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Voltaire avait déjà une réputation de poète turbulent à VOLTAIRE ET LES AMBIVALENCES DU COURTISAN. Nicholas Cronk

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Texte intégral

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COURTISAN

Nicholas Cronk

« Je n’ai point de sceptre, mais j’ai une plume »

Voltaire (1)

V

oltaire avait déjà une réputation de poète turbulent à l’époque où il ne s’appelait pas encore Voltaire. Sous la Régence, le jeune Arouet faisait circuler anonyme- ment des poèmes satiriques, et les chansonniers de Clairambault et de Maurepas, conservés tous les deux à la Bibliothèque nationale, ont sauvé de l’oubli une bonne douzaine de ces textes qui circulèrent sous le manteau entre 1713 et 1722, et qu’ils attribuent à « Harouet ». Plus tard, les Lettres philosophiques seront frap- pées d’interdiction, dans ce qui demeure un épisode emblématique de la censure du livre sous l’Ancien Régime. Sa vie durant, Voltaire attaquera la censure de la littérature – par exemple dans sa Lettre à un premier commis, publiée en 1746 – la déclarant non seulement injuste mais aussi inefficace. Et pour cette raison il restera jusqu’à la fin de sa vie un per- sonnage suspect. Louis XV ordonna que tous les manuscrits de Voltaire soient saisis après la mort de celui-ci – sans prévoir l’éventualité que Voltaire, bien que de seize ans son aîné, puisse lui survivre…

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Voltaire fait figure de paradoxe : c’est un Parisien qui n’a presque jamais vécu à Paris. À la différence de Denis Diderot, qui ne quitte sa ville adoptive que rarement, Voltaire passe peu d’années dans la capitale, où il est né. Exilé malgré lui, il déteste cette appella- tion. Un auteur anglais, George Lyttelton, pourtant bien disposé envers Voltaire, le qualifie d’« exilé » dans un livre, Dialogues of the Dead, qu’il publie en Angleterre en 1760, au moment où Voltaire s’installe au château de Ferney, à côté de Genève mais sur le sol français. Voltaire écrit à Lyttelton, en anglais bien sûr, pour pro- tester – « I am obliged to say I am not an exile. […] I live in my own lands in France (2) » – et Lyttelton, contrit, s’empresse de s’excuser et de corriger son « erreur » dans une édition postérieure de ses Dialogues.

Voltaire, même s’il conteste le pouvoir en permanence, n’a jamais cessé de chercher à s’attirer les bonnes grâces des gens en place, ni de nouer des relations avec des aristocrates, voire des monarques, lorsqu’il le pouvait. En Angleterre, il dédie la Henriade (1728) à la reine Caroline, sans toutefois parvenir à lui présenter le volume en personne. Plus tard, à partir de 1750, il

va vivre en Prusse à la cour de Frédéric II, qu’il quittera trois ans plus tard à la suite d’une querelle qui fait jaser toute l’Europe.

Voltaire tente même sa chance à la cour de France. En 1725, il fréquente la cour à

Fontainebleau, au moment du mariage de Louis XV, mais ses efforts n’aboutissent pas. Il aura plus de succès vingt ans plus tard, lorsqu’en 1745 il sera nommé historiographe de France, et l’année suivante le roi lui permettra d’acheter la charge de gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, poste réservé habituellement aux membres de l’aristocratie. Suite à un nouveau scandale – Voltaire a toujours eu du mal à réfréner son tempérament impétueux –, il quitta Versailles en 1746, mais lorsqu’il revendit la charge de gentilhomme ordinaire avant de partir pour la cour de Prusse, il reçut la permission excep- tionnelle de garder le titre. Jusqu’à la fin de ses jours, Voltaire restera attaché à son titre de courtisan.

Nicholas Cronk est professeur de littérature française à l’université d’Oxford, et directeur de la Voltaire Foundation. Dernier ouvrage publié : Voltaire, Lettres choisies (Folio, 2017).

