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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Aborder la consommation durable à partir de l'expression corporelle de la science

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Academic year: 2021

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ABORDER LA CONSOMMATION DURABLE

À PARTIR DE L’EXPRESSION CORPORELLE ET LA SCIENCE

Josep BONIL, Genina CALAFELL, Marta FONOLLEDA et Maia QUEROL. Groupe Cómplex, Département de didactique des mathématiques et des sciences expérimentales. Universitat Autònoma de Barcelona (Espagne).

MOTS-CLÉS : DIALOGUE DISCIPLINAIRE – DURABILITÉ – COMPLEXITÉ – ÉDUCATION À LA CONSOMMATION

RÉSUMÉ : L’atelier L’eau est-elle toujours en équilibre ? soulève la question de la consommation durable de l’eau à partir de l’articulation entre sciences expérimentales et expression corporelle. Il vient du défi de concevoir des activités éducatives incorporant le dialogue disciplinaire comme articulation dialogique des disciplines en assumant les principes de la complexité. Nous présentons le cadre théorique, la description de l’atelier, et les principaux points de discussion surgis lors des Journées.

ABSTRACT : The Is water always balanced ? workshop deals with sustainable consumption articulating experimental sciences and corporal expression. It arises from the challenge of designing educational activities that include disciplinary dialogue, as a dialogical articulation between disciplines assuming the principles of complexity. The theoretical fundaments, the description of the workshop and the main discussion points that arose during the workshop sessions are presented.

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Que nous suggère cette bande dessinée ?

Questions que nous nous posons…

Pouvons-nous utiliser l’eau de manière illimitée pour arroser ?

Comment répond la plante lorsqu’elle est arrosée en excès ?

Et nous, quel rôle jouons-nous ?…

1. INTRODUCTION ET CONTEXTE

Cet article présente une expérience de formation qui provient de la collaboration entre deux institutions : l’Escola del Consum de Catalunya de l’Agència Catalana del Consum et le Groupe Còmplex de l’Universitat Autònoma de Barcelona.

L'Escola del Consum de Catalunya (ECC) est un service public et gratuit de la Generalitat de

Catalunya1 qui cherche à favoriser et à développer la présence de l’éducation à la consommation dans le domaine éducatif catalan. Il s’appuie sur une interaction entre activité d’enseignement, innovation méthodologique et recherche, dans un processus continu de recherches de nouvelles

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manières d’introduire l’éducation à la consommation dans le programme scolaire. Une de ses principales lignes d’action est l’offre d’ateliers de formation sur la consommation à des élèves de six à dix huit 18 ans.

Le groupe Còmplex est un groupe de recherche qui se donne pour objectif la recherche d’outils didactiques favorisant l’incorporation des principes du paradigme de la complexité (Bonil et al., 2004b) aux contextes éducatifs. Une de ses lignes de recherche est le dialogue disciplinaire (Bonil et al., 2004a), entre les sciences expérimentales et les autres disciplines, afin de construire des connaissances et d’interpréter les phénomènes du monde à partir d’une articulation des savoirs disciplinaires qui considèrent comme complémentaires les savoirs antagoniques.

L’ECC et le groupe Còmplex définissent un espace de collaboration de recherche et d’innovation éducative, où ils partagent le bagage théorique du Groupe Còmplex avec la mise en pratique de nouvelles manières d’enseigner et d’apprendre dans le contexte éducatif de l’ECC.

Dans ce contexte, l’atelier L’eau est-elle toujours en équilibre ? provient du défi partagé de concevoir et de mettre en œuvre un atelier éducatif qui incorpore un dialogue disciplinaire entre l’art et la science, afin d’établir une proposition didactique qui dépasse la dichotomie classique de l’art comme communication de la science ou de la science comme thématique de l’art.

2. QUEL EST LE CADRE DE LA PROPOSITION DIDACTIQUE ?

Que vous suggère la bande dessinée à l’en-tête de l’article ? Pouvons-nous utiliser l’eau de manière illimitée pour arroser ? Comment répond la plante lorsqu’elle est arrosée en excès ? Et nous, quel rôle jouons-nous ?

La consommation durable de l’eau peut être interprétée et expliquée depuis toute une diversité de points de vue. L’utilisation de métaphores comme celle que présente la bande dessinée permet de construire les phénomènes du monde depuis une vision ouverte et dynamique. L’eau est-elle

toujours en équilibre ? met en jeu l’utilisation de métaphores en intégrant des éléments de l’art et de

la science afin de soulever le thème de la consommation durable de l’eau. Ce thème est destiné à des jeunes âgés entre douze et dix-huit ans et cherche, d’une part, à doter les élèves de compétences pour penser, communiquer et agir selon les critères de la durabilité, et de l’autre à les former à interpréter les phénomènes du monde à partir de la construction de scénarios futurs en incorporant des stratégies créatives dans lesquelles les limites se convertissent en opportunités.

