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La syndicalisation à la CGT de 1906 à 1945

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-00759056

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00759056

Submitted on 29 Nov 2012

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La syndicalisation à la CGT de 1906 à 1945

Dominique Andolfatto, Dominique Labbé

To cite this version:

Dominique Andolfatto, Dominique Labbé. La syndicalisation à la CGT de 1906 à 1945. 2006. �hal-00759056�

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CERAT

Centre de recherche sur le Politique, l’Administration et le territoire

Avril 2006

La syndicalisation à la CGT de 1906 à 1945

Dominique Andolfatto Université de Nancy II Dominique.Andolfatto@univ-nancy2.fr Dominique Labbé

(CERAT - Institut d’Etudes Politiques de Grenoble :

Dominique.Labbe@iep-grenoble.fr)

Résumé

Document de synthèse sur les effectifs syndiqués à la CGT de 1906 à 1947. Examen critique des sources et note méthodologique, tableaux récapitulatifs par années et par fédérations. Trois périodes sont étudiées : avant la première guerre mondiale, les années 1913-1921 et 1922-1946.

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Avertissement

A l'occasion de la sortie de notre ouvrage Histoire des syndicats en France 1906-2006 (Le Seuil), nous plaçons en ligne les principales données concernant la syndicalisation à la CGT avant 1947 – avec l’indication des sources et une discussion de méthode - informations qui n'ont pu trouver place dans cet ouvrage.

Cette note étudie trois périodes – avant la première guerre mondiale, les années 1913-1921, 1922-1946.

Pour les données concernant la seconde moitié du XXe siècle, se reporter à nos rapports de recherche et nos ouvrages suivants :

- Dominique Andolfatto (dir). Les syndicats en France. Paris : La Documentation française, 2004,

- Dominique Andolfatto et Dominique Labbé. La CGT. Organisation et audience depuis 1945. Paris : La Découverte, 1997.

- Dominique Labbé. Syndicats et syndiqués en France depuis 1945. Paris : L'Harmattan, 1996.

- Antoine Bevort et Dominique Labbé. La CFDT : organisation et audience depuis 1945. Paris : La documentation française, 1992.

Une liste complète de ces travaux est placée en ligne sur la page personnelle de Dominique Labbé sur le site internet du CERAT.

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1. La syndicalisation à la CGT avant la Première guerre mondiale.

En 1906 et en 1908, les rapports financiers présentés aux congrès confédéraux de la CGT indiquent pour chaque fédération le nombre des adhérents et les sommes versées. Ces données sont reproduites dans le tableau 1 (à la fin de ce document). Elles appellent quelques remarques préalables :

La plupart des chiffres publiés sont arrondis et parfois ils sont constants pendant plusieurs années - Livre : 10 000 ; Mécaniciens 5 000 ; Métallurgie 14 000, etc. Tout cela n'est pas très réaliste. C. Marck le reconnaît lors du congrès de 1912 : avant 1909, le nombre des adhérents résulte d'une négociation entre trésoriers pour fixer une sorte de forfait1. Dans cette négociation, le trésorier confédéral n'est pas totalement démuni : au moins pour les principales organisations, il dispose des rapports financiers présentés devant les congrès fédéraux.

Il n'y a aucune incitation à "trop" payer puisque, au comité confédéral comme au congrès, chaque organisation dispose d'une voix sans tenir compte de son effectif.

On peut donc tenir pour certain qu'il y a au moins 153 400 adhérents à la CGT en 1904 ; qu'ils sont 202 400 deux ans plus tard, pour le congrès d'Amiens, soit une croissance de pratiquement un tiers des effectifs qui montre du dynamisme mais aussi une amélioration de la gestion de la confédération grâce au recrutement d'un trésorier. Cependant, rapportés à la population salariée, ces chiffres sont faibles. En 1906, le taux de syndicalisation à la CGT est de 5%, si l'on considère la seule industrie, et de 3%, si l'on compte l'ensemble des salariés susceptibles d'être syndiqués. Mais il est certain que ces proportions sont sous-estimées comme va le révéler la mise en œuvre d'un nouveau système financier.

Au 1er janvier 1910, un nouveau système financier entre en vigueur : chaque syndiqué reçoit une carte confédérale et des timbres mensuels. Le principe a été adopté par le congrès confédéral de 1908. V. Griffuelhes l'avait bloqué lors des congrès de 1904 et 19062. Il s'était contenté de déclarer : "fonctionnement trop compliqué", sans s'expliquer. Son emprisonnement pendant le congrès de 1908, puis sa démission ont levé cet obstacle. Cependant, les responsables des bourses ont imposé un système complexe : le syndicat doit acheter deux "demi-timbres" mensuels, à sa fédération et à sa bourse.