› nicholas.cronk@voltaire.ox.ac.uk

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Jamais écrivain n’a autant écrit à autant de monarques. Si ses rapports personnels avec les souverains se sont révélés problématiques, Voltaire était passé maître dans la gestion des rapports épistolaires, y compris avec les plus grands de ce monde. Ses échanges avec Frédéric II et avec la tsarine Catherine II constituent des chefs-d’œuvre littéraires, des chefs-d’œuvre auxquels ses correspondants participent avec un égal plaisir. Face au pou- voir, la lettre constitue pour Voltaire une arme de choix. Par exemple, pour soulever la question des serfs de Saint-Claude, il s’adresse d’abord à l’intendant de Franche-Comté, Charles André Lacoré (3), et lorsqu’il veut venir en aide à un pauvre paysan du voisinage à qui on a volé une vache, il n’hésite pas à s’adresser au syndic de Gex, en signant sa lettre « Voltaire, comte de Tourney, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi » (4). On connaît les lettres qu’il adresse au roi du Danemark, au sujet de la liberté de la presse, ou bien au pape Benoît XIV, lorsqu’il lui dédie sa tra- gédie le Fanatisme ou Mahomet le prophète. Il déploie ses talents d’épisto- lier à tous les niveaux, et n’oublions pas qu’entre 1763 et 1769, les lettres écrites par Voltaire à Étienne Noël Damilaville, un proche de Diderot et de Melchior Grimm, sont insérées régulièrement dans la Correspondance littéraire, sous la rubrique « Correspondance du patriarche » : c’est ainsi que les têtes couronnées d’Europe, qui reçoivent ce journal manuscrit, sont les lecteurs privilégiés de la correspondance de Voltaire, et cela pen- dant les années de combat pour « écraser l’Infâme ».

Les ambivalences de Voltaire courtisan se font sentir clairement dans le Siècle de Louis XIV : contraint par la rhétorique de l’œuvre de louer l’in- fluence bienfaisante du roi, Voltaire se trouve en difficulté lorsqu’il doit traiter de la révocation de l’édit de Nantes et de l’exode vers l’étranger de très nombreux huguenots à la fin du XVIIe siècle. En fait, il s’exprime sur le Grand Refuge de façon moins voilée dans d’autres écrits, et il a même durci le ton dans les éditions plus tardives du Siècle. Il croit à la primauté du droit, au moins comme idéal : « [Le] plus beau droit de l’humanité […] est de ne dépendre que des lois et non du caprice des hommes » (5) ; mais il s’évertue à réconcilier cet idéal avec ses principes monar- chistes, en marquant une distinction entre le pouvoir absolu et le pou- voir arbitraire. Mais l’impression planait, parmi les autres philosophes notamment, que Voltaire faisait preuve de trop de complaisance envers

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la monarchie. Lorsqu’il soutint l’autorité du roi en favorisant la réforme des Parlements proposée par René-Nicolas de Maupeou, certains virent en lui un ennemi de la liberté que défendaient les Parlements.

La réalité est sans doute plus complexe. Voltaire a abondamment écrit sur la politique, souvent sous forme de mémoire, de brochure ou de roman (on connaît le rôle important de la lettre de cachet dans l’Ingénu), mais il n’a pas laissé d’œuvre majeure dans ce domaine, contrairement à Montesquieu ou à Rousseau, le risque existe donc de sous-estimer l’im- portance de sa contribution à la théorie politique. Ce n’est pas un hasard si la première grande synthèse de ses idées dans ce domaine ne verra le jour qu’en 1908 (6), à un moment où la IIIe  République cherchait des leçons pratiques chez les philosophes. Peter Gay, auteur de la meilleure étude de la pensée et de l’activité politiques de Voltaire, souligne à quel point ce dernier était impliqué dans les événements de son temps (7). L’affaire Calas marque le moment où, au dire de Michel Delon, Voltaire devient voltairien (8), le moment où,s’impliquant dans une succession d’affaires (Sirven, La Barre…), il s’impose devant un public européen comme le pourfendeur des injustices judiciaires. Si Voltaire a réussi à saper le système juridique de l’Ancien Régime, il l’a fait autant par ses actions que par ses écrits.

Sous l’Ancien Régime, on rendait la justice en secret, au nom du roi, et les procédures variaient selon le rang et le statut religieux de l’accusé. Les combats juridiques menés par Voltaire pour défendre Jean Calas ou le chevalier de La Barre, considérés d’un point de vue sociologique, ont fait exploser le système en place. Comme l’a démon- tré Élisabeth Claverie, ce qui devait normalement rester confidentiel était maintenant débattu sur la place publique, et lorsque Voltaire invoque, dans le Traité sur la tolérance, les intérêts universels du « genre humain », il place la justice au-delà des intérêts d’une catégorie sociale ou religieuse particulière (9). Un procès « privé » devient ainsi une affaire jugée par l’opinion – et dans les années 1760, Voltaire n’avait pas son pareil pour mettre en branle l’opinion publique.

