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41 9. 10. 2013

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(1)

Organe officiel de la FMH et de FMH Services www.bullmed.ch Offizielles Organ der FMH und der FMH Services www.saez.ch Bollettino ufficiale della FMH e del FMH Services

Bulletin des médecins suisses

Bollettino dei medici svizzeri Schweizerische Ärztezeitung

Editores Medicorum Helveticorum

Editorial 1533

Renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie

OFSP 1540

Pour une Suisse sans rougeole

Tribune 1557

Repenser l’hôpital – l’exemple de la réforme de l’hôpital fribourgeois

Horizons 1561

Zur Sache des Glücks

«Et encore…» par Hans Stalder 1566

Après les policliniques, créons des agrocliniques!

41

9. 10. 2013

(2)

S O M M A I R E

FMH

Editorial

1533 Renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie

Jürg Schlup Comité central

1535 Séance du Comité central du 20 juin 2013

1536 Nouvelles du corps médical

Organisations du corps médical UNION

1537 Komplementär- und Alternativmedizin in Europa

Klaus von Ammon, Barbara Kramer, Martin Frei-Erb

Un regard vers l’Europe: le réseau de recherche CAMbrella a réalisé un inventaire concernant la demande, l’offre et le statut juridique de la médecine complémentaire dans 39 pays européens, avec l’objectif de développer une stratégie de recherche européenne.

Autres groupements et institutions

1540 Pour une Suisse sans rougeole OFSP Sabine Walser

Interview de Nicole Pellaud, présidente de la Société suisse de pédiatrie. Elle évoque notamment son engage- ment dans le comité national pour l’élimination de la rougeole et sa manière d’aborder la vaccination avec les parents qui se montrent réticents.

Courrier / Communications 1541 Courrier au BMS

1543 Examens de spécialiste/

Communications

FMH Services

1544 Krankenkassen-Rahmenverträge für Ärzte FMH Insurance Services

1546 Emplois et cabinets médicaux

Tribune Thème

1554 Verschweigen, fälschen und erfinden, bis die Daten stimmen

Felicitas Witte

Dans le milieu scientifique, la fraude et la falsification n’ont apparemment pas disparu. Lors de la Swiss Family Docs Conference, l’épidémiologiste clinique Peter Jüni a présenté quelques exemples de fraudes plutôt auda- cieuses et abordé la prétendue ignorance des chercheurs à ce sujet ainsi que les mesures contre le vol de données.

Economie

1557 Repenser l’hôpital – l’exemple

de la réforme de l’hôpital fribourgeois Pauline de Vos Bolay, Bernard Vermeulen

En raison d’un déficit élevé, l’hôpital fribourgeois (HFR) va devoir revoir son organisation et son fonctionnement en profondeur, en s’appuyant sur la stratégie à long terme 2013–2022 présentée dans cet article.

1560 Spectrum

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S O M M A I R E

Délégués des sociétés de discipline médicale

Allergologie et immunologie clinique:

Pr A. Bircher

Anesthésiologie: Pr P. Ravussin Angiologie: Pr B. Amann-Vesti Cardiologie: Pr C. Seiler Chirurgie: Pr M. Decurtins Chirurgie cardiaque et vasculaire thoracique:

Pr T. Carrel

Chirurgie de la main: PD Dr L. Nagy Chirurgie maxillo-faciale: Pr H.-F. Zeilhofer Chirurgie orthopédique: Dr T. Böni Chirurgie pédiatrique: Dr M. Bittel Chirurgie plastique, reconstructive et esthétique: Pr P. Giovanoli

Cytopathologie clinique: vacant Dermatologie et vénéréologie:

PD S. Lautenschlager

Endocrinologie/diabétologie: Pr G. A. Spinas Gastro-entérologie: Pr W. Inauen Génétique médicale: Dr D. Niedrist Gériatrie: Dr M. Conzelmann Gynécologie et obstétrique:

Pr W. Holzgreve Hématologie: Dr M. Zoppi Infectiologie: Pr W. Zimmerli Médecine du travail: Dr C. Pletscher Médecine générale: Dr B. Kissling Médecine intensive: Dr C. Jenni Médecine interne: Dr W. Bauer Médecine légale: Pr T. Krompecher

Médecine nucléaire: Pr J. Müller Médecine pharmaceutique: Dr P. Kleist Médecine physique et réadaptation:

Dr M. Weber

Médecine tropicale et médecine de voyages:

PD Dr C. Hatz

Néonatologie: Pr H.-U. Bucher Néphrologie: Pr J.-P. Guignard Neurochirurgie: Pr H. Landolt Neurologie: Pr H. Mattle Neuropédiatrie: Pr J. Lütschg Neuroradiologie: Pr W. Wichmann Oncologie: Pr B. Pestalozzi Ophtalmologie: Dr A. Franceschetti Oto-rhino-laryngologie et chirurgie cervico-faciale: Pr J.-P. Guyot

Pathologie: Pr G. Cathomas Pédiatrie: Dr R. Tabin

Pharmacologie et toxicologie clinique:

Dr M. Kondo-Oestreicher Pneumologie: Pr T. Geiser

Prévention et santé publique: Dr C. Junker Psychiatrie et psychothérapie: Dr G. Ebner Psychiatrie et psychothérapie d’enfants et d’adolescents: Dr R. Hotz Radiologie: Pr B. Marincek Radio-oncologie: Pr D. M. Aebersold Rhumatologie: Pr M. Seitz Urologie: PD Dr T. Zellweger Rédaction

Dr et lic. phil. Bruno Kesseli (Rédacteur en chef) Dr Werner Bauer Prof. Dr Samia Hurst Dr Jean Martin lic. oec. Anna Sax, MHA Dr Jürg Schlup (FMH) Prof. Dr Hans Stalder Dr Erhard Taverna

lic. phil. Jacqueline Wettstein (FMH) Rédaction Ethique

Dr théol. Christina Aus der Au, p.-d.

Prof. Dr Lazare Benaroyo Dr Rouven Porz Rédaction Histoire médicale Prof. Dr et lic. phil. Iris Ritzmann Dr ès sc. soc. Eberhard Wolff, p.-d.

Rédaction Economie lic. oec. Anna Sax, MHA Rédaction Droit

Me Hanspeter Kuhn (FMH) Managing Editor Annette Eichholtz M.A.

Secrétariat de rédaction Elisa Jaun

Adresse de la rédaction

EMH Editions médicales suisses SA Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz Case postale, 4010 Bâle

Tél. 061 467 85 55, fax 061 467 85 56 Courriel: redaction.bms@emh.ch Internet: www.bullmed.ch Editeur

FMH Fédération des médecins suisses Elfenstrasse 18, Case postale 170, 3000 Berne 15

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Cheffe placement des annonces Tél. 061 467 85 49, fax 061 467 85 56 Courriel: kwuerz0@emh.ch

«Offres et demandes d’emploi/

Immeubles/Divers»

Matteo Domeniconi, personne de contact Tél. 061 467 85 55, fax 061 467 85 56 Courriel: stellenmarkt@emh.ch

«Office de placement»

FMH Consulting Services Office de placement

Case postale 246, 6208 Oberkirch Tél. 041 925 00 77, fax 041 921 05 86 Courriel: mail@fmhjob.ch Internet: www.fmhjob.ch Photo de couverture:

Angelika Koch-Schmid/pixelio.de

Abonnements Membres de la FMH

FMH Fédération des médecins suisses Elfenstrasse 18, 3000 Berne 15 Tél. 031 359 11 11, fax 031 359 11 12 Abonnements EMH

EMH Editions médicales suisses SA Abonnements, Case postale, 4010 Bâle Tél. 061 467 85 75, fax 061 467 85 76 Courriel: abo@emh.ch

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© 2013 by EMH Editions médicales suisses SA. Tous droits réservés. Toute reproduction d’article, y inclus électroni- quement et la traduction, en totalité ou par extrait, est soumise à l’autorisation écrite des éditions.

