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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Sciences et culture scientifique au Cameroun : contraintes et défis

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Academic year: 2021

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SCIENCES ET CULTURE SCIENTIFIQUE AU CAMEROUN :

CONTRAINTES ET DÉFIS

Joseph FUMTIM

Collectif InterAfricain des Habitants de Yaoundé-Cameroun (CIAH)

MOTS CLÉS : CULTURE SCIENTIFIQUE – DÉVELOPPEMENT – SANTÉ – NÉOLIBÉRALISME – ÉDUCATION SCIENTIFIQUE

RÉSUMÉ : L’appropriation sociale des sciences, dans ses usages, ses cultures et ses applications, rencontre un certain nombre d’obstacles à la fois structurels et conjoncturels. Cependant, il serait abusif de nier sa réalité et sa place de plus en plus centrale dans nos processus de prise de décision. Convaincus de l’importance de la culture scientifique, les espaces de socialisation et de construction d’opinion, notamment le système scolaire et universitaire, les médias ainsi que les espaces associatifs, constituent des acteurs centraux. Ils savent que sans culture scientifique et technique, aucune population ne peut appréhender les enjeux de son développement ni maîtriser son avenir. Cette communication aborde d’une façon globale les enjeux de la recherche au Cameroun. Plus spécifiquement, elle traite de l’éducation scientifique dans le système scolaire et universitaire, et nous aborderons la question de l’information scientifique dans les médias. Ces points sont largement illustrés par des projets réalisés au Cameroun dans le cadre de PCST et des Clubs JRD. Plus particulièrement, nous nous appuierons sur le cas du projet « grippe aviaire : voir et comprendre, pour mieux se comporter », qui a réuni un certain nombre d’outils : les études bibliographiques, l’audiovisuel, les échanges, les brochures, la presse… Nous proposons de visionner le film Quand les oiseaux se grippent : faire face à la menace aviaire H5N1 (26 minutes), que nous avons réalisé aux fins d’information des populations.

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1. INTRODUCTION

Le discours scientifique relève d’une des formes de savoir – parmi tant d’autres – très appréciée mais également souvent questionné sur le continent africain. L’abondante production littéraire et particulièrement romanesque des écrivains de la première génération des indépendances (1960-1970) fourmille d’éléments d’attraction et de répulsion des sociétés africaines face à la science. Un nègre à Paris de l’Ivoirien Bernard Dadié, Mission Terminée du Camerounais Mongo Beti et même Ma Mercedès est plus grosse que la tienne du Nigérian Nkem Nwankwo, prouvent s’il en était besoin, l’émerveillement de tout le continent devant les prouesses de la science et de la technologie. En même temps, cette admiration à l’égard de la science n’est pas exempte de réserve, de récrimination et de résistance. Le bémol mis à l’endroit du mythe prométhéen est dicté soit par le contexte culturel, soit par les conjonctures et impostures multiformes.

Toutefois, si l’institutionnalisation de la science en ce qu’elle a d’usages, de métiers, de cultures et d’applications, rencontre un certain nombre d’obstacles à la fois structurels et conjoncturels, il serait cependant non pertinent de nier sa réalité et sa place de plus en plus centrale dans nos processus de prise de décision. Même si elle s’est essentiellement opérée au Cameroun et en Afrique sous le prisme de l’Occident, elle a progressivement épousé, tout au moins par ses thématiques, les contours socioculturels du territoire. Un territoire dont les tentatives et les processus de mise en perspective se sont rarement écartés de la notion de développement. C’est pourquoi la recherche scientifique ainsi que la promotion de la culture scientifique et technique ont toujours été accompagnées d’un attribut : « le développement »1. Autrement dit, comment évoquer la question de la science et de sa culture dans la région de Yaoundé ou de Bamako par exemple, sans être interpellé par les questions de gestion de ressources naturelles, de pauvreté, de santé ?

C’est d’ailleurs ce qui justifie le fait que les propositions des acteurs camerounais dans le cadre du programme de Promotion de la Culture Scientifique et Technique (PCST)2 ont essentiellement concerné les secteurs de la santé, l’alimentation, le transport, l’énergie, la prévention des risques naturels, la protection de l’environnement.

Convaincus de l’importance de la culture scientifique, les espaces de socialisation et de construction d’opinion, notamment le système scolaire et universitaire, les médias ainsi que les espaces associatifs constituent des acteurs centraux dans la dynamique de la promotion de la culture scientifique, technique et industrielle. Ils savent que, eu égard aux conjonctures contemporaines,

1 Il faut cependant noter que cette perspective n’est pas souvent exempte de dérives utilitaristes et technicistes comme on le verra dans les lignes suivantes.