1

Compte-rendu sténographique du congrès confédéral (CGT, 1912, p. 29).

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La portée symbolique est importante. Les adhérents deviennent "membres de la CGT". C'est un pas vers une organisation unifiée. Cependant, il n'y a pas d'enjeu pratique. La règle reste la même : une organisation, une voix quel que soit le nombre des adhérents. Donc, les fédérations et les UD n'ont aucune raison de "gonfler" leurs commandes de cartes et de timbres. En revanche, pour respecter l'esprit de la réforme, il faut remettre la carte et les timbres au syndiqué, donc en commander suffisamment. En fait, certaines fédérations, comme le Livre ou le Textile ont déjà des cartes et des timbres et tardent à les abandonner.

Au total, on peut considérer que, dans les années 1910-1922, les ventes de timbres par la trésorerie confédérale donnent une idée a minima des effectifs réellement syndiqués à la CGT (tableaux 2 à 4 en annexe).

Naturellement, la mise en place du nouveau système ne va pas sans quelques anomalies. Ainsi, le rapport au congrès de 1912 indique que certaines fédérations ou bourses commandent les cartes et commencent à acheter les timbres non pas en janvier, mais bien plus tard dans l'année ; de plus le règlement des timbres d'une année peut s'étaler assez loin au cours de l'année suivante.

Enfin, la conjoncture brouille les choses. Par exemple, au second semestre 1910, le SN des chemins de fer ne verse pas un centime à la caisse confédérale et, après la crise de cette organisation qui suit la grève générale ratée, ses versements baissent considérablement.

Sous ces réserves, les rapports financiers présentés au congrès de Marseille (octobre 1910) et du Havre (octobre 1912) donnent des informations intéressantes (tableau 2).

Etant donné le prix modique de la carte, il peut être tentant d'en distribuer à des "sympathisants" qui ne cotisent pas régulièrement. De plus, le système de la carte conduit à un comportement "optimiste". On commande un peu plus de cartes, quitte à retourner celles qui n'ont pas été placées à la fin de l'exercice budgétaire (mais ces retours ne sont pas mentionnés dans les rapports). Les syndicats affichent le nombre des cartes pour la propagande extérieure ou à destination du simple adhérent - il se sentira moins seul… - mais ils utilisent les timbres payés pour la vie interne. En effet, les rapports financiers jusqu'au début des années 1920, indiquent également les timbres effectivement réglés à la trésorerie confédérale. Si de nombreuses fédérations semblent en retard dans le paiement des timbres, cela peut tenir au temps nécessaire pour que les recettes "remontent" du trésorier du syndicat au trésorier fédéral puis au trésorier confédéral. Cela peut tenir aussi à ce que certaines fédérations ont déjà institué le timbre trimestriel voire annuel (Spectacle).

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Entre 1910 et 1912, la moyenne de timbres mensuels vendus par carte est très légèrement inférieure à 7. Le fonctionnement n'est pas si mauvais et ne justifie pas le pessimisme de certains historiens devant les chiffres de la syndicalisation3.

Naturellement, on peut toujours imaginer que l'adhérent "fidèle" ou stable - présent au premier janvier et toujours adhérent au 31 décembre - paie ses 12 timbres. Cet idéal ne sera atteint qu'avec le prélèvement automatique sur le compte chèque à la fin du XXe siècle. Un raisonnement simple permet de déterminer une "fourchette" au sein de laquelle la réalité se situe probablement :

- L'hypothèse la plus optimiste est la suivante : d'une part, les syndiqués stables paient en moyenne 11 timbres mensuels (cela suppose une organisation solide et un "percepteur" efficace) ; d'autre part, les arrivées compensent les départs qui se répartissent également au cours de l'année et concernent un dixième des adhérents (on suppose donc que la durée moyenne de l'adhésion est de dix ans, ce qui est vraiment optimiste !). Cela donne 10,5 timbres par adhérent (les cartes placées). On en retire que – avant 1914 – dans les professions stables et les syndicats les mieux gérés, il n'est physiquement pas possible de dépasser une moyenne 10 timbres mensuels par adhérent et par an. C'est d'ailleurs le ratio qui sera appliqué quand, dans les congrès syndicaux, les voix seront calculées à la "proportionnelle", c'est-à-dire attribuées en fonction du nombre des adhérents.