Paraît le mercredi ISSN 1661-5948

ISSN 1424-4012 (édition électronique)

I M P R E S S U M

Horizons

Sous un autre angle 1561 Zur Sache des Glücks

Toni Brühlmann

«J’ai réussi à me procurer les derniers billets de concert, quelle chance!» Mais tout n’est pas question de chance.

C’est bien connu, chacun est l’artisan de son propre bonheur, et la chance ne suffit donc pas au bonheur.

Analyse des différentes facettes du bonheur.

1563 Mein Leben als Infarktpatient Peter Marko

Changement de rôle ou quand le médecin devient pa- tient: quelques réflexions sur une situation pour le moins inhabituelle.

Horizons

Notes de lecture

1565 Energisch, heiter und gelassen Bernhard Gurtner

Etre plus efficace et plus productif tout en étant plus détendu – qui ne le souhaite pas? L’ouvrage «Energie- kompetenz» de Verena Steiner propose donc quelques pistes biologiques et psychologiques pour mieux maî- triser le quotidien tout en retrouvant énergie et satisfac- tion.

Et encore…

1566 Après les policliniques, créons des agrocliniques!

Hans Stalder

A l’origine, les policliniques ont été créées pour per- mettre à tous les citadins d’avoir accès à des soins médi- caux. Aujourd’hui, le groupe à risque a changé et le problème s’est désormais déplacé à la campagne.

Anna

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E d i t o r i a l

F M H

Editores Medicorum Helveticorum Bulletin des médecins suisses | Schweizerische Ärztezeitung | Bollettino dei medici svizzeri | 2013;94: 41

1533

Après de longues années de ré­

gression, les médecins de famille et les pédiatres sont enfin par­

venus à obtenir une améliora- tion de leur situation: avec le soutien du conseiller fédéral Alain Berset et celui de la FMH, ils verront notamment leur revenu augmenter de 200 mil­

lions de francs par an. L’initia­

tive populaire «Oui à la méde­

cine de famille» a largement contribué à ce succès; sans elle, nous ne serions pas là où nous sommes aujourd’hui. Depuis son lancement en 2010, elle a mené à la mise sur pied du plan directeur du Conseil fédéral, et ainsi à un renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie.

La FMH salue cette amélioration. Nous reconnaissons éga­

lement le discernement, le bon sens politique, mais aussi l’humilité dont fait preuve le comité d’initiative en retirant son projet. En effet, sur les 350 millions de francs par an ini­

tialement exigés pour améliorer la situation financière des médecins de famille et des pédiatres, le Conseil fédéral n’en a promis que 200. Par ailleurs, il a décidé de relever le montant des analyses de laboratoire de 35 millions de francs par an dès 2014. Ceci ne permettra cependant pas de compenser entière­

ment les pertes subies par les médecins de famille et les pé­

diatres depuis la révision de 2009, qui s’élèvent à 80 millions de francs par an.

Le Conseil fédéral peut se montrer satisfait.

Grâce à son plan directeur, il contribue à un prix raisonnable au renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie tout en évitant une initiative populaire délicate. Et pour la pre­

mière fois, il va pouvoir exercer une influence directe sur le tarif médical ambulatoire TARMED.

La FMH peut-elle également être satisfaite?

Pour la FMH, l’échec des négociations avec les partenaires tarifaires est une occasion manquée, d’autant plus que l’on ne sait pas en­

core comment le renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie – soutenu par l’ensemble des partenaires tarifaires – pourra être financé tout en respectant la neutralité des coûts.

L’impossibilité de conclure une convention tarifaire sur le finan- cement du renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie aura des conséquences pour l’ensemble du corps médical. L’inter­

vention isolée du Conseil fédéral dans le tarif médical ambu­

latoire, et la redistribution des revenus des spécialistes aux médecins de premier recours qu’elle implique, est désormais imminente. Or la FMH doute que cette intervention puisse être réalisée de manière appropriée et correcte en termes de gestion d’entreprise, conformément aux exigences de la LAMal.

La mise en œuvre de ce renforcement au travers de la structure tarifaire TARMED sans toucher à la neutralité des coûts, tel que

l’exige le Conseil fédéral, suscite l’incompréhension de la FMH.

N’oublions pas que c’est déjà l’introduction «neutre en termes de coûts» du TARMED conjuguée aux interventions du Surveil­

lant des prix qui ont conduit au déséquilibre actuel au détriment des médecins de famille et des pédiatres. La FMH doute également que le Conseil fédéral puisse concrétiser, ici aussi sans consé­

quence sur la neutralité des coûts, sa volonté stratégique d’axer le système de santé davantage sur les soins ambulatoires de longue durée que sur les soins hospitaliers aigus [1]. Il y a en effet peu de chance que cela fonctionne sans que les inves­

tissements dans l’ensemble du secteur ambulatoire et ainsi dans l’avenir de la prise en charge médicale soient intensifiés.

La FMH souhaite une tarification appropriée et correcte en termes de gestion d’entreprise de toutes les prestations médicales, comme l’exige expressément la LAMal. C’est pourquoi elle tra­

vaille activement depuis début 2012, aux côtés de H+ et de la Commission des tarifs médicaux (CTM), à la révision globale de la structure tarifaire du TARMED. Cette dernière devra re­

produire correctement l’ensemble des prestations médicales, y compris celles des médecins de famille et des pédiatres. La FMH mettra donc tout en œuvre pour poursuivre cet objectif avec ses partenaires malgré l’intervention du Conseil fédéral et pour terminer la révision d’ici fin 2015.

Dr Jürg Schlup, président de la FMH 1 Santé2020: les priorités du Conseil fédéral.

Berne, le 23 janvier 2013, p. 5.

Renforcement de la médecine de famille et de la pédiatrie

L’initiative populaire «Oui à la médecine de famille»

a largement contribué au renforcement de la méde- cine de famille et de la pédiatrie.

Les interventions ponctuelles et isolées dans la structure tarifaire entraînent

un déséquilibre. Seule une révision globale permet d’obtenir une tarification

appropriée et correcte en termes de gestion d’entreprise.

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Nouvelles du Comité central

Séance du Comité central du 20 juin 2013

Trajectoire des patients atteints du cancer du côlon – Pour la première partie du projet-pilote

«Trajectoire intersectorielle des patients atteints du cancer du côlon», il s’agira tout d’abord de définir quelles lignes directrices sont reconnues ainsi qu’un lieu de soins. Ensuite, la deuxième partie consistera à adapter les normes de traitement aux particulari tés régionales, puis d’implémenter et d’évaluer la trajec- toire. Suite à la présentation du projet au Comité di- recteur de l’ASQM, une séance d’information sera or- ganisée en automne pour informer les groupes pro- fessionnels concernés et déterminer les ressources ainsi que le budget.

TARMED Suisse – Le Comité central (CC) a décidé d’accepter la convention relative à la nouvelle orga- nisation de TARMED Suisse, qui prévoit la possibilité de prendre des décisions à la majorité. La question de la suite à donner à la nouvelle constellation santé- suisse / curafutura reste pour l’instant ouverte. Par ail- leurs, le CC a refusé de résilier le contrat de société au 1er janvier 2014, car un tel retrait aurait entraîné la perte des droits sur la structure tarifaire actuelle.

Organe de coordination eHealth – La FMH n’a pas été associée à l’élaboration de recommandations concernant le format du carnet de vaccination élec- tronique et l’obligation d’annoncer les résultats de laboratoire. Le CC a accepté la proposition du do- maine eHealth de rédiger dans un premier temps une prise de position d’ordre général à l’intention de l’or- gane de coordination eHealth et de se mettre à dis- position pour traiter les questions médicales détail- lées de manière plus approfondie mais seulement à condition que ses réflexions soient prises en compte.

