquable quoique la manipulation collective d'un même vocabulaire recouvre une assez grande variété de conceptions. Il s'agit en fait d'un argument dont les données fonctionnelles sont apparentes depuis longtemps.

Reconnaître dans ce mouvement d'idées ce qui est une redécouverte du cœur de la ville et de ses multiples et irrem¬

plaçables qualités, est une chose. Un autre propos conduit à l'examen des conditions et des techniques de mise en œuvre.

I. UN SCHÉMA FONCTIONNEL

Les inconvénients difficilement supportables dûs à la confusion des fonctions dans les espaces publiques des centres-ville ont fini par inquiéter l'opinion, et donner des doutes sur l'efficacité fonctionnelle et la compétitivité de ces centres face aux centres commerciaux extérieurs.

Des théoriciens ont depuis longtemps proposé la spécialisation des voies et la séparation des piétons et des voitures. L'idée trouvait en France, au départ, un milieu hostile: elle introduisait l'éventualité d'une distinction des espaces suivant les nuances de leur caractère; elle allait à contre sens d'un ensemble d'attendus réglementaires, juridiques ou techniques simplificateurs. La voirie française est traditionnellement dominée par la notion rigide d'un réseau public normalisé, uniformément accessible, opposé par une démarcation brutale au domaine privé.

Dans son interprétation du droit et de la sécurité, l'urbanisme haussmannien n'a pas laissé s'épanouir, entre le

«carrefour» et le «parc», la notion d'espace piétonnier.

Par contre, les centres d'animation et d'échanges des villes nouvelles (Suède, Angleterre, France, et plus récem¬

ment, Louvain-la-Neuve) se sont élaborés spontanément sur la création de plateformes piétonnières desservies sur leur pourtour par la voirie automobile. La reconstruction de certaines villes sinistrées (Allemagne années 1950) a développé très loin à partir de la trame du tissu ancien, un schéma analogue. La réflexion conduisait assez rapide¬

ment à la même logique pour des villes nouvelles ou des villes anciennes.

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2. DIVERSITÉ DES TENDANCES

Dans les faits, des motifs de natures diverses, président à la proposition et à la promotion des différentes zones piétonnières.

Dans une certaine mesure, ces entreprises s'inscrivent dans le conflit d'influences qui apparaît dans le contrôle ou la «reconquête» du centre des villes. S'agissant d'un bien d'intérêt collectif on voit bien que la résolution de ces pro¬

blèmes appelle une composition entre des piotagonistes variés: habitants, actuels ou futurs, commerçants, investis¬

seurs, protecteurs de villes d'arts, promoteurs de la continuité historique de la Cité, voire techniciens reconvertis...

La compétition d'intérêts, ou plus exactement la diversité des fins, est fondamentalement liée à toutes les questions urbaines, a fortiori lorsqu'il s'agit du domaine central commun!

On peut schématiser cette diversité en se référant à l'étude vivante de Oudin, Segonzac et Ogier «Une rénovation de l'espace public: les rues piétonnes, équipement collectif ouvert ou réservé»?1 Ces auteurs proposent de recon¬

naître à travers les zones piétonnières trois tendances :

— la «tendance culturaliste» qui, en accentuant la vocation symbolique du centre, donne naissance à «la rue musée»: Venise, Liège, Sarlat.

— la «tendance économique» qui, dans une vue plus fonctionnaliste, débouche sur le modèle de «la rue centre commercial»: Cologne, Avignon.

— la «tendance ouverte» inspirée par une idée plus abstraite de la fonction d'échange socio-culturel et d'infor¬

mation: Amsterdam, Grenoble.

3. NON PAS UNE RESTRICTION MAIS UNE OFFRE

Un tel classement ne va pas sans risque de simplification: il aide à comparer les expériences mais, pris dans une acception trop stricte, il amoindrirait gravement, à notre sens, la signification essentielle de cette entreprise. Il nous semble en effet que l'enjeu est

— de restituer une plateforme propice, sans exclusive, à toutes les formes d'échanges, matériels ou immatériels,

— de remettre en lumière et de recomposer le lieu où les citadins prennent la plus grande conscience de l'image et de la vie de leur Cité.

II est frappant que les expériences vantées avec prédilection, aient pour siège des villes où la vie municipale possède un caractère plus dynamique et plus créateur.

