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LE TEST DE FRUSTRATION DE ROSENZWEIG

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CENTRE DE PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE

LE TEST DE FRUSTRATION DE ROSENZWEIG par P. PICHOT et S. DANJON

1966

EDITIONS

CENTRE DE PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE du SQUARE JOUVENET

PARIS

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3e édition

Copyright 1964 by Centre de Psychologie Appliquée. Tous droits de reproduction, de traduction et d'adaptation, même partielles, réservés pour tous pays.

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LE TEST DE FRUSTRATION DE ROSENZWEIG*

Forme pour Adultes par P. PICHOT et S. DANJON

INTRODUCTION

Le Test de Frustration de S. Rosenzweig « Picture Associa- tion Study for Assessing Reactions to Frustration » (eu plus briève- ment Picture Frustration Study, ou P-F Test) est « un procédé pro- jectif restreint destiné à révéler les types de réaction aux « Stresses » de la vie courante. Sa base théorique est une théorie générale de la frustration, développée par S. ROSENZWEIG dès 1934, et rentrant dans le cadre de la psychanalyse expérimentale. Il est donc essen- tiel, avant d'envisager l'épreuve elle-même, sa standardisation, son étalonnage et son interprétation, de rappeler dans ses grandes lignes la théorie qui lui a donné naissance.

I

THÉORIE GÉNÉRALE DE LA FRUSTRATION Suivant ROSENZWEIG [II] : « La théorie de la frustration est un essai de donner une expression concrète au point de vue orga- nismique en psychobiologie. Elle fournit une reformulation de con-

* Cette nouvelle version revue du manuel incorpore en particulier le travail de P. Pl- CHOT et J. CARDINET [153].

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cepts psychanalytiques, tenant compte des possibilités expérimen- tales. »

Suivant cette conception, il existe trois niveaux de défense psychobiologique de l'organisme :

a) Le niveau cellulaire ou immunologique. Reposant sur l'action des phagocytes, des anticorps, de la peau, etc., il concerne essen- tiellement la défense de l'organisme contre les agents infectieux.

b) Le niveau autonome ou d'urgence, suivant les conceptions de CANNON. Il concerne la défense de l'organisme dans son ensemble contre des agressions physiques générales. Au point de vue psycho- logique, le niveau autonome correspond à la peur, à la douleur et à la « rage ». Physiologiquement, il est reflété par les modifications biologiques du « stress » telles qu'elles ont été décrites par H. SELYE.

c) Le niveau supérieur, cortical, ou de défense du moi, défend la personnalité contre les agressions psychologiques. C'est ce niveau que concerne essentiellement la théorie de la frustration. Il faut cependant noter qu'au sens large la théorie de la frustration recouvre les trois niveaux, et que ceux-ci se compénètrent. Comme exemple, ROSENZWEIG indique que la série d'états psychologiques : douleur- peur-anxiété, bien que parallèle aux trois niveaux, présente avec ceux-ci des chevauchements, la douleur correspondant à la fois au premier et au second, la peur au second et au troisième, l'anxiété en principe uniquement au troisième.

I. DÉFINITION DE LA FRUSTRATION

Il existe une frustration toutes les fois que l'organisme rencontre un obstacle ou une obstruction plus ou moins insurmontable sur la route qui le conduit à la satisfaction d'un besoin vital quelconque.

On appelle « stress » (i) la situation stimulus constituant cet obstacle. L'atteinte de l'organisme correspondant à ce stress peut être conçue comme une augmentation de tension.

On distingue deux types de frustration :

a) Frustration primaire, ou privation. — Elle est caractérisée par la tension et la dissatisfaction subjectives dues à l'absence de la situation finale nécessaire à l'apaisement d'un besoin actif. La faim causée par un long intervalle écoulé depuis le dernier repas en est une illustration simple.

b) Frustration secondaire. — Elle est caractérisée par la pré- sence d'obstacles ou d'obstructions sur la route conduisant à la satisfaction d'un besoin. Comme on le voit, c'est essentiellement à la frustration secondaire que s'applique la définition de la frustra- tion donnée plus haut. C'est sur elle qu'ont porté jusqu'à présent

(i) Nous avons conservé le terme de stress, dans l'impossibilité où nous nous trouvons de le rendre de façon satisfaisante en français. I<e même problème se pose pour les COll- ceptions de SELYE, et les biologistes ont dû également conserver le terme original.

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la plupart des études expérimentales, et c'est à son exploration que s'attache le Test de Rosenzweig. Pour reprendre l'exemple déjà donné, on dira qu'il y a frustration secondaire si l'individu ayant faim est empêché de prendre son repas parce qu'il est retardé par un visiteur importun. Dans ce cas, ce visiteur constitue le stress.

