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MAIGRIR SANS SE PRIVER

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MAIGRIR SANS SE PRIVER

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DANS LA MÊME COLLECTION

Déjà parus :

Dormir enfin sans problèmes Le plaisir conjugal

A paraître :

Pour réussir dans la vie Tout savoir sur le plaisir

Savoir lire dans les lignes de la main

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COLETTE NOVELY

MAIGRIR

SANS SE PRIVER

BALLAND

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La première édition de ce livre est parue sous le titre « Maigrir en mangeant ».

©N.O.E., Paris.

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INTRODUCTION

Les esprits chagrins ricanent lorsqu'ils entendent parler de régimes amaigrissants. Ils disent : « Il n'y a pas de mystère, il suffit de ne pas manger, et les kilos superflus s'envolent ! » Ce n'est pas aussi simple.

La vérité c'est que les gens qui grossissent ne mangent pas toujours trop. Mais ils mangent mal.

Le seul secret d'un amaigrissement sûr, permanent, c'est l'alimentation rationnelle. Mais la vérité, c'est aussi que chaque individu ne doit pas se nourrir, ni se faire maigrir de la même façon. A chaque nature, à chaque tempérament correspond en quelque sorte une diététique.

Le propos de ce livre n'est pas d'analyser chacune de ces diététiques, mais de rassembler tous les régimes qui permettent un amaigrissement sans larmes ni grincements de dents. C'est-à-dire un amaigrissement dont l'impératif ne soit pas un jeûne draconien : l'humeur s'en ressent trop souvent. Or, la mauvaise humeur étant un des éléments principaux

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de la mauvaise assimilation des aliments, donc de la fabrication de toxines, la plupart de ceux qui suivent ces régimes trop sévères finissent par obtenir le résultat opposé à leurs désirs : ils grossissent.

Ici ne seront réunis que les régimes que l'on peut suivre en gardant le sourire, d'autant plus volontiers que leur efficacité est indiscutable. Cependant, avant de les énumérer, il faut bien avertir les prétendants et surtout les prétendantes à « la ligne » que pour maigrir avec le maximum de chances, et sans crainte de rechute, il faut suivre quelques règles essentielles, et surtout, ne pas songer à perdre 10 kg en quinze jours, à moins d'en peser 100 ! Les régimes chocs sont intéressants psychologiquement, ils sont souvent inefficaces sur le plan physiologique, le bénéfice d'un amaigrissement spectaculaire s'effaçant à la première entorse au régime.

Parmi ces règles, la première à observer c'est la suppression du « grignotage ». Cette recommandation s'adresse plus particulièrement aux femmes qui, s'imaginant qu'elles ne mangent pas, parce qu'elles suppriment tel ou tel repas, « grignotent » tantôt un biscuit, ou un fruit, ou un morceau de fromage entre les repas, soit parce qu'elles ont faim, soit plus sou- vent par nervosité.

Il ne faut pas oublier que chez les femmes, la fatigue, les soucis, la nervosité sont presque toujours à l'origine de l'embonpoint. Un chagrin d'amour, s'il fait maigrir un homme, apporte généralement, hélas, un surplus de kilos à celle qui en est victime.

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* Donc, première règle : Ne jamais manger entre les repas !

* Seconde règle à observer : ne plus boire d'alcool, et très peu de vin ou de bière. Eviter également les boissons excitantes telles que café et thé. D'abord parce que la plupart des gens les prennent avec du sucre. Aussi parce que les excitants déséquilibrent les échanges, provoquent des toxines et ralentissent ainsi le processus d'élimination.

* Enfin, dans la mesure du possible, supprimer le pain, et réduire le sel.

* Et ne jamais boire juste avant, ou pendant les repas.

Ne croyez pas que ces quelques règles soient diffi- ciles à appliquer.

Il s'agit d'habitudes à prendre. Une fois acquises, elles ne procurent pas la moindre sensation de frus- tration.

Cela dit, je vais commencer par vous exposer l'un des régimes les plus efficaces, en même temps que l'un des plus faciles à suivre, même si l'on est tenu, de par sa profession, ou sa vie mondaine à sortir souvent, à dîner au restaurant, ou à recevoir chez soi.

Le régime des trois mets.

C'est sans doute l'un des plus rationnels car il permet d'innombrables variantes et, devant les

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autres — ce qui dans certains cas est psychologi- quement très important - de ne pas avoir l'air d'être astreint à un régime !

Sont autorisés pratiquement tous les mets, y compris le pain, pourvu qu'on commence sa journée avec un simple bol de thé ou de café très légers, sucrés (un morceau).

Et surtout, qu'on ne prenne, jamais, plus de trois mets différents aux deux repas principaux.

C'est-à-dire, par exemple :

* Au déjeuner : une viande, un légume, un fruit.