La lecture de l’ouvrage de Cesare Beccaria Des délits et des peines – Voltaire découvre l’édition originale en italien avant de lire la belle traduction infidèle qu’en tire l’abbé Morellet (1766) – marque un

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tournant crucial dans l’évolution de ses idées concernant la jurispru- dence, lui permettant de passer, comme le dit Ethel Groffier, « de la réaction affective à la réflexion méthodique » (10). Soucieux de récu- pérer une part de la célébrité dont jouit Beccaria, Voltaire publie fin 1766 un Commentaire sur son ouvrage, qu’il signe « par un avocat de Besançon » : ce fils d’avocat, qui avait défié son père en renonçant tôt à ses études de droit, revendique à cette occasion la profession paternelle.

À la suite des grands combats des années 1760, le patriarche Voltaire acquit la réputation de réformateur du système juridique. Une question brûlante à l’époque, relancée en 1767 par l’avocat général Joseph Ser- van (11), concernait le problème du statut juridique des mariages entre protestants, qui étaient privés d’état civil. Le duc de Choiseul, désireux d’instituer la tolérance civile dans la ville « modèle » qu’il projetait de construire à Versoix, cherchait une solution à ce problème ; en 1770 il fit appel à cette fin à un jeune avocat aixois. Il s’agissait de Jean-Étienne- Marie Portalis, destiné à faire une brillante carrière sous Napoléon, qui répondit à Choiseul par un long texte bien argumenté, dans lequel il démontra qu’aucune loi n’obligeait les protestants à se conformer aux institutions catholiques sur le mariage, et que la bonne foi constatée des conjoints suffisait pour faire déclarer la validité de leurs liens ; au nom de la morale comme de l’ordre public, la loi devait protéger un mariage « conclu de bonne foi et publiquement contracté ». Avant de publier son texte, qui parut sous le titre « Consultation sur la validité des mariages des Protestants de France » (1771), Portalis, qui avait 24 ans, sollicita l’approbation du patriarche, alors âgé de 76 ans, et en 1770 lui fit envoyer un manuscrit, en passant par le pasteur genevois Paul- Claude Moultou. Voltaire, qui trouva le texte bien trop modeste dans ses ambitions, répondit toutefois poliment au jeune avocat, et lui ren- voya le manuscrit chargé de ses commentaires (12).

En 1777, la Société économique de Berne organisa un concours avec à la clé un prix pour récompenser le meilleur mémoire sur le thème de la réforme du droit pénal. Voltaire, qui participa anonymement à la dota- tion du prix, ne concourut pas, mais il rédigea plusieurs pages qui avaient pour but de lancer des pistes de réflexion dans ce domaine. Le Prix de la

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justice et de l’humanité (1777) est le texte le plus achevé que Voltaire ait écrit sur la justice pénale. Jacques Pierre Brissot décida de participer au concours et envoya à Voltaire le plan de son travail, qui serait publié plus tard sous le titre de « Théorie des lois criminelles » (1781). Voltaire lut le plan de cet inconnu et le 13 avril 1778, six semaines seulement avant sa mort, il répondit à Brissot avec un mot d’encouragement : « Votre ouvrage sera digne de la philosophie et de la législation ; il pourra contri- buer au bonheur des hommes… (13) »

En 1782, Brissot lança la publication de sa Bibliothèque philoso- phique du législateur, anthologie des textes les plus utiles traitant des questions de jurisprudence, et il n’est pas surprenant que Voltaire y occupe une place de choix. Mais ce qui retient notre attention, ce sont moins les textes choisis (Commentaire sur le traité Des délits et des peines, Prix de la justice et de l’humanité, Essai sur les probabilités en fait de justice) que l’éloge que Brissot réserve à Voltaire, quatre ans après sa mort :

« On sait que cet homme universel, ennemi déclaré des préjugés, leur a fait la guerre toute sa vie. Ceux qui atta- quaient le bonheur, la vie de ses semblables, ont surtout attaché ses regards. Il n’a vu qu’avec effroi l’état affreux où la jurisprudence criminelle était plongée, et il est un des premiers qui ait soulevé le voile mystérieux dont elle cou- vrait ses barbaries. Il n’a pas écrit avec la réflexion péné- trante de Montesquieu, avec la profondeur de Beccaria, avec la sensibilité de M. Servan : mais il a vigoureusement employé l’arme du ridicule contre les jurisconsultes, les juges, les bourreaux ; et peut-être a-t-il plus influé sur la réforme commencée que tous les autres écrivains, parce qu’étant plus généralement répandu, et lu avec avidité, son style séduisant faisait passer dans les têtes une foule de vérités qui, gravement discutées, auraient été ignorées.