Il y a certes urgence à faire accepter l'idée que l'institution de l'espace piétonnier, reconquête d'un lieu social essentiel, n'est pas une restriction mais une offre d'équipement de haute valeur: «C'EST EN QUELQUE SORTE LA RÉALISATION-CHOC QUI DOIT RÉVEILLER LA VILLE, LUI DONNER CONSCIENCE DE SON CENTRE, DE SES ATOUTS» (Oudin, Segonzac et Ogier op. cit.).

La régénération de l'espace piétonnier a particulièrement sa place dans les villes dites moyennes qui ont à se préparer pour le rôle de mini-métropole.

Les conditions pratiques

Le principe d'un projet de piétonnisation s'appuie sur le choix d'un nouveau rapport entre la part de trajet par¬

courue par des moyens mécaniques individuels ou collectifs et la part de trajet parcourue à pied.

Cela répond à l'ambition, très raisonnable, d'ordonner l'usage des surfaces les plus centrales qui sont tradition¬

nellement le but d'un rush indistinct.

Dès qu'est acceptée la règle de ce jeu de rationalisation, certaines craintes régulièrement exprimées à propos de l'approvisionnement, des livraisons, de la desserte, du comportement de la clientèle, peuvent être apaisées: leur examen méthodique conduit à des solutions techniques diverses (manutention, transport, attractivités), entre lesquelles un choix peut être décidé en fonction des conditions locales.2

1. DESSERTE

Des combinaisons variées existent entre la desserte à heures fixes (5 h. à 10 h. par ex.) par les voies centrales, la desserte par des façades postérieures sur des voies spécialisées, la desserte par de petits véhicules relais (véhicules électriques, containers roulants, Caddies...)

2. PARCOURS

Une objection classique dénonce la longueur des trajets proposés aux piétons: l'expérience prouve que les par¬

cours effectués dans un espace agréable, confortable et riche en éléments attractifs peut devenir un exercice aisé et même apprécié.

Le facteur primordial est la qualité architecturale des espaces utilisés et notamment la composition des itinéraires.

La fixation de ceux-ci par rapport aux axes et aux points de transbordement du réseau général de transport (parkings, stations, gares) est fondamentale.

3. ESPACE ET COMMERCE

D'autres critiques, qui ont été à l'origine de la remise en cause de plusieurs essais, ne peuvent être palliées que par des programmes d'action très complets et très équilibrés. Par exemple:

— L'ambiance froide et inerte, hors des heures d'activités normales, de quartiers trop exclusivement consacrés à la seule fonction commerciale (Cologne),

— l'insuffisance d'animation d'ensembles formés autour de voies de dimensions peu appropriées (Genève),

— les risques de transferts dans la répartition des aires d'intensité commerciale (Copenhague, Avignon, Maçon).

Les appréhensions alimentées par ces risques semblent avoir tendance à se résorber à en juger par la multiplication des requêtes de création émanant de groupes de commerçants (cf. demande récente du comité de la rue Grégoire de Tours à Paris, ou réalisation de London Street à Norwich).

1 Cahier SADG N° 25 «Architecture, Mouvement, Continuité». Mars 72.

' Cf. Les observations énoncées par Michel TAUVEL sous le titre «les huit points clefs de la réussite» — cahier de presse de la journée d'étude CECOD du 21 février 1972.

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COLOGNE Quartier Hohestrasse • Schil- dergasse

— Ensemble des ilôts ouverts sur la plateforme piéton- nière: 19,5 has.

— La maille centrale regroupe sur 35,6 hectares, 3551 places de parking construi¬ étages): tes (en général parking à

— soit 1 place de parking pour 112 m* de plancher de commerce ou de bureau.

— En ajoutant les zones immédiatement voisines, représentées sur le plan ci- contre, on dépasse le nom¬ bre de 10000 places de parc.

— Le coefficient général d'occupation du sol de la maille centrale est de 1,64 très loin des entreprises de densification parfois ren¬ contrées dans les projets d'aménagement de centre...

Domains des piétons Immeubles ouverts sur le domaine des piétons '•••••p Voirie auto/Parking

^ Tramways ou Métro GRENOBLE

Succédant à un premier essai ajourné par suite de l'opposition des commerçants en 1966, la création de cet ensemble piétonnier :

1/ place St-André 2/ place Grenette, 1969 3/ Grande-Rue, 1972,

est le résultat d'une initiative dynamique de l'équipe municipale, fondée sur une étude poussée du système de circulation Un Service municipal spécial est responsable de la politique et du financement des parcs de t (Lafayette, Philippeville).