Institut pour l’informatique au cabinet – Le groupe de travail eHealth de la FMH a recommandé d’accor- der la priorité aux projets «Elaboration d’un cahier des charges pour les systèmes d’information au cabi- net», «Concept, développement et suivi de groupes d’utilisateurs» et «Inventaire et représentation des principaux processus au cabinet du médecin de fa- mille». Par la suite, ces trois projets devraient être transmis sous forme de mandats à l’Institut pour l’in- formatique au cabinet médical (IPI) en vue de l’élabo- ration de propositions de projets plus détaillées. Le CC a validé cette manière de procéder.

eMédication et Compendium – Lors d’une table ronde qui a réuni des représentants de la FMH, de l’in- dustrie pharmaceutique et de l’association des phar- maciens, il a été question de comment créer des pas- serelles électroniques entre les différents groupes pro- fessionnels impliqués. Les firmes pharmaceutiques devraient livrer les données structurées de telle ma- nière qu’elles puissent être efficacement utilisées. Un groupe de travail doit formuler les premières pro- positions d’ici à l’automne.

Ordonnance sur les relevés statistiques – Dans le cadre de la révision de l’ordonnance sur les relevés statistiques et de la nouvelle ordonnance du DFI sur l’appariement de données, l’utilisation systématique prévue du numéro AVS pose problème. Selon le Ser- vice juridique, cette utilisation va à l’encontre des dé- cisions prises en 2006 par le Parlement concernant la révision de la LAVS. Le CC a décidé de reprendre dans sa prise de position les arguments du Service juridique et ceux de privatim (Association faîtière des préposés cantonaux à la protection des données).

C o m i t é c e n t r a l

F M H

Sujets d’actualité du forum

Venez débattre avec nous! Dans la rubrique forum nous présentons régulièrement des sujets d’actua- lité politique, économique et scientifique ayant trait au système de santé. Donnez votre avis ou com- mentez les affirmations de vos confrères. Pour accé- der au forum: www.bullmed.ch/forum/

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1536

F M H

Personalien

Ärztegesellschaft des Kantons Bern Ärztlicher Bezirksverein Bern Regio Zur Aufnahme als ordentliches Mitglied hat sich angemeldet:

Pamela Voggel, Fachärztin für Allgemeine Innere Medizin FMH, Parkterrasse 10, 3012 Bern Einsprachen gegen diese Vorhaben müssen in- nerhalb 14 Tagen seit dieser Veröffentlichung schriftlich und begründet beim Präsidenten des Ärztlichen Bezirksvereins Bern Regio einge- reicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet der Vorstand über die Aufnahme des Gesuchs und über die allfälligen Einspra- chen.

Preise / Prix

Eric Kandel Young Neuroscientists Prize Sonja Hofer, Professorin am Biozentrum der Uni- versität Basel, wurde für ihre Forschung auf dem Gebiet der Neurowissenschaften mit dem «Eric Kandel Neuroscientists Prize» der Hertie-Stif- tung ausgezeichnet. Sonja Hofer erhält den mit 75 000 Euro dotierten Preis für ihre bemerkens- werten Arbeiten über neuronale Netzwerke.

Hofer erforscht, wie sich während der Entwick- lung neuronale Netzwerke ausbilden und wie sich diese durch neue Erfahrungen und lernen verändern. Die feierliche Preisübergabe erfolgte am 27. September 2013 in Frankfurt am Main durch den Nobelpreisträger und Namensgeber des Preises, Prof. Eric Kandel.

Todesfälle / Décès / Decessi Emanuel Meister (1931), † 20. 7. 2013, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 3084 Wabern

Urs Bürki (1932), † 1. 6. 2013,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 3604 Thun

Reto Tscholl (1937), † 15. 8. 2013, Facharzt für Chirurgie und Facharzt für Urologie, 5018 Erlinsbach Stefan Brun (1953), † 26. 8. 2013, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 8600 Dübendorf

Thomas Allgaier (1954), † 15. 8. 2013, Praktischer Arzt, 79423 Heitersheim, DE

Praxiseröffnung /

Nouveaux cabinets médicaux / Nuovi studi medici

BE

Philipp Patrick Roth,

Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, Brünnenstrasse 114, 3018 Bern

VD

Nadine Cohen Dumani,

Spécialiste en pédiatrie, 26, av. Général Guisan, 1800 Vevey

Fokus-Preis 2013 der Alzheimervereinigung des Kantons Zürich

Anlässlich des Welt-Alzheimertages am 21. Sep- tember 2013 verlieh die Alzheimervereinigung Kanton Zürich den diesjährigen Fokus-Preis für besonderes Engagement für Demenzbetroffene und Angehörige an die Leiterin von LUNAplus Wallisellen, Carmen Jucker. Insbesondere deren Projekt «Zischtigsclub», welches den Betreuen- den von Demenzbetroffenen ermöglicht, sich einmal in der Woche ein paar Stunden von Pflege, Betreuung und Verantwortung zurück- zuziehen, fand Beachtung.

Charles A. Lewis Excellence in Research Award 2013

Den Charles A. Lewis Excellence in Research Award» 2013 gewinnt ein Forschungsteam aus Bad Zurzach, Zürich/Wädenswil, Rapperswil und Bern für die im Rahmen des KTI-Projekts

«Therapie- und Erlebnisgarten RehaClinic Zur- zach» realisierte Studie «Horticultural Therapy for Patients with Chronic Musculoskeletal Pain».

Diese erbrachte den Nachweis, dass Patienten Schmerzen besser bewältigen, wenn sie im Gar- ten arbeiten können. Prof. Renata Schneiter von der ZHAW Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften als Leiterin des Gesamtprojek- tes, Prof. Dr. med. André Aeschlimann, CMO der RehaClinic Bad Zurzach und Martin Verra, wissenschaftlicher Mitarbeiter der RehaClinic und heutiger Direktor des Instituts für Physio- therapie am Inselspital Bern, nahmen den Preis am 20. September 2013 im Rahmen der Jahres- konferenz der American Horticultural Therapy Association AHTA in Minneapolis/USA in Emp- fang.

F M H

Nouvelles du corps médical

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Editores Medicorum Helveticorum

1537

U N I O N

O R G A N I S AT I O N S D U CO R P S M E D I C A L

Bulletin des médecins suisses | Schweizerische Ärztezeitung | Bollettino dei medici svizzeri | 2013;94: 41

Komplementär- und Alternativmedizin in Europa

Zum Abschluss der Artikelserie zur ärztlichen Komplementärmedizin in der Schweiz wirft dieser Beitrag den Blick über die Grenze nach Europa, wo die Komplementär- und Alternativmedizin (CAM) eine ähnlich lang zurückreichende Tradition hat wie in der Schweiz. Der Gebrauch der verschiedenen Methoden und Therapieverfahren ist in der europäischen Bevölkerung ebenfalls weitverbreitet [1].

Die Nachfrage nach Komplementärmedizin in Europa ist gross

Schätzungen zeigen seit 1970, dass zwischen 10 und über 50 % der Bevölkerung Komplementärmedizin für Prophylaxe oder Erhalt und Wiederherstellung ihrer Gesundheit, insbesondere bei chronischen Krankheiten, nutzen [2]. Aufgrund der kulturellen Vielfalt Europas bestehen länderspezifische Unter- schiede im Verständnis des Begriffes «Komplemen- tär- und Alternativmedizin» und der damit in Zu- sammenhang stehenden Methoden und Heilmittel.

Zudem existieren kaum wissenschaftliche Daten aus den einzelnen Ländern über die Häufigkeit des Ge- brauchs der eingesetzten Therapieverfahren, über die Bedürfnisse und Einstellungen der Bevölkerung und über die gesetzlichen Vorschriften und Regelun- gen. Dies ist bedingt durch geringe Forschungsmög- lichkeiten, da mit wenigen Ausnahmen kaum For- schungsgelder von öffentlicher und privater Hand oder von der pharmazeutischen Industrie zur Verfü- gung stehen. Gründe sind unter anderem, dass CAM in den europäischen Ländern häufig nicht im staat- lich oder von obligatorischen Versicherungen finan- zierten konventionellen Gesundheitsbereich ausge- übt wird und keine für die Industrie interessanten patentierbaren Behandlungsmöglichkeiten bietet.

Private Initiativen vermögen diese Defizite nicht an- nähernd auszugleichen. Seit 10 bis 20 Jahren jedoch etabliert sich an Universitäten, vor allem in Deutsch- land, eine Forschungstradition in Form von Stiftungs- lehrstühlen. Um zur Klärung der offenen Fragen bei- zutragen, hat die Europäische Union EU im Rahmen des Forschungsprogramms FP7 das Projekt CAMbrella [3] (s. Kasten) finanziert.