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La proposition présentée prend comme point de départ l’art et la science comme constructions humaines et culturelles. Toutes deux suivent des règles permettant d’activer la créativité, à la fois rationnelle et intuitive, et qui intègre la pensée et le sentiment (Mayer, 2002). Elle concrétise la perspective de l’art et de la science comme disciplines de connaissances pour être une proposition qui s’inscrit dans l’éducation formelle et le programme éducatif. Dans ce sens, la proposition est conçue comme un espace où le dialogue disciplinaire prend de l’importance pour construire des modèles explicatifs particuliers à chaque discipline en établissant des relations entre ces dernières. Dans l’atelier, l’approche de la consommation de l’eau est orientée à partir de la construction par l’ensemble des participants du concept de durabilité. La diversité de perspectives des participants et la diversité d’approches curriculaires y trouvent leur importance : l’eau pour les fonctions des êtres vivants, les propriétés physico-chimiques de l’eau, ses usages sociaux… de manière à ce que les phénomènes se construisent comme réseaux polyédriques construits et reconstruits par la diversité de regards et de disciplines, inscrivant ainsi le dialogue disciplinaire dans la complexité (Bonil et al., 2004b). Le thème de la consommation durable de l’eau à partir d’une perspective ouverte et dynamique fournit un scénario où l’indétermination et le hasard jouent un rôle important, une idée qui devient significative lorsque l’on associe la durabilité avec la projection de futur et l’action stratégique. L’atelier offre un scénario à l’élève afin que ce dernier identifie la consommation de l’eau et la durabilité à partir du choix d’options et comme une manière d’être en relation avec le monde. Face aux étagères d’eaux embouteillées du supermarché, quel est l’achat le plus durable selon mon économie, mes valeurs ou l’activité physique que je réalise habituellement ? Ces décisions mettent en jeu des réflexions à partir d’une négociation entre diversité de savoirs disciplinaires en construisant des îlots de rationalité interdisciplinaire (Fourez, 1997).

La proposition didactique devient significative et déterminante pour l’élève lorsque la consommation durable de l’eau émerge dans des contextes éducatifs quotidiens et qui lui sont propres. Si l’on comprend le processus d’enseignement-apprentissage à partir de l’activation d’entités et de processus importants pour les savoirs disciplinaires, pour les participants et pour la société actuelle, comment construisons-nous le concept de durabilité à partir de l’idée de l’équilibre corporel ? Puis-je mettre en jeu l’idée d’équilibre lorsque je cuisine des macaronis ou lorsque j’ouvre le robinet pour me laver les dents ? Cette perspective de l’enseignement-apprentissage est centrée sur des processus portés par la modernité liquide lorsqu’elle introduit une temporalité pointilliste, et elle construit une vision où le temps et les réalités sont dynamiques, montantes et éphémères (Bauman, 2006).

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Dans le cas concret de l’atelier L’eau est-elle toujours en équilibre ? le point de départ est le phénomène de la consommation de l’eau. Ce dernier prend toute son importance à partir de la formulation de questions génératrices. Une question présente le phénomène de manière ouverte et dynamique, et d’autres sous-questions orientent les activités et articulent la participation de diversité de disciplines.

En même temps, le phénomène est articulé à partir de la définition de l’axe structurant, de l’axe conceptuel et de l’axe artistique. L’équilibre constitue l’axe structurant de l’atelier, étant donné que c’est l’idée centrale autour de laquelle pivotent les contenus didactiques et l’organisation des activités. L’axe conceptuel est la durabilité, étant donné qu’elle connecte le phénomène avec les modèles explicatifs des sciences expérimentales et des sciences sociales, depuis la recherche de régularités qui soient applicables. L’axe artistique est l’expression corporelle, étant donné qu’elle met en relation le phénomène avec la création de représentations virtuelles à partir de la recherche d’un univers particulier et transférable2. L’axe conceptuel et l’axe artistique sont complétés par l’approche de l’axe structurant, où l’on présente la métaphore entre l’équilibre corporel et l’équilibre dynamique de la durabilité.

3. COMMENT SE CONCRÉTISE LA PROPOSITION DIDACTIQUE ? L’atelier est composé de différentes activités qui partent d’une question.

Activité 1 : L’eau est-elle toujours en équilibre ? La question qui sert de titre à l’atelier sert à

initier un remue-méninges autour du concept d’équilibre. Les participants écrivent et/ou dessinent ce que leur suggère la question sur un post’it. À partir de toutes les réponses, on commence un débat collectif où on regroupe les apports selon des critères définis et redéfinis.

Figure 1 : le remue méninges

Cette activité cherche à faire réfléchir sur la multitude de perspectives depuis lesquelles on peut aborder un même phénomène et sur la manière dont le dialogue entre ces dernières peut enrichir la vision du phénomène.