4. ARCHITECTURE

Les principes déjà posés expliquent que ces entreprises doivent être menées avec franchise: l'opération ne doit pas être reléguée dans des zones marginales ni à des heures ou à des jours d'activité réduite ou exceptionnelle. Le processus peut se développer d'étape en étape, mais il doit s'inscrire dans les lieux les plus concernés par la fré¬

quentation publique, aux jours et heures d'utilisation normales, et aboutir à une résorbtion effective du trafic automobile.

D s'agit d'instituer sans équivoque ni retour, un nouveau mode d'emploi de l'espace central.

Pour les mêmes raisons, sont à bannir les accommodements provisoires et précaires qu'on est tenté d'introduire sous le prétexte d'un essai. Leur fragilité et leur médiocrité ruine la crédibilité du projet et à la limite, la timidité de l'essai met en doute le sérieux des études qui ont dû précéder les décisions. Tout au contraire, la réalisation d'un dispositif matériel très visible et irréversible, l'aménagement des espaces choisis: plantations, réfection des sols, remise en état des façades, recréation des éclairages, redéfinition des multiples accessoires d'usage public, de la corbeille à papier au centre d'information, etc., sont la garantie tangible de l'achèvement.

5. ACCESSIBILITÉ

La promotion des facteurs d'attraction du quartier réorganisé autour de l'espace «piétonnier» va de pair avec le développement des installations techniques permettant d'y accéder avec une commodité satisfaisante. Les infrastructures nécessaires sont évidemment d'un degré de complexité proportionné à l'importance de rayonne-

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ment du centre: ce qui peut se traiter avec de simples parkings de surface et un arrêt d'autobus dans une agglo¬

mération de 20 000 habitants, conduit à la création compliquée et coûteuse de parkings multiniveaux, souterrains ou aériens, de sections d'autoroutes urbaines, de réseau de tramways ou de mini-métro dans une métropole d'un million d'habitants.

D'aucuns s'indignent de l'éventualité de travaux publics d'une telle importance, facteurs d'un changement possible du paysage urbain traditionnel. Il convient avant d'en juger de prendre la mesure des choses. Aucune opération bouleversante ne doit perturber le schéma essentiel du cœur de ville, mais les recherches de l'architecture urbaine doivent discerner sur les marges même de ce schéma, les sites convenant à ces greffes1 et les modalités de leur conception.

La visite d'un centre piétonnier complètement installé (Rouen ou Grenoble par ex.) provoque une impression qui va bien au-delà de ce que peut susciter chez un spécialiste la rencontre d'un schéma théorique devenu réalité8. II y a d'abord la découverte d'une ambiance d'activité sereine qui est dûe tout simplement à l'élimination des parasites, bruits, odeurs, mouvements, dangers, produits par un système de véhicules mécaniques ordinairement mal géré3.

La résorbtion de ces déchets laisse le champ libre à de multiples initiatives pourvoyeuses d'agréments: confort matériel, épanouissement visuel, usage de nouveaux équipements, joie des gestes nouveaux ou retrouvés. Surprise bienfaisante: ces lieux centraux imprégnés jusque là d'agitation, de congestion et d'asphyxie apparaissent soudain comme le champ de la sollicitude urbaine ouverte à tous.

L'impression surgit qu'il est bel et bien possible de maîtriser puis de créer dans un milieu aussi profondément complexe que le cœur de ville.

Est-ce la première clause d'un nouveau pacte entre espace, architecture et citadins?

S'il en est ainsi, l'espace reconquis au cœur des villes précédemment menacé par la vétusté, le dépérissement ou les éventrations de voirie, pourrait redevenir l'outil et le symbole de la vie urbaine, riche de l'accumulation d'attraits et de significations qu'on lui reconnait. Une résurrection de l'animation culturelle serait assurée de bénéficier là, comme le commerce, d'un lieu d'essai, de rayonnement et d'intensité.

Dans cet éclairage, les retrouvailles avec les survivances historiques de la Cité, sont alors appréciées par compré¬

hension plus que par nostalgie. Leur association avec l'architecture en élaboration s'ordonne sur les rapports imprévisibles et vivants de «l'ancien» et du «nouveau».

Lié à la recherche d'une manière de vivre la ville, le «domaine des piétons» se situe au carrefour de plusieurs préoccupations qui ont été jusque-là celles de Civitas Nostra; les quartiers anciens, la préservation de leurs archi¬

tectures, leur qualité de lieu, leur signification humaine, leur fonction actuelle ou possible d'animation, la volonté d'être des différentes sortes d'habitants concernés.