Vorschlag einer europäischen Definition von CAM

Um gesamteuropäische Forschungsprojekte, Richtli- nien und gesetzliche Vorschriften zu ermöglichen und zu vereinfachen, ist im Rahmen von CAMbrella folgender Vorschlag einer pragmatischen Definition von CAM entstanden:

«Komplementär- und Alternativmedizin (CAM), die in Europa genutzt wird, umfasst eine Vielfalt von medizinischen Systemen und Therapien. Deren Wis-

sen, Fertigkeiten und Ausübung leiten sich von Theo- rien, philosophischen Systemen und praktischen Er- fahrungen her, die sowohl für den Erhalt und die Ver- besserung der Gesundheit als auch für Prophylaxe, Diagnose, Linderung, Behandlung oder Heilung kör- perlicher, psychischer oder geistiger Erkrankungen genutzt werden. CAM wurde bisher ausserhalb des konventionellen Gesundheitssystems genutzt, aber in manchen Ländern wurden bestimmte Behand- lungsformen in die öffentliche Gesundheitsfürsorge übernommen oder an diese angepasst.» [4]

Zuverlässige Informationen sind spärlich Zur Inanspruchnahme der Komplementärmedizin gibt es nur wenige hochwertige Untersuchungen in einzelnen Ländern (z. B. Deutschland, Grossbritan- nien, Schweiz). Die Prävalenz des Gebrauchs umfasst den Bereich von 0,3 bis 86 %, je nach Land, erfass- tem Zeitraum und Krankheitsbild. Zusammenfas- send macht die europäische Bevölkerung am meis- ten Gebrauch von Phytotherapie, nutzt die CAM überwiegend für muskulo-skelettale Probleme, und dies oft nach unbefriedigenden Ergebnissen der kon- ventionellen Medizin. Kinder und Jugendliche, Pa- tienten mit chronischen Erkrankungen und poly- morbide Patienten sind die Bevölkerungsgruppen, die Komplementärmedizin am häufigsten in An- spruch nehmen [5].

Aus 18 von 27 EU-Staaten und 12 assoziierten Ländern gibt es Daten zu Bedarf und Erwartungen Klaus von Ammon a,

Barbara Kramer b, Martin Frei-Erb a a Kollegiale Instanz für

Komplementärmedizin KIKOM, Universität Bern b UNION Schweizerischer

komplementärmedizinischer Ärzteorganisationen

Korrespondenz:

Dr. med. Hansueli Albonico Praxis für Hausarzt- und Komplementärmedizin Bernstrasse 14 CH-3550 Langnau Tel. 034 402 14 19

hu.albonico[at]hotmail.com

CAMbrella

CAMbrella besteht aus einem Netzwerk von 16 akademischen Forschungsgruppen aus 12 eu- ropäischen Ländern. Aus der Schweiz sind die Universitäten Bern und Zürich vertreten. Im Zeit- raum von 2010 bis 2012 haben neun Arbeitsgrup- pen eine Bestandsaufnahme zur Nachfrage, zum Angebot, zur Gesetzeslage und zur Regulierung sowie zu den Bedürfnissen und Einstellungen der Bevölkerung in 39 europäischen Ländern durch- geführt. Als Resultat ist eine zukünftige europäi- sche Forschungsstrategie betreffend CAM entwi- ckelt und in Brüssel Mitgliedern des EU-Parla- ments und der Öffentlichkeit vorgestellt worden.

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U N I O N

O R G A N I S AT I O N S D U CO R P S M E D I C A L

Bulletin des médecins suisses | Schweizerische Ärztezeitung | Bollettino dei medici svizzeri | 2013;94: 41

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Editores Medicorum Helveticorum

Der Echte Arznei-Baldrian (Valeriana officinalis) hat eine lange Tradition als Arzneimittel in der Pflanzenheilkunde.

* Anm. der Red.: Aufgrund der PEK-Studienanlage ist unter Experten umstritten, ob sich daraus valide Schlussfolgerun- gen in Bezug auf die Wirtschaftlichkeit der ärztlichen Komplementärme- dizin ziehen lassen. Siehe dazu: Stalder H. Das PEK? Ein Epilog. Schweiz Ärztezeitung.

2010;91(26):1074.

der Bevölkerung hinsichtlich Komplementärmedi- zin, und nur für Grossbritannien und die Schweiz sind differenzierte Ergebnisse vorhanden. Mit diesen Einschränkungen lassen sich folgende Tendenzen feststellen: Die europäische Bevölkerung wünscht allgemein erhältliche spezifische Information, per- sönliche Beratung und weitgehend ungehinderten Zugang zu verschiedenen komplementärmedizini- schen Angeboten in Praxen und Spitälern. Dies soll nicht nur durch ärztliches Personal erfolgen, son- dern auch durch spezifisch ausgebildete therapeu- tisch Tätige, deren Leistungen möglichst im Rahmen des öffentlichen Gesundheitswesens bezahlt werden sollen [6]. Dies steht im Gegensatz zur gegenwärti- gen Haltung vieler konventionell Tätigen und der aktuellen Praxis der privaten «Out-of-pocket»- oder Zusatzversicherungs-Aufwendungen.

Gegenwärtig bieten in Europa (rund 500 Millio- nen Einwohner) ca. 150 000 Ärzte mit einer Zusatz- qualifikation in CAM und ca. 180 000 registrierte und zertifizierte nicht-ärztliche Therapeut(inn)en komplementärmedizinische Methoden und Techni- ken an [7]. Auf 100 000 Einwohner bezogen sind das 35 CAM-Therapeuten und 30 CAM-Ärzte im Ver- gleich zu 95 konventionellen Allgemeinärzten. Aku- punktur wird am häufigsten angeboten: Mit 80 000 Ärz ten und 16 000 Therapeuten sind es 30 % aller An- bietenden. Homöopathie (45 000 Ärzte/5800 Thera- peuten), Phytotherapie (29 000 Therapeuten) und 25 000 Reflex-Therapeuten stellen das zweite Drittel.

Alle anderen Therapien zusammen bestreiten das dritte Drittel des Angebots. Davon werden nur Na- turheilverfahren (meist in Deutschland) mit 22 500, Anthroposophische Medizin (4500) und Neuralthe- rapie (1500) vorwiegend von Ärzten ausgeübt.

Darüber hinaus praktizieren in Europa Personen Komplementär- und Alternativmedizin innerhalb des gesetzlichen Rahmens, die es vorziehen, sich nicht für spezifische Methoden registrieren oder zer- tifizieren zu lassen (z. B. «Energetiker» in Österreich).

Diese Anbieter lassen sich kaum systematisch erfas- sen und vergleichen. Die Dunkelziffer beträgt z. B. für Osteopathie in Italien mehr als 50 % [8]. Für die meis- ten dieser Verfahren gibt es nationale und europäi- sche Dachorganisationen, teilweise mit einheitli- chen, zum Teil verbindlichen Qualitätsstandards in Aus-, Weiter-, Fortbildung und ethischen Richtlinien.

Die Zulassungsbedingungen und Vorschriften betreffend Zertifizierung und Fortbildung sind in je- dem europäischen Land unterschiedlich geregelt, ähnlich wie wir dies von den 26 Kantonen in der Schweiz kennen: grosse Freizügigkeit (z. B. Natur- ärzte und -ärztinnen in Appenzell Ausserrhoden) bis zu gesamtstaatlichen Regelungen (z.B. Fähigkeits- ausweise der FMH). Eine allgemeine Gesetzgebung gibt es in 19 von 39 Ländern, von denen 11 spezifi- sche Gesetze zur Komplementär- und Alternativme- dizin haben und acht weitere Länder Komplemen- tär- und Alternativmedizin in ihre Gesundheitsge- setzgebung eingeschlossen haben [9].