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Activité 2 : comment construisons-nous des équilibres avec notre corps ? La deuxième question donne lieu à

une activité dans laquelle les participants construisent des figures humaines à partir de l’expression corporelle, en jouant avec deux variables : le nombre de personnes formant un groupe et le nombre de supports (mains et pieds) qui peuvent être mis à terre pour se

soutenir. Figure 2 : l’expression corporelle

Cette activité invite à explorer le concept d’équilibre à partir de l’improvisation collective avec le corps pour chercher une diversité de manières de se soutenir. Les participants mettent en jeu leur créativité, en concevant des stratégies coopératives qui leur permettent de construire les figures humaines selon les variables proposées.

Activité 3 : Quelle relation avons-nous avec l’eau ?

Des questions telles que : Pouvons-nous vivre en buvant seulement un demi-litre d’eau par jour ?

Quelle pourrait être la qualité de l’eau pour tirer la chasse d’eau ? Pourrions-nous produire du papier ou du pain sans eau ? Des activités comme le water-polo existeraient-elles sans eau ? Combien accepterais-tu de payer pour un litre d’eau ? approchent la consommation de l’eau à

partir du modèle de la science ou du modèle de la société et de la culture.

Les questions ci-dessus mettent en évidence une relation continue entre les sociétés et le milieu. Cette relation constitue un équilibre dynamique entre deux points de référence : le milieu et les personnes ; ou entre deux points de vue : anthropocentrique et biocentrique. Le dialogue entre les deux extrêmes génère des équilibres plus ou moins forts, qui nous montrent des modèles de gestion plus ou moins durables (fig. 3).

À ce moment-là, on récupère le travail d’expression corporelle réalisé pendant l’activité antérieure. En partant de la construction des figures humaines, on soulève des questions telles que : de quoi

avons-nous besoin pour nous soutenir ? Toutes les figures humaines pourraient-elles perdurer de la même manière dans le temps ? Comment une perturbation externe affecterait-elle chacune des différentes figures humaines ? Comment le nombre de points de support a-t-il une influence ? etc.

Ces questions permettent d’introduire l’idée qu’il y a une diversité d’équilibres, qui sont toujours dynamiques, et le fait qu’ils soient plus ou moins durables selon les éléments qui interviennent.

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Figure 3 : Échantillon des images de support pour construire le concept de durabilité

La réflexion sur l’équilibre corporel permet d’approcher le concept de durabilité depuis divers éléments-clés : la diversité d’éléments qui entrent en jeu et l’importance de leurs relations, la stabilité par rapport au temps et les changements du milieu par rapport à l’adaptation.

Activité 4 : Qu’est-ce qui intervient dans l’équilibre de l’eau ?

Les participants sont répartis en groupe et chacun simule un achat d’eau. En utilisant des jeux de hasard comme la roulette, des dés et des cartes (fig. 4), on assigne à chaque groupe les caractéristiques de son achat : quantité achetée, utilisation postérieure, origine géographique de l’eau, eau en bouteille ou eau courante, type d’emballage, etc.

Figure 4 : Échantillon de jeux de hasard utilisés pour déterminer les caractéristiques de l’achat d’eau

Une fois les caractéristiques de chaque achat déterminées, les groupes évaluent le degré de durabilité de leur eau de manière qualitative en considérant les relations entre les différentes caractéristiques. Par exemple, si l’on considère la relation entre la quantité d’eau achetée et l’utilisation qui en est faite, on peut donner par hasard la relation de 50 litres pour se laver les dents.

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Ces situations soulèvent des questions et les élèves choisissent des options en mettant en jeu le concept de durabilité et d’équilibre, de manière à ce qu’ils situent leur achat sur une échelle de durabilité (fig. 5).

Figure 5 : Évaluation qualitative de la durabilité de

la consommation d’eau à partir de la relation entre les

caractéristiques de l’achat

L’objectif de cette activité est de fournir à l’élève des outils pour pouvoir décider la manière dont sa consommation d’eau se situe en référence à la durabilité. Elle est fondée sur la construction de savoirs fictifs qui situent les participants dans des scénarios imprévisibles, dans lesquels sont développées des stratégies d’action créatives. La durabilité apparaît dotée d’un composant de hasard élevé, où les critères qui déterminent son identité se construisent et se reconstruisent pour être appliqués à des contextes quotidiens avec une incidence globale.

Activité 5 : Toutes les eaux sont-elles égales ?

Finalement, chaque groupe met à l’épreuve la durabilité de son achat, assigné durant l’activité antérieure, à travers un exercice d’équilibres adapté à partir du jeu Twister. Dans ce jeu, chaque groupe expérimente la durabilité de son achat à partir des positions qu’il réalise avec son corps et de la stratégie avec laquelle il intervient dans le jeu (fig. 6).