La construction d'un espace piétonnier central apparaît aujourd'hui comme un épisode primordial de l'aménage¬

ment urbain : au-delà d'une brutale reconstitution de super-marché au cœur de la ville, il y a là un thème fondamental de la politique culturelle.

Conclusion

2 SIGNALISATIONS = 2 DÉMARCHES :

1 L'audace a conduit, à la limite, à construire un métro sous les piles de fondation de l'Altes Rathaus, monument historique précieux de Munich !

1 «Voies piétonnes à Rouen».

Atelier d'urbanisme de Roueo.

' Cf. Etudes du niveau de pol¬

lution atmosphérique:« Vehicle free zones in City centres» C. Kenneth Orski - OCDE et Etudes des niveaux de bruits: «Expérience piétonniire d'Avi¬ gnon», Melchior d'Aramon — SERETES Juin 70.

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Aménagement du territoire :

PEINDRE LE DIABLE SUR LA MURAILLE ? Les mesures d'urgence du Conseil fédéral dans le do¬

maine de l'aménagement du territoire ont provoqué des remous au niveau de leur application dans notre canton.

Une interpellation au Grand Conseil aussi fracassante que soigneusement orchestrée, a pris pour thème: «on risque de couper le pays légal du pays réel». Si la presse a donné une grande publicité à cette intervention, elle a pratique¬

ment passé sous silence la réponse du Gouvernement.

Il est donc utile de remettre les faits sous un éclairage correct.

LA LOGIQUE D'UNE POLITIQUE

Les mesures d'urgence prises par l'arrêté fédéral du 17 mars 1972 ont un caractère impératif: les cantons sont dans l'obligation de les appliquer et cela dans un délai très court, la date limite pour la remise des plans à l'au¬

torité fédérale étant fixée à fin novembre 1972. Ces mesures ont donc pour premier résultat de donner un coup d'accé¬

lérateur à l'application au plan cantonal d'une politique d'aménagement du territoire. Une telle politique a été mise en œuvre dès 1962 dans notre canton par la loi sur les constructions imposant un plan d'aménagement aux communes de plus de 1000 habitants. Cette loi n'a encore reçu qu'un commencement d'exécution que déjà, la né¬

cessité s'impose d'intégrer ces plans d'aménagement locaux dans une véritable politique d'ensemble. On ne peut pi,,« lyflQf H et tolérer un éparpillement incontrôlé des constructions je long des voies de communi¬

cation, à l'orée des forêts et au milieu de nos plus beaux sites. Une telle évolution est préjudiciable à l'intérêt général, et particulièrement au développement du tou¬

risme et au maintien de zones agricoles à longue échéance.

Devant la quasi impossibilité de définir valablement des zones protégées pour l'ensemble du canton dans un délai aussi court de huit mois, le Gouvernement fribour- geois, de même que celui de Vaud, Neuchâtel et Berne pour la Suisse occidentale, a choisi, ainsi que l'arrêté fédéral lui en donnait la compétence, de déclarer zones protégées à titre provisoire:

a) pour les communes qui ont un plan d'aménagement local approuvé par le Conseil d'Etat, ou du moins déjà mis à l'enquête publique (au nombre de 12), les terrains situés à l'extérieur des zones de constructions définies par le plan ;

b) pour les communes restantes, les terrains situés à l'exté¬

rieur d'un périmètre provisoire de développement suf¬

fisant à l'extension prévisible de la localité dans les dix prochaines années.

Ces dispositions restrictives sont provisoires et n'auront d'effet que jusqu'à fin 1975, elles limiteront l'implantation prématurée, généralement irréversible, de constructions qui pourraient compromettre l'aménagement rationnel du territoire.

LE COÛT DE L'ANARCHIE

Il faut le dire! L'anarchie dans le domaine des cons¬

tructions s'avère de plus en plus coûteuse. Pour le bénéfice de quelques-uns, de lourdes charges d'infrastructure re¬

tombent sur l'ensemble des contribuables. Il est bien connu qu'au moment où les constructeurs édifient des bâtiments à l'écart des agglomérations, ils se contentent

au départ de modestes voies d'accès. Mais avec le temps, ils ne tardent pas à faire valoir leur qualité de citoyens- contribuables pour réclamer des autorités qu'ils soient desservis tout comme le reste de la population, cela aux dépens des finances publiques...

