• Aucun résultat trouvé

Structure hyperfine des niveaux pairs 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Structure hyperfine des niveaux pairs 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00207301

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00207301

Submitted on 1 Jan 1972

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Structure hyperfine des niveaux pairs 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I

P. Camus

To cite this version:

P. Camus. Structure hyperfine des niveaux pairs 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I. Journal de

Physique, 1972, 33 (8-9), pp.749-754. �10.1051/jphys:01972003308-9074900�. �jpa-00207301�

(2)

STRUCTURE HYPERFINE DES NIVEAUX PAIRS 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I

P. CAMUS

Laboratoire Aimé Cotton, CNRS II, 91-Orsay (Reçu le 3 mars 1972)

Résumé.

2014

Le calcul des structures hyperfines des niveaux de l’ensemble de configurations 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p a permis l’interprétation de 27 constantes A mesurées par différents auteurs

avec un

écart quadratique moyen 03B4A de 1,6 mK. Cet écart représente 9 % de la valeur moyenne des constantes A mesurées.

L’hamiltonien effectif relativiste de structure hyperfine décrit par Judd

a

été introduit pour

mon-

trer que les corrections relativistes sont

en

général du même ordre de grandeur que les incertitudes des mesures et prennent

un sens

pour 7 valeurs expérimentales très précises obtenues par la méthode des croisements de niveaux dans

un

jet atomique. Les valeurs des paramètres an1, bn1 et cn1 des opérateurs s(1), l(1) et [s(1) C(2)](1) de la structure hyperfine sont données pour les électrons 4 f, 5 d, 6 p et 6 s des configurations 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p de Tm I.

Abstract.

2014

The theoretical study of the hyperfine structure of the levels belonging to the group of configurations 4 f12 5 d 6 s2 + 4 f13 6 s 6 p has enabled

an

interpolation of twenty-seven

cons-

tants A, measured experimentally by several authors, with

an r. m. s. error

03B4A of 1.6 mK. This

error

represents 9 % of the average value of the A factors observed. The relativistic effective hamil- tonian for the hyperfine structure described by Judd, has been introduced to show that the rela- tivistic corrections are, in general, of the

same

order of magnitude

as

the experimental errors, and take

on a

meaning for 7 values, accurately measured by the level crossing method in

an

atomic

beam. The values of the parameters an1, bn1 and cn1 corresponding to the hyperfine structure operators s(1), l(1) and [s(1) C(2)](1)

are

given for the electrons 4 f, 5 d, 6 p and 6

s

in the configu- rations 4 f12 5 d 6 s 2 + 4 f13 6 s 6 p of Tm I.

Classification Physics abstracts :

13-20

Introduction.

-

La première étude du spectre du thulium, en 1934, est due à Schüler et Schmidt [1]

qui ont déterminé, en étudiant la structure hyperfine

de quelques raies d’arc, la valeur 1= 1/2 du spin

nucléaire. En 1963, dans le but d’étendre la classifi- cation de ce spectre, Blaise et Vetter [2] ont entrepris

l’étude systématique des structures hyperfines de

70 raies d’arc de 169Tm à l’aide d’un spectromètre Fabry-Perot photoélectrique du type HYPÉAC et éta- bli les écarts hyperfins de 17 niveaux pairs et 10 niveaux impairs. Récemment, les progrès de la technique du jet atomique et de la méthode des croisements de niveaux ont permis à Kuhl [3], puis à Wallenstein et coll. [4], [5] de déterminer avec une plus grande précision les écarts hyperfins de 8 niveaux pairs.

