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Les monnaies égyptiennes en or de Nectanébo II

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Les monnaies égyptiennes en or de Nectanébo II

Thomas Faucher

To cite this version:

Thomas Faucher. Les monnaies égyptiennes en or de Nectanébo II. Bulletin de la Société Française

de Numismatique, Société française de numismatique, 2015, pp.278-283. �hal-02510943�

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BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ

BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ

FRANÇAISE DE NUMISMATIQUE

FRANÇAISE DE NUMISMATIQUE

publication de la société Française de numismatique

70

e

année — n° 10

décembre 2015

sommaire

études et travaux

FaUcher (Thomas) — Les monnaies égyptiennes en or de nectanébo ii . . . .278 aManDrY (Michel) et ViLLeMUr (patrick) — Deux monnaies provinciales

romaines de Tarse et d’anazarbe (cilicie) dans le médaillier de la Biblio-thèque municipale de Versailles . . . .283 charLeT (christian) — Le jeton d’argent de Tournai au millésime 1668 . . . .288 JaMBU (Jérôme) — Les monnaies créées par Daech, soi-disant état islamique . .291

société

compte rendu de la séance du 5 décembre 2015 . . . .298

samedi 9 janvier 2016

Journée Jean-pierre callu

9h30 : BnF salle

des commissions

samedi 6 février 2016

14 h

BnF salle des commissions

samedi 5 mars 2016

14 h aG

BnF salle des commissions

samedi 4 avril 2016

14 h

BnF salle des commissions

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études et travaux

1. thomas.faucher@cnrs-orleans.fr ; iraMaT-ceB, cnrs/Univ. orléans. 2. chassinaT1901 ; BoLshakoV1992.

3. FaUcheret al. 2012.

4. Jenkins1955 ; Jenkins1955/6.

FaUcher (Thomas) (1) — les monnaies égyptiennes en or de nectanébo ii. il y a plus d’un siècle déjà, l’apparition d’une monnaie unique avait excité le monde feutré de l’égyptologie, chose rare, les égyptologues étant peu portés sur la chose numismatique. La raison est que cette monnaie porte des types bien particuliers. sur une face apparaît un cheval et sur l’autre un collier, d’où pendent des perles, transpercé par une trachée qui se termine par un cœur. cette monnaie fut découverte à Memphis au cours de l’été 1896 (2). Le scepticisme prévalut d’abord chez les numismates alors que les égyptologues y voyaient un objet authentique, symbole parfait entre les croyances égyptiennes et l’arrivée en égypte d’un nouvel outil d’échange, la mon-naie.

Je ne reviendrai pas ici sur l’histoire de ces monnaies que j’ai évoquée plus lon-guement ailleurs, avec la complicité de W. Fischer-Bossert et s. Dhennin (3). cette notice survient suite à ce que les publications suscitent parfois : la curiosité des collection-neurs. La publication de l’article susmentionné dans le Bulletin de l’Institut Français d’Archéologie Orientale en 2012 nous avait permis de faire le corpus de ces monnaies en or aux types hiéroglyphiques provenant des collections publiques et privées. Les cor-pus, aussi complets que nous aimerions qu’ils soient, ne recouvrent souvent qu’une par-tie des monnaies retrouvées, qui elles-mêmes ne composent qu’une parpar-tie encore plus infime des monnaies produites. pour cette série, le cas est tout de même favorable. nous savons qu’entre la mise au jour de la première monnaie et les trois autres découvertes fortuites, exactement cent monnaies sont sorties de terre (4). notre catalogue comprenait 44 monnaies, plus 5 monnaies supplémentaires dont nous avions simplement une liste et le poids sans que nous n’ayons pu les repérer dans une vente ou dans une col-lection. il s’agit d’un cas tout à fait favorable où le corpus représente près de la moi-tié de toutes les monnaies connues.