Il est à remarquer que l'absence d'une classification satisfai- sante des différents besoins ne constitue pas un obstacle à l'étude de la frustration. ROSENZWEIG admet même que c'est probable- ment de l'étude des réactions à la frustration que pourra sortir ulté- rieurement une base de classification de ces besoins.

2. DÉFINITION DES TYPES DE STRESS

Les stresses peuvent être classés suivant deux perspectives, d'une part en passifs et actifs, d'autre part en externes et internes. Un stress est dit passif lorsqu'il est constitué par un obstacle insensible, sans que cet obstacle soit en lui-même menaçant. Il est dit actif si, outre le caractère d'insensibilité du stress passif, il est dangereux par lui- même. Le stress actif est donc une situation produisant à la fois une dissatisfaction et un danger. Le stress est dit externe s'il con- cerne un obstacle situé en dehors de l'individu, interne s'il concerne un obstacle situé à l'intérieur de l'individu. La combinaison de ces quatre critères permet donc de distinguer quatre types de stress : a) Stress passif externe. — Un exemple en est donné par la porte fermée d'une pièce contenant des aliments, et dont l'individu affamé n'a pas la clef.

b) Stress actif externe. — Un exemple en serait un policier bar- rant à un individu affamé et désarmé la route conduisant à l'endroit où se trouve la nourriture.

c) Stress passif interne. — Il implique l'impuissance de l'indi- vidu. On en trouve une illustration dans la psychologie adlerienne.

d) Stress actif interne. — Ce type est à l'origine des conflits par- ticulièrement étudiés par la psychanalyse freudienne. Le conflit dans sa forme classique résulte de la rencontre entre un besoin et un autre besoin de tendance opposée et d'intensité égale, consti- tuant le stress actif interne.

3. RÉACTIONS A LA FRUSTRATION

Les réactions à la frustration peuvent être envisagées sous trois perspectives principales différentes.

a) Types de réactions suivant l'économie des besoins frustrés. — On distingue deux types principaux :

— Réactions de persistance du besoin. Ce type n'envisage que

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le destin du besoin segnientaire frustré. Il survient constam- ment après toute frustration. Il correspond grossièrement au stress passif.

— Réactions de défense du moi. Ce type envisage le destin de la personnalité entière. Il ne survient que dans des conditions spéciales de menace contre le moi. Il correspond grossièrement au stress actif.

Bien que dans le comportement courant la réaction à la frus- tration participe des deux types précédents, il existe des cas où l'un des types se rencontre à l'état pur ; d'autre part cette distinction est d'une grande importance théorique. Nous passerons successive- ment les deux types en revue.

— Réactions de défense du moi. ROSENZWEIG, dès 1934, a propo- sé une division des réactions de défense du moi en trois groupes.

Cette division est à la base de l'interprétation du P.F. Test.

a) Réponses extrapunitives. — Ce sont des réponses dans lesquelles l'individu attribue agressivement la frustration à des personnes ou à des choses extérieures. Les émotions associées aux réponses extrapunitives sont la colère et l'irritation. Dans un certain nombre de cas, l'agression est d'abord inhibée, puis trouve indirectement son expression, répondant au mécanisme analytique de la projection. Ce type d'extrapunitivité patho- logique projective est illustré par la paranoïa.

b) Réponses intropunitives. — Ce sont des réponses dans lesquelles l'individu attribue agressivement la frustration à lui- même. Les émotions associées aux réponses intropunitives sont la culpabilité et le remords.

Les mécanismes psychanalytiques correspondants sont le déplacement et l'isolement. L'aspect pathologique des réponses intropunitives est illustré par la psychasthénie, et en particulier par les comportements obsessionnels.

c) Réponses impunitives. — Elles diffèrent des deux précé- dentes en ce sens que l'agression n'y apparaît pas comme la force génératrice. Il y a un essai d'éviter de formuler un reproche soit aux autres, soit à soi-même, et d'envisager la situation frustrante de façon conciliante. Le mécanisme psychanalytique correspondant est la répression. L'aspect pathologique en est représenté par certaines manifestations hystériques.

-- Réactions de persistance du besoin. De but plus limité que les réactions de défense du moi, ces réactions ont pour but de satisfaire le besoin spécifique frustré par un moyen ou un autre.

Leur nature est illustrée par les concepts psychanalytiques de sublimation et de conversion.

b) Types de réaction suivant leur rectitude. — Cette perspec- tive permet d'envisager les diverses réactions en les répartissant de façon continue entre deux extrêmes :

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— Réactions directes, dans lesquelles la réponse est étroite- ment adaptée à la situation frustrante, dans le prolongement du besoin initial.