Si l’on prend comme référence la représentation corporelle de chaque achat dans le jeu de Twister, l’axe conceptuel de la durabilité et l’axe artistique de l’expression corporelle dialoguent pour s’approcher du concept d’équilibre afin d’interpréter et d’expliquer le phénomène de la consommation de l’eau. Dans cette activité, les questions trouvent leur importance dans l’application des contenus travaillés. Par exemple, la question quel rôle joue le temps dans les

équilibres ? soulèvent des points de contact entre la construction de figures avec le corps

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figures corporelles, celles qui peuvent être maintenues pendant plus longtemps représenteront un équilibre plus fort. Dans la relation entre les sociétés et le milieu, celle qui dure le plus dans le temps en considérant les générations futures projettera un scénario plus durable.

Figure 6 : Représentation corporelle de la durabilité de l’achat de chaque

groupe

L’objectif de cette dernière activité de la séquence est d’appliquer tous les contenus traités pendant l’atelier afin de construire la compétence à interpréter, à agir et à communiquer de manière créative tout phénomène du monde à partir de critères de durabilité.

4. QUELQUES QUESTIONS SOULEVÉES LORS DE LA DISCUSSION SUR L’ATELIER Les questions et la discussion soulevées parmi les participants à l’atelier réalisé lors des 30es Journées Internationales sur la Communication, l’Éducation et la Culture Scientifiques, Techniques et Industrielles tournent autour de la relation entre l’art, la science et la diversité de perspectives lorsque l’on approche les phénomènes.

• L’activité tient-elle compte de la diversité de perspectives lorsqu’on approche la consommation durable de l’eau ?

o L’activité initiale est une opportunité pour que les participants expriment leurs points de vue autour de la question soulevée. Elle permet aussi de lancer un débat sur la consommation d’eau. Selon certains participants, c’est une opportunité pour comprendre l’enseignement et l’apprentissage à partir du point de vue des élèves et des processus de modélisation.

o La formulation d’une échelle de durabilité permet de négocier l’idée de durabilité parmi les participants. Ces derniers jugent que cette dynamique permet de prendre des décisions à partir d’une perspective individuelle et collective.

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o L’évocation d’un concept parfois polysémique et abstrait comme la durabilité est mis en contexte dans des situations telles que l’achat d’eau depuis différentes entités (utilisation, quantité, qualité, etc.). Partir de situations de la vie quotidienne permet, selon les participants, d’approcher les jeunes de la durabilité en considérant leurs modes de vie.

• L’atelier atteint-il ce dialogue complémentaire entre l’art et la science ?

o La science est un savoir travaillé dans l’atelier à partir de l’eau comme ressource naturelle, les propriétés de l’eau, son importance pour les êtres vivants… selon la majorité des participants.

o Dans l’atelier, l’art est travaillé à partir de l’expression corporelle. Cette idée amène les participants à soulever des questions telles que : l’expression corporelle est-elle un art ? Et

qu’est-ce qu’un art ?

o Face à ces nouvelles questions, certains participants prennent la perspective de l’expression corporelle comme une discipline artistique. D’autres préfèrent ne pas accorder à l’expression corporelle le statut de discipline artistique car elle n’est pas présente dans le programme scolaire et en alléguant qu’elle pourrait aussi être une activité d’éducation physique.

o Les participants qui associent l’expression corporelle à l’art considèrent que l’activité présentée met en jeu une diversité de disciplines, et que c’est une activité intéressante pour travailler la durabilité à partir de l’interdisciplinarité dans les centres éducatifs.

BIBLIOGRAPHIE

Bauman, Z (2006). Vída Líquida. Barcelona : Ediciones Paidós Ibérica.

Bonil, J., Calafell, G., Orellana, L., Espinet, M., & Pujol, R. M. (2004a). El diálogo disciplinar, un camino necesario para avanzar hacia la complejidad. Investigación En La Escuela, 53, 83-97. Bonil, J., Sanmartí, N., Tomás, C., & Pujol, R. M. (2004b). Un nuevo marco para orientar

respuestas a las dinámicas sociales : El paradigma de la complejidad. Investigación En La

Escuela, 53, 5-20.

Fourez, G. (1997). Qu'entendre par îlot de rationalité ? Et par îlot interdisciplinaire de rationalité ?

Aster, 25, 217-225.

Mayer, M. (2002). «Ciutadans del barri i del planeta». Cinc ciutadanies per a una nova educació.

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Figure 1 : le remue méninges
Figure 3 : Échantillon des images de support pour construire le concept de durabilité
Figure 5 : Évaluation qualitative de la durabilité de
Figure 6 : Représentation corporelle de la durabilité de l’achat de chaque

Références

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