Wie bei der Gesetzgebung spielt die Schweiz auch bei der Harmonisierung der Zulassungsbestim- mungen eine Vorreiterrolle in Europa: Im Zusam- menhang mit dem 2009 vom Stimmvolk angenom- men Verfassungsartikel zur Komplementärmedizin sind eidgenössisch anerkannte Diplome für Natur- heilpraktiker und komplementärmedizinische The- rapeuten in Arbeit. Die öffentliche Anerkennung, die Qualitätssicherung, ethische Richtlinien für The- rapeuten und ein gleichberechtigter Zugang zu CAM erhöhen das Vertrauen der Bevölkerung in CAM.

Eine einheitliche Handhabung auf europäischem Niveau würde der Bevölkerung eine Qualitätssicher- heit bei der Inanspruchnahme komplementärmedi- zinischer Therapien ermöglichen.

Qualifizierte ärztliche Komplementärmedizin ist wirtschaftlich

In der Schweiz hat das staatlich finanzierte Pro- gramm Evaluation Komplementärmedizin (PEK) für fünf Bereiche qualifizierter ärztlicher Komplemen- tärmedizin je nach Methode vergleichbare, leicht oder deutlich verminderte Kosten im Vergleich zur konventionellen Allgemeinmedizin-Versorgung do- kumentiert [10–12]*. Eine derartig differenzierte Un- tersuchung fehlt bisher für andere europäische Län- der. Eine vergleichbare Studie gibt es einzig aus den Niederlanden, die zu einem ähnlichen Ergebnis kommt [13]. Für einzelne Verfahren bei bestimmten Beschwerden oder Indikationen gibt es darüber hin- aus qualitativ hochwertige Untersuchungen, die («non-inferiority») Kosteneffizienz oder auch Kos- tenvorteile nachweisen, wie eine aktuelle systemati- sche Übersichtsarbeit belegt [14]. Viele CAM-Be-

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U N I O N

O R G A N I S AT I O N S D U CO R P S M E D I C A L

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Editores Medicorum Helveticorum

handlungen sind Beratungen oder benötigen keine, geringe oder kostengünstige Hilfsmittel und stellen daher keinen bedeutenden Industrie-Faktor dar. Für ärztliche Komplementärmedizin werden in der Schweiz pro Jahr ca. 250 Millionen Franken aufge- wendet. Das entspricht knapp 0,4 % der jährlichen Gesundheitskosten 2011 von 64,6 Milliarden Fran- ken [15]. In der gleichen Grössenordnung bewegen sich die Zahlen des konventionellen und komple- mentär-alternativen Pharmamarkts in Europa. Her- steller von CAM-Produkten sind meist kleine und mittlere Unternehmen, das Hauptabsatzgebiet sind phytotherapeutische und homöopathische Pro- dukte sowie Nahrungsergänzungsmittel. In Europa werden vorwiegend pflanzliche Produkte umgesetzt, was 2011 etwa 6 Milliarden Euro entspricht. Der Ex- factory-Preis homöopathischer Produkte summiert sich 2010 zu ca. 1 Milliarde Euro, was 0,7 % des Pharma-Markts in Europa entspricht [16].

Zusammenfassung und Ausblick

Die anhaltend hohe Nachfrage der Bevölkerung nach CAM ist europaweit nachgewiesen. Im Ver- gleich mit Europa wird deutlich, wie gut in der Schweiz vor allem die ärztliche, aber auch die nicht- ärztliche Komplementär- und Alternativmedizin strukturell organisiert und funktionell wie finanziell untersucht sind. Dank der Möglichkeit einer direkt- demokratischen politischen Einflussnahme nimmt die Schweiz eine Sonderstellung innerhalb von Eu- ropa ein. In Anbetracht der grossen Nachfrage sei- tens der Patienten, der offenen Fragen und der man- gelnden Unterstützung durch private Firmen wäre es wünschenswert, die staatliche Forschungs-Unter- stützung zu erhöhen. So fordern auch die Forscher des CAMbrella-Projekts die EU auf, europäische CAM-Forschungsprogramme zu implementieren:

«Wenn CAM ein Teil der Lösung der Probleme im Gesundheitswesen sein soll, die in den kommenden Jahren auf uns zukommen, müssen wir dringend zu- verlässige Informationen über Wirksamkeit, Sicher- heit und Kosten in den realen Versorgungsbedin- gungen sammeln und analysieren.» [17]

Literatur

1 Ong CG, Bodeker G, Grundy C, et al. WHO Global Atlas of Traditional, Complementary and Alternative Medicine. Map Volume. WHO Centre for Health Development. Kobe. Japan; 2005.

2 Maddalena S. Alternative Medicines: On the Way towards Integration? Chapter 2.2. Bern: Peter Lang;

2005.

3 www.cambrella.eu

4 Falkenberg T, Lewith G, Roberti di Sarsina P, et al.

Towards a Pan-European Definition of Complemen- tary and Alternative Medicine – a Realistic Ambition?

Forschende Komplementärmedizin / Research in Complementary Medicine. 2012;19(Suppl 2):6–8.

5 Eardley S, Bishop FL, Prescott P, et al. A Systematic Literature Review of Complementary and Alternative Medicine Prevalence in EU. Forschende Komplemen- tärmedizin / Research in Complementary Medicine.

2012;19(s2):18–28.

6 Nissen N, Schunder-Tatzber S, Weidenhammer W, Johannessen H. What Attitudes and Needs Do Citizens in Europe Have in Relation to Complementary and Alternative Medicine? Forschende Komplementärme- dizin / Research in Complementary Medicine.

2012;19(s2):9–17.

7 von Ammon K, Frei-Erb M, Cardini F, et al. Comple- mentary and Alternative Medicine Provision in Europe – First Results Approaching Reality in an Unclear Field of Practices. Forschende Komplementärmedizin / Research in Complementary Medicine.

2012;19(Suppl 2):37–43.

8 Petracca M. Osteopathic medicine in Italy: a descrip- tive study. 9th International Congress on Advances in Osteopathic Research ICAOR. London; 2012.

Erhältlich unter: www.bcom.ac.uk/downloads/A4_

ICAOR_9_Brochure_FFF_PDF.pdf (letztmals aufgeru- fen: 12.9.2013).

9 Wiesener S, Falkenberg T, Hegyi G, Hök J, Roberti di Sarsina P, Fønnebø V. Legal status and regulation of complementary and alternative medicine in Europe.

Forsch Komplementmed. 2012;19 (Suppl 2):29–36.

10 Bundesamt für Gesundheit BAG. Schlussbericht PEK.

2005. Erhältlich unter: www.bag.admin.ch/themen/

krankenversicherung/00263/00264/04102/index.

html?lang=de (letztmals aufgerufen: 12.9.2013).

11 Studer HP, Busato A. Ist ärztliche Komplementärmedi- zin wirtschaftlich? Schweiz Ärztezeitung.

2010;91(18):707–11.

12 Studer HP, Busato A. Comparison of swiss basic health insurance costs of complementary and conventional medicine. Forschende Komplementärmedizin (2006).

2011;18(6):315–20.

13 Kooreman P, Baars EW. Patients whose GP knows complementary medicine tend to have lower costs and live longer. Eur J Health Econ. 2012;13(6):769–76.

14 Herman PM, Poindexter BL, Witt CM, et al. Are complementary therapies and integrative care cost-effective? A systematic review of economic evaluations. BMJ Open. 2012;2:e001046. doi:10.1136/

bmjopen-2012-001046

15 Eidgenössisches Departement des Innern. Bundesamt für Statistik. Medienmitteilung vom 23.4.2013.

Erhältlich unter: www.bfs.admin.ch/bfs/portal/de/

index/themen/14/01/new/nip_detail.

html?gnpID=2013-209 (letztmals aufgerufen:

12.9.2013).

16 ECHAMP Homeopathy and anthroposophic medicine in the EU: Facts and Figures 2011 (Third edition), Erhältlich unter: www.echamp.eu/publications/

brochures.html (letztmals aufgerufen: 12.9.2013).