Depuis 1964, nous avons poursuivi la classification du spectre de Tm 1 à l’aide de l’analyse des structures

Zeeman des raies et de l’interprétation théorique des configurations électroniques [6], [7] suivant les méthodes de Racah. Nous avons déjà montré que les fonctions propres du couplage intermédiaire des

configurations mélangées 4 f " 5 d 6 s’ + 4 f 13 6 s 6 p

permettaient de rendre compte avec précision des

facteurs de Landé g mesurés, des forces de raie obser- vées entre les niveaux pairs et le multiplet fondamen-

tal 2F° de 4 f 13 6 S2 et de la durée de vie de quelques

niveaux mesurée par effet Hanle [8]. Les données expérimentales et théoriques étaient donc suffisantes

pour compléter notre étude par une comparaison des

écarts hyperfins calculés et mesurés des niveaux pairs appartenant à l’ensemble configurationnel

Méthode.

-

L’hamiltonien de la structure hyper-

fine Hhfs comprend quatre termes qui s’écrivent avec

la notation tensorielle utilisée par Judd :

pour la partie orbitale,

pour la partie spin-dipolaire,

pour le terme d’interaction de contact entre le spin

de l’électron et le spin nucléaire, et

pour le terme quadrupolaire électrique.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01972003308-9074900

(3)

750

Dans le cas de 169Tm dont le spin I est égal à 1/2,

l’hamiltonien Thfs se réduit à la partie magnétique

de la structure hyperfine, c’est-à-dire aux trois pre- miers termes du développement précédent que nous

désignerons par l’expression (X(l). /(1»).

Dans un traitement classique, si l’on note la fonc-

tion d’onde électronique de l’atome par 1 rxSLJM} >,

on peut calculer simplement l’énergie de perturbation

au premier ordre, en suivant les méthodes de l’al-

gèbre de Racah, soit :

Puis après réduction, on obtient la formule de Casimir pour la structure hyperfine magnétique soit :

La constante AasLj de structure magnétique du niveau aSLJ > est donnée par l’expression :

Le calcul des constantes AClSLJ des niveaux distingue

la dépendance angulaire et la dépendance radiale et

pour plusieurs électrons AClSLJ s’écrit :

Pour la partie angulaire anl, il suint de calculer les éléments de matrice réduits aSLJ Il X(l) xSLJJ >,

en tenant compte du couplage réel explicité préala-

blement dans l’étude des configurations. La partie

radiale est exprimée par les constantes de structure

hyperfine électroniques :

pour 1 # 0 où r - 3 > est défini par l’expression

roo 1

et

L’opérateur de structure hyperfine s’écrit alors sous

la forme usuelle suivante :

Dans un traitement plus complet des effets relati- vistes qui n’étaient jusqu’ici pris en considération que dans les expressions des constantes anl où ils avaient été introduits par Casimir dès 1936 [9], Sandars et

Beck [10] puis Judd [11] ont cherché un opérateur

effectif Hhfs agissant sur les fonctions d’onde d’états

non relativistes classiques tel que :

où la lettre R désigne des expressions relativistes. Cet

opérateur Hhffsf s’exprime comme le produit par I(1) d’une combinaison linéaire d’opérateurs tensoriels

doubles W(Kk)K = (t(K). v(k))(K) pour chaque électron nl où t(K) et v(k) agissent respectivement dans les espaces de spin et d’orbite. Pour plusieurs électrons nl, X(1) s’écrira sous la forme :

.L

où les constantes a(kk) sont données dans (12). Dans l’expression de ces constantes apparaissent les inté- grales P (P+ +, P+ - et P- ) qui font intervenir les fonctions F et G de l’équation relativiste de Dirac.

Casimir a donné une approximation des intégrales P,

en les écrivant comme produit de leur limite non rela- tiviste par un facteur de correction :

Les coefficients F, et Gp sont tabulés par Kopfer-

mann [13]. Comme dans le cas classique, il est possible

de calculer l’énergie de perturbation au premier ordre :

La dépendance en F reste la même et l’on obtient

toujours la formule de Casimir énoncée plus haut

dans le traitement classique. De plus les formules de passage des opérateurs tensoriels doubles W(10)1, w(O1)1 et W(11)1 aux opérateurs classiques s(1), 1(1)

et (s (1). C(2) )(1) de la structure hyperfine sont données

par Bordarier, Judd et Klapisch [12]. L’opérateur de

structure hyperfine s’écrit alors sous la forme sui-

vante :

On peut noter ici que la différence entre l’expression

relativiste (2) de X(l). 1(1) et l’expression classique (1)

tient d’une part dans l’introduction d’un terme de contact pour les électrons nl de 1 ’# 0, d’autre part dans l’indépendance des effets de [(1) et (S(l). C(2)(1).

