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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Face au SIDA, le dialogue des cultures : du film à la prévention

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FACE AU SIDA, LE DIALOGUE DES CULTURES

Francis GAST

Université Louis Pasteur, Strasbourg

MOTSCLÉS : DIALOGUE CULTURE REPRÉSENTATION RÉFÉRENT MESSAGE CLIVAGE - AMBIGUÏTÉ

RÉSUMÉ : L’épidémie du sida a provoqué des initiatives nombreuses au niveau mondial. Sans doute pour la première fois des messages de nature scientifique ont-ils été autant diffusés et se sont-ils heurtés à autant de résistances culturelles inattendues. C'est l'occasion d'une réflexion sur le rôle de l'Histoire, sur les représentations et les référents culturels en œuvre dans l'échange de messages scientifiques entre cultures différentes.

ABSTRACT : Aids disease has encouraged a lot of initiatives all around the world. For the first time, scientific messages have been diffused and they encountered many unexpected cultural resistances. So, it is now time to think about history, representations and also about cultural referents used in the exchange of scientific messages between different cultures.

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1. INTRODUCTION

L’épidémie du sida et la nécessité de mettre en place une prévention efficace comme quasi seule riposte actuellement disponible a provoqué des initiatives nombreuses dans de vastes zones comme l’Europe ou le monde. Sans doute aussi pour la première fois des messages de nature scientifique, dans des contextes de vulgarisation, d'éducation populaire, de prévention massive ont-ils été autant diffusés et se sont-ils heurtés à des résistances culturelles inattendues. L’échec de certaines campagnes de prévention dans l’espace européen, surtout quand le déracinement des populations concernées, les soucis administratifs, la précarité économique, la solitude renforcent l'exclusion, a montré les limites de l'entreprise. Cette situation a été l’occasion d’une réflexion sur ce qui pouvait différencier les représentations, les comportements entre cultures différentes.

Dans ce contexte, nous avons réalisé un documentaire de 52 minutes sous la direction scientifique de Daniel Borrillo : Face au sida, le dialogue des cultures (Gast, 1996). Ce documentaire a été l'occasion de réflexions lors de sa préparation et de sa réalisation, et qui se sont poursuivies depuis. Elles montrent la complexité de la question, le poids de nos propres représentations conscientes et inconscientes, les risques de malentendu et la relativité de l'idée d'une expression universelle de la science.

2. L'IMPORTANCE DES PARAMÈTRES CULTURELS

Les messages sont presque toujours émis par le Nord en direction du Sud. Dans ce schéma, le Nord

sait, maîtrise les modèles, mais ne sait pas écouter. Or nous ne savons rien, ou peu de choses, sur les

connaissances réelles que d’autres cultures produisent ou ont produites, ni sur la manière dont elles construisent leurs propres représentations et décrivent le monde ; des mathématiciens, médecins, astronomes, géographes, botanistes, ingénieurs en sont pourtant issus, et l’idée même que la science serait « occidentale » mériterait d’être examinée de plus près. C'est pourquoi, plutôt que de communication, il devrait s'agir de dialogue, d'un dialogue des cultures où chacun apporte sa part de vérité et la voit reconnue.

Ce documentaire met l'accent sur les paramètres culturels qui entrent dans l'échange de messages scientifiques simples, comme ceux de la prévention du sida par exemple, et qui, sous leur apparente simplicité ou objectivité, supposent une familiarité avec un réseau complexe de concepts, de représentations et de présupposés idéologiques. Toutes ces questions ont fourni au documentaire ses thématiques :

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- La question des langues qui ne sont pas les mêmes et n’expriment pas simplement la même chose avec d'autres mots.

- Des notions essentielles comme la vie, la mort, la procréation ou le destin diffèrent considérablement ; celle de prévention suppose toute une éducation, l'intériorisation d'une démarche, et un environnement social et administratif adapté.

- Les modes d’expression peuvent être différents : il y a un monde entre la pratique du langage abstrait et celle d'un langage métaphorique, qui s'incorpore mieux dans les contes et les proverbes qu'on se raconte en groupe. Par ailleurs, l'expression directe de notions liées à la sexualité, avec les mots crus adéquats, est choquante pour beaucoup.