17 Brinkhaus B. Roadmap for European CAM research.

Erhältlich unter: www.cambrella.eu/home.

php?il=204&I=deu (letztmals aufgerufen: 12.9.2013)

«Es wäre wünschenswert, die staatliche Forschungs-

Unterstützung zu erhöhen.»

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Pour une Suisse sans rougeole

Interview avec la Dr Nicole Pellaud, médecin en pédiatrie, FMH, et présidente de la Société suisse de pédiatrie. Dr Pellaud est membre du Comité national pour une Suisse sans rougeole, qui a été convoqué en 2013 dans le cadre de la stratégie natio- nale d’élimination de la rougeole. Le comité sert de plateforme de soutien pour la mise en œuvre de la stratégie, s’occupe de tâches de relations publiques et certifie l’élimination de la rougeole de la Suisse selon les critères de l’OMS.

Madame Pellaud, vous vous engagez pour le comité pour une Suisse sans rougeole. Quelles en sont les motivations?

Nous avons suffisamment de données probantes nous indiquant que la rougeole est dangereuse et qu’il est pos- sible d’en protéger la population par la vaccination. En tant que médecins, nous avons le devoir de nous enga- ger autant pour la santé individuelle que publique.

Comment voyez-vous votre contribution personnelle pour ce comité ?

En soutenant dans mon milieu professionnel et auprès du grand public la promotion des mesures pertinentes définies par nos experts, telles que la vaccination, l’iden- tification rapide des cas et les mesures en cas de flambées, et en transmettant au comité des pistes d’action issues de mon expérience professionnelle.

Comment la Suisse peut-elle parvenir à l’élimination de la rougeole d’ici à 2015 ?

Toutes les parties doivent se sentir concernées et s’y engager – tous les cantons, tous les professionnels de la santé, et surtout la population. Il y a là différents enjeux pour chacune des parties: responsabilité, communica- tion, confiance.

Vous êtes pédiatre de profession. Comment les pédiatres devraient-ils contribuer à l’élimination de la rougeole?

Les pédiatres le font déjà activement et la plupart d’entre eux appliquent le plan suisse de vaccination avec deux doses de ROR à 12 et 15 mois, en informant les parents, en leur recommandant les vaccinations et en les réali- sant.

Comment procédez-vous dans une consultation, lorsque les parents ne sont pas sûrs de vouloir faire vacciner leur enfant?

Cela se joue surtout dans la relation de confiance; si les parents se sentent respectés dans leurs interroga- tions, nous avons l’opportunité d’offrir une information leur donnant l’occasion de réfléchir et de les orienter au mieux dans leur choix.

Les chiffres de la couverture vaccinale suisses démontrent que la deuxième dose de vaccin est encore souvent oubliée. Com- ment garantissez-vous que tou(te)s vos patient(e)s obtiennent les deux doses de vaccination?

En proposant un rendez-vous vaccinal pour la 2e dose à l’issue de la 1ère, en rappelant aux parents de reprendre rendez-vous si nécessaire, et en ayant en tête la vérifica- tion du statut vaccinal lors des consultations.

Il y a déjà eu deux flambées de rougeole relativement impor- tantes cette année. Quelles mesures préventives prendriez- vous dans votre cabinet, si vous diagnostiquiez la rougeole lors de vos heures de consultation?

Isolement immédiat de l’enfant atteint, identification des contacts au cabinet et en famille avec rattrapage vac- cinal si nécessaire; identification des enfants de moins de six mois parmi les contacts pour immunoglobulines si indiqué; liste des lieux fréquentés avec contacts proches; déclaration au médecin cantonal, annonce du cas au médecin scolaire le cas échéant.

Les milieux contre les vaccins critiquent le fait que l’industrie pharmaceutique soit derrière l’élimination de la rougeole.

Quel est votre avis là-dessus?

La rougeole décime des populations d’enfants dans les pays en voie de développement, pour lesquels l’élimina- tion de la rougeole est une priorité de longue date. La vaccination est nécessaire pour protéger ces enfants comme les nôtres et n’est nullement une manigance imaginée par l’industrie, dans le but de faire des affaires.

Pour ce qui concerne la Suisse, la Société Suisse de Pédia- trie défend les intérêts touchant à la santé des enfants et des adolescents et suit les directives de l’Académie suisse des sciences médicales intégrées dans le code de déonto- logie FMH, notamment celles liées à la collaboration avec l'industrie pharmaceutique. Nos membres s’ins- crivent dans cette démarche. Parmi eux, nous comptons des pédiatres experts en infectiologie qui participent à l’élaboration de recommandations basées sur l’évidence, tel que c’est le cas pour la rougeole. Nous plaçons notre confiance dans leur respect des directives précitées, et de surcroît, étant dans un petit pays où tout le monde se connaît, nous savons qu’ils la méritent.

Comment réagissez-vous face aux parents, qui déclarent vouloir renoncer au vaccin, laisser leurs enfants attraper la rougeole, pour être par la suite protégés plus longtemps?

Ici aussi, il s’agit d’une question liée à la relation de confiance. Mais s’ils ont des convictions, il est impor- tant de comprendre les soucis légitimes de parents qui veulent le bien de leur enfant, de fournir des informa- tions précises et répondant à leurs préoccupations, de leur transmettre ce que nous savons sans être des ayatol- lahs...

Sabine Walser

Co-cheffe de la section Epidémiologie,

Office fédéral de la santé publique, responsable de la surveillance de la rougeole, des oreillons et de la rubéole

Correspondance:

Dr sc. nat. Sabine Walser Office fédéral de la santé publique Schwarztorstrasse 96

CH-3003 Berne Tél. 031 325 05 34 Fax 031 323 87 95

sabine.walser[at]bag.admin.ch

O F S P

AU T R E S G R O U P E M E N T S E T I N S T I T U T I O N S

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Briefe an die SÄZ

Réplique Cher Collègue,

Il est indéniable que la qualité de l’enseignement des anciens maîtres était excellente. Ils méritent pour cela toute notre estime et notre respect.

Conformément à l’état d’esprit d’alors, cette transmission du savoir a souvent eu lieu dans un contexte d’autoritarisme ne cadrant plus avec l’époque actuelle. N’avez-vous pas, dans votre vie d’assistant, été marqué par des attitudes que vous ne voudriez pas reproduire le jour où vous serez chef de service? La compétence, la persua- sion et la motivation resteront toujours les clés d’une éducation réussie de la relève médicale.

Avec mes confraternelles salutations

Dr Pierre-François Cuénoud, vice-président de la FMH, responsable du domaine Tarifs et économie de la santé pour les médecins hospitaliers

Einseitige Reglementation Zum Leserbrief von Holger Gelpke [1]

Lieber Kollege Gelpke

Herzlichen Dank für Ihre Anteilnahme und ihren «saftigen» Leserbrief in der SÄZ! Bitte haben Sie mit uns kein Mitleid. Wir haben den Versuch aus freien Stücken und im Wissen um seine Illegalität durchgeführt und uns mit dem Artikel im Medizin Forum auch selber ange- zeigt, um die Absurditäten im Bereich der nicht- kommerziellen Medikamentenforschung der Ärzteschaft, der Politik und der Öffentlichkeit ad oculos zu führen.

Swissmedic hat den Fehdehandschuh aufge- nommen und mich für eine dreistündige Ein- vernahme nach Bern zitiert. Nun warten wir gespannt auf die Höhe der Busse. Diese dürfte für mich CHF 3000.– und für meine dreizehn Kol legen CHF 1000.– umfassen, sowie anteils- mässig die Verfahrenskosten.

Allerdings brauchen Sie nicht zu befürchten, dass wir diese Bussen selber bezahlen werden;

ich habe schon von verschiedenen Institutionen und KollegInnen «Spendenzusagen» erhalten.

Bitte kämpfen Sie aber nicht gegen Swissmedic.

