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L02 [V2-VaC] – Expérience aléatoire, probabilité, probabilité conditionnelle

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9

Expérience aléatoire, probabilité,

probabilité conditionnelle

2

Leçon

Niveau Lycée

Prérequis théorie des ensembles Références [7], [8]

2.1

Expérience aléatoire, événements

2.1.1 Expérience aléatoire

Définition 2.1 — Expérience aléatoire. On dit qu’on fait une expérience de type aléatoire si on ne peut pas prévoir le résultat final de cette expérience.

Exemples 2.2 1. On lance une pièce et on observe le côté exposé (pile ou face). Il y a deux issues possibles sur cette expérience.

2. On dispose d’une urne avec 100 boules, on tire une d’entre elles et on note le numéro. Cette expérience aléatoire a 100 issues possibles.



Définition 2.3 — Univers. L’ensemble de toutes les issues d’une expérience aléatoire est appelé uni-vers. On note généralement cet ensembleΩ.

R 2.4 Dans cette leçon, on se limitera au cas oùΩ est un ensemble fini. Exemple 2.5 On reprend les expériences de l’exemple précédent.

1. Si on lance une pièce de monnaie, on obtientΩ = {P, F}.

2. Si on tire une boule numérotée dans une urne où il en contient 100 alorsΩ = {1, 2, . . . , 100}. 

2.1.2 Evénement associé à une expérience aléatoire

Dans ce qui suit, nous allons décrire ce qu’est un événement :

Définition 2.6 — Vocabulaire des événements. — Un événement élémentaire (qu’on note ω) est ce qui constitue l’une des issues de la situation étudiée (un élément deΩ).

— Un événement est un ensemble de plusieurs issues.

— L’événement « A et B » (qu’on note A ∩ B) est l’événement constitué des issues communes aux deux événements.

— L’événement « A ou B » (qu’on note A ∪ B) est l’événement constitué des toutes les issues des deux événements.

— Deux événements incompatibles A et B (qu’on note A ∩ B = ∅) sont deux événements qui n’ont pas d’éléments en commun.

— L’événement est dit contraire de A (qu’on note A) si A et A sont incompatibles et A ∪ A forme la totalité des issues.

(2)

10 Leçon no2 Expérience aléatoire, probabilité, probabilité conditionnelle

2. Obtenir un nombre pair est un événement :

A= {2, 4, 6, 8, 10, 12} .

3. Obtenir un multiple de trois est un événement :

B= {3, 6, 9, 12} . 4. A ∩ B = {6, 12}. 5. A ∪ B = {2, 3, 4, 6, 8, 9, 10, 12}. 6. Si C= {10, 11, 12} et D= {2, 3, 4, 5, 6}

alors C ∩ D = ∅ donc C et D sont incompatibles.

7. Ici, A représente l’événement « obtenir une somme impaire ». On a alors : — A ∩ A = ∅,

— A ∪ A = Ω.



2.2

Probabilités

2.2.1 Loi de probabilités sur un univers Ω

Définition 2.8 Soit Ω l’univers d’une expérience aléatoire. Définir une loi de probabilité P sur Ω, c’est associer, à chaque événement élémentaire ωi, des nombres pi ∈ [0 , 1] tels que :

X i

pi = 1.

On appelle les nombres pi, les probabilités (qu’on peut noter pi = P (ωi)).

Proposition 2.9— Principe fondamental. La probabilité P(E) d’un événement E est la somme des probabilités des événements élémentaires qui le composent.

Corollaire 2.10 P(Ω) = 1

R 2.11 Dans le corollaire2.10, on sous-entend qu’il y a n (n ∈ N) événements élémentaires dans Ω et on fait l’hypothèse d’équiprobabilité.

Dv

• Preuve — Démonstration du corollaire2.10.

P(Ω) = P (S i ωi) =X i P(ωi) = X i 1 n = 1.