- Dans l'hypothèse pessimiste, les adhérents présents toute l'année paient 10 timbres mensuels (ce qui suppose déjà un percepteur doué) ; les arrivées et les départs concernent un quart de l'effectif (durée moyenne de l'adhésion : 4 ans) et se compensent à peu près. Cela donne 8,5 timbres par adhérent. On peut donc en retenir que le ratio de 8 timbres par adhérent est un plancher réaliste pour des branches économiques comme l'Agriculture, la grande industrie, le textile-habillement où le personnel ouvrier est payé à la quinzaine, voire à la semaine et où le turn over de la main d'œuvre est important...

Si la moyenne des timbres par carte descend en dessous de ce plancher, plusieurs explications sont possibles : il y a eu une forte perte ou un afflux d'adhérents nouveaux au cours de l'exercice, ou bien la perception des cotisations n'a pas été faite sérieusement, ou encore certains "porteurs de carte" ne sont pas de "vrais" syndiqués.

Pour simplifier la présentation, dans notre livre, et dans les tableaux placés en annexe, nous retenons la seule hypothèse médiane : un adhérent paye en moyenne 9

3

Par exemple: Georges Lefranc. Le mouvement syndical sous la IIIe République. Paris : Payot, 1967, p. 407-409.

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timbres mensuels par an. Naturellement, il faut se souvenir que le chiffre est donné avec une marge d'incertitude de ± 10 %. Il ne s'agit donc pas d'un effectif "exact", au sens vulgaire de l'exactitude. D'ailleurs toute mesure d'une réalité physique ou sociale n'est-elle pas inscrite dans une certaine marge d'incertitude ?

Pour 1910, le ratio à 10 timbres aboutit à 380 000 adhérents (soit 11% de mieux qu'en 1909) ; le ratio à 8 timbres donne 472 000 adhérents (soit + 38% par rapport à l'année antérieure). Si l'on retient l'hypothèse médiane, l'effectif est de 425 000 adhérents (25% de croissance sur un an). Il est donc très probable que l'ancien système financier conduisait à une nette sous-estimation des effectifs syndiqués à la CGT.

La dernière colonne du tableau 2 (1910-1912) donne la moyenne des effectifs syndiqués au meilleur de l'avant-guerre, d'après les données du rapport financier présenté au congrès de 1912. En totalisant les versements du 1er janvier 1910 au 30 juin 1912, on lisse les accidents conjoncturels et les tâtonnements inévitables dans la mise en place du nouveau système financier. Pour 1913, il n'y a pas de chiffres publiés mais les données retrouvées par M. Labi indiquent un léger tassement4). L'exercice 1914 est tragiquement interrompu. On peut donc considérer la série 1910-12 comme le maximum d'avant-guerre.

2. Les années 1913-1921

Le congrès confédéral prévu à l'automne 1914 n'a pu se tenir et les rapports n'ont pas été imprimés. Cependant, le rapport destiné au congrès confédéral prévu à l'automne 1914 était prêt. M. Labi en a tiré les renseignements concernant les effectifs pour 1913. Nous raccordons ces informations aux renseignements données par le trésorier confédéral entre juillet 1918 (congrès de Paris) et juillet 1921 (congrès de Lille) qui permettent de reconstituer les effectifs annuels pour la période 1914-18 et semestriels pour la période 1919-1921. En effet, durant cette période, les congrès confédéraux sont annuels et les comptes-rendus financiers sont arrêtés à la fin mai, ce qui permet d'établir des séries "semestrielles" (de janvier à mai et de mai à décembre)5. On peut ainsi situer avec précision le moment où la "vague de syndicalisation" des années 1917-19 se déclenche dans chaque milieu professionnel et également le point de retournement à partir duquel s'enclenche le reflux des années 1920-21.

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Maurice Labi. La grande division des travailleurs. Première scission de la CGT. 1914-1921. Paris : Eds ouvrières, 1964.

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3. Les années 1922-1946.

Le tableau 4 présente les données rendues publiques par le trésorier de la CGT-U lors de son premier congrès (Saint-Etienne, juin 1922). Nous utilisons la convention selon laquelle un adhérent paye 9 timbres mensuels par an). Pour une fois, il y a "trop" de timbres (équivalents à 420 000 adhérents) par rapport au nombre de cartes officiellement diffusées (300 000). Ce sont les dernières données "sincères" dont on dispose concernant la syndicalisation à la CGT.

A partir de 1922, les documents financiers que publient les confédérations ne permettent plus de connaître le nombre de timbres vendus par la trésorerie confédérale. Il faut donc estimer les effectifs par des moyens indirects. Plusieurs méthodes ont été proposées. Pour la période 1922-1945, la meilleure méthode est incontestablement celle qu'a utilisée A. Prost pour son étude portant sur la CGT sous le Front populaire6 puis sur la CGT à la Libération7.