- Parmi les différences culturelles notables on trouve précisément celle de l'individu et du groupe. Des conséquences importantes en matière de comportement en découlent : peut-on gérer la responsabilité individuelle, la construction d'une carrière, l'acquisition du savoir de la même manière dans une société individualiste que dans une société plus communautaire ? En Afrique, le message s'adressera donc plutôt au groupe, qui va le discuter et le valider avant de le redistribuer à ses membres. Dans ce contexte, les relations entre générations se construisent sur d'autres critères : la transmission de l'information et l'éducation ont leur propres démarches.

- Le rôle spécifique de la femme dans la prévention du sida est mis en avant, en raison de sa responsabilité traditionnelle dans les soins aux malades.

Dans la discussion qui a suivi la projection du film, certaines limites ont été relevées : le film traite de la transmission du sida par relations sexuelles et n'aborde pas la question d'autres modes de contamination, comme la transfusion, la circoncision ou la toxicomanie ; une opposition parfois trop tranchée entre un Nord "rationaliste" et un Sud plus "irrationnel" est également critiquée. Les points positifs concernent l'entreprise elle-même dans sa démarche d'interrogation sous le signe du dialogue. Les situations décrites ouvrent sur une vaste réflexion concernant le choc des cultures. Cette réflexion a été présentée en introduction à la projection. En voici les principaux points.

3. L'AMBIGUÏTÉ DES RELATIONS ENTRE LE NORD ET LE SUD

Nos rapports avec les peuples du Sud plongent leurs racines dans l’Histoire et ont été marqués par un paradoxe : l’idéal d’une certaine liberté concrétisée par la démocratie et les Droits de l’Homme et, parallèlement, la mise en place de la colonisation, de l'esclavage, de l'apartheid et de la destruction culturelle et parfois physique d’importants groupes humains. Comme l’écrit Paul

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Feyerabend (1979), « la montée de la science moderne coïncide avec la suppression des sociétés non occidentales par les envahisseurs occidentaux. »

Il n’est pas toujours aisé de se rendre compte du choc qu’a pu représenter la rencontre de l’Occident avec d’autres régions du monde. Cheik Hamidou Kane, dans un roman devenu un classique de la littérature africaine, L'Aventure ambiguë (1961), décrit ce choc culturel produit par la rencontre entre la pensée rationaliste, scientifique, technique, pragmatique de l'Occident, son goût de l'action et de la transformation des choses, et la pensée de l'Afrique Noire musulmane, repliée sur elle-même, s'organisant entièrement autour de la spiritualité et du rapport à Dieu, jusqu'à se détacher de certains enjeux du monde considérés comme des vanités ou des blasphèmes : « Car ceux qui étaient venus ne savaient pas seulement combattre. Ils étaient étranges. S'ils savaient tuer avec efficacité, ils savaient aussi guérir avec le même art. Où ils avaient mis du désordre, ils suscitaient un ordre nouveau. Ils détruisaient et construisaient. On commença, dans le continent noir, à comprendre que leur puissance véritable résidait, non point dans les canons du premier matin, mais dans ce qui suivait ces canons. »

Tuer et guérir : la complexité des sentiments suscités par les envahisseurs met ainsi les populations

concernées dans des situations quasi inextricables ou se mêlent le refus de cette domination et l’admiration pour la compétence scientifique et technique des nouveaux venus. Cette dissociation des sentiments montre d’ailleurs combien les performances scientifiques des cultures rationalistes ne se retrouvent pas dans leurs performances politiques ou plus simplement dans leurs comportements humains. Pour les populations colonisées, le savoir des colonisateurs est l’arme qui les a vaincus, mais aussi l’arme qui pourra les libérer : « Notre grand-père ainsi que son élite ont été défaits. Pourquoi ? Comment ? Les nouveaux venus seuls le savent. Il faut le leur demander ; il faut aller apprendre chez eux l'art de vaincre sans avoir raison. Au surplus, le combat n'a pas cessé encore. L'école étrangère est la forme nouvelle de la guerre que nous font ceux qui sont venus, et il faut y envoyer notre élite en attendant d'y pousser tout le pays » (Kane, 1961).