Pour calculer l’opérateur de structure hyperfine de l’éq. (2), on peut donc indifféremment utiliser les opérateurs W(Kk)K ou les opérateurs classiques équi-

valents. Nous avons choisi les opérateurs tensoriels

(4)

doubles car le programme SUPRAC écrit par Bor- darier [14] pour UNIVAC 1108 permet de calculer les formules angulaires, selon l’algèbre de Racah, de

toutes sommes ou produits d’opérateurs tensoriels w(ick)K appliqués à deux états d’un couplage de base quelconque.

Les fonctions propres du couplage intermédiaire,

combinaisons linéaires des fonctions de base LS choi- sies au départ du calcul des énergies des configurations électroniques sont obtenues en minimisant l’écart entre les énergies observées et calculées des niveaux

interprétés. Ces fonctions propres sont alors utilisées pour obtenir les coefficients A de structure hyperfine

des niveaux. Enfin, les coefficients A calculés, comparés

aux valeurs mesurées, permettent de rechercher par la méthode des moindres carrés, les valeurs des para- mètres anl, bnl et Cnl qui minimisent l’écart entre la théorie et l’expérience.

Dans toute la suite, nous confronterons les résultats

expérimentaux aux résultats théoriques obtenus dans

les deux hypothèses de calcul suivantes :

l’une strictement non relativiste avec anl = 0 pour 1 # 0 et bnl = cnl,

l’autre relativiste avec anl =F 0 et bnl -# Cnl pour

chaque électron nl (1 -# 0).

En choisissant de fixer les rapports anllbn, et cnl/bnl

dans l’hypothèse relativiste, nous éliminerons des

équations des P les estimations faites sur la valeur moyenne de 1/r3. Les rapports théoriques calculés

dans l’approximation de Casimir et, donnés sur le tableau I, seront imposés aux valeurs des paramètres

dans les équations de moindre carré.

TABLEAU 1

Rapports théoriques

des paramètres de structure hyperfine

Résultats.

-

Les fonctions propres du couplage

intermédiaire que nous avons utilisé correspondent

aux valeurs des paramètres de l’interaction électrosta-

tique et spin-orbite qui minimisent l’écart entre les

énergies calculées et observées de 80 niveaux pairs appartenant à l’ensemble configurationnel

Nous avons disposé pour optimiser les valeurs des paramètres de la structure hyperfine des 17 écarts hyperfins mesurés à l’aide d’un HYPÉAC [2] dont 8

ont fait l’objet de nouvelles mesures beaucoup plus précises à l’aide d’un jet atomique [3], [4], [5]. En outre,

nous avions mesuré avec Blaise [15] en 1964, 13 écarts hyperfins supplémentaires à l’aide des renseignements

fournis par les raies, en champ magnétique nul, des spectrogrammes Zeeman faits avec le grand spectro- graphe d’Argonne par Tomkins et Fred. Ces 13 mesures

sont affectées d’incertitudes plus grandes et nous leur accorderons un poids plus faible dans la comparai-

TABLEAU Il

Valeurs des paramètres de structure hyperfine des configurations

(5)

752

son théorie-expérience qui suivra. Toutes les valeurs mesurées sont rassemblées dans le tableau III.

Après plusieurs itérations, nous n’avons retenu

pour optimiser les valeurs des paramètres que 27 cons- tantes A de structure hyperfine (ler Jeu) sur les 30 obser-

vées. Parmi les trois constantes A écartées, celle du niveau 19548 5/2 est largement en dehors de la valeur calculée et celles des niveaux 28051 5/2 et 34297 7/2

sont entachées d’erreurs de mesure qui atteignent respectivement 50 et 30 % de leur valeur. Les valeurs

finales des paramètres anl, bnl et cnl de la structure hyperfine, définies plus haut, sont rassemblées dans le tableau II pour les deux hypothèses, non relativiste et relativiste, que nous avons présentées.