(3)

Exemple 2.12 On se donne les probabilités d’apparition des faces d’un dé truqué :

Issue ω 1 2 3 4 5 6

Probabilités P (ω) 0,05 0,05 0,1 0,1 0,2 inconnue

Dv

1. On veut calculer la probabilité de l’événement

A= « obtenir un résultat inférieur ou égal à 4 ».

D’après le principe,

P(A) = P (1) + P (2) + P (3) + P (4) = 0,05 + 0,05 + 0,1 + 0,1.

2. On veut calculer la probabilité d’obtenir6. Le corollaire2.10nous donne :

P(1) + P (2) + P (3) + P (4) + P (5) + P (6) = 1

donc P(6) = 0,5.



Définition 2.13 — Autre définition. Soit Ω un univers et P(Ω) = A l’ensemble des parties de Ω (c’est-à-dire l’ensemble de tous les événements associé à cette expérience aléatoire). On appelle probabilité P toute application de P(Ω) dans R+qui vérifie :

1. P(Ω) = 1

2. Soit(Ai)i∈N, I ⊂ N une famille d’événements de P(Ω) deux à deux disjoints (si i 6= j alors

Ai∩ Aj = ∅) alors : P [ i∈I Ai ! =X i∈I P(Ai).

2.2.2 Propriétés de calcul de probabilités

Propriétés 2.14 Soient A, B ⊂ Ω. Alors :

1. P(∅) = 0 2. P(A) = 1 − P(A) 3. P(A \ B) = P(A) − P(A ∩ B) 4. A ⊂ B ⇒ P (A) ≤ P (B) 5. P(A ∪ B) = P(A) + P(B) − P(A ∩ B) Dv

• Preuve 1. On applique la propriété 2 de la définition2.13à A et ∅ (ils sont disjoints car A∩∅ = ∅) d’où

(4)

12 Leçon no2 Expérience aléatoire, probabilité, probabilité conditionnelle

et donc on en déduit que P(∅) = 0. 2. Comme A ∩ A = ∅ et A ∪ A = Ω, on a :

P(A ∪ A) = P(A) + P(A) ⇔ P(Ω) = P(A) + P(A).

Or P(Ω) = P (A ∪ A) = 1 d’où P(A) = 1 − P(A).

3. On a : A= (A \ B) ∪ (A ∩ B), de plus (A \ B) et A ∩ B sont disjoints donc on peut appliquer la définition :

P(A) = P (A \ B) + P(A ∩ B).

4. A ⊂ B implique que B = (B ∩ A) ∪ A donc

P(B) = P (B \ A) + P(A) ≤ P(A).

5. On a :

A∪ B = (A \ B) ∪ (A ∩ B) ∪ (B \ A)

2 à 2 disjoints donc :

P(A ∪ B) = P(A \ B) + P(A ∩ B) + P(B \ A)

= P (A) − P(A ∩ B) + P(A ∩ B) + P(B) − P(A ∩ B) = P (A) + P (B) − P(A ∩ B).

2.2.3 Équiprobabilité

Définition 2.15 — Équiprobabilité. Si tous les éléments deΩ (l’univers d’une expérience aléatoire) ont la même propriété d’apparition alorsΩ est dit équiprobable. Si Ω = {a1, . . . , an} alors :

P({ai}) = 1

n, ∀ai ∈ Ω.

Propriété 2.16 SiΩ est équiprobable, la probabilité d’un événement A ⊂ Ω contenant nAéléments

est : P(A) = 1 n + 1 n+ · · · + 1 n | {z } nAfois = nA n = card(A) card(Ω).

Exemples 2.17 On lance un dé (non truqué) ;Ω = {1, 2, 3, 4, 5, 6}. On est dans le cas d’une équi-probabilité.

Dv

1. La probabilité d’avoir un 5 est P(5) = 1/6 (5 est un événement élémentaire) 2. La probabilité d’obtenir un nombre pair est :

P(« obtention d’un nombre pair ») = 3

6 = 12.