LES AGRICULTEURS LÉSÉS

L'interpellateur au Grand Conseil a été jusqu'à affir¬

mer: «On interdit aux agriculteurs de construire des bâtiments d'exploitation modernes permettant de ration- naliser au maximum la production et on exige d'eux cette rationalisation.» Alors qu'au contraire, l'arrêté fédéral (art. 4, al. 3) précise que «Seules les constructions agri¬

coles et sylvicoles et celles dont l'emplacement est imposé par leur destination peuvent être autorisées dans les régions protégées en vue de sauvegarder le paysage ou de main¬

tenir des zones de détente; elles ne doivent pas porter préjudice au site.» La prolifération des constructions de vacances ou de week-end peut favoriser les intérêts à court terme de quelques agriculteurs. Mais l'ensemble des milieux agricoles n'a aucun intérêt à voir l'aire agricole grignotée de toutes parts, et son instrument de travail progressivement amputé.

L'arrêté fédéral n'entrave aucunement la modernisa¬

tion de l'agriculture. Il faudra seulement prévoir dans le cadre de la future loi fédérale sur l'aménagement du terri¬

toire une juste compensation des sacrifices que les agri¬

culteurs pourront être appelés à faire pour assurer le main¬

tien de la zone agricole.

Il faut d'ailleurs rappeler à ce sujet que depuis le 1er juillet 1972, la nouvelle loi fédérale sur la protection des eaux est entrée en vigueur. Sa portée est considérable, puisque un permis de construire ne pourra plus être accordé que dans le cadre des zones de constructions prévues par le plan d'aménagement ou, à défaut d'un tel plan, dans le périmètre du plan directeur des égoûts, que si le déversement des eaux usées dans les canalisations est assuré...

EN CONCLUSION

Les mesures d'urgence et leur application dans notre canton ne créent de malaise que dans la mesure où elles remettent en cause les habitudes prises. Elles n'ont pas le caractère draconien qu'on leur attribue puisque, alors même qu'il s'agit de mesures provisoires pour les trois ans à venir, on a prévu une soupape de sûreté, celle de l'article 9 de l'arrêté d'exécution :

«Lorsque des circonstances le justifient, le périmètre provisoire de développement peut être modifié par le Conseil d'Etat en vertu d'un plan d'aménagement. L'ap¬

probation de l'autorité fédérale est réservée si la modifi¬

cation porte sur des zones protégées. »

Et de fait, les mesures prises n'ont pas pour but de freiner le développement, mais de juguler l'anarchie.

A quoi bon dès lors peindre le diable sur la muraille?

On peut s'étonner seulement que l'interpellateur, le député Michel Colliard, puisse, à la suite d'un article de La Suisse, se targuer des performances des Furgler et Schür¬

mann sur le plan fédéral, pour ensuite, semer l'alarme quand la politique des mêmes Furgler et Schürmann trouve son application dans notre canton.

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Fédération romande des consommatrices, section de Fribourg

Qui sommes-nous, que voulons-nous?

En 1959, 23 associations féminines et familiales fon¬

dent une commission romande des consommatrices pour tâcher d'obtenir un meilleur étiquetage alimentaire qui était à l'époque presque inexistant. En 1963, cette com¬

mission devient la Fédération romande des consomma¬

trices. Elle commence, elle-même, à faire ses premiers tests, crée des émissions à la radio et à la TV. En 1966, elle crée le journal «J'achète mieux» et ouvre un secrétariat permanent à Genève, elle commence sa collaboration avec la Fondation pour la protection du Consommateur, la Régie des Alcools et entre pour la première fois dans les commissions fédérales de la consommation.

La F.R.C. compte actuellement 25000 membres (la section de Fribourg 2000, dont 700 à Fribourg-Ville) et 140 associations familiales et féminines. Elle est absolu¬

ment neutre et sans but politique.

Nos objectifs, au fur et à mesure du développement de la F.R.C. se sont faits plus précis et nous nous rendons parfaitement compte de l'ampleur de notre tâche. Néan¬

moins une société au service de l'homme est notre but:

l'intérêt général doit l'emporter sur les intérêts particuliers (ceux de l'industrie, du secteur immobilier, de la distribu¬

tion et même de l'agriculture, quand cette dernière par exemple abuse des antibiotiques ou des pesticides pour obtenir un rendement plus considérable). Nous luttons ainsi pour la protection de la santé publique (en réclamant des lois plus précises, des contrôles plus fréquents) et celle de l'environnement (contre le gaspillage, l'abus des em¬

ballages plastiques, l'utilisation incontrôlée des détergents, etc.).