Les résultats d'A. Prost concernant les années 1922-1934 sont reproduits dans le tableau 5 et complétés pour l’année 1935 avec les indications données par L. Jouhaux en janvier 1936, au moment de la réunification.

Le tableau 6 en annexe, raccorde les informations concernant la CGT en uniformisant les champs des fédérations :

- Les effectifs de la CGT avant la réunification (1935) sont connus grâce à B. George et D. Tintant qui ont pu accéder à des archives originales (nous convertissons leurs données avec la convention de 9 timbres annuels pour un adhérent8.

- Les effectifs de la CGT unifiée à son meilleur niveau d'avant-guerre (1937) est tiré des mandats de congrès de 1938 tels que les a reconstitués A. Prost dans son ouvrage de 1964 ;

Enfin, les effectifs de la CGT réunifiée à son meilleur niveau d'après-guerre (1945) sont tirés des mandats de congrès de 1946 tels que les a reconstitués A. Prost dans son article de 1992 et complété par nos soins à l’aide du rapport devant le congrès confédéral de 1946 (tableau 7).

5 Comme l'a montré J.-L. Robert, les versements à la trésorerie confédérale donnent une idée assez

fiable du mouvement des effectifs dans les fédérations (Jean-Louis Robert. La scission syndicale de 1921. Essai de reconnaissance des formes. Paris : Publications de la Sorbonne., 1980, p 47-54).

6

Antoine Prost. La CGT à l'époque du front populaire. Paris, A. Colin, 1964.

7 Antoine Prost. Les effectifs de la CGT en 1945. In Peschanski Denis et Robert Jean-Louis (dir.). Les

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8

A la Libération, la CGT ne retrouve pas tout à fait son meilleur niveau d’avant-guerre mais surtout elle change de visage. Elle est nettement plus « fonctionnaire » qu’avant guerre. Cela traduit le renforcement de l’appareil administratif sous le régime de Vichy, tandis que le secteur privé ne redécollera véritablement qu’à la fin des années 1940. De surcroît, il est probable que, pour les fonctionnaires, la carte CGT a constitué une sorte de garantie d’emploi, alors même que les commissions d’épuration font preuve d’une certaine sévérité à leur égard.

On observe également de nettes distorsions entre la répartition des effectifs entre fédérations et celle des mandats. Cela tient aux modalités de distribution du « pouvoir » dans la CGT qui avantagent alors les fédérations comptant de nombreux syndicats. Le système désavantage nettement les fédérations du « public » mais aussi les Métaux et le Sous-sol. Par contre, des fédérations telles l’Agriculture ou le Bâtiment, sont nettement sur-représentées. Lorsque l’on redistribue les mandats de façon plus équitable entre fédérations et que l’on tente de recalculer quels auraient été les résultats des votes dans ces conditions, il apparaît que les communistes auraient obtenu une audience légèrement plus faible, avec 78% des votes (au lieu de 85%) pour s’en tenir au rapport d’activité. Cela tend à indiquer que la défense par la « minorité » de la proportionnelle dégressive, alors en vigueur dans la CGT, ne leur était pas nécessairement plus favorable puisqu’ils auraient obtenu de meilleurs résultats avec la proportionnelle intégrale. C’est surtout un combat assez vain puisque, en toute hypothèse, les communistes dominent largement. Au total, le « rapport de force » qui s’exprime lors de ce congrès paraît bien moins le produit de modalités de représentation que, dans de nombreuses organisations, d’une pratique de vote par paquets de mandats, et peut-être d’une confiscation de ceux-ci, au profit quasi-exclusif de la tendance animée par B. Frachon. A partir de cette date, les congrès seront largement « fabriqués » par le secteur organisation de la confédération9.

8

Georges Bernard et Tintant Denise. Léon Jouhaux Cinquante ans de syndicalisme. Paris : PUF. 1979, p. 119.

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Tableau 1. Effectifs des fédérations de la CGT de 1904 à 1909

31-mai-04 31-mai-06 31-déc-08 31-déc-09 Agricoles 3 000 4 405 3 216 2 800 Alimentation 2 000 2 500 2 500 2 500 Allumettiers 1 500 1 500 1 500 1 500 Ameublement 2 000 2 000 2 000 2 000 Ardoisiers 6 000 2 500 2 000 Artistes-Musiciens 2 500 2 500 4 750 4 750 Bâtiment* 7 300 11 350 43 000 85 000 Bijouterie 1 100 1 800 1 800 1 800 Blanchisseurs 100 100 50 50 Brossiers-tabletiers 200 250 1 850 1 500 Bûcherons 4 000 6 000 6 250 6 250 Céramique 2 200 2 200 3 000 3 000 Chapeliers 1 200 1 400 1 700 3 000 Chauffeurs mécaniciens 1 000 1 000 3 500