Ou, un hors-d'oeuvre, une viande, un légume. Ou une viande, du pain, un fruit ou un légume, le pain comp- tant pour un mets.

De même, si l'on prend un poisson ou une viande avec de la mayonnaise, celle-ci compte pour un mets. Ainsi, au dessert, deux pommes comptent pour un mets, mais une pomme et une orange pour deux.

Dans ce genre de régime, vous pouvez très bien ainsi, un jour (pas tous les jours bien sûr), faire un véritable « gueuleton », en commençant par du saumon, ensuite une belle grillade, et pour terminer un ananas ! Mais attention... avec le saumon, pas de pain beurré... vous devriez les compter pour deux mets (pain et beurre) !

Ce régime a une autre particularité, c'est qu'il

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permet, il exige même qu'on boive immédiatement après le repas, et autant qu'on le désire. Je précise : après ! Il ne faut en effet jamais boire avant (donc pas de potages non plus) ni pendant, ni — ce qui est exceptionnel dans les régimes amaigrissants — entre les repas.

En fait, là est la grande interdiction : ni nourriture, ni boisson entre les repas. Mais la cuisson des ali- ments peut être faite normalement au beurre ou à l'huile, et le sel n'est pas interdit.

Ce régime, étudié par un médecin, garantit la perte régulière d'un kilo par semaine, sans fatigue, sans mauvaise mine, et sans la nécessité de prendre aucun médicament « coupe-faim », ou diurétique.

On peut, éventuellement, boire trois semaines par mois un verre d'eau de Vittel (200 g) à jeun, une demi-heure avant la boisson servant de petit déjeuner.

Et remplacer celui-ci par un verre (150 g) de Vittel Hépar tiédi au bain-marie pendant huit jours. Il est également permis d'intervertir l'ordonnance des repas, et de prendre, pour ceux qui le préfèrent, un

« breakfast » matinal de trois mets copieux, en se contentant d'une simple boisson à midi, et d'un repas normalement composé de trois mets permis le soir.

En revanche, pour ceux qui préfèrent manger légèrement le soir, il leur suffira de remplacer le dîner par un bol de lait écrémé. Ils seront dans ce cas auto- risés à prendre un « breakfast » et un déjeuner, chacun composé de trois mets.

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Tout, ou presque, est permis, pourvu que l'on se souvienne de ce chiffre : 3.

Cependant, je ne saurais assez conseiller à qui- conque désire perdre davantage que 3 ou 4 kg, et dans un laps de temps qui ne s'étire pas exagérément, de s'arranger pour que les trois mets choisis ne soient pas, quotidiennement, trop riches en calories.

Le résultat sera bien entendu plus rapide si vous choisissez comme menu un steak maigre, une salade et une pomme... que si vous optez pour du saumon, ou plus simplement du hareng fumé, un mutton chop et un petit pot de crème fraîche ! Mais ceci relève me semble-t-il de la plus élémentaire jugeote.

En outre, si ce régime se suit en limitant le sel, et en préférant un plat à un morceau de pain, il a l'avan- tage d'opérer un « nettoyage » de l'organisme qui est, d'ailleurs, le but occulte de la plupart des régimes.

Celui-ci a l'avantage de permettre, le plus simple- ment du monde, des variations et « l'incognito » pour tous ceux qui veulent à la fois suivre un régime, afin de garder leur ligne, et ne pas en avoir l'air. Ceci est plus important qu'on ne le croit pour beaucoup de femmes, et même d'hommes, tenus à avoir, de par leur profession une vie plus ou moins mondaine.

Ou, en tout cas, une vie dont une bonne partie se déroule à l'extérieur, sous les regards curieux, et facilement ironiques des autres.

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CHAPITRE PREMIER LE RÉGIME DISSOCIE

Il a été très à la mode il y a quelques années, il est très décrié aujourd'hui. La vérité, d'après une part du corps médical, c'est qu'il n'est ni aussi mauvais, ni aussi fabuleux qu'on se l'est imaginé.

* Son principal avantage — mais il n'est pas mince — c'est de procurer un amaigrissement specta- culaire dans les trois premiers jours, et quoi qu'on prétende sans une faim excessive, ou une sensation extrême de fatigue. Il suffit pour cela de commencer ce régime par la journée « viande », de suivre par la journée « fromage », et la journée « fruits ».

Le choc psychologique conséquent à l'amai- grissement qui en résulte est d'un effet assez stupé- fiant sur la personne atteinte d'une certaine obésité, pour lui donner le courage, et la volonté nécessaires à la poursuite du régime.