Die Leute dort sind «Erbsenzähler» und führen aus, was von Ihnen erwartet wird. Die wahren

«Täter» sind die Ethiker und Juristen in BAG und Politik, welche die gegenwärtig gültige Re- glementation «verbrochen» haben. Diese ist Pauschale Verunglimpfung früherer

Chefärzte unserer Spitäler Zum Editorial des Vizepräsidenten der FMH [1]

Ohne Zweifel gab es stets Studierende und As- sistenten, die unter Forderungen und Gangart ihrer Chefs litten. Frühere Chefärzte aber pau- schal als machtgierige Unmenschen zu apostro- phieren, greift zu kurz. Abgesehen davon, dass sich viele Angesprochene nicht wehren kön- nen, da sie verstorben sind («de mortuis nil nisi bene») stimmt die Behauptung von Kollegen Cuénoud einfach nicht. Natürlich forderten viele Chefs sehr viel, man konnte aber auch sehr viel lernen. Von den acht Jahren Weiter- bildung bei Chefs, die forderten, aber Vorbilder, ausgezeichnete Lehrer und – last but not least – sehr gute Ärzte waren, möchte ich keine Woche missen. Ein einziges Mal hatte ich den Ein- druck, ich sei ein «wehrloser Frondienstleisten- der» – im Nachhinein eine eher komische Situa- tion. Eine «Zeit der Willkür und der grosszügigen Strafen bis hin zu körperlichen Züchtigung»

habe ich auch auf der Chirurgie nie nur im Ansatz erlebt. Wenn mir gegen Ende der über 10-stündigen Arbeit im Ops der Chef wohl- dosiert mit der Pinzette auf die Finger klopft und sagt «Horn sei zwar hier, aber nicht da», hatte er doch völlig recht. Assistenten im Halb- schlaf sind nicht nur nutzlos, sondern gefähr- lich.

Prof. em. Dr. med. Benedikt Horn, Interlaken 1 Cuénoud PF. Ist eine Spitalkarriere für Ärztinnen und Ärzte noch attraktiv? Schweiz Ärztezeitung.

2013;94(37):1379.

einseitig auf die Bedürfnisse von Big Pharma ausgerichtet. Unsere hausärztliche nicht-kom- merzielle Forschung ist dort einfach «per äxgüsi»

vergessen gegangen.

Und unsere Bestrebungen mit der ganzen Ge- schichte hatten das Ziel, die ab 1. 1. 14 gültige Reglementation zu beeinflussen, was mir teil- weise gelungen ist.

In diesem Sinne grüsse ich Sie recht freundlich und danke nochmals für Ihr Votum in der SÄZ!

Dr. med. Markus Gnädinger, Steinach 1 Gelpke H. Offener Brief an Swissmedic. Schweiz

Ärztezeitung. 2013;94(37):1390.

Zulassungskriterien für den Eintritt ins Medizinstudium

Zum Artikel «Arzt-Patienten-Beziehung – Defizite in der Weiterbildung zum Psychiater» [1]

Sehr geehrter Herr Kollege Bielinski,

Danke für Ihren ausgezeichneten Artikel, der mir voll und ganz aus dem Herzen spricht! Lei- der findet sich das von Ihnen angesprochene Defizit an Fähigkeit zur mitmenschlichen Kom- munikation und Empathie auch bei nicht weni- gen somatischen ärztlichen Kollegen und ist überhaupt nicht auf (einen Teil der) Psychiater beschränkt. Bei Letzteren aber doppelt verhee- rend! Ich staune immer wieder über gewisse Patientenrückmeldungen zu ihren behandeln- den Psychiatern, ganz im Sinne wie von Ihnen beschrieben. Die Menschen fühlen sich oft nicht «abgeholt», nicht verstanden, oder im Laufe der Behandlung nicht wirklich dort ge- stärkt oder gefördert, wo Sie es bräuchten. Wie ist das nur möglich, bei Psychiatern, die – so meinte man – darin besonders gut und begabt sein müssten? Daraus folgt dann oftmals eine ab da negative Einstellung der Patienten den Psychiatern gegenüber, und zwar nicht wegen Vorurteilen (dies gibt natürlich nach wie vor auch), sondern wirklich aus eigener Erfahrung.

Das ist doch eher bedenklich, so verfehlt eine psychiatrische Behandlung ab und zu die Rich- tung um satte 180 Grad. Hier müssten ganz klar und deutlich andere Zulassungskriterien für den Eintritt ins Medizinstudium gefordert werden, da gebe ich Ihnen vollkommen recht. Für Soma- tiker und Psychiater gilt dies im selben Mass.

r e d a c t i o n . b m s @ e m h . c h

CO U R R I E R

Courrier au BMS

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r e d a c t i o n . b m s @ e m h . c h

CO U R R I E R

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Editores Medicorum Helveticorum

All die vielen menschlich-kommunikativ kom- petenten PsychiaterInnen mögen mir (und Ih- nen) diese etwas pauschale Kritik verzeihen!

Mit freundlichen kollegialen Grüssen, Dr. med. Alexander Erlach, Winterthur 1 Bielinski D. Arzt-Patienten-Beziehung –

Defizite in der Weiterbildung zum Psychiater.

Schweiz Ärztezeitung. 2013;94(39):1485–6.

Elektronische Zigaretten nur noch vom Staat mit definierter Qualität?

Elektronische Zigaretten (eCig) werden zur In- halation von verdampften nikotinhaltigen oder nikotinfreien Flüssigkeiten (Liquiden) verwendet, meist als Alternative oder Ergän- zung zum Rauchen von konventionellen Ziga- retten. Weltweit ist eine exponentielle Zu- nahme der Verkäufe feststellbar. Sie sind in der Schweiz zurzeit lediglich mit nikotinfreien Liquiden zum Verkauf zugelassen. Der Import von eCig und deren nikotinhaltigen Liquiden aus dem Ausland ist aber für den Eigenge- brauch in beschränktem Masse erlaubt. Diese Käufe erfolgen praktisch ausschliesslich über

das Internet (Versandhandel). Manche An- wender nutzen eCig als Rauchstopphilfe, ob- wohl sie zu diesem Zweck nicht zugelassen sind. Über die Kurzzeitanwendung ist einiges bekannt, wobei auch schädigende Wirkungen nachweisbar sind: Die Liquide enthalten zahl- reiche (z. T. toxische) Substanzen, und ein relativ grosser Anteil besteht aus Propylengly- kol. Nach mehrjähriger Duldung des wach- senden Marktes hat das Phänomen eCig unge- ahnte Ausmasse erreicht, sodass zunehmend Forderungen für eine Liberalisierung des Marktes hörbar werden, z. T. auch um die Op- tion «Rauchstopp» mit Hilfe der nikotinhalti- gen eCig zu ermöglichen und evaluieren zu können. Denkbar ist allerdings, dass die eCig als vermeintlich «weniger schädliche Form des Rauchens» den Einstieg zum Rauchen von Tabakwaren erleichtert. Auch ist die Frage nach der Zulässigkeit von eCig in Rauchver- botszonen ein, zumindest aus gesundheitli- cher Sicht, ungelöstes Problem, da auch bei eCig ein Passivkonsum stattfindet und deren Auswirkungen genügend untersucht sind.

Erste Studien zu eCig als Rauchstopphilfe wei- sen auf einen möglichen Nutzen hin. Es ist trotzdem verfrüht, eCig für eine medizinische Anwendung zuzulassen, da die Produkte- sicherheit und Langzeiteffekte ungenügend untersucht sind. Ist es verantwortbar, dass die Schweiz weiterhin eine liberale Haltung ver-

Sujets actuels de forum

Joignez la discussion en ligne sur www.saez.ch

Prof. Dr Sabina De Geest, directrice de l’Institut des Sciences infirmières de l’Université de Bâle

La Suisse a besoin d’infirmières de pratique avancée!

Pourquoi l’intégration des professionnels non médicaux de la santé dans les soins primaires a du sens.

Dr méd. Hans Kurt, Président de l’Alliance Santé Psychique Suisse (ASPS)

Révision de la LAI: une tâche titanesque

Des doutes sur le succès du projet d’intégration de rentiers AI dans le monde du travail.

Dr Felix Huber, médecin spécialiste FMH en médecine générale, mediX Gruppenpraxis Zurich et directeur de mediX

La caisse-maladie unique nuit au système de soins intégrés

Les programmes de traitement imposés par l’Etat n’ont aucune chance de fonctionner auprès de nous médecins.