Deux jeux de valeurs expérimentales A ont été

utilisés comme nous le verrons plus loin pour déter- miner les valeurs des paramètres dans l’hypothèse

relativiste : l’un comprend 27 grandeurs (1 er jeu),

l’autre les 7 mesures précises (2e jeu) obtenues

à l’aide des expériences de jet atomique. La compa- TABLEAU III

Constantes A de structure hyperfine des niveaux de 4fl2 5 d 6S2 + 4 f 13 6 s 6 p de Tm 1

, , . , , , ,

(6)

TABLEAU III (suite)

Dans le tableau III, colonne des niveaux, les énergies

entre

parenthèses correspondent

aux

valeurs calculées des niveaux.

(7)

754

raison des résultats théoriques et expérimentaux

est donnée dans le tableau III. Il apparaît, à la première lecture de cette table, que les corrections

apportées entre les deux calculs, non relativiste

et relativiste pour le 1 er jeu, sont en général bien infé-

rieures à la précision des mesures effectuées à l’aide du Fabry-Perot [2] et a fortiori celles que nous avons faites sur les plaques photographiques d’Argonne [15].

Malgré tout, la variation significative du paramètre b6p de - 8,32 :1: 1,86 mK à - 6,92 :1: 1,54 mK montre

que les corrections relativistes affectent particulière-

ment l’électron 6 p alors que les autres paramètres

de 4 f et 5 d sont pratiquement inchangés.

En conséquence, nous avons porté dans le tableau III,

en face de l’énergie observée ou calculée des niveaux, leur pourcentage d’appartenance à la configuration f 13 sp pour mettre en évidence ceux dont on peut penser, en première approximation, que les coefh- cients A sont affectés par les corrections relativistes.

A titre d’exemple, pour le niveau 17752 5/2 qui est

à 100 % f 13 sp, l’accord théorie-expérience est bien

meilleur dans l’hypothèse relativiste ; il en est de même

pour le niveau 26126 5/2. Dans l’ensemble, si l’accord théorie-expérience est meilleur dans la seconde hypo-

thèse pour le ler jeu, il devient très bon lorsque pour déterminer les paramètres on limite le jeu des coeffi- cients A observés à celui des mesures faites par croi- sement de niveaux dans un jet atomique [3], [4], [5],

c’est-à-dire au 2e jeu.

Toutes les grandeurs A à l’exception de celle du

niveau 24348, remesurées avec cette méthode, sont plus proches des valeurs calculées et sortent légère-

ment du domaine des incertitudes de mesure données par Blaise et Vetter [2]. Pour le niveau 24348 9/2,

le rapport signal sur bruit du croisement des sous-

niveaux hyperfins (4,0)-(5,2) du terme (3 H5, 3/2) 9/2

donné dans [4] est un des plus faibles et nous pensons que l’incertitude sur la valeur de A est plus grande que celle donnée par ces auteurs [5]. Finalement pour éli- miner au maximum les erreurs provenant de l’impré-

cision des mesures, les valeurs des paramètres ont été

recherchées dans l’hypothèse relativiste à partir des

sept mesures obtenues par croisement de niveaux. Les constantes A calculées à partir du jeu de valeurs de la troisième colonne du tableau II sont données dans la dernière colonne du tableau III. Les paramètres

de 4 f 13 6 s 6 p de ce dernier jeu du tableau II sont

affectés de larges incertitudes car un seul des écarts A

sur les 7 appartient à un niveau pur à 100 % en f 13 sp. Malgré cela, le sens des variations observées entre les paramètres déterminés dans les deux hypo-

thèses non relativiste et relativiste pour le premier jeu (c’est-à-dire 27 valeurs A) est conservé.