La publication a permis de mettre à nouveau en lumière cette émission si particu-lière et, par voie de conséquence, a amené à faire ressurgir un exemplaire inédit (Figure 1). Je dois à l’amabilité de M. alain Weil de bien avoir voulu avoir porter à ma connaissance l’existence de cette monnaie inédite qui fait partie de sa collection per-sonnelle. en voici la description :

Droit (D1) : cheval au cabré fléchi. revers (r1) : hiéroglyphes nwb nfr. 8,32 g, 16,5 mm, 12 h.

nous évoquions dans l’article du BIFAO l’histoire de la découverte de ces monnaies ainsi que le parcours particulier qu’avaient connu les trois exemplaires maintenant conser-vés au musée égyptien du caire. s. Dhennin apportait également des précisions sur les hiéroglyphes nwb nfr sur lesquels je ne reviendrai pas ici. cet article est l’occasion de

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5. Le centre ernest Babelon est une des trois composantes de l’iraMaT (institut de recherche sur les archéomatériaux), UMr 5060, cnrs/Univ. orléans.

6. GonDonneaU2001.

présenter plus en détail un aspect méconnu de ces monnaies, et pourtant un point cen-tral dans leur compréhension : leur composition métallique. en effet, les hiéroglyphes nwb nfr signifient « or bon » ou « or parfait ». Tout le paradoxe de ces monnaies réside dans le fait qu’il s’agisse d’un outil de paiement typiquement grec, à tout le moins étran-ger à l’égypte, qui a certainement servi à payer des mercenaires grecs alors que le mes-sage inscrit sur la monnaie, en hiéroglyphe, s’adresse à une population égyptienne. ces hiéroglyphes s’adressent même à une population extrêmement réduite de l’égypte, ceux qui comprenaient les hiéroglyphes, donc principalement des prêtres ou des scribes. pourquoi donc signifier nwb nfr sur ces monnaies ? a quoi cet or répond-il ? Depuis plus de trente ans, les chercheurs de l’iraMaT-ceB (5), plus connu sous le nom de centre ernest Babelon, mènent des études sur la composition élémentaire des monnaies anciennes et modernes. Deux objectifs coexistent. Le premier est l’étude des éléments majeurs des alliages monétaires qui caractérisent les politiques monétaires. Le second est l’examen des éléments traces, traceurs de la provenance des stocks métalliques.

L’apparition de cette monnaie inédite fut donc l’occasion de mener une nouvelle étude de composition, à la fois pour confirmer les rares analyses menées sur les pièces de cette série, et pour préciser les teneurs en éléments traces en les comparant aux don-nées recueillies suite aux différentes études medon-nées par le laboratoire sur les monnayages en or de la Méditerranée orientale. nous devons à a. Bolshakov la première analyse d’une monnaie de cette série. elle a été menée par spectrographie (il s’agit vraisem-blablement de fluorescence X mais l’auteur ne le précise pas dans son article) sur une monnaie provenant du musée de l’ermitage à saint-pétersbourg. Les résultats de l’ana-lyse n’étaient pas d’une grande aide, comme le concédait lui-même l’auteur, princi-palement en regard de l’impossibilité de comparer ce résultat à d’autres analyses. Bolshakov, qui appelait de ses vœux une étude complète sur ce monnayage, a tout de même permis d’obtenir un point d’ancrage sur la composition en éléments majeurs de ces monnaies : 93,5 % d’or et 6,3 % d’argent, une teneur loin de ce que l’on pourrait attendre d’un « or parfait ». près de dix ans plus tard, une autre analyse fut menée par a. Gondonneau, dans le cadre de sa thèse de doctorat sur le développement des tech-niques icp-Ms (spectrométrie de masse à ablation laser) (6). il s’agissait dans ce cadre

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7. Bibliothèque nationale de France, département Monnaies, médailles et antiques, Y 12809. 8. Voir notamment Morrissonet al. 1999.