Toute une identité est ici en jeu, et l’infinie nostalgie pour un monde attachant qui se meurt inéluctablement s’y manifeste, tandis que le colonisé se voit désigner une place secondaire, où la citoyenneté lui est refusée parce qu’il n’a pas maîtrisé, avant les autres ou comme les autres, les nombres et les lois qui régissent le monde matériel : « L'école où je pousse nos enfants tuera en eux ce qu'aujourd'hui nous aimons et conservons à juste titre. Peut-être notre souvenir lui-même mourra-t-il en eux. Quand ils nous reviendront de l'école, il en est qui ne nous reconnaîtront pas. Ce que je propose, c'est que nous acceptions de mourir en nos enfants et que les étrangers qui nous ont défaits prennent en eux toute la place que nous aurons laissée libre » (Kane, 1961).

Ces citations montrent la brutalité des clivages : le savoir des « nouveaux venus » est respecté pour ses performances ; mais s’il est intégrable, c’est sous forme de savoir étranger ; il n’est pas perçu

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comme universel, malgré sa reproductibilité démontrée et sa capacité à prévoir. Le clivage qui s’entrevoit sépare ainsi l’universalité de la science, de l’universalité du contexte culturel dans lequel elle s’est développée : c’est toute l’ambiguïté, thème central de ce roman. L’état actuel du monde en est profondément marqué, et amène l'Occident à s'interroger sur ce rapport avec les autres, notamment dans le monde du savoir : « Au fond, commente Isabelle Stengers (1994), le problème c'est de se demander comment nous pourrions présenter nos savoirs aux autres, par exemple dans les écoles, de telle sorte que nous nous représentions étrangers minoritaires essayant de parler à des majoritaires. Comment essayer de faire valoir l'intérêt de ce que nous avons à dire sans faire autorité ? Comment essayer de se penser soi-même comme étranger ? C'est peut-être aussi la question qui doit se poser tout le temps : Que nous est-il arrivé ? Que nous est-il arrivé pour nous croire au centre du monde et les autres comme étrangers ? Comment essayer de nous vivre étrangers parmi d'autres étrangers ? »

4. LA DIVERSITÉ DES REPRÉSENTATIONS

Cette question rejoint aussi celle qui oppose pensée mythique et pensée scientifique : Hehaka Sapa (1974), un amérindien de la tribu des Sioux, exprimait ainsi sa représentation du monde : « Vous avez remarqué que toute chose faite par un Indien, est dans un cercle, il en est ainsi parce que le pouvoir de l'Univers agit selon des cercles et que toute chose tend à être ronde. (…) La vie de l'homme est dans un cercle de l'enfance jusqu'à l'enfance et ainsi en est-il pour chaque chose où le pouvoir se meut. »

Ni les connotations, ni les référents ne sont forcément les mêmes et la société multiculturelle est aussi une société multiréférentielle. Ainsi, a-t-on le droit d'agir sur la nature, et dans quelles limites ? Dans certaines cultures, cela relève du sacrilège, comme l'exprime Smohalla (1974), un Amérindien de la tribu des Nez-Percés : « Vous me demandez de labourer la terre ? Dois-je prendre un couteau et déchirer le sein de ma mère ? Mais, quand je mourrai, qui me prendra dans son sein pour me reposer ? Vous me demandez de creuser pour chercher la pierre. Dois-je aller sous sa peau pour chercher ses os ? Mais quand je mourrai, dans quel corps pourrai-je entrer pour renaître ? Vous me demandez de couper l'herbe, de la faner et de la revendre et de devenir riche comme les hommes blancs. Allons ! comment oserai-je couper les cheveux de ma mère ? »A-t-on le droit de critiquer, notamment le savoir et l’autorité des anciens ? Comment peut-on assumer la dimension critique que développe le raisonnement logique et dialectique, et qui suppose justement la remise en question de l'enseignement reçu, sans que cela n'apparaisse comme une agression contre ses propres ancêtres, et

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donc une perte d'identité ? Même le droit à la critique est un caractère culturel particulier. L'exercice de ces droits peut entraîner un sentiment de culpabilité lorsqu'il revêt une dimension quasi sacrilège. Un certain nombre de paradigmes culturels nous semblent évidents et ne font pas l’objet d’une critique a priori. Ils s’insinuent dans la représentation du monde que l’on peut proposer et l’influencent. L’ethnologue Philippe Descolaa étudié certains de ces paradigmes, en particulier les clivages occidentaux Nature/Culture ou Humain/Animal (voir E. Morin, 1973). En étudiant la société des Jivaros, en Amazonie, il a ainsi pu montrer que ces paradigmes n’existaient pas dans ces sociétés comme dans la nôtre. Les éléments de la nature, tels les animaux ou les plantes, ne sont pas considérés comme des objets, mais comme des sujets que l’on caractérise par des attributs de la vie sociale. Leur représentation du monde est basée d’avantage sur les rapports que les différents éléments de la nature entretiennent entre eux, plus que sur des caractéristiques intrinsèques. Le

