HAL Id: jpa-00233527
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Submitted on 1 Jan 1937
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Sur le spectre ultraviolet d’absorption du bioxyde
d’azote
A. Ionescu
To cite this version:
Par A. IONESCU, docteur ès sciences.
Laboratoire
d’Acoustique
etOptique
de la Faculté des Sciences de Bucarest.Sommaire. 2014 L’objet de ce travail est surtout l’analyse de la bande 03BB = 2491, 13 Å du bioxyde d’azote. Cette bande est attribuée à une transition dans laquelle le moment électrique change dans le plan
molécu-laire, parallèlement à l’axe des noyaux d’oxygène. La dissymétrie de la molécule est faible et la bande a une structure voisine de celle des bandes du rotateur symétrique.
La dispersion utilisée a permis une analyse satisfaisante. Les positions et les intensités des raies de rotation sont en bon accord avec la théorie, à l’exception des sous-bandes pour lesquelles la composante du
moment angulaire suivant l’axe de symétrie de la molécule a son nombre quantique inférieur à trois. Au-dessus de cette valeur l’effet de la dissymétrie devient notable et des perturbations apparaissent.
Les relations de combinaison ont pu être vérifiées dans quelques sous-bandes, et les moments d’inertie les plus grands déterminés.
La discussion est suivie par quelques considérations sur le spectre de vibration.
1. Introduction. - Le
spectre
dubioxyde
d’azotea été étudié par de nombreux auteurs. V. Henri
(1)
et A. Herrman(2)
se sontoccupés spécialement
de laré-gion
considérée ici. IIerrman a donné même uneana-lyse
de la bande 2~,91,f31,
satisfaisante àl’époque.
L’intérêt
particulier
de cespectre
réside dans lasépa-ration relativement
grande
des raies derotation,
d’oùune certaine facilité
d’interprétation,
chose rarementrencontrée pour les molécules
polyatomiques.
C’est cequi
nous a déterminé àreprendre
les mesuresanté-rieures,
sous uneplus
fortedispersion.
2.
Dispoçitif expérimental. -
Lespectre
a étéphotographié
avec unspectrographe
enquartz (3)
de5,7
m distance focale dans larégion 2
450 ~, donnant environ0,9 Â
par mm deplaque
photographique
etune
séparation
d’environ0,02
À.La vapeur de
bioxyde
d’azote a été obtenue par ladécomposition thermique
de l’azotate deplomb.
Les mesures despositions
et intensités relatives des raies sont faites avec lemicrophotomètre
Moll,
grand
modèle. La
précision
des mesurescorrespond
à l’ordre degrandeur
desgranules
de laplaque photographique
(Ilford, panchromatique
S.R.),
soit0,05
cm-~,
légère-ment
supérieure
aupouvoir séparateur
de l’instrument.Les résultats seront
exprimées
en tenantcompte
de cetteprécision
réelle.3.
L’aspect général
duspectre. -
Lafigure
1(planche) représen te
lespectre
entre 2 350 et 2 530 À,en vraie
grandeur.
Il est formé par 7-8 bandesdégra-dées vers les
grandes
longueurs d’onde,
parmi
les-quelles
A(1,
= 2 1~91,t3À)
et B(2
459,16A)
offrentune structure de
rotation,
les autres étant floues. Des(t) Vortriige, 1931, p 31.
(’’-) der Phys., 1932, 45, 89.
(1) Rerue d’optique, 4936, 15, 298.
mesures des raies ne
peuvent
être faites que sur la bandeA,
laprédissociation
de la moléculecommençant
t avec B même.La bande A manifeste
l’aspect caractéristique
à double structure. Elle est formée parplusieurs
sous-bandes
(notée
ssur lafigure 2
par les chiffres0,1, ~...),
constituées à leur tour par des raies fines très
rappro-chées. On a pu mesurer
plus
de cent’raiesqui
sontdonnés en
longueurs
et nombres d’ondes dans le tableau 1(p 370).