9. GraTUZeet al. 2004.

10. L’occasion m’est offerte ici de remercier également s. nieto-pelletier et M. Blet-Lemarquand pour leur aide dans la réalisation des analyses ainsi que dans l’interprétation des résultats. 11. BLeT-LeMarqUanDet al. 2014.

d’analyser l’unique exemplaire conservé au cabinet des Médailles de la BnF (7) à la fois par La-icp-Ms mais également par activation protonique, technique développée par J.-n. Barrandon à l’iraMaT-ceB (8). Les résultats de ces analyses sont beaucoup plus précieux. D’une part, la calibration des machines permet une comparabilité avec les autres résultats obtenus au laboratoire. et, d’autre part, la méthode d’analyse offre des limites de détection des éléments beaucoup plus basses, ce qui permet de déce-ler les éléments-traces présents dans l’alliage monétaire. Les résultats ci-dessous four-nissent tout d’abord la confirmation de la teneur en éléments majeurs. L’exemplaire de paris ressemble en tous points à celui de l’ermitage, les teneurs en or étant de 92,8% et en argent de 6,9 %. il s’agit donc d’un or allié à une quantité faible d’argent (1 part d’argent pour 14 d’or), les traces de cuivre et de fer étant extrêmement faibles.

L’apparition du nouvel exemplaire offrait la possibilité de mener une nouvelle ana-lyse élémentaire sur une monnaie de cette série. c’est donc ce qui a été fait. Je dois remercier ici encore a. Weil pour son accord de soumettre sa précieuse monnaie pour analyse. La méthode la plus communément utilisée de nos jours par l’iraMaT-ceB est la spectrométrie à ablation laser (La-icp-Ms) (9). cette méthode permet, suite à une micro-ablation laser (un prélèvement de 80 microns de diamètre et quelques cen-taines de microns de profondeur, invisible à l’œil nu, est effectué sur la monnaie) (10). Les analyses par La-icp-Ms permettent d’effectuer un profil, c’est-à-dire, de suivre la progression de la teneur en éléments au fur et à mesure de la progression du laser à l’intérieur de la pièce. cela permet notamment de contrôler l’enrichissement de sur-face, phénomène habituel sur les monnaies anciennes. il est aussi possible de déce-ler d’une part des inclusions éventuelles, riches en certains éléments, et d’autre part de voir la relation entre les différents éléments. on a pu observer notamment sur l’ana-lyse de cette monnaie que les éléments caractéristiques de certaines inclusions de platinoïdes, l’iridium et l’osmium par exemple, sont corrélés.

sans entrer plus avant dans les détails de ces analyses élémentaires, on observe à quel point celles-ci permettent une connaissance intime du métal et offrent, lorsque de grands échantillons sont disponibles, de travailler sur la provenance des stocks métalliques (11). Les résultats obtenus suite à l’analyse de l’exemplaire de M. Weil cor-roborent les autres résultats obtenus par les autres méthodes, en ce qui concerne les éléments majeurs.

Fe cu Zn ru pd ag sn sb os ir pt au pb Bi 0,02 1,17 0,00 0,00 0,00 6,47 0,01 0,00 0,00 0,00 0,02 92,29 0,01 0,00 (résultats en %)

Les teneurs en or, argent et en cuivre sont tout à fait similaires à celles de l’exem-plaire de l’ermitage et à celles de la monnaie du cabinet des médailles de la BnF. cela conforte l’idée que cette émission a été frappée dans un laps de temps réduit, dans un

(6)

12. kLeMM, kLeMM2013.

13. BrUnet al. 2013 ; reDon, FaUcher2015.

atelier unique. on s’interrogera plus loin sur « l’or parfait ». concernant les éléments traces, il est difficile de se prononcer. Tout d’abord puisque seulement deux monnaies ont été analysées par des méthodes permettant de les détecter. D’autre part les limites de détection des éléments traces par activation protonique sont plus élevées que celles obtenues par La-icp-Ms. il est donc difficile de se prononcer même si, de prime abord, les deux sources semblent différentes. en effet, les teneurs en palladium notam-ment sont très éloignées (env. 1 ppm et 200 ppm pour l’autre).