Syndicat national des Chemins de fer 11 450 24 275 45 600 47 934

Coiffeurs 2 000 2 000 2 000 2 000 Confection militaire 500 500 700 580 Cuirs et peaux 2 800 4 000 8 000 8 000 Dessinateurs 1 200 500 500 Eclairage 5 200 5 200 5 700 Employés 9 875 3 000 3 000 3 000 Ferblantiers-boîtiers 500 550 700 Gantiers 500 900 900 Habillement 400 1 565 1 500 2 200 Horticole 500 500 500 Inscrits maritimes 3 500 3 500 Lithographie 2 000 2 000 1 500 1 500 Livre* 10 200 10 900 10 000 10 000

Magasins administratifs de la guerre 700 500 900 900 Manutentions diverses 1 200 1 500 1 000 1 000 Maréchaux 1 250 1 250 1 250 1 250 Marine de l'Etat 12 000 12 000 5 000 5 000 Mécaniciens 5 000 5 000 5 000 1 000 Métallurgie** 16 550 19 300 18 200 19 200 Mineurs 3 500 4 325 30 000 30 000 Municipaux 4 200 5 000 3 000 3 000 Papier 1 000 1 000 1 000 1 500 Pelletiers-Fourreurs 400 400 400

Personnels civils des établts de la guerre 4 200 4 400 5 000 5 000

Ports et docks 5 000 5 000 5 000 6 000

Postes, télégraphes et téléphones 3 000 3 000 4 150 4 500

Poudrerie 1 500 2 000 2 000 Sabotiers 300 260 300 300 Sellerie-bourellerie 600 600 600 600 Spectacle 8 000 Tabacs 10 000 10 000 9 000 9 000 Teinturiers 1 000 1 000 1 000 1 000 Textile 7 400 13 000 20 000 20 000 Tonneau 500 500 500 500 Transports en commun 4 000 6 000 5 000 5 000 Verriers 2 400 3 500 4 000 4 000 Voiture 1 200 2 000 1 000 1 000 Syndicats isolés 1 174 2 693 4 320 5 840 Total 152 499 202 873 281 866 336 814

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Tableau 2. La syndicalisation à la CGT en 1910-12

1910 Cartes 1910 (9 timbres) 1910-12 8 timbres

Agricoles du midi 3500 3 389 4 871 Agricoles du nord 800 244 108 Alimentation 10800 6 333 7 097 Allumettiers 2000 2 400 2 511 Ameublement 5800 3 900 6 080 Ardoisiers 3000 856 347 Bâtiment 139520 116 667 122 400 Bijouterie 4000 2 833 3 308 Blanchisseurs 600 144 172 Brossiers-tabletiers 2700 2 129 3 337 Bûcherons 8000 7 667 9 990 Céramique 5000 4 667 4 740 Chapeliers 4500 5 667 7 830 Chauffeurs-conducteurs-mécaniciens 8500 3 856 2 012 Chemins de fer 50000 37 264 31 877 Coiffeurs 2300 1 222 1 373 Confection militaire 950 889 890 Cuirs et peaux 10000 6 111 11 340 Dessinateurs 600 200 372 Eclairage 11000 11 444 13 140 Employés 9000 9 444 11 610 Ferblantiers-boîtiers 700 900 981 Fourrure 1000 1 222 765 Gantiers 600 722 762 Habillement 5000 2 778 3 434 Horticole 3000 667 1 053 Inscrits maritimes 5000 4 000 5 520 Instituteurs 2000 1 444 585 Lithographie 2000 2 000 2 592 Livre 10000 16 667 21 060

Magasins administratifs de la guerre 1150 1 333 1 620

Manutentions diverses - - 7 632 Maréchaux 1500 1 056 1 260 Marine de l'Etat 9200 10 000 12 555 Mécaniciens 1000 1 111 765 Métallurgie 40000 26 111 39 735 Mineurs 30000 21 111 32 648 Monnaies et médailles 400 267 366 Municipaux 27000 15 667 17 010 Papier 2800 1 944 2 565