La troisième colonne du tableau contient les intensités relatives en unités arbitraires. L’intensité zéro marque les raies lesplus
faibles sur laplaque
photographique.
4. Le mouvement de rotation de la molécule. -
Supposons
la moléculetriangulaire
et soient~1, It, C,
les momentsprincipaux
d’inertie par ordre degran-deurs décroissantes. La molécule est
plane (A =
il+
l))
«et,
si l’on admet que C est trèspetit
parrapport
il A etB,
lesénergies
des niveaux de rotation sontexpri-Inées par :
Le mouvement
peut
êtrereprésenté
par une rotatien autour de C’(nombre quantique I~)
combinée avec uneprécession
suivant une direction fixe(nombre
quan-tique
J).
Ladissymétrie
moléculaire étantpetite,
onpeut
montrer que cetteexpression
constitue uneapproximation
satisfaisante et les correctionspeuvent
ètre calculées par la méthode desperturbations (1)
etexprimées
en fonction d’unparamètre ú,
dépendant
dudegré
dedissymétrie.
Pour 6
~ 0,
la relation(a)
estrigoureusement
va-lable,
et pourchaque
valeurJ,
on a J-~ ~
niveauxd’énergie
différents,
qui
sedistinguent
par lesva-(1) S. C. WA’5G. Phys. Rev., 1929,34.243
370
TABLEAU 1.
leurs de li
(J
~ K~
0).
Quand
baugmente,
tousces
niveaux,
àl’exception
de K -0,
se dédoublent.Pour des valeurs de li
grandes
et de .1petites,
les niveauxcorrespondants
ne sont pas affectés d’unefaçon notable,
et la relation reste une bonneapproximation.
Par contre, pour des hpetits
et Ygrands,
les déviations parrapport
au rotateursymé-trique
deviennentappréciables,
et l’on estobligé
de tenircompte
du dédoublement des niveaux. Une dis-cussion détaillée sur le passage du cassymétrique
aucas non
symétrique
a été faite par Dieke etKistia-koBysky
dans un mémoire sur lespectre
d’absorji[1>ii
de laformaldéhyde (’).
Nousempruntons
à c>iiii>-moire les
précisions
qui
suivent.Par
analogie
avec la nomenclature utilisée pour lesbiatomiques,
une transition danslaquelle
./change
de-
~,0 -+-
1, serarespectivement
notée par J1,(A
11. Lestransitions
correspondantes,
parrapport
aunombre
quantique
li,
seront notées d’une manière semblable par p, (/, o. Lesymbole
d’une raiequel-conque sera
accompagné
par les nOllllJrt=h’;quantiques
de l’état
d’énergie
inférieure. Parexemple,
une raieappartenant
à une branchenégative,
dont lestransi-tions J ~.
~I - ~ ,
seraexprimée
parqP
j li,
.7~;
également,
une raie d’une branchepositive,
l; -~li,
J - ,I-~-
1,
serasymbolisée
parqR
(K,
,I).
En ce
qui
concerne lesrègles
de sélectionl’ ),
(~),
elles sont différentes suivant les variations du momentélec-trique.
Jfarquons
par les indices 1 et 2respectivement
les ond-niveauxsupérieur
et inférieur dechaque
dou-blet. Dans le cas où le momentélectrique
a unecom-posante
rlui
change
suivantl’axe C,
les transitionspermises
sont(1
~2) (branches
ql’
et(IR)
et 1 2013~ 1,2 -~ 2
(branches
qQ).
Pour se former une idée sur
l’aspect
d’une bande derotation dans le cas sensiblement
symétrique,
remar-quons que le facteur de 1 dans la relation
(a)
estpré-dominant,
etqu’une
variation de I~ de une unité déter-nine unchange
dénergie supérieur
auchangement
dû à la variationcorrespondante
de ./.Donc,
les raiesqui
dépendent
d’une transitionadonnée,
et ont des Ydif-férents,
serontplus rapprochées
que cellesqui
dépen-dent des transitions li différentes. La bande entière
sera divisée en
plusieurs
sous-bandes,
une pourchaque
valeur de K. Les sous-bandesprésenteront
des branchesP, Q
etR,
ressemblant,
d’unefaçon
géné-rale,
aux bandes 1II~ 1 ~
des moléculesbiatomiques.