Si quelqu'un ayant choisi un régime « dissocié » pendant sept jours, le fait suivre d'une alimentation

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rationnelle, riche en protéines, et pauvre en albu- mines et graisses, son effet n'aura aucune conséquence désastreuse sur son organisme. Il agira comme une diète. Mais bien entendu, avant de l'entreprendre il faut se connaître, moralement et physiquement : quiconque souffre de troubles hépatiques, ne peut sans danger s'astreindre à une journée « œufs durs », ni même « oranges ». Cela dit, en quoi consiste exactement le régime dissocié, et coupe-t-il la faim ou non ?

Un seul aliment par jour.

Son principe essentiel consiste à ne manger qu'un seul aliment durant toute une journée. Et en buvant, entre les repas, infusions ou eaux minérales non gazeuses. Si possible, vie active ralentie. En fait, c'est un régime de vacances, car il a l'avantage d'être facile à suivre, et d'exiger le minimum de préparation.

Il consiste à manger :

* Le premier jour : 500 g de viande, cuite ou crue, peu assaisonnée, partagée en trois repas. Ni pain, ni biscottes. Un bol de thé léger ou de café sans lait est autorisé le matin avec un sucre.

Pour tromper la faim, appliquer la règle d'or de l'amaigrissement : mangez très lentement, et en mastiquant beaucoup.

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Deuxième jour : 250 g de fromage cuit. Tou- jours en trois repas.

Cela peut paraître draconien. En fait, c'est très supportable, surtout, je le répète, si l'on paresse au soleil, et si l'on ne craint pas de boire abondamment entre les repas, de préférence des boissons chaudes.

Troisième jour : Dix oranges.

Beaucoup de gens s'imaginent que cette journée est la plus difficile, mais c'est une erreur. Trois oran- ges à chaque repas, mangées posément, nourrissent leur homme, ou leur femme, en lui laissant une im- pression de bien-être assez surprenante. On peut remplacer les oranges par 1 kg à 1,5 kg de pommes, ou 2 kg de cerises (excellentes pour les reins).

Quatrième jour : Dix œufs durs.

Voilà la journée cruciale... non parce que sou- dain, on souffre de la faim, mais bien plus simple- ment parce qu'avaler dix œufs durs représente pour beaucoup d'individus, un tour de force insurmon- table. Qu'à cela ne tienne, si vous n'avez plus faim, après vos deux œufs du matin, ou même après un seul, ne vous forcez pas. Vous pouvez réduire votre ration journalière au gré de votre appétit. Et ce jour- là, n'oubliez surtout pas vos tisanes et votre eau de

Vittel !

Cinquième jour : 2 kg de légumes de votre choix, en partie crus, en partie cuits. Les carottes convien- draient parfaitement, la salade verte de même, mais vous avez droit aux épinards, haricots verts, poireaux, bettes, fenouil, tomates aussi, si vous les supportez, artichauts, etc. Les asperges en revanche

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ne sont pas indiquées, ni les choux malgré la teneur en fer de ceux-ci. Après la journée œufs durs, les légumes opéreront un nettoyage souhaitable, et vous rafraîchiront.

Sixième et dernière journée : 1 kg de poisson.

C'est la journée de réconfort. D'abord, parce que l'on a généralement perdu de 3 à 4 kg, davantage si l'on avait dépassé énormément son poids normal.

Ensuite, parce que l'on est arrivé au bout de ses peines, enfin parce que l'on a découvert que l'on était capable de s'imposer une discipline !

Certaines personnes particulièrement courageuses, si elles ne se sentent pas exagérément fatiguées peuvent tenter une septième journée d'austérité, se nourrissant exclusivement de lait, de préférence dégraissé, toujours dans le cas d'un foie fragile.

Pour ne pas perdre le fruit de vos efforts.

Le grand reproche — souvent justifié — que l'on a fait à cette sorte de régime, c'est finalement de ne servir à rien... car trois jours de nourriture normale, redonnent généralement au sujet l'excès de poids si spectaculairement perdu !

Je m'inscris en faux contre cela. La vérité, c'est que la plupart des gens qui ont eu la ténacité néces- saire pour s'astreindre pendant huit jours à une

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sévérité excessive, ne sont plus capables de la ténacité relative qu'exige, par la suite, un régime alimentaire bien équilibré.

Je maintiens que quiconque a obtenu par le régime dissocié une perte de poids valable, pourrait se stabi- liser à ce poids, pourvu que dans les jours qui suivent, il sache éliminer de sa nourriture tous les aliments excessivement calorifiques (pâtisserie, charcuterie, crème fraîche, graisses, alcool, etc.), limiter sa consommation de pain, et ne pas saler exagérément ses aliments.

Ces quelques précautions élémentaires sont non seulement nécessaires si l'on ne veut pas grossir, mais si l'on veut maintenir son organisme en bonne santé ! Mais le régime dissocié est la plupart du temps choisi, contrairement à ce que l'on pourrait croire, par les gens qui manquent de volonté, et renâclent à l'idée de surveiller quotidiennement leur nourriture.