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sans culture scientifique et technique, aucune population ne peut appréhender les enjeux de son développement ni maîtriser son avenir. Même si certains esprits retors continuent d’indiquer que c’est la formation à des métiers pratiques et utilitaires qui est utile pour l’Afrique et non les métiers de la théorie (Philosophie, Psychologie, sociologie, théologie…). Le personnage du Docteur Albert Sweitzer dans le film du Camerounais Basseck Ba Kobbhio, Le grand Blanc de Lambaréné constitue le parangon d’un tel discours, lorsqu’il s’adresse à un député « nègre » en ces termes : « L’Afrique a besoin des bâtisseurs, des ingénieurs pour construire des ponts et des routes, des agronomes pour développer l’agriculture ».

Dans cet article nous aborderons d’une façon globale les enjeux de la recherche au Cameroun. Plus spécifiquement, nous traiterons de l’éducation scientifique dans le système scolaire ; nous aborderons la question de l’information scientifique dans les médias. Ces points seront illustrés dans la dernière partie présentant un projet réalisé au Cameroun dans le cadre de PCST et des CLUB JRD intitulé « grippe aviaire : à voir et à comprendre pour mieux se comporter », qui a donné lieu à la réalisation d’un outil audiovisuel, lequel a suscité de nombreux échanges.

2. LES DÉFAILLANCES DU SYSTÈME DE RECHERCHE

Comme nombre de pays africains ayant connu la crise économique des années 1985 assortie d’un train de mesures3 aux conséquences socioculturelles largement querellées (PAS, dévaluation, baisse, des salaires et du pouvoir d’achat, etc.), le Cameroun rencontre sur le plan de la recherche scientifique des contraintes qui enveloppent son avenir d’un voile coloré à la fois d’incertitudes, d’inquiétudes et d’interrogations. De la faillite des politiques scientifiques et universitaires à la marchandisation de la science en passant par le piège de l’extraversion, ils sont nombreux, les goulots qui étranglent de nos jours la recherche scientifique au Cameroun.

2.1. L’exode des intelligences

Le premier point est bien connu. À l'instar des émigrations clandestines, ce que l’on a appelé « fuite de cerveaux » continue de démanteler les dernières réserves d’espoirs qui restaient dans l’activité scientifique. Mal rémunérés, inconsidérés par les pouvoirs publics, pourchassés de fois pour leurs opinions, les meilleurs chercheurs finissent par s’« exiler » vers des cieux jugés plus « accueillants ».

3 Pour la plupart dictées à partir du « Consensus de Washington » sur lequel se sont basés le Fmi et la Banque mondiale pour soumettre certains pays africains au Plan d’Ajustement Structurel.

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2.2. Le piège de l’extraversion et de la « périphérisation »

C’est là la conséquence de l’abandon du secteur de la recherche scientifique aux mains de la coopération étrangère dont les priorités ne reflètent pas nécessairement les préoccupations locales. Tout se passe comme si « les chercheurs du sud sont tout simplement cooptés, les uns après les autres, dans un débat dont leurs sociétés d’origine restent exclues, même lorsque ce débat a pour objet ces sociétés elles-mêmes. » (Hountondji, 2001). Même au plan de la culture scientifique, de telles pesanteurs n’épargnent pas les choix pédagogiques.

2.3. L’instabilité et le manque de coordination institutionnelle

Ce biais est sans doute celui qui plombe le plus l’avenir de ce secteur d’activité. Il est quasiment distribué dans toutes les échelles, des structures gouvernementales aux initiatives individuelles en passant par les espaces développés par la société civile. Les relations entre les ministères sectoriels et le ministère chargé de la recherche et de l’innovation ne sont pas toujours des plus cordiales. Selon le Ministère de la recherche scientifique et de l’innovation (Minresi), « Certains ministères sectoriels entretiennent des collaborations informelles sans affichage de la contribution du Minresi. Il n'est pas rare de voir certains chercheurs traiter directement avec des partenaires au détriment du ministère de tutelle. »4 Ce désordre institutionnel a été observé lorsque le virus H5N1 grippe aviaire a été signalé au Cameroun. L’on a vu le ministère de la santé et celui de l’élevage prendre le devant de la scène, sans toujours associer le ministère de la recherche.