L’or parfait d’égypte n’est donc peut-être pas aussi parfait que ce que les autorités auraient voulu le laisser croire. Mais peut-être s’agit-il d’un or natif, directement extrait des mines d’or du sud de l’égypte ou du soudan. on sait que l’or natif est très régu-lièrement allié à de l’argent. Dans le cas des mines du sud égyptien, on sait également que le taux d’argent dans l’or était de plus en plus élevé à mesure que les sources étaient septentrionales (12). Les fouilles de l’équipe de B. redon, auxquelles je participe, menées dans le désert oriental depuis trois ans offrent un point de vue nouveau sur l’ex-ploitation de l’or à l’époque antique, principalement à la fin du iVesiècle avant notre

ère (13). Matz holding, la compagnie minière qui a la concession sur le site sur lequel nous travaillons, a eu la bienveillance de nous fournir des échantillons de minerai de quartz aurifère au début de cette année. après des opérations d’archéologie expérimentale menées dans le cadre du pcr « paléométallurgies et expérimentations » (dir. Fl. Téreygeol) sur lesquelles je ne m’arrêterai pas ici, il a été possible d’analyser, par microanalyse X, plusieurs paillettes issues de quartz aurifère. ces analyses par eDX cou-plé à un microscope électronique ne permettent pas de connaitre les teneurs en élé-ments traces. néanmoins, elles offrent les teneurs en éléélé-ments majeurs et permettent d’étudier les différentes inclusions présentes dans ces paillettes. Les résultats montrent une teneur en éléments majeurs (or et argent) assez semblable à celle des monnaies de nectanébo ii. Malgré tout, il n’est pas imaginable que cet or ait été utilisé tel quel pour la frappe des monnaies. Deux raisons amènent à le penser. La première fait suite à l’examen de la teneur en cuivre. Diverses études ont montré qu’une teneur en cuivre au-delà d’un pour cent permettait d’affirmer qu’il s’agissait d’un ajout volontaire. La seconde, la plus décisive, est l’absence totale de plomb dans les monnaies. or, dans les paillettes que nous avons pu observer, les teneurs en plomb s’élèvent à près de deux pour cent. il ne s’agissait pas ici d’affirmer que tous les gisements d’or du désert orien-tal comprenaient du plomb, mais la très faible teneur en plomb des monnaies laissent peu de doute sur la mise en place, avant la frappe, d’une opération métallurgique (opération nécessaire pour la fonte des flans). en effet, le plomb disparaît lors de la fonte du métal, dans certaines conditions oxydantes. s’agit-il d’une simple fonte, à la suite du lavage du minerai ? ou bien une cémentation ? Dans ce cas, nous attendrions une teneur en or plus élevée. quoiqu’il en soit, il semble certain que la composition de l’al-liage a été maitrisé (les teneurs régulières en or et argent de nos trois monnaies tendent à le prouver), ce qui n’aurait pas été le cas si du métal brut avait été employé.

Les éléments traces indiquent également que, si ce métal provient effectivement du désert oriental – ce qui est tout à fait envisageable –, il aura connu une ou des opéra-tions métallurgiques. il est difficile de croire que les autorités de l’époque n’avaient pas les moyens d’obtenir un titre en or plus élevé. Les fouilles de sardes, en asie Mineure,

(7)

14. raMaGe, craDDock2000. 15. oGDen2000.

ont mis en évidence un traitement du métal, la cémentation, qui permettait d’obtenir un or pur, ce que montrent les monnaies en or frappées dans la région (14). on sait par ailleurs que les monnaies en or qui ont été frappés plus tard en égypte, les mon-naies des ptolémées, ont été composées d’un or très pur, souvent au-delà des 99 %. il semble donc que cet or nwb nfr, « or bon » ou « or parfait », correspondait à un type d’or en usage en égypte, et dont les caractéristiques élémentaires s’approchaient des teneurs que nous avons pu constater pour ces monnaies en or. il est peu probable que les autorités aient voulu flouer les mercenaires qu’ils rétribuaient. ces teneurs d’envi-ron 93 % d’or sont communes à d’autres objets, comme des bijoux, qui ont été sou-mis à analyses et semblent bien correspondre à une norme (15). pour les égyptiens de l’antiquité, comme ils ne faisaient décidément rien comme les autres, l’or parfait n’était donc pas de l’or pur.

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