Personnels civils de la guerre 5500 10 000 11 682

Ports et docks 13000 10 278 17 955

Postes, télégraphes et téléphones 5200 5 144 8 082

Poudrerie 2500 1 889 4 001 Préparateurs en pharmacie 1000 556 945 Produits chimiques 2200 778 2 070 Sabotiers 1150 667 593 Sciage et façonnage 3000 778 945 Services de santé 3300 1 611 6 773 Sous-agents des PTT - 667 2 936 Spectacle 8000 8 889 10 017 Tabacs 10000 6 600 10 800 Teinturiers 2400 1 644 1 751 Textile 20000 17 778 23 700 Tonneau 1600 1 711 2 421 Transports en commun 29500 11 356 19 562 Vanniers 1000 889 855 Verriers 5000 3 200 3 951 Voiture 2000 1 556 1 958

Autres et syndicats isolés 300 124 911

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Tableau 3. Effectifs de la CGT entre 1913 et mai 1921

1913 1914 1915 1916 1917 1918 1919-1 1919-2 1920-1 1920-2 1921 Agriculture 4 000 2 444 56 221 831 1 000 3 067 3 467 33 333 9 524 6 853 Alimentation 5 556 3 361 377 723 2 000 3 433 13 653 40 000 41 333 9 524 27 573 Allumettes 3 000 1 667 2 223 1 111 1 109 889 1 733 724 5 467 0 2 533 Ameublement 5 556 4 444 0 0 60 1 223 4 400 14 219 13 333 13 143 13 333 Bâtiment 66 667 33 333 0 4 111 13 333 18 945 54 400 128 571 212 533 40 000 40 000 Bijouterie 1 777 1 444 111 221 500 889 2 560 5 867 6 667 3 809 3 333 Blanchisseurs 89 83 0 5 167 177 587 2 847 3 075 219 667 Brossiers-tabletiers 2 247 1 111 111 53 221 1 488 5 333 6 819 15 867 3 904 0 Bûcherons 5 000 2 777 0 0 33 1 200 1 333 0 0 0 Céramique 3 333 2 065 333 667 777 1 611 2 933 8 093 18 667 6 667 9 333 Chapeliers 7 333 3 333 1 111 1 333 1 667 1 333 4 000 5 713 6 133 7 239 3 733 Chemins de fer 22 223 20 852 14 500 35 555 106 443 205 556 387 200 267 613 254 133 160 952 106 667 Coiffeurs 944 888 200 523 443 567 1 360 2 000 3 200 857 1 600 Confection militaire 223 - - - - Cuirs et peaux 11 333 6 667 111 2 588 5 177 12 223 24 000 33 523 46 667 18 763 20 000 Dessinateurs 223 155 0 0 0 85 720 1 056 1 813 0 667 Eclairage 12 667 9 723 3 833 4 667 5 276 7 744 23 733 42 856 69 333 10 667 40 000 Employés 8 361 6 123 1 167 1 000 3 076 4 589 21 173 48 591 57 333 16 191 21 333 Finances - - - 6 667 Fonctionnaires - - - 10 096 21 333 Habillement 3 295 2 577 744 3 400 13 268 23 944 36 000 30 476 40 000 9 523 13 400 Horticole 556 221 11 33 76 56 93 2 323 0 0 0 Instituteurs 3 111 3 500 811 828 888 1 123 8 000 8 571 26 667 3 905 10 667 Lithographie 2 571 1 633 57 555 2 333 2 667 5 333 16 857 0 0 0 Livre 18 333 11 000 1 111 1 221 1 000 2 444 9 067 11 333 6 667 41 904 34 400

Magasins administratifs de la guerre 10 333 10 444 1 333 11 605 26 400 46 065 22 287 8 761 19 557 6 899 13 333

Maréchaux 667 333 0 0 0 111 267 571 800 191 0

Marine de l'Etat 9 911 8 888 3 667 3 000 12 739 18 800 25 333 3 809 24 000 1 904 10 133

(13)

12

Métaux 36 111 19 444 1 444 6 888 68 888 139 668 133 333 201 547 266 667 94 285 77 333

Monnaies et médailles 373 292 0 0 221 312 600 149 400 249 400

Papier 1 917 - - - 16 000 8 000 8 000

Personnels civils de la guerre 944 888 0 0 555 3 889 5 333 4 856 8 000 10 809 4 667

Ports et docks 17 777 9 000 1 889 1 111 1 888 5 600 49 333 47 304 80 000 21 809 21 907

Poste, télégraphe et téléphone 10 777 11 299 5 667 6 933 8 055 11 335 46 667 42 141 131 867 26 000 93 333

Poudrerie 3 889 3 333 0 1 111 5 521 19 668 10 667 1 141 5 333 591 4 000

Pharmacie 377 333 0 88 333 167 533 2 533 3 200 0 800

Produits chimiques 1 800 672 11 21 1 500 5 519 11 160 26 847 28 133 9 523 5 893

Sabotiers 223 - - - -

Sciage et façonnage 444 333 56 56 276 679 2 933 4 571 6 667 1 905 10 667

Services publics (ex-municipaux) 18 777 12 000 5 333 5 723 5 888 9 779 20 933 33 333 79 200 31 429 66 667