L'équilibre psychique souvent compromis par les mirages publicitaires nous préoccupe aussi. Nous refusons de pousser à ce culte de la consommation, qui, sous pré¬

texte de servir le consommateur, ne vise qu'à l'asservir dans l'intérêt à long terme des distributeurs. Quand nous passerons toutes nos heures de liberté à acheter, pensez- Le Mouvement populaire des A l'origine, il y a un peu plus d'un quart de siècle, quelques jeunes foyers de condition modeste ont décidé de s'unir pour prendre en mains leur destinée. L'existence était alors très dure pour les petits salariés; l'achat de vête¬

ments, les provisions pour l'hiver (combustible, pommes de terre) posaient de lourds problèmes; la maladie, la maternité avec comme conséquences l'absence de la mère de famille provoquaient des catastrophes, le père devant bien souvent manquer le travail pour remplacer la mère à la maison.

Ou alors, c'était le recours, humiliant, à l'assistance...

Il fallait parer au plus pressé. Le M.P.F. mit sur pied des services collectifs tels que: aide-familiales, appareils ménagers, achats en commun, prévoyance. La gestion de ces services, assurée par les usagers eux-mêmes, était synonyme de prise de responsabilité et de promotion du milieu populaire.

En 1957, la brochure Alerte publiait les résultats d'une grande enquête sur les conditions de vie des milieux salariés en Suisse romande.

Ensuite, ce fut le très important travail de recherche, toujours parti de la base, de la consultation des membres, dans le domaine de la sécurité sociale. Cette prise de conscience des conséquences de la maladie et des acci-

vous que nous serons plus heureux? La consommation est une nécessité, elle n'est pas un but, elle doit garder une place modeste dans nos vies; elle ne devrait en aucun cas se substituer à des loisirs vraiment enrichissants parce que créateurs. D'ailleurs la superconsommation nous mène dans des impasses (voir l'encombrement des villes, l'amoncellement des déchets, la pollution); devons-nous nous moquer de l'avenir de nos enfants?

Une seconde option fondamentale est la promotion du consommateur en l'éveillant et en lui donnant conscience de sa puissance par toutes les informations nécessaires, particulièrement à ceux dont le pouvoir d'achat est le plus faible.

Notre troisième but est de placer la femme en face de ses responsabilités. Car nous avons bien compris que c'est en participant activement au jeu économique que les femmes s'initieront à la vie politique du pays. Toutes celles que notre activité intéresse et qui désirent collaborer au travail de notre section seront les bienvenues. Elles peuvent prendre contact avec nous en appelant le numéro de téléphone 22 51 19 (ou éventuellement 22 01 03).

Organe officiel: «J'achète mieux» Cotisation-abonne¬

ment: Fr. 12. - par versement au CCP Lausanne 10-21314, Fédération romande des consommatrices.

Consommateur-information. La section de Fribourg répond gratuitement aux questions les plus diverses que peuvent se poser les consommateurs par l'intermédiaire de son bureau «consommateur-information». Nous aidons à trancher des litiges, mettons des tests divers à disposition et donnons tous les renseignements touchant à la consom¬

mation.

Permanence CONSOMMATEUR - INFORMATION:

tous les lundis de 14 h. à 17 h. Pérolles 8, 4e étage.

Tél. 22 98 27.

familles, qu'est-ce que c'est ? dents a été concrétisée par la publication en 1967, de l'ouvrage «La Sécurité par la Solidarité».

Plus tard, une nouvelle enquête sur les conditions de vie des salariés en Suisse romande paraît sous la forme de six fascicules intitulés «Aisance et privations.» Cette publication a permis de mettre fin à des affirmations, sciemment entretenues, telles que: «tout le monde gagne largement sa vie, chaque ouvrier roule carrosse, etc...»

Sans négliger aucune de ses activités, le M.P.F. est depuis quelques années surtout préoccupé du problème du logement. On se souvient de l'Initiative pour le droit au logement, cette dernière ayant échoué de justesse. Actuel¬

lement, et en collaboration avec d'autres organismes, le M.P.F. recueille des signatures pour l'Initiative pour une protection efficace des locataires.

Ayant reçu un S.O.S. de travailleurs brésiliens vivant des conditions sous-humaines en raison du chômage, le M.P.F. a créé à Recife, avec l'appui de la Coopération technique suisse, une coopérative artisanale.

Organe officiel: «Monde du travail».

Permanence du Service des locataires du M.P.F.:

tous les lundis, de 18 h. à 20 h. au restaurant des Maré¬

chaux, premier étage.

Références

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