Lettres de lecteurs

Envoyez vos lettres de lecteur de manière simple et rapide. Sur notre site internet, vous trouverez un outil spécifique pour le faire.

Votre lettre de lecteur pourra ainsi être traitée et publiée rapidement.Vous trouverez toutes les informations sous: www.bullmed.ch/

auteurs/envoi-lettres-lecteurs/

tritt? Es ist beunruhigend, dass nun Tabakkon- zerne den eCig-Markt aufkaufen. Die Untersu- chung der gesundheitlichen Auswirkungen von eCig ist auch deshalb erschwert, weil eCig und Liquide fast ausschliesslich in China in ganz unterschiedlicher Qualität produziert werden, keine ausreichenden Qualitätsstan- dards definiert sind und die Bestandteile der Liquide oft nicht mit dem deklarierten Inhalt übereinstimmen. Technische Mängel können u.a. Dosierungsprobleme oder sogar Explosio- nen verursachen. Falls die Verbreitung der eCig nicht mehr aufhaltbar ist, stellt sich die Frage, ob für die Schweiz eine staatlich über- prüfte Produktion und der Vertrieb einer eCig und der Liquide (nikotinfrei und nikotinhal- tig) sinnvoll wären. Dies müsste mit einem Import- und Werbeverbot für eCig und Li- quide kombiniert werden. Damit wären auf- grund der definierten Qualität des Produkts zumindest Materialmängel unwahrscheinlich und die Voraussetzungen für eine wissen- schaftliche Erforschung des Produktes opti- miert. In diesem Szenario würden auch keine anderen Anbieter von eCig auf dem Markt zu- gelassen sein. Wie genau der Vertrieb und Ver- kauf dieses Produktes organisiert würde, müsste noch genauer definiert werden: Ver- kauf in Drogerien oder doch ausschliesslich Apotheken, obwohl es nicht als Arzneimittel klassiert wäre? Eine Regulierung des Marktes (wie hier vorgeschlagen oder sogar ein Verbot von eCig) würde von der Tabakindustrie be- kämpft werden. Aber vielleicht zeigt die Schweiz in diesem Fall mehr Mut als die EU, wo sich Hinweise mehren, dass eCig in Zukunft möglicherweise auch für medizinische Anwen- dungen zugelassen werden … dies trotz unge- nügender wissenschaftlicher Datenlage bezüg- lich der gesundheitlichen Auswirkungen von eCig. Safer eCig?

Dr. med. Macé Schuurmans, Winterthur

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Editores Medicorum Helveticorum Schweizerische Ärztezeitung | Bulletin des médecins suisses | Bollettino dei medici svizzeri | 2013;94: 41

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wöhnliche Todesfälle begründen eine Aus- nahme vom Berufsgeheimnis. Juristisch um- stritten ist aber die Frage, ob die Kantone wei- tergehende Meldepflichten vorsehen können.

Im Kanton Basel-Stadt – wo sich die fragliche Praxis befindet – ist vorgesehen, dass Aus- künfte an die Strafuntersuchungs- und Straf- verfolgungsbehörde auf Antrag erteilt werden, wenn beispielsweise der Verdacht auf eine schwere Körperverletzung besteht. Das Bun- desgericht hat nicht geprüft, ob diese kanto- nale Regelung zulässig ist, sondern festgestellt, dass es vorliegend gar nicht um die Meldung ei- ner möglichen Straftat gehe, weil diese bereits vor der Sicherstellung der Krankenakte be- kannt war. Eine pauschale ärztliche Auskunfts- und Editionspflicht, welche die Herausgabe sämtlicher Krankenakten vorsehe, sei aber in keinem Fall mit den bundesrechtlichen Be- stimmungen zum Schutz des Berufsgeheimnis- ses vereinbar und würde das Arztgeheimnis vollständig aushöhlen. Auch das Bundesge- richt hat deshalb das Entsiegelungsgesuch des Staatsanwalts abgewiesen.

Dieser Entscheid ist sehr zu begrüssen, weil er das Vertrauensverhältnis zwischen Arzt und Patient schützt.

Fondation Pancréas Suisse Bourse de Voyage

La Fondation Pancréas Suisse offre la possibilité à un/e jeune médecin, clinique ou scientifique, de moins de 40 ans, de faire un stage à l’étranger d’une durée de six semaines maxi- mum dans une institution renommée qui est active dans les pathologies pancréatiques.

Documents nécessaires pour une candidature:

– Curriculum Vitae – liste des publications

– thèmes centrales des travaux scientifiques jusqu’à présent

– informations concernant l’institution dans laquelle le candidat envisage de se rendre Examen de spécialiste

Examen de spécialiste en vue de l’obten- tion du titre de spécialiste en pédiatrie Examen écrit:

jeudi, le 5 juin 2014, 9.00–12.00h Université de Fribourg, Bd de Pérolles 90, Auditoire C120

Examen pratique:

septembre à décembre 2014

Lieux et dates seront communiqués jusqu’à fin août 2014

Délai d’inscription: pour les deux examens:

le 30 avril 2014

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch → formation postgraduée médecins-assistants → Examens de spécialiste

Rechtsdienst FMH – Aktuell Sicherstellung von Krankenakten

anlässlich einer Hausdurchsuchung durch den Staatsanwalt versus Berufsgeheimnis, Urteil des Bundesgerichts (1B_96/2013) vom 20. August 2013

Die Mutter einer sieben Wochen alten Tochter hat diese geschüttelt und schwer verletzt. Weil die Mutter vor und nach der Tat psychiatrisch behandelt wurde, liess der Staatsanwalt die Pra- xis des Psychiaters durchsuchen. Dabei wurde die Krankengeschichte der Patientin sicherge- stellt. Der Arzt verlangte die Siegelung der Krankengeschichte, woraufhin der Staatsan- walt ein Entsiegelungsgesuch stellte, das vom Zwangsmassnahmegericht, gestützt auf das ärztliche Berufsgeheimnis, abgewiesen wurde.

Ausnahmen vom Berufsgeheimnis können nur gemacht werden, wenn die Patientin einwilligt oder die zuständige Aufsichtsbehörde davon entbindet. Auch bundesrechtlich vorgesehene Meldepflichten wie etwa betreffend ausserge-

– budget approximatif

– lettre de recommandation du directeur de la clinique ou du directeur de l’institut du candidat

Les intéressé(e)s sont prié(e)s d’envoyer un pro- gramme détaillé, en 3 exemplaires, avant le 1er décembre 2013 à l’adresse Fondation Pancréas Suisse, Sulgenrain 12, 3007 Berne.

Société Suisse de Neurologie Prix de la Fondation

Wilhelm et Mogens Ellermann

En octobre 2014, la Société Suisse de Neurologie attribuera pour la treizième fois le prix de la Fon- dation Wilhelm et Mogens Ellermann, d’un montant de 20 000 francs qui est destiné à ré- compenser

– un travail scientifique dans le domaine neu- rologique, qui a été publié lors des deux der- nières années ou qui a été accepté pour pu- blication par une revue reconnue sur le plan international,

– une monographie qui n’a pas les caractéris- tiques d’un traité ni celles d’une revue de la littérature, ou encore,

– l’ensemble d’une œuvre scientifique dans le domaine des sciences neurologiques.

Ce travail doit avoir été rédigé par un ou plu- sieurs chercheurs suisses ou par des chercheurs étrangers en activité dans une clinique ou un institut helvétique. La préférence sera donnée à des auteurs jeunes qui ne sont pas agrégés ou ne le sont que depuis peu.

Les lettres de candidature accompagnées d’un CV et d’une liste des publications (seulement travaux qui sont peer-reviewed) en cinq exem- plaires, y compris les articles, doivent être adressées jusqu’au 31 décembre 2013 au Prof. Dr C. L. Bassetti, Chef de service, Clinique et Poli- clinique neurologique, Hôpital Univer sitaire de Berne, Hôpital de l’Ile, 3010 Berne.

CO M M U N I C AT I O N S

Communications

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Krankenkassen-Rahmenverträge für Ärzte

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