Le nombre des raies
manquantes
auvoisinage
del’origine
dechaque
sous-bandeaugmente
avec1(,
con-formément à la
règle
de sélection .li K.Ainsi,
lasous-bande
(K= 0)
->(1 =
0)
a une raie absente dans labranche
P,
et une dans la branchep ;
la sous-bande(li
=1) ~
(I~ _ ~.)
deux dans la brancheP,
deuxdans la branche
Q,
et une dans la branchell,
etc. Lesprobabilités
des transitions pourchaque
sous-bande sont
proportionnelles
aux facteurs :Si les constantes moléculaires sont connues, ces
expressions permettent
de calculer les intensités rela-tives des raies individuelles. En tout cas, ellesconsti-tuent une indication
précieuse
dans la classificationdes raies par
rapport
aux intensités.5. Relations de combinaison. - Pour les
types
des branches enquestion,
onpeut
généraliser
les rela-(1) H. A. KpAMERs et G. P. Z. l. Ph ys,. 1929,53, ;)53, 58,21 1930, 60, 663.
’
(~) D. Mod. Phys., 1931, 3, 280.
C) Le facteur :2 du dénominateur doit être remplacé par 4, dans le cas AY == 0.
’
tions dp combinaison des molécules
biatomiques
tran-sitions 1 n : les iiolations :
on déduit :
Les derniers membres de ces relations contiennent lea différences des termes à l’état final ou à l’état
io ii ial
exclusivement,
et donnent les moments d’inertie de lamolécule,
A etA’,
pour les deux états.(l. Structure de la bande 2
491,13
~. - La bande étudiée a les caractères suivants nettement définis :Dans
chaque
sous-bande,
l’intensité diminuepro-gressivement
du violet au rouge. Aucune alternancerégulière
d’intensités n’est observable. Les têtes des sous-bandes forment uneprogression
dutype
Deslandrcs. La brancheparabolique correspondante
présente
aussi unsatellite,
avec une intensitéplus
faible. La
séparation
entre la brancheprincipale
et le satelliteaugmente
graduellement
du violet au rouge.Les raies individuelles de
chaque
sous-bande sontreprésentables
de la mêmefaçon
par des formules dutype
parabolique,
et enpartant
de laquatrième
sous-bande,
les constantes due ces formules sont sensible-ment lesmêmes,
de manière que la structure dechaque
sous-bande serépète
enquelque
sorte dans la sui-vante. Danschaque
sous bande on remarqueégalement
l’absence d’un certain nombre de raies au
voisinage
de la tête. Vers la limite violette de la
bande,
cette absence nepeut plus
êtreobservée,
parce que lastruc-ture est
masquée
par lasuperposition
des raies etl’aug-mentation des intensités des têtes des sous bandes. Ce
qui
précède
est en somme tout cequ’on
peut
voir sur les clichés et les
microphotogrammes.
Consi-dérons maintenantl’interprétation qu’on
peut
donner à ces faits. Si nous admettons que laconfiguration
moléculaire est un
triangle
isocèle(fig. ~),
le faitqu’on
n’Qbserve pas d’alternances d’intensité nousconduit à la conclusion que la bande est due à une
transition dans
laquelle
le momentélectrique change
perpendiculairement
à la bissectrice del’angle
des valences. Parcontre,
supposons que cette variation ait lieu suivant labissectrice ;
lespin
du noyaud’oxy-gène
étantnul,
une raie sur deux devrait manquer. La bande 2491,13
icorrespond
donc à une transitionimpaire
du nombrequantique
de v3(voir plus bas).