Conclusion.

-

Comme nous l’avions déjà démontré

à l’aide des comparaisons faites entre valeurs calcu- lées et observées des facteurs de Landé g, des forces

de raies et des durées de vie des niveaux pairs de 4 f 12 5 d 6 s2 + 4 f 13 6 s 6 p de Tm I, les fonctions propres obtenues en couplage intermédiaire sont

suffisamment bien connues pour permettre une confron- tation utile entre résultats théoriques et expérimen-

taux de la structure hyperfine. Les valeurs théoriques

calculées à partir de l’hamiltonien classique de struc-

ture hyperfine permettent de comparer 27 constantes

hyperfines Z4 observées avec une erreur quadratique

moyenne ôA de 1,6 mK soit 9 % de la valeur moyenne des grandeurs mesurées. Il est intéressant de noter que la précision des mesures obtenues par croisement de niveaux sur sept écarts hyperfins, a permis d’in-

troduire un hamiltonien effectif relativiste et d’aboutir,

en tenant compte des hypothèses de Casimir pour déterminer les rapports théoriques anll bnl et cnl/bnl

des électrons nl, aux valeurs précises des paramètres

pour les électrons 4 f, 5 d, 6 p et 6 s de

Il est certain que si nous disposions dans l’avenir de

mesures plus nombreuses et précises des constantes A des niveaux pairs de Tm I il serait possible de libérer

les valeurs fixées des rapports entre les paramètres

et d’améliorer encore la comparaison théorie-expé-

rience.

De telles mesures ne sont pas impensables avec le développement des lasers à longueur d’onde variable et des expériences d’absorption saturée. Enfin les valeurs des paramètres obtenus dans cette étude seront d’une aide précieuse pour calculer les structures hyperfines

des éléments à numéro atomique Z impair de la

série des terres rares, éléments dont les spectres sont

encore mal classés.

Bibliographie [1] SCHULER (H.) et SCHMIDT (Th.), Naturwiss, 1934,

22, 838.

[2] BLAISE (J.) et VETTER (R.), C. R. Acad. Sci., Paris, 1963, 256, 630.

[3] KUHL (J.), Z. Physik, 1971, 242, 66.

[4] WALLENSTEIN (R.), Thèse de Doctorat, 1971, Han-

novre.

[5] HANDRICH (E.), STEUDEL (A.), WALLENSTEIN (R.)

et WALTHER (H.), J. Physique, 1969, 30, CI-18.

[6] CAMUS(P.), Thèse de doctorat, 1971, Orsay.

[7] CAMUS (P.), J. Physique, 1966, 27, 717.

[8] CAMUS (P.), J. Physique, 1970, 31, 985.

[9] CASIMIR (H. B. G.), On the interaction between atomic nuclei and electrons, Freeman and Co, San Francisco, 1963.

[10] SANDARS (P. G. H.) et BECK (J.), Proc. Phys. Soc., 1965, A 289, 97.

[11] JUDD (B. R.), Théorie de la structure hyperfine, cours

à la Faculté des Sciences de Paris, 1964.

[12] BORDARIER (Y.), JUDD (B. R.) et KLAPISCH (M.),

Proc. Roy. Soc., 1965, A 289, 81.

[13] KOPFERMANN (H.), Nuclear Moments, Academic Press, 1958.

[14] BORDARIER (Y.), Thèse de doctorat 1970, Orsay.

[15] BLAISE (J.) et CAMUS (P.),

non

publié, 1964.

Références

Documents relatifs

[r]

[r]

[r]

[r]

[r]

centrales du premier sont plus fortes et plus serrées, tandis que dans les groupes extérieurs résolus il y a un déplacement d’environ la moitié de la distance

Les composantes faibles a et b sont tres clairement visibles, mais les compo- santes fortes, de j A 1 sont tres fortement sur- expos6es ; cependant d et f peuvent

3-Yahia, ZOUBIR, ″La politique étrangère américaine au Maghreb : constances et adaptations″...