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115 .Verrière en tôle peinte à décor chinoisant ; avec

deux anses.

XVIIIe siècle H 10 × l 31 × P 21,5 cm (oxydations) 400 / 500 €

Paire de flambeaux en bronze doré, à décor de cannelures et joncs rubanés

Style louis XV H 28 cm 150 / 200 €

large secrétaire à abattant en bois de rose et amarante la façade à décor en ressaut d’un ovale ouvrant à un tiroir, deux vantaux et un abattant découvrant quatre compartiments, quatre tiroirs et un dessus de maroquin rouge ; les montants en demi-colonne à cannelures simulées terminés par des pieds en toupie ; dessus de marbre gris Sainte-Anne.

Époque louis XVI H 148 × l 115 × P 41,5 cm (Accidents)

2 500 / 3 000 €

Table-console en bois fruitier ouvrant à un tiroir, les montants en colonne réunis par une tablette d’entretoise. ; dessus de marbre gris Sainte-Anne à rebord de bois.

travail provincial du début du XIXe siècle H 82 × l 83 × P 33,5 cm

(Accidents) 150 / 200 €

Secrétaire à gradin en marqueterie de cubes ouvrant à un rideau et quatre tiroirs ; le plateau basculant libérant trois compartiments coulissant et un dessus de cuir ; dessus de marbre à galerie ; l’arrière plaqué.

Époque louis XVI H 105,5 × l 65 × P 44 cm (Petits manques) 2 000 / 3 000 €

Paire de tabourets en bois peint de forme rectangulaire à pans coupés, la ceinture à décor d’entrelacs et rai de cœurs, les pieds à cannelures en spirales et chapiteaux.

Style louis XVI H 22 × l 43 × P 34 cm 600 / 800 €

Commode en marqueterie de bois clair sur fond de bois de violette à décor de fleurs, vases néoclassiques et guirlandes ; ouvrant à deux tiroirs, les montants arrondis reposant sur des pieds cambrés ; dessus de marbre rouge du languedoc.

Époque louis XVI

ornementation de bronzes dorés H 81 × l 108 × P 57 cm

109 . Verrière en tôle peinte à décor chinoisant ; avec

deux anses.

XVIIIe siècle H 10 × l 31 × P 21,5 cm (oxydations) 400 / 500 €

Paire de flambeaux en bronze doré, à décor de cannelures et joncs rubanés

Style louis XV H 28 cm 150 / 200 €

large secrétaire à abattant en bois de rose et amarante la façade à décor en ressaut d’un ovale ouvrant à un tiroir, deux vantaux et un abattant découvrant quatre compartiments, quatre tiroirs et un dessus de maroquin rouge ; les montants en demi-colonne à cannelures simulées terminés par des pieds en toupie ; dessus de marbre gris Sainte-Anne.

Époque louis XVI H 148 × l 115 × P 41,5 cm (Accidents)

2 500 / 3 000 €

Table-console en bois fruitier ouvrant à un tiroir, les montants en colonne réunis par une tablette d’entretoise. ; dessus de marbre gris Sainte-Anne à rebord de bois.

travail provincial du début du XIXe siècle H 82 × l 83 × P 33,5 cm

(Accidents) 150 / 200 €

Secrétaire à gradin en marqueterie de cubes ouvrant à un rideau et quatre tiroirs ; le plateau basculant libérant trois compartiments coulissant et un dessus de cuir ; dessus de marbre à galerie ; l’arrière plaqué.

Époque louis XVI H 105,5 × l 65 × P 44 cm (Petits manques) 2 000 / 3 000 €

Paire de tabourets en bois peint de forme rectangulaire à pans coupés, la ceinture à décor d’entrelacs et rai de cœurs, les pieds à cannelures en spirales et chapiteaux.

Style louis XVI H 22 × l 43 × P 34 cm 600 / 800 €

Commode en marqueterie de bois clair sur fond de bois de violette à décor de fleurs, vases néoclassiques et guirlandes ; ouvrant à deux tiroirs, les montants arrondis reposant sur des pieds cambrés ; dessus de marbre rouge du languedoc.

Époque louis XVI

ornementation de bronzes dorés H 81 × l 108 × P 57 cm

116

116 .

117 .Pierre-Jean DAVID D'ANGERS (1788-1856) jean-François Bodin (1766-1829) Buste en marbre

Signé P.j. DAVID et daté 1824 sur le côté gauche.

H 53 cm

(Ancienne fente consolidée)

Jean-François Bodin était député et historiographe de l'Anjou.

Œuvre en rapport : Jean-François Bodin, médaillon en bronze par David d'Angers, Musée du Louvre, Inv DA069B.

12 000 / 15 000 €

Attribué à Jean-Baptiste ISABEY (1767-1855) Portrait du Prince Murat, Roi de Naples Ivoire

5,4 x 3,4 cm 1 200 / 1 500 € CT

116

117

116 .

117 .Pierre-Jean DAVID D'ANGERS (1788-1856) jean-François Bodin (1766-1829) Buste en marbre

Signé P.j. DAVID et daté 1824 sur le côté gauche.