— Réactions indirectes, dans lesquelles la réponse est plus ou moins substitutive, et au maximum entre dans le domaine du symbolisme.

c) Types de réaction suivant leur caractère plus ou moins adé- quat. — Toute réaction à la frustration, envisagée d'un point de vue biologique, est adaptative. L'organisme cherche, dans tous les cas, à restaurer son fonctionnement intégré en rétablissant son équi- libre. Si l'on envisage le problème dans le plan temporel, on peut dire que les réactions sont adéquates dans la mesure où elles repré- sentent des tendances progressives plutôt que rétrogressives de la personnalité. Des réponses qui tendent à lier le sujet indûment à son passé ou à interférer avec des réactions ultérieures, sont moins adéquates que des réponses qui laissent le sujet libre de résoudre une nouvelle situation lorsqu'elle surviendra. En pratique, on peut définir avec une certaine précision ce caractère pour les réponses de persistance du besoin, et les réponses de défense du moi.

— Réponses de persistance du besoin. Deux types extrêmes peuvent être individualisés.

— Persistance adaptative. Le comportement persiste en ligne droite vers son but en dépit des obstacles.

— Persistance non adaptative. Le comportement est répété indéfiniment et stupidement.

— Réponses de défense du moi.

— Réponse adaptative. La réponse est justifiée par les condi- tions existantes : par exemple, un individu ne présentant pas les aptitudes nécessaires échoue dans une entreprise. S'il s'accuse de son échec, sa réponse est adaptative.

— Réponse non adaptative. La réponse n'est pas justifiée par les conditions existantes : par exemple, qui s'accuse d'un échec, dû en réalité aux fautes d'autres personnes, a une réponse non adaptative.

4. TOLÉRANCE A LA FRUSTRATION

Elle se définit par l'aptitude d'un individu à supporter une frustration sans perte de son adaptation psycho-biologique, c'est-à- dire sans faire appel à des modes de réponses inadéquates. Cette conception est à rapprocher de la notion d' « énergie adaptative » de SELYE.

Le concept de tolérance à la frustration doit être également rapproché de deux principes psychanalytiques :

— Le principe du plaisir et de la réalité. Chez l'enfant très jeune le principe du plaisir, seul en jeu, implique la satisfaction

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immédiate de tout désir. Petit à petit, l'individu prend contact avec la réalité et son comportement tient compte aussi bien des conséquences lointaines possibles que de la satisfaction immédiate.

Cette notion essentielle de l'aptitude à retarder la satisfaction est impliquée dans le concept de tolérance à la frustration.

— Le principe de faiblesse du moi. Le principe du plaisir est en jeu, du point de vue psychanalytique, lorsque le sujet adopte des réactions inadéquates de défense du moi, car ces réactions sont des moyens de protéger la personnalité du déplaisir associé à la frustration. Dans la mesure où seul un moi faible a besoin de se dé- fendre par des méthodes aussi inadéquates, le concept analytique de faiblesse du moi apparaît évidemment en rapport avec la notion de tolérance à la frustration.

Le concept de tolérance à la frustration a, sur les deux con- cepts psychanalytiques précédents, deux avantages : tout d'abord, il peut s'exprimer sous forme quantitative. D'autre part, il implique l'existence de différences individuelles en ce qui concerne certains seuils de tolérance à la frustration. Ces seuils peuvent être envisa- gés d'une part suivant la gravité du stress (il existe pour chaque sujet une zone comprise entre deux intensités de stress, dans la- quelle la réponse du sujet à la frustration est adéquate) ; d'autre part, on peut admettre l'existence de différences dans le degré de tolérance à la frustration suivant les différents aspects de la même personnalité. Ces zones de basse tolérance à la frustration corres- pondraient aux « complexes » de la doctrine psychanalytique. Les sujets névrotiques et psychotiques seraient, de ce point de vue, des sujets ayant des zones de basse tolérance nombreuses, et éventuel- lement se recouvrant les unes les autres, alors que le sujet normal bien portant serait caractérisé par un haut degré général de tolé- rance à la frustration.

Cette aptitude à la tolérance à la frustration implique évidem- ment l'existence d'un processus inhibitoire, puisque, ainsi que nous l'avons indiqué, la frustration est accompagnée d'une augmentation de tension, et la satisfaction d'une décharge de tension. L'inhibi- tion à la base de la tolérance à la frustration dépendrait d'une apti- tude à soutenir cette tension et à éviter une décharge de cette ten- sion.