(5)

2.3

Probabilités conditionnelles

2.3.1 Un exemple pour débuter

Exemple 2.18 On considère une population de 500 individus parmi lesquels il y a 180 femmes et 90 des 500 individus ont l’allèle du daltonisme. On choisit un individu au hasard dans cette population (c’est une expérience aléatoire). On note :

F = « l’individu choisi est une femme »

D= « l’individu choisi possède l’allèle du daltonisme ».

Dv

L’univers Ω est l’ensemble des individus, il est équiprobable. Chaque individu a la même proba-bilité d’être choisi 5001 . Donc,

P(D) = card(D)

card(Ω) = 90

500 = 0,18.

Maintenant, on se restreint à la sous-population des femmes. On sait que 9 femmes possèdent l’allèle du daltonisme. L’univers Ω0 est l’ensemble des femmes F . Il est équiprobable. Chaque

femme a 1801 chance d’être choisie.

On cherche la probabilité qu’une femme choisie au hasard possède l’allèle du daltonisme : card(D ∩ F)

card(Ω0) =

9

180 = 0,05. On note cette probabilité :

PF(D) = card(D ∩ F) card(F ) = P(D ∩ F) P(F ) .  2.3.2 Probabilité conditionnelle

Définition 2.19 Soit F un événement de probabilité strictement positive (c’est-à-dire F ⊂ Ω et

P(F ) > 0). On appelle probabilité conditionnelle à F , l’application PF(·) de l’ensemble des

évé-nements (P(Ω)) dans [0 , 1] telle que :

PF : P(Ω) → [0 , 1]

A 7→ PF(A) = PP(A∩F )(F ) .

Proposition 2.20 L’application PF(·) est une probabilité.

Dv

(6)

14 Leçon no2 Expérience aléatoire, probabilité, probabilité conditionnelle

[0 , 1]. Si A ∩ F ⊂ F alors P(A ∩ F) ≤ P(F) et ainsi :

P(A ∩ F)

P(F ) = PF(A) ≤ 1

et PF(A) ≥ 0 comme quotient de deux probabilités. On vérifie la propriété 1 de la définition2.13: PF(Ω) = P(Ω ∩ F)

P(F ) = P(F ) P(F ) = 1.

On vérifie ensuite la propriété 2 de la définition2.13. Soit(Ai)i∈I une famille d’événements dansΩ deux

à deux disjoints. PF \ i∈I Ai ! =P((Si∈IAi) ∩ F) P(F ) = P(Si∈I(Ai∩ F )) P(F ) .

Mais Ai∩ F ⊂ Aidonc tous les(Ai∩ F ) sont disjoints 2 à 2 et :

PF \ i∈I Ai ! =Pi∈IP(Ai∩ F ) P(F ) = X i∈I P(Ai∩ F ) P(F ) = X i∈I PF(Ai).

Propriété 2.21— Probabilités composées. SoitΩ un univers, F et A deux événements tel que P (F ) > 0. Alors,

P(A ∩ F) = PF(A) × P(F) = PA(F ) × P(A)

2.3.3 Formule des probabilités totales et de Bayes

Propriété 2.22— Formule des propriétés totales. Soit {E1, E2, . . . , En} une partition de Ω

d’événe-ments non vides. Soit A ⊂ Ω. Alors :

P(A) = n X i=1

PEi(A) × P(Ei).

Exemple 2.23 On considère deux urnes U1 et U2. L’urne U1 contient6 boules rouges et 4 boules

vertes et l’urne U2 contient7 boules vertes et 3 boules rouges. On lance un dé. S’il indique le chiffre

1, on choisit l’urne U1 sinon on choisit l’urne U2. On effectue ensuite deux tirages avec remise. On

cherche la probabilité d’avoir tiré deux rouges en tout. On note :

R= {rouge au 1ertirage} , R0= {rouge au 2etirage}

H1= {choix de l’urne U1} , H2 = H1 = {choix de l’urne H2} . On a ainsi : PH1(R) = 6 10 = 3 5, PH1(R ∩ R0) = 3 5 2 . PH2(R) = 3 10, PH2(R ∩ R0) =  3 10 2 .