H 53 cm

(Ancienne fente consolidée)

Jean-François Bodin était député et historiographe de l'Anjou.

Œuvre en rapport : Jean-François Bodin, médaillon en bronze par David d'Angers, Musée du Louvre, Inv DA069B.

12 000 / 15 000 €

Attribué à Jean-Baptiste ISABEY (1767-1855) Portrait du Prince Murat, Roi de Naples Ivoire

5,4 x 3,4 cm 1 200 / 1 500 € CT

M O B I L I E R O B J E T S D ' A R T

120

118 .

119 .

120 .

121 .

Paire de flambeaux en argent formant candélabres à trois lumières

les bobèches reposant sur des cornes se terminant par des têtes d'aigle, le fût en gaine à décor de buste de femme reposant sur une base circulaire à décor d'une frise de cygnes et roseaux

Première moitié du XIXe siècle Poinçons Vieillard (1819-1838) orfèvre : D.G.

Poids brut : 2,485 kg

(Douze éléments dont une bobèche désoudée, réparations aux attaches des bras de lumière) 2 500 / 3 000 € CSP

Pendule en bronze doré et placage d’ébène à décor d’un enfant-guerrier tenant le profil de louis XVI ; mouvement de montre signé de Martin Pierre (probablement associé).

Fin du XVIIIe siècle H 21 × l 19 cm (restaurations) 300 / 400 €

Éventail, le manche en nacre ouvragé à décor d'une scène galante aquarellée

XVIIIe siècle 200 / 300 €

Vase d’ornement en terre-cuite, à draperie en trompe l’œil, avec deux visages de femmes antiques de chaque côté ; reposant sur un piédouche à rais de coeurs.

Fin du XVIIIe siècle H 43 cm

(Accidents et restaurations) 2 500 / 3 000 €

118

119 121

120

118 .

119 .

120 .

121 .

Paire de flambeaux en argent formant candélabres à trois lumières

les bobèches reposant sur des cornes se terminant par des têtes d'aigle, le fût en gaine à décor de buste de femme reposant sur une base circulaire à décor d'une frise de cygnes et roseaux

Première moitié du XIXe siècle Poinçons Vieillard (1819-1838) orfèvre : D.G.

Poids brut : 2,485 kg

(Douze éléments dont une bobèche désoudée, réparations aux attaches des bras de lumière) 2 500 / 3 000 € CSP

Pendule en bronze doré et placage d’ébène à décor d’un enfant-guerrier tenant le profil de louis XVI ; mouvement de montre signé de Martin Pierre (probablement associé).

Fin du XVIIIe siècle H 21 × l 19 cm (restaurations) 300 / 400 €

Éventail, le manche en nacre ouvragé à décor d'une scène galante aquarellée

XVIIIe siècle 200 / 300 €

Vase d’ornement en terre-cuite, à draperie en trompe l’œil, avec deux visages de femmes antiques de chaque côté ; reposant sur un piédouche à rais de coeurs.

Fin du XVIIIe siècle H 43 cm

(Accidents et restaurations) 2 500 / 3 000 €

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119 121

M O B I L I E R O B J E T S D ' A R T

122 .Christophe-Gabriel ALLEGRAIN (Paris, 1710-1795)

Narcisse se mirant dans l’eau Marbre

H 54 × l 52 cm

80 000 / 100 000 € MG

Photographie ancienne du Narcisse, prise au château de Sagan, Silésie.

122 .Christophe-Gabriel ALLEGRAIN (Paris, 1710-1795)

Narcisse se mirant dans l’eau Marbre

H 54 × l 52 cm

80 000 / 100 000 € MG

122

Photographie ancienne du Narcisse, prise au château de Sagan, Silésie.

M O B I L I E R O B J E T S D ' A R T

au Salon de 1747 (n°130), tandis que le marbre fut admiré au Salon de 1753 (n°58).

Né dans une famille d’artistes, Allegrain avait épousé en 1732 la sœur du sculpteur Jean-Baptiste Pigalle. D’abord son proche collaborateur, Allegrain s’émancipa peu à peu de la tutelle de Pigalle. Il devint célèbre grâce au raffinement et à la sensualité de sa Vénus sortant du Bain en marbre, qui lui fut commandée par Louis XV pour orner le château de Choisy (aujourd’hui à Paris, musée du Louvre). Exposée lors du Salon de 1767, admirée par Diderot, la déesse fut offerte par le roi à sa favorite Madame Du Barry en 1772. Cette dernière commanda à notre sculpteur une Diane surprise par Actéon qui remporta le même succès pendant le Salon de 1777 (Paris, musée du Louvre). Artiste apprécié de ses contemporains, Allegrain travailla dès lors pour une clientèle fortunée attirée par la perfection de son art.

Après la Révolution, le Narcisse rejoignit le Museum du palais du Louvre, puis, sous le Consulat, il fut mis en dépôt au château de Saint Cloud par ordre de Napoléon Bonaparte 1. Là, sous l’Empire, le Narcisse orna les appartements de l’impératrice Joséphine puis, pendant la Restauration, ceux de la reine Marie-Amélie. Le château de Saint Cloud brûla en 1870 et le Narcisse disparut dans l’incendie.