3. LES LACUNES DE L’ÉDUCATION SCIENTIFIQUE

3.1. Des institutions scolaires inaptes à relever les défis de la culture scientifique

La crise de l’éducation au Cameroun n’est pas seulement infrastructurelle, elle est également perceptible dans la formulation des objectifs et outils pédagogiques capables de faire de l’apprenant une « tête bien faite et non une tête bien pleine ». L’utilitarisme et la logique marchande ont saturé l’espace cognitif, laminant au passage les réserves axiologiques et citoyennes. De nombreux élèves et étudiants sont poussés par leurs parents dans des filières commerciales et bancaires jugées plus « rentables ». Ce faisant l’espace scolaire au Cameroun par exemple, est devenu une arène où chantent d’autres sirènes que la science. L’établissement scolaire est devenu l’un des cadres les plus féconds en préoccupations d’ordre magico religieux5.

4 www.minresi.org

5 La chronique sur la sorcellerie dans les établissements scolaires au Cameroun est riche de plusieurs milliers de pages de journaux.

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Sur un tout autre plan, de nombreux établissements ne disposent pas de laboratoire de physique, de chimie, de biologie et même d’informatique.

3.2. L’information scientifique, parent pauvre dans les médias

Outre les difficultés inhérentes à l’exercice de la profession du journaliste – notamment l’accès aux sources officielles d’information, la liberté d’informer etc – les préoccupations d’ordre éthique et déontologique constituent une contrainte majeure à la production, l’exploitation et la diffusion de l’information scientifique. En effet, la recherche des « scoops », ou encore la quête d’informations d’essence polémiques et à forte « valeur marchande »6 ne laissent pas de place à l’information scientifique.

Et quand bien même ils s’y engagent, le choix des angles de traitement est également piégé par des considérations autres que l’intérêt du citoyen. Les événements sur la présence du H5N1 au Cameroun ont pare exemple davantage constitué une arène politique à deux camps. Un premier occupé par les journaux proches du gouvernement qui encensait l’action du gouvernement pour maîtriser la situation. Un second, celui des médias privés, plus enclins à critiquer la gestion politique et administrative de la crise et à mettre en relief des informations à caractère sensationnel et polémistes. Au bout du compte le citoyen est abandonné à lui-même, dans sa confusion et son ignorance quant aux réalités épidémiologiques de la maladie.

4. L’EXPÉRIENCE DU PROJET « GRIPPE AVIAIRE :

À VOIR ET À COMPRENDRE POUR MIEUX SE COMPORTER »

Yves Quéré dans son ouvrage La science institutrice (2002), indique quelques fonctions de la science qui participent de la construction de la culture scientifique : « nommer », « décrire » et « expliquer », « enseigner », « éduquer », « maîtriser » et « statuer ». Dans ces conditions, mettre la culture scientifique au service de l’environnement et de la santé consiste à mobiliser toutes ces fonctions en vue d’obtenir auprès des publics, une conscience environnementale et sanitaire et une lecture critique des choix sociopolitiques relatifs à la gestion de l’environnement.

Toutefois, la culture scientifique au secours de la gestion rationnelle d’une crise environnementale et sanitaire nécessite une mise en combinaison de trois paramètres essentiels : le contexte, le support et l’information. C’est cette relation triadique a été expérimentée par le Collectif InterAfricain des

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Habitants de Yaoundé-Cameroun (CIAH) dans un projet intitulé « grippe aviaire : à voir et à comprendre pour mieux se comporter », avec l’appui de l’IRD7 et plus tard du MAE8-PCST-IRD.

4.1. Le contexte et l’information

L’éducation à l’environnement et au développement c’est aussi être réactif aux événements. Notre projet sur la grippe aviaire est né à la suite d’un événement : l’annonce le 11 mars d’un canard contaminé à Maroua. À l’époque, les débats portaient sur l’existence ou non du H5N1 au Cameroun et des ses conséquences néfastes – indéniables – pour nos économies et la vie de nos concitoyens, le tout dans un contexte de confusions voire d’ignorance partagée. Dès lors, nous avons vu là une opportunité à saisir – tant au plan épistémologique qu’heuristique – pour engager des sensibilisations sur des maladies aviaires en général et virales en particulier.

Nous avons pris l’initiative dans un premier temps de créer une plate-forme de jeunes (avec l’appui scientifique et matériel de l’IRD et du Centre Pasteur) mobilisés autour de la problématique de la grippe aviaire. Dans un second temps, nous avons convenu que ces jeunes mèneraient une action d’information importante auprès de leurs pairs et d’autres composantes de la société.

Notre position est que dans toute éducation à l’environnement et au développement, la qualité de l’information à partager est fondamentale, laquelle selon nous concerne non seulement la validité scientifique des données diffusées, mais également la manière dont celles-ci s’intègrent dans le système des savoirs locaux (savoirs « traditionnels », savoirs endogènes, savoirs « expérientielles). Le but ici est d’éviter d’avoir affaire à des « connaisseurs » de la grippe aviaire impuissants et indifférents à ce qui leur arrive, c’est pourquoi nous avons décidé d’y ajouter la dimension « citoyenne ». L’idée étant de promouvoir non des têtes bien pleines, mais des têtes bien faites et responsables à l’égard des enjeux environnementaux et de développement soulevés par la grippe aviaire.