Lerapport
entre lesséparations
des deux structures montre que le moment d’inertie C doit êtrebeaucoup
372
Les raies montrent que
chaque
sous-bandedépend
des transitions l~ fixes et ./ variables. Larota-tion donc aulour de l’axe C’, et li e~t ,)n nombre
quantique.
Les branches sont dutype qP, fiQ
et
qll,
disculpéplus
haut.Les tètes des
sous-1andes(K = .~ ) ~
(Il
=,I ) forment
une succession
représentée
par :et la branche sa telli le :
I,e tableau II donne les valeurs ’i et v’ observées et
calculées par ces formules.
TABLEAU IL
TABLEAU III.
Dans le tableau III on a résumé
l’analyse
dessous-bandes A 1i =
(),
de li = ; ii li = 6. Pourchaque
branche sont t calculés aussi les nombres d’ondes des
raies,
d’après
les formules :Les constantes ’101 0152 et
~,
déduites desrègles
decom-binaison,
ont les valeurs suivantes :Les raies des sous-bandes K -
1,
2 et7, pouvant
être obtenues
approximativement
en utilisant 1>,et les
origines:
1
La dernière colonne du tableau 1 donne les transitions des raies
qui
sont en accord avec cette classification.L’analyse
a été suivie en tenantcompte,
dans les limites dupossible,
des intensités.Remarquons
toute-fois que certaines raies d’intensité notable ne trouvent pas de
place
dans la classification.Sur la
figure 2
on ajuxtaposé
laphotographie
de labande 2
49 1,13 Á
(agrandie 4 fois)
et lesdiagramme
de Fortrat tracésd’après
les données del’analyse.
Malgré
laperte
de clarté par lesreproductions
répétées
on
peut
constater encore que 1 accord est satisfaisant àl’exception
duvoisinage
de la tête(sous-bandes K - 1,
?,
;3),
où les déviations du cassymétrique
sontparticu-lièrement ressenties.
Les constantes des formules
paraboliques
conduisentaux valeurs moyennes suivantes pour les moments
d’inertie les
plus grands
des deux états :En ce
qui
concerne les moments CetC’(et
parconsé-quent B
etB’),
ceux-ci nepeuvent
être déduits des résultats del’analyse,
parcequ’ils n’apparaissent
dans lesexpressions
qui
représentent
lesque sous la forme d’une différence des valeurs inverses --
1/C).
7. - A côté des bandes ~~ et B on a
repéré
encorecinq
bandes : C(X
= 24461),
D(X
= 2A?0À),
E CA == 24 t 8 s), l~,(i,-~390a),
et G(),
-- ~3î~i).
Laprécision
de ces mesures sur lesmicrophotograimmes
ne
dépasse
pas 1Á,
soit 20 cm-’ environ.Si l’on compare les nombres d’ondes de toutes les
bandes on constate
quelques régularités
remarquables :
De cette
disposition
semble résulter l’existence de deuxfréquences
de vibration à l’étatfinal,
dont uneautour de 1 ~UO
cm - Î ,
l’autre de l’ordre 500 cm-1. Les mesures sur lespectre
infrarouge,
effectuées parBailey
et Cassie(1)
et par Sutherland(1),
semblentconduire aux
fréquences
de vibration suivantes pourl’état normal :
Fig. 3.
En
égard
à la structure observée et auxrègles
desélection,
on doit admettre que les bandes !1 et IJ sontdues à une variation d’un nombre
impair
duquantique
de ,J;,.
Concernant les autres bandes on est limité à des considérations sur l’étendue et la forme del’enveloppe.
Sous cerapport
/1, IJ etE,
F sontcomparables mais,
en l’absence de toute
structure,
on nepeut
pas affirmer avec certitudequ’elles
appartiennent
au mêmetype
de vibration. Dans cettehypothèse
lafréquence
voisine de 1 200correspondrait
à vi de l’étatfinal,
et 500 c-1 à ~~.,.(1) Nature, 1933, 131~ :!39.