La formule de conditionnement donne :

P(R) = PH1(R)P (H1) + PH2(R)P (H2) = 1 6 3 5 + 5 6 3 10 = 1 10+ 1 4 = 4 + 10 40 = 7 20.

(7)

et

P(R ∩ R0) = PH1(R ∩ R0)P (H1) + PH2(R ∩ R0)P (H2) = 16352+65103 2 = 20027 .



Propriété 2.24— Formule de Bayes. Soit {E1, E2, . . . , En} une partition de Ω d’événements non

vides. Soit A ⊂ Ω. Alors :

PA(Ei) =

PEi(A) × P(Ei)

Pn

i=1PEi(A) × P(Ei)

.

Exemple 2.25 Un test sanguin a une probabilité de0,95 de détecter un certain virus lorsque celui-ci est effectivement présent. Il donne néanmoins un faux résultat positif pour 1% des personnes non infectées. On cherche la probabilité ait le virus sachant qu’elle est positif (et on sait que0,5% de la population est porteuse du virus). On note :

V = {la personne testée a le virus} , T = {la personne testée a un test positif} .

On cherche PT(V ). Or, on sait que :

P(V ) = 0,005, PV(T ) = 0,95, PV(T ) = 0,01.

On en déduit par la formule de Bayes,

PT(V ) = P(T ∩ V ) P(T ) = PV(T )P (V ) PV(T )P (V ) + PV(T )P (V ) = 0,95 × 0,005 0,95 × 0,005 + 0,01 × 0,995 '0,323.  2.3.4 Indépendance

Définition 2.26 — Indépendance de deux événements. Deux événements E et F sont indépendants si :

P(E ∩ F) = P(E) × P(F).

R 2.27 D’après la propriété des probabilités composées, P(E) = PF(E) (si P (F ) > 0). Ce résultat correspond

à l’idée intuitive que si E et F sont indépendants alors la réalisation de F n’apporte pas d’information sur

E.

Exemple 2.28 On jette deux fois le même dé. Les événements

A= {obtention d’un chiffre pair au premier lancer} , B = {obtention du 1 au deuxième lancer} ,

sont indépendants. En effet, en prenantΩ = {1, 2, 3, 4, 5, 6}2et si on fait l’hypothèse de l’équiproba-bilité dansΩ (P équiprobable), on vérifie que :

P(A) = 3 × 6

36 = 12, P(B) = 6 × 136 = 16.

P(A ∩ B) = 3 × 1

36 = 121 , P(A)P (B) = 12 × 16 = 121 .

(8)

16 Leçon no2 Expérience aléatoire, probabilité, probabilité conditionnelle

2.3.5 Schéma de Bernoulli

Définition 2.29 Toute expérience aléatoire conduisant à deux issues possibles S (Succès) et S (Echec) est appelée épreuve de Bernoulli.

Exemple 2.30 Si on appelle Succès lors d’un lancé d’un dé, l’événement noté :

S= « Le six sort ».

Le lancer du dé peut alors être considéré comme une épreuve de Bernoulli avec — S= {6} et p = P(S) = 1/6.

— S= {1, 2, 3, 4, 5} avec q = 1 − p = 5/6.



Définition 2.31 — Schéma de Bernoulli. Si on répète n fois et de façon indépendante une épreuve de Bernoulli, on obtient un schéma de Bernoulli.

Propriété 2.32 Soit0 ≤ k ≤ n,

P(« obtenir k succès ») = n p !

pkqn−k.

Exemple 2.33 On lance 3 fois une pièce et on dit qu’on fait « succès » si la pièce tombe sur pile. On cherche la probabilité de faire 2 succès.

P(« obtenir 2 succès ») = 3 2 ! 1 4 1 2 = 3 8. 

(9)

Bibliographie

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[27] Marche au hasard dans les rues de Toulouse, URL : http://mappemonde.mgm.fr/ actualites/M_toulouse2.html

Références

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