Ainsi donc, au plan de la culture scientifique, la grippe aviaire a été abordée en fonction des réalités écologiques et socioculturelles du pays, en recoupant plusieurs niveaux de réflexion : biologique, épidémiologique, écologique, sociologique, développemental. Pour ce qui est de l’éducation à la citoyenneté, il nous est apparu important de faire des jeunes impliqués des acteurs du processus, en mettant leur sensibilité, leur vision et leurs potentialités au service de ce combat national (et international) contre la crise aviaire. Mais un défi de taille se posait à nous : celui de la disponibilité de l’information sur le sujet, car à cette époque même les milieux scientifiques faisaient face à des incertitudes quant à cette maladie émergente. De façon à convertir cette limite en acquis, il a été demandé aux jeunes participants de ne pas se contenter d’exploiter les données existantes, mais

7 Institut de Recherche pour le Développement. 8 Ministère des affaires étrangères (français).

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d’être eux-mêmes producteurs d’informations scientifiquement validées et de messages de sensibilisation et de prévention en direction de leurs pairs et de leurs parents.

4.2. Les supports et mode de communication retenus

La réflexion sur les supports permet de prendre en compte deux facteurs : le niveau de compréhension et le langage. D’où la prise en compte de la diversité des publics. Pour notre projet, nous avons adopté trois types de supports :

Le support audiovisuel

Nous avons réalisé un film de 26 minutes : « Quand les oiseaux se grippent : faire face à la menace de la grippe aviaire », afin de toucher des publics qui non seulement ne lisent pas, mais aussi ne parlent pas les langues officielles. Deux intérêts apparemment contradictoires s’offraient à nous : apporter à nos publics un support pédagogique sur la grippe aviaire et/ou leur proposer un support scientifique. Nous avons alors opté pour une conciliation des deux aspects : film scientifique, mais aussi banque de données sur la connaissance de la grippe aviaire : contact, symptôme et prophylaxie…

En effet, dans le film, les représentations communes (homme de la rue, éleveurs, vendeurs, plumeurs…) sur les maladies aviaires, le plus souvent trempées de confusions, sont croisées sous l’arbitrage de chercheurs. L’essentiel pour nous étant de rechercher la meilleure connection possible entre les savoirs locaux relatifs à la maladie aviaire et les exigences scientifiques nécessaires au contrôle du H5N1 grippe aviaire.

Le support livresque

En direction des jeunes nous avons élaboré un livret d’informations, abondamment illustré, « grippe aviaire et maladie de poulet : comprendre pour mieux agir » (38 pages). Cet opus vise à fournir au lecteur l’essentiel des informations scientifiques sur la prévention de la grippe aviaire H5N1. Il contient également des informations pratiques, adaptées au contexte africain. Un support convivial, facilement consultable, sans équipement de lecture. Un support qui présente des avantages en termes d’exhaustivité et permet aux animateurs scientifiques d’avoir une plate-forme d’informations.

Les échanges

Des séances d’échanges, du fait de leur interactivité, ont permis d’arrondir les angles, de brasser des informations contenues dans les différents supports. C’est ainsi que nous avons couplé les supports livresques et les projections du film documentaire. ». En général, les échanges ont eu lieu dans des espaces dépositaire d’enjeux (hôpitaux, églises, réunions des professionnels du monde aviaire,

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jeunes associations…). L’objectif étant de leur fournir des données de première main leur permettant de mieux se comporter face à la menace aviaire.

BIBLIOGRAPHIE

CIAH-Cameroun. (2008). grippe aviaire et maladie de poulet : comprendre pour mieux agir, Yaoundé, Collection Notre terre est pour demain.

Dadié B. (1959). Un nègre à Paris, Paris : Présence Africaine.

Hountondji Paulin J. (2001). « Au-delà de l’ethnoscience : pour une réappropriation critique des savoirs endogènes », Notre Librairie, n° 144, avril-juin 2001.

Nwanko N. (1998). Ma Mercedès est plus grosse que la tienne, Paris : Le Serpent à Plumes. Quéré Y. (2002). La science institutrice, Paris : Odile Jacob.

FILMOGRAPHIE

« Quand les oiseaux se grippent : faire face à la menace de la grippe aviaire » (2007) Yaoundé, CIAH-CAMEROUN & IRD, 24 minutes.

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