Toutefois, profitant du succès au concours de l’Académie, Allegrain avait lui-même diffusé le modèle de son Narcisse 2. Deux plâtres aujourd’hui disparus sont mentionnés dans des catalogues de vente datés de 1774 et de 1807 3. Enfin, Allegrain réalisa une réplique en marbre de son Narcisse pour le fermier-général Etienne-Michel Bouret (1710-1777) afin que celui-ci l’expose dans son luxueux Pavillon du Roi édifié dans la forêt de Sénart 4. Bouret mourut ruiné, si bien que ses filles refusèrent leur héritage 5.

Narcisse de marbre à sa nouvelle maîtresse et confidente Dorothée de Courlande, duchesse de Dino et de Sagan 7. Dorothée de Courlande épousa le neveu de Talleyrand et se retira à partir de 1843 au château de Sagan, en Silésie (actuelle Pologne).

Son fils, Napoléon Louis de Talleyrand-Périgord, puis son petit-fils, Boson de Talleyrand-Périgord, se défirent peu à peu des collections.

Une photographie ancienne du Narcisse prise au château de Sagan 8 et un dessin du sculpteur Joseph Nollekens, réalisé vers 1770 9, étaient, jusqu’à aujourd’hui, les rares témoignages de ce chef-d’œuvre inconnu.

Bibliographie :

- Livrets du Salon de 1747 et 1753.

- Jean-Aimar Piganiol de la Force, Description historique de la ville de Paris et de ses environs, Paris, Chez les libraires associés, 1765, IX, p. 189.

- Prosper Tarbé, La Vie et les œuvres de Jean-Baptiste Pigalle sculpteur, Paris, J. Renouard, 1859, p. 98 et p. 240-241.

- Samuel Rocheblave, « Jean-Baptiste Pigalle et son art », Revue de l’art ancien et moderne, XII, 1902, p. 369-370.

- Guilhem Scherf, « Un monument méconnu : le mausolée de Charles-Joseph de Pollinchove par Christophe-Gabriel Allegrain (1710-1795) », Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 1989, p. 117-130.

- Caroline Béziès, « Nouveaux documents sur Christophe-Gabriel Allegrain (1710-1795) », Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 2000, p. 158-179.

- Rita Hofereiter, « ‘’C’est pour le roi’’. Etienne-Michel Bouret : bâtisseur du Pavillon du Roi », dans T. Gaehtgens (éd.), L’art et les normes sociales au XVIIIe siècle, actes colloque, Paris, Maisons des sciences de l’homme, 2001, p. 101-124.

1 Cf. Béziès, 2000, p. 161.

2 Cf. Béziès, 2000, p.166-167.

3 Vente Le Carpentier, 14 mars 1774, n° 99 et vente Suvée, 4 novembre 1807, n° 155. Cf. Scherf, 1989, p. 122 et n. 33.

4 Cf. Piganiol de la Force, 1765, p. 189.

5 Cf. Hofereiter, 2001, p. 115.

6 Paris, Archives Nationales, Minutier Central des Notaires, CXVIII/594, 18 avril 1777.

7 Cf. Tarbé, 1859, p. 240-241.

8 Cf. Rocheblave, 1902, p. 369.

9 Conservé à Oxford, Ashmolean Museum. Cf. Scherf, 1989, p. 122-123, fig. 9.

.Provenance : collection particulière ; par descendance.

En 1746, Christophe-Gabriel Allegrain fut agréé par l’Académie Royale de Peinture et Sculpture grâce à un Narcisse se mirant dans l’eau qu’il réalisa d’abord en plâtre, puis en marbre pour être définitivement reçu en 1751. Le plâtre fut exposé au Salon de 1747 (n°130), tandis que le marbre fut admiré au Salon de 1753 (n°58).

Né dans une famille d’artistes, Allegrain avait épousé en 1732 la sœur du sculpteur Jean-Baptiste Pigalle. D’abord son proche collaborateur, Allegrain s’émancipa peu à peu de la tutelle de Pigalle. Il devint célèbre grâce au raffinement et à la sensualité de sa Vénus sortant du Bain en marbre, qui lui fut commandée par Louis XV pour orner le château de Choisy (aujourd’hui à Paris, musée du Louvre). Exposée lors du Salon de 1767, admirée par Diderot, la déesse fut offerte par le roi à sa favorite Madame Du Barry en 1772. Cette dernière commanda à notre sculpteur une Diane surprise par Actéon qui remporta le même succès pendant le Salon de 1777 (Paris, musée du Louvre). Artiste apprécié de ses contemporains, Allegrain travailla dès lors pour une clientèle fortunée attirée par la perfection de son art.

Après la Révolution, le Narcisse rejoignit le Museum du palais du Louvre, puis, sous le Consulat, il fut mis en dépôt au château de Saint Cloud par ordre de Napoléon Bonaparte 1. Là, sous l’Empire, le Narcisse orna les appartements de l’impératrice Joséphine puis, pendant la Restauration, ceux de la reine Marie-Amélie. Le château de Saint Cloud brûla en 1870 et le Narcisse disparut dans l’incendie.