Services de santé 7 889 4 551 1 872 2 667 3 443 8 223 14 933 13 808 22 933 12 217 26 800 Sous-sol 11 556 10 221 5 033 6 400 13 909 40 223 59 333 123 808 189 600 88 571 93 333 Spectacle 1 444 777 0 0 333 889 4 800 11 893 26 667 15 333 20 000 Tabacs 6 111 10 667 0 0 0 12 067 15 867 19 467 26 667 6 667 0 Teinturiers 959 848 300 51 244 169 379 739 187 0 267 Textile 31 556 35 072 889 3 221 9 333 24 445 50 667 127 444 226 667 128 571 100 000 Tonneau 1 777 1 333 56 221 277 888 6 667 10 477 17 333 3 809 5 333 Transports en commun 21 667 19 000 444 2 888 5 800 11 804 34 667 42 019 73 333 27 047 46 933 Verriers 2 777 1 667 0 56 68 1 600 4 267 13 229 22 667 11 427 6 667 Voiture-aviation 1 111 609 0 111 3 323 6 612 7 733 3 447 8 000 1 905 3 627 Divers non fédérés* 231 0 0 0 0 0 0 67 987 0 93 040 0 Total 394 963 285 291 55 527 111 709 328 773 664 977 1 156 772 1 515 684 2 179 565 982 400 1 030 853

(14)

13

Tableau 4. Effectifs de la CGT-U au 31 avril 1922 comparé aux effectifs de la CGT (pour 1921)

CGT (1921) CGT-U CGT-U/CGT Agriculture 6 853 1 933 0,28 Alimentation 27 573 46 655 1,69 Ameublement 13 333 6 665 0,50 Bâtiment 40 000 33 658 0,84 Céramique 9 333 3 333 0,36 Chemins de fer 106 667 49 988 0,47 Cuirs et peaux 20 000 9 998 0,50 Eclairage 40 000 18 329 0,46 Employés 21 333 4 999 0,23 Enseignement 10 667 6 665 0,62 Guerre 18 000 5 765 0,32 Habillement 13 400 4 999 0,37 Livre 34 400 8 331 0,24 Marine et Etat 10 133 3 333 0,33 Métaux 77 333 33 325 0,43 Papier-carton 8 000 1 883 0,24 Ports et docks 21 907 9 998 0,46 Postale 93 333 9 998 0,11 Produits chimiques 5 893 1 733 0,29 Sciage et tabletterie 10 667 4 999 0,47 Services publics 66 667 29 993 0,45 Sous-sol 93 333 35 722 0,38 Spectacle 20 000 1 166 0,06 Textile 100 000 39 990 0,40 Transports 46 933 11 664 0,25 Verriers 6 667 7 298 1,09 Voiture-Aviation 3 627 3 499 0,96 Petites fédérations** 15 600 7 316 0,47 Isolés 0 15 253 - Total 941 653 418 482 0,44

* En gras : les fédérations acquises aux CSR avant la scission.

** Petites fédérations : Bijouterie, Blanchisseurs, Coiffeurs, Monnaie, Poudrerie, Teinturiers, Tonneau

(15)

14

Tableau 5. Evolution des effectifs de la CGT et de la CGT-U entre 1922 et 1935 (arrondis au millier d'adhérents)

Années CGT CGT-U Total

1921 543 388 931 1924 546 1926 583 479 1 062 1928 616 411 1 028 1930 641 358 1 000 1932 592 287 880 1934 546 293 839 1935 700 206 906

Années 1921 à 1934 : d'après A. Prost, La CGT à l'époque du front populaire. Paris, A. Colin, 1964, p 120.

Pour 1935 : nombre de timbres payés au 31 octobre 1935 (information donnée par L. Jouhaux lors du CCN de janvier 1936).