Les écrits qu’il a publiés dans ce genre sont nombreux.

Nous ne les avons pas tous recueillis, parce qu’il y a souvent des répétitions. Voltaire croyait qu’il fallait répéter, pour

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imprimer la raison aux hommes. Effectivement, le meurtre de Lally a été suivi de près de celui du chevalier de La Barre.

Monbailli a monté sur l’échafaud quelques années après Calas. Puisque les atrocités se renouvellent, il faut donc de temps en temps répéter les sermons philosophiques, et c’est là, c’est un des premiers motifs de cette collection qui contiendra certainement tout ce qu’on a écrit de plus sensé, de plus humain, sur ce point important. (14) »

Cette affirmation du rôle central joué par Voltaire dans les réformes juridiques de l’époque est remarquable à tous points de vue. Brissot reconnaît que Voltaire n’a pas produit un seul ouvrage qui fasse auto- rité, et il admet également que Voltaire se répète d’une œuvre à l’autre.

Et pourtant, « peut-être a-t-il plus influé sur la réforme commencée que tous les autres écrivains » : il possède « l’arme du ridicule », le style de ses écrits est apprécié par un très grand nombre de lecteurs, et la quantité de ses publications fait que son discours est « plus générale- ment répandu ». Brissot prépare ainsi le jugement porté par la révolu- tion française : en 1791, lorsque Voltaire deviendra le premier auteur panthéonisé, « l’homme aux Calas » aura complètement fait oublier les complaisances de Voltaire courtisan.

Beaumarchais, héritier des valeurs voltairiennes, finance la grande édition de ses œuvres complètes, dont la publication commence à Kehl en 1784, l’année même où le Mariage de Figaro est enfin joué à Paris.

Seule l’intelligence ou « l’esprit » peut enfin faire face au pouvoir des rois, et dans la chanson qui termine le Mariage de Figaro, les couplets de Figaro présentent un Voltaire sans ambivalence aucune :

« Par le sort de la naissance, L’un est roi, l’autre est berger : Le hasard fit leur distance ; L’esprit seul peut tout changer.

De vingt rois que l’on encense, Le trépas brise l’autel ;

Et Voltaire est immortel. »

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1. Lettre à Marie-Louise Denis, 15 [novembre 1752], D5067. Les références « D » désignent les lettres dans Theodore Besterman (éd.), Correspondence and Related Documents, Voltaire Foundation, 1968-1977.

2. Lettre au baron Lyttelton, c. septembre 1760, D9231.

3. Revue Voltaire, n° 13 (2013), p. 219-24.

4. Lettre à Antoine Dulcis, 30 mai [1759], D8324.

5. Lettre au comte d’Argental, [c.8 mai 1734], D738.

6. Henri Sée, « Les idées politiques de Voltaire », Revue historique, n° 98 (1908), p. 255-293.

7. Peter Gay, Voltaire’s Politics: The Poet as Realist, 2e édition, Yale University Press, 1988.

8. Michel Delon, « Comment Voltaire est devenu voltairien », Revue des Deux Mondes, avril 2015, p. 25-32.

9. Élisabeth Claverie, « Procès, affaire, cause : Voltaire et l’innovation critique », Politix, n° 26 (1994), p. 76-85 ; et « La naissance d’une forme politique : l’affaire du chevalier de La Barre », dans Philippe Rous- sin (éd.), Critique et affaires de blasphème à l’époque des Lumières, Honoré Champion, 1998, p. 185-260.

10. Ethel Groffier, Criez et qu’on crie ! Voltaire et la justice pénale, Presses de l’université Laval, 2011, p. 145.

11. Voir Christiane Mervaud, « Voltaire et le Beccaria de Grenoble : Michel-Joseph-Antoine Servan », dans Nicholas Cronk, Voltaire and the 1760s: Essays for John Renwick, SVEC, 2008, p. 171-181.

12. Ce manuscrit de la Consultation de Portalis avec les annotations marginales de Voltaire passa en vente en 2012, et fut acquis par la Cour de cassation.

13. D21151.

14. Bibliothèque philosophique du législateur, du politique, du jurisconsulte, tome VII, Berlin, 1782,

« Fragments de M. de Voltaire », p. 345-346. Ce passage est cité en partie par Ethel Groffier dans son article « Voltaire, juriste réformateur ? », in Josiane Boulad-Ayoub, Mark Antaki et Pierre Robert (dir.) Rationalité pénale et démocratie, Presses de l’université Laval, 2013, p. 130.

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