naturalisme, c’est-à-dire la croyance que la nature existe comme un domaine séparé, a engendré une

division étanche entre les sciences de la nature et celles de la culture. » Dans cet article, Philippe Descola (1998) montre également que « le fait de vivre dans un milieu composé de dizaines de milliers d’espèces en interaction permanente offre un modèle pratique à des cosmologies qui intègrent hommes, plantes et animaux dans un même champ continu de relations. »

En fin de compte, la question essentielle n’est pas comment s’adresser à ces différents publics pour leur faire comprendre ou leur inculquer les bases de la science, mais de savoir ce qu’on peut apprendre d’eux pour porter un regard différent sur nos certitudes, les interroger, les nuancer, les transformer. La science et son expression s’y enrichiraient des apports millénaires de toutes les cultures qui ont posé le socle sur lequel nous bâtissons aujourd’hui. « Les règles sont tacites, écrit D. Vinck (1995), et locales (elles dépendent de la façon de jouer le jeu). Les activités scientifiques, comme toute activité humaine, sont régies par de telles règles. Du coup, l'attention portée sur le caractère universel de l'activité théorique en science se déplace vers l'examen de situations locales. Les règles de la méthode scientifique ne sont pas universelles ; elles se jouent, se rejouent et de redéfinissent chaque fois localement. Elles sont reconstruites en même temps que les résultats des expériences. Elles exigent, chaque fois, un nouvel accord ou consensus social sur leur mode d'application. »Cette localisation pourrait-elle concerner non seulement les différents laboratoires, mais aussi les différentes cultures ?

5. CONCLUSION

C’est l’occasion ici de s’interroger sur cet Autre, sa manière de voir et de sentir les choses. Sur le plan épistémologique, la question est d’importance de même que l’état d’esprit qui en résulte et

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auquel se réfère Isabelle Stengers dans la citation présentée plus haut. Car si « la science est un rassemblement de différences humaines qui s'expriment et cherchent à s'articuler de façon cohérente » (B. Jurdant, 1994), alors ce caractère multiculturel représente un défi salutaire : à la question « comment pourrions-nous dire à d’autres ce que nous avons à leur dire », il faudrait substituer celle-ci : « qu’avons-nous à écouter et à entendre chez les autres qui nous aidera à mieux comprendre notre mode de fonctionnement, et à débloquer notre pensée là où des habitudes intellectuelles endogamiques nous mènent parfois à des impasses ? » Quelles sont en fin de compte les autres références possibles ? Pour le documentariste qui recherche des solutions lui permettant de ne pas rester figé dans ses devoirs supposés, la fréquentation des philosophies du monde est un exercice tonifiant, une expérience épistémologique décapante, qui lui ouvrira de nombreuses voies. Margaret Mead (1979), à propos du film ethnographique où cette question se pose avec acuité, écrivait : « L’idéal serait d’associer des films réalisés par des ethnologues appartenant à différentes cultures modernes – japonaise, française, américaine – avec des séquences photographiées et montées par ceux qui, dans le film, dansent, participent aux cérémonies, mènent leur vie quotidienne. Les risques d’ethnocentrisme, de la part de ceux qui filment à partir de leur propre cadre culturel, et de la part de ceux qui interprètent l’image filmée de leur propre culture d’une manière déformée, pourraient être corrigés par des points de vue différents émanant de cultures diverses (comme c’est le cas dans tous les travaux comparatifs qui fondent l’anthropologie en tant que science), et non par les proclamations superficielles d’une méthodologie au-dessus de toutes les cultures. »

Aucun acteur ne dispose à lui seul de la vérité et le pluralisme des approches est le gage de la liberté de penser. La confrontation des diverses représentations qui nous permettent d'appréhender le monde dans un dialogue des cultures devient alors la forme la plus adaptée aux échanges, y compris dans le monde scientifique. Ainsi, loin d’être d’abord source de contraintes nouvelles, la société multiculturelle est-elle source d’inspiration et de renaissance.

BIBLIOGRAPHIE

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Références

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