Il est à noter que le concept de tolérance à la frustration a des implications dans la sphère intellectuelle. De la même façon que, dans la sphère affective, la tolérance à la frustration implique la capacité à refuser une satisfaction immédiate, de même dans la sphère intellectuelle, suivant HUNT, la pensée symbolique ou abs- traite impliquerait l'aptitude de l'organisme à retenir certaines impressions après que le stimulus ait été enlevé, et à répondre de façon sélective après un certain délai. C'est par ce moyen que la pensée peut s'élever du plan concret immédiat au plan abstrait symbolique ou conceptuel. Dans les deux cas, il y a une certaine aptitude à la réponse non immédiate. Cette aptitude, dans les deux cas d'ailleurs, se développe avec la maturation. Dans cette perspec-

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tive, l'œuvre de GOI/DSTEIN pourrait facilement être intégrée. La régression, chez le malade, à un niveau concret de réponse, l'appa- rition d'une réaction catastrophique, sont facilement envisagées sous cet angle.

Les déterminants de la tolérance à la frustration sont encore mal connus. S. ROSENZWEIG suggère la participation de deux types de facteurs :

— Facteurs somatiques, tenant aux différences individuelles, innées, et correspondant à des variations nerveuses, endocrinien- nes, etc. Il est probable que ces facteurs somatiques sont, pour une large part, constitutionnels et héréditaires. Il faut d'ailleurs y ajouter des éléments somatiques acquis qui peuvent, de toute évi- dence, jouer un rôle (fatigue, maladie physique par exemple).

— Facteurs psychologiques génétiques. Ils sont mal précisés, mais leur rôle est indiscutable. Il est certain que l'absence de toute frustration dans la première enfance rend le sujet plus tard inca- pable de répondre à une frustration de façon adéquate. D'autre part, une frustration excessive peut créer des zones de basse tolé- rance, car l'enfant, à cause de son immaturité, est contraint de réa- gir de façon inadéquate par des réactions de défense du moi qui inhiberont son développement ultérieur. Enfin, la conception de la tolérance à la frustration peut avoir des conséquences thérapeu- tiques. Une psychothérapie basée sur cette théorie aurait pour but de rééduquer cette tolérance à la frustration. Nous nous conten- tons de citer cet aspect qui a été développé, d'autre part, par S. Ro- SENZWEIG.

II

LE TEST P-F DE ROSENZWEIG : DESCRIPTION Le « Picture Frustration Study » (P-F Test) de ROSENZWEIG, est une épreuve cherchant à mettre en évidence les réactions des sujets examinés en utilisant les principes généraux de la théorie de la frustration que nous venons d'exposer.

Dans son principe l'épreuve est, suivant son auteur, à mi-che- min entre le test d'association de mots de JUNG et le Thematic Apper- ception Test de MURRAY. Elle ressemble au T.A.T. en ce qu'elle emploie des dessins comme stimulus, afin de favoriser l'identifica- tion de la part du sujet. Elle en diffère par deux points : d'une part, les dessins sont de caractère très uniforme, et d'autre part, point beaucoup plus important, ces dessins sont utilisés pour obtenir des réponses verbales relativement simples, limitées à la fois dans leur dimension et dans leur portée. Elle ressemble au test d'association

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de mots par la restriction même apportée au stimulus, permettant une objectivité relativement élevée de l'appréciation des réponses.

Le matériel comprend une série de 24 dessins, représentant chacun deux personnages placés dans une situation de frustration de type courant.

Dans chaque dessin, le personnage de gauche est représenté en train de prononcer quelques mots qui décrivent, soit la frustra- tion de l'autre individu, soit sa propre frustration. La personne de droite a toujours au-dessus d'elle une case vide, destinée à recevoir ses paroles. Les traits et la mimique des personnages ont été systé- matiquement négligés dans le dessin, afin de favoriser l'identifica- tion.

Les situations représentées dans l'épreuve peuvent être divisées en deux groupes principaux :

a) Situations d'obstacle au moi. (Ego-blocking.)

Ce sont des situations dans lesquelles un obstacle quelconque, personnage ou objet, interrompt, désappointe, dépouille, ou de toute autre manière directe, frustre le sujet. Il existe dans l'épreuve 16 situations de ce type : 1, 3, 4, 6, 8, 9, 11, 12, 13, 14, 15, 18, 20, 22, 23, 24.

b) Situations d'obstacle au sur-moi. (Superego-blocking.) Ce sont des situations dans lesquelles le sujet est l'objet d'une accusation, est rendu responsable ou mis en cause par une autre

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6-1966 SAINT-AMAND (CHER) IMPRIMERIE CH.-A. BÉDU

Dépot légal 2E trimestre 1966 N° d'éditeur : 349 - N° d'Imprimeur 2092

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