(16)

15

Tableau 6. Les effectifs de la CGT de 1935 à 1945 (En milliers, un adhérent paie 9 timbres mensuels par an)

1935 1937 1945 Agriculture 5,9 53,3 148,4 Alimentation 13,9 182,3 147,8 Bâtiment 36,5 380,5 401,0 Bois 3,7 65,0 50,8 Chemins de fer 119,1 399,2 322,6 Chimie 2,8 173,3 136,3 Cuirs et peaux 6,6 64,8 60,6 Eclairage 35,1 88,1 92,6 Employés 14,8 181,5 156,9 Enseignement 81,6 122,9 131,6 Fonctionnaires* 65,9 87,8 438,0 Habillement 5,5 63,4 49,4 Livre 28,9 63,3 37,8 Marins 11,6 43,0 23,4 Métaux 51,7 925,3 754,8 Papier carton 0,4 68,7 29,1 Ports et docks 19,1 79,3 65,2 PTT 84,3 105,4 140,5 Services pubics* 79,8 170,7 283,4 Sous-sol 50,4 298,3 216,9 Spectacle 7,1 19,3 33,3 Textile 47,2 380,7 150,3 Transports 42,8 120,4 101,9 Travailleurs Etat 31,5 80,6 118,5 Verre et céramique 3,4 55,2 26,4 Petites fédérations* 23,3 146,9 77,0 Total 873,0 4 419,1 4 194,5

* - Fonctionnaires : y compris l'Equipement - Services publics et services de santé

- Petites fédérations : Bijou, Chapellerie, Coiffeurs, Dessinateurs, Feuillardiers, Pharmacie, Tabacs, Tonneau.

(17)

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Tableau 7. Effectifs, mandats et votes par fédération CGT lors du congrès de 1946

Classement des fédérations (ou groupes de fédérations) selon le coefficient de progression 1945/1937 Effectifs 1945/ 1937 (coeff.) Effectifs 1945 (en milliers) Nombre de mandats en 1946 Répartition des effectifs 1945 (en %) Répartition des mandats 1946 (en %) « Oui » au rapport d’activité 1946 (% exp.) « Oui » à la réforme des statuts 1946 (% exp.) 1. Fonctionnaires 6,7 403 577 9,6 2,4 - Administration gale 153 0,6 95 99 - Air-Guerre-Marine 147 0,6 14 11 - Economie nationale 95 0,4 77 96 - Finances 182 0,7 59 58 2. Agriculture 2,8 148 2289 3,5 9,3 97 92 3. Spectacle 1,7 33 237 0,8 1,0 91 92 4. Services publics 1,7 283 1408 6,8 5,7 65 56 5. Travailleurs de l’Etat 1,5 119 686 2,8 2,8 94 86 6. PTT 1,3 141 546 3,3 2,2 74 75 7. Travaux publics 1,3 35 291 0,8 1,2 93 16 8. Enseignement 1,1 132 628 3,1 2,6 42 46 9. Bâtiment 1,1 401 2980 9,6 12,2 96 95 10. Eclairage 1,1 93 801 2,2 3,9 87 79 11. Cuirs et peaux 0,9 61 502 1,4 2,0 89 88 12. Employés 0,9 157 728 3,7 3,0 59 64 13. Transports 0,9 102 584 2,4 2,4 83 81 14. Ports et docks 0,8 65 324 1,6 1,3 74 98 15. Métaux 0,8 755 2990 18,0 12,7 96 95 16. Alimentation 0,8 148 1498 3,5 6,1 84 77 17. Cheminots 0,8 323 2042 7,7 8,3 93 89 18. Produits chimiques 0,8 136 758 3,2 3,1 95 92 19. Bois 0,8 51 605 1,2 2,5 91 81 20. Habillement 0,8 49 440 1,2 1,8 80 79 21. Sous-sol 0,7 217 642 5,2 2,6 94 93 22. Livre 0,6 38 329 0,9 1,3 22 23 23. Marins 0,5 23 192 0,6 0,8 - Officiers de marine 35 0,1 94 80 - Syndicats maritimes 157 0,6 83 95 24. Verre et céramique 0,5 26 303 0,6 1,2 - Céramique 170 0,7 91 87 - Verre 133 0,5 100 100 25. Papier-Carton 0,4 69 265 0,7 1,1 90 90 26. Textile 0,4 150 1127 3,6 4,6 90 89 Petites fédérations 0,5 77 742 1,8 3,0 - Bijouterie 52 0,2 100 13 - Chapellerie 47 0,2 98 61 - Coiffeurs 118 0,5 42 43 - Feuillardiers 11 0,0 100 100 - Journalistes 30 0,1 7 3 - Pharmacie 144 0,6 31 29 - Tabacs 130 0,5 28 31 - Tonneau 93 0,4 100 81 - Voyageurs-représent. 117 0,5 92 61 Total 0,9 4194 24514 100,0 100,0 85 81

Figure

Tableau 1. Effectifs des fédérations de la CGT de 1904 à 1909
Tableau 2. La syndicalisation à la CGT en 1910-12
Tableau 3. Effectifs de la CGT entre 1913 et mai 1921
Tableau 4.  Effectifs de la CGT-U au 31 avril 1922   comparé aux effectifs de la CGT (pour 1921)
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