P. LE BOHEC
taltul vivant au t. (.1.
L'articll' rie ~I. Chatton (« Erl11C"ateul'., n" :!) était ll'ès inté- l'essant. Cependant il n'a pas a"sez insisté ù mon gl'é> . ur les occasions de cnln1I coll<'ctif que proc·11ri> 1a vie de la coopél'ative.
C'est une affaire commune qui de\•itml l'affaire pel'sonnellP de chacun des enfants et les appol'ts et lt•s l'etraits effcdués tou- cl1enl ehaque t'nfant. C'est du «alcul chnl'g1; rl'affec!idlé.
Dans uoll'e classe nous en tiro11s 1111 plus grn11d pl'ofit depuis que nous nvc11r. adopté le système cles 3 trésoric1·s.
A dJ'oitc il ~· a un tréSOl'iel' des unités au centre
ü gauche
un trPso1·ier des dizaines un trésoriu· t.lt•s centaines
Nous répal'lissons l'argent qui rentre entre les divel'S tré- SOl'icrs et les opérntions sont compl'ises fal'Ïlernent. De nième pour les sol'li<•s <l':Hge111. ~ous sa,·ons 1·1• q111• 110115 posst>dnns.
Ln prnliquc des OJlPl'alions e::,I tm:ile111e11t assi111ilée ainsi que le syslèrne de nun1ération ù liase JO.
Les trésoriers de rang supé1·ieul' attendent lïnst:rnt 011 ils poul'ront s'empal'CI' des dizaines l(lli appnraissent ù l'étnge
ei1 dessous.
T.rs rnfrtnt:< s'ingénirnt égalrmrnl il faire des fal'ces nux trésol'iers en apportant une somme rl'al'gent qui co111pléla11t it 10 F ou ù 100 F, \•ide la caisse des unités 011 ries diz11i1w:-;.
~lais quclqurfois deux enfants ont ln mème idée et tout esl ù recom111encer.
Cette notion de eo111plé111ent ù IO ù 100 ;\ 1.000 esl très utile et Cl'l'lains enfants devie11ucut des 'irtuoses dnns l'C ;.:-cnre d'exercice.
E11 réalité j'ai u11 C.P. C.E. I.
Les w1ilés revienne11t ii un enfant du C.PI Les dizaines à un enfant du C.P:?
Les centaines fi un enfnnl du C.E.
Essayer ce procédé c'est l'adopter.
Lt:: BoHl:.L.
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