Ils préfèrent accomplir cette sorte « d'exploit » que de s'imposer une discipline de longue haleine. Aussi, l'exploit terminé, ils retombent dans leurs erreurs anciennes et se nourrissent en dépit du bon sens.

C'est qu'en fait il n'y a que très peu de mystère dans le phénomène du grossissement exagéré : il s'agit toujours d'une mauvaise assimilation, le plus généra- lement provoquée par une alimentation déséquilibrée.

Mais cette alimentation déséquilibrée — qui n'est pas toujours pour autant une nourriture exagérée — a

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souvent des origines psychiques. Le problème mérite une analyse détaillée : nous y reviendrons plus tard.

Conseils de prudence et trucs.

Pour l'instant qu'il me suffise d'ajouter quelques conseils de prudence à suivre après un régime dissocié choc.

Il s'agit d'abord de reprendre des menus où pro- tides, lipides et glucides s'associent harmonieusement, en s'efforçant de ne pas forcer sur les quantités.

S'interdire bien entendu de boire en mangeant. Et s'interdire davantage encore de grignoter des biscuits, gâteaux ou autres sucreries entre les repas.

Si je puis donner quelques trucs qui permettent de se restreindre sans avoir faim, je suggérerai de fumer (sans excès), et de se trouver suffisamment d'occupations sérieuses ou frivoles, pour ne pas avoir de temps mort dans sa journée.

L'ennui est un des grands instigateurs d'appétit.

Surtout chez les femmes, car dans leur cas particulier, ennui est presque toujours synonyme de solitude, et plus particulièrement de solitude sentimentale. A défaut de pouvoir aimer et être aimée, une femme, hélas, mange ! Et alors elle mange trop.

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CHAPITRE II

L'UNIQUE REPAS

Il ne s'agit pas en l'occurrence du « repas unique » que préconisent certains, avec un jeûne quotidien qui s'étale donc sur pratiquement vingt-quatre heures.

Pour ma part, et sauf dans le cas de gens habitués à cette manière de se nourrir, je serais davantage par- tisan d'un repas supplémentaire, mais avec une quantité moindre d'aliments, afin qu'une trop grande sensation de faim n'incite pas à se jeter sur la nour- riture, à l'avaler trop vite, et donc en quantité plus grande. Mais d'un « menu » unique, réunissant tous les éléments nécessaires à la santé, coupant suffisam- ment la faim, permettant une activité normale, et, ce qui n'est pas à négliger, pouvant être suivi même au restaurant si l'on a un métier qui oblige à prendre souvent ses repas hors de chez soi.

* Le petit déjeuner étant toujours réduit à une boisson (thé ou café légers) chaude, à moins que l'on ne préfère un jus de fruit, éventuellement du lait écrémé.

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Aux deux principaux repas, la recette est d'une simplicité rigoureuse : carottes râpées, steak de 150 g, une pomme vapeur, et comme dessert une pomme.

Si vous faites cela pendant une quinzaine de jours, vous êtes assuré de perdre 5 kg. Si vous souhaitez perdre davantage, il suffit de continuer. Il n'y a pas de contre-indication, du moins c'est un médecin qui me l'a affirmé. Je pense que la monotonie aidant, on en arrive à ne plus manger que la quantité nécessaire à la survie...

Encore l'après- régime...

Mais, reconnaissons-le, ce régime est un peu fas- tidieux, si on n'est pas fanatique de carottes râpées et de viande saignante. Encore une fois, la période de régime stricte terminée, il suffit d'obéir à la règle de

« une crudité au début du repas, une grillade avec une pomme vapeur, et le fruit final, lequel peut être remplacé par une salade », pour maintenir sa ligne en variant fort agréablement ses menus.

Bien entendu, la vie normale reprise, il reste défendu à tous ceux et toutes celles qui grossissent facilement de boire de l'alcool, sinon à très petites doses, d'abuser du sel et en général des épices qui excitent l'appétit, de se bourrer de pain, de char- cutaille, de beurre, de sucre...

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Les esprits chagrins ricanent lorsqu'ils entendent parler de régimes amaigrissants. Ils disent : « il n'y a pas de mystère, il suffit de ne pas manger, et les kilos superflus s'envolent! » Ce n'est pas aussi simple. La vérité c'est que le gens qui grossissent ne mangent pas toujours trop.

Mais ils mangent mal.

Or, il est prouvé que les gens sveltes vivent plus long-

temps... Au-delà des impératifs de la mode, il est donc

indispensable de surveiller sa ligne. Mais pour cela il n'est

pas obligatoire de se priver de toute nourriture. Ce livre

le démontre et révèle tous les moyens pour rester svelte,

ou le devenir, en continuant à mener une vie normale.

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