(2) /)roc. Soc., A, 1933, 141, 3~ ; inature,
1935, 136,
l16.Des considérations différentes mènent d’ailleurs à la même conclusion. En
fait,
la limite deprédissociaion
montre que la stabilité de la molécule à l’état excité
est très réduite.
Donc,
l’apparition
desharmoniques
de la vibration V3 finale estproblématique
si l’on tientcompte
que la déformation de la molécule doit être considérable pour cet état. Parcontre,
les vibrationssymétriques ’/t
et V2 déforment peu la molécule, etpeuvent
apparaître
commefréquences
de combinaisonà l’état final.
8. Considérations sur la forme de la molécule. - La forme de la molécule N02 à l’état normal a été discutée en relation avec
l’aspect
des bandesinfrarouges
parBailey
et Cassie(1), (3),
Harris,
Benedict ething
(1),
Schaffert(5),
et Sutherland(’). Bailey
et Cassie sontfavorables ~~ une structure
linéaire,
symétrique,
sem-blable à CU~ ou
CS2,
tandis queIlarris,
Benedict etliing
et Schaffert admettent que la molécule,normale est untriangle isocèle,
avec l’azote au sommet.Sutherland
donne,
comme conclusion à sonétude,
pour
l’angle
entre les valences N -0,
une valeur située entre 55, et 58~’.En calculant cet
angle
par les formules de Mecke(6) :
(3) 1933, ’134, 910.(4) 1933. 131, 621.
(5) J. Chem. Phys., 1933, 1, 507.
(6)
Leipzigei-
rortrflye, 1931, p. 23; Z. Phys. (’heJ//., 1932,16,
374
où ln et J/sont
respectivement les
masses des atomes Net
0,
et/(1, Kz
des constantes deforce,
on trouve pourl’angle
entre les valences 2 0 une valeur voisine de 10-iLa structure de rotation de la bander est nettement favorable à une valeur de l’ordre de cette dernière.
Effectivement,
pour une ouverture de 55° - ")8@’ lerapport
des moments d’inertieC’/A
estbeaucoup
trop
grand
pour que la molécule conserve encore le caractère du rotateursymétrique.
Avec un
angle
entre les valences de 107° lagrandeur
du moment d’inertieA,
déduite del’analyse,
donne unedistance 1T - 0 sensiblement
égale
à unÀ,
c’est-à-dire de l’ordre correct. Un calcul indirect nouspermet
d’obtenir les moments C et
C’,
la distance N - 0 etl’angle
des valences à l’état activé.Les résultats de ce calcul sont
représentés
sur lafigure
4. Il est à remarquer que ces chiffres ne sont quedes valeurs
approchées,
dont l’exactitudedépend
de la validité des formules(b),
et de la correctiond’inter-prétation
duspectre
infrarouge. D’après
ces valeurs ils’ensuit que la distance entre les atomes N - 0 à l’état
excité
augmente
considérablement parrapport à
l’étatnormal, ce
qui
donnerait uneexplication
pour bilité de lamolécule,
montrée par lespectre
de vibra-tion ultraviolet.Toutefois,
si l’on serapporte
à la structureélectronique
de lamolécule,
cepoint
de vue n’est pas à l’abri de toutecritique.
Enfait,
l’atomeFig. 4.
d’azote a trois électrons de
liaison 2 p
[5] ,
dont les fonc-tions d’onde travaillent suivant des directionsperpen-cliculaires. De
même,
chaque
atome 0 aquatre
électrons(a],
dont deuxsusceptibles
de liaison au sens dePauling
et Slater. Un électron pourchaque
atome 0 selie à l’atome
d’azote,
et les deux autres restants(un
pour
chaque
atome0)
donnent naissance à uneliaison 0 - 0.
Or,
l’énergie
de la liaison 0 - 0 estdu même ordre de
grandeur
quel’éncrgie
de la liaison l~T --~0,
et onpeut
s’attendre à une déformation de la distribution initiale à 90° des fonctions d ondes2/)
de l’azote. Le sens de cette déformation devrait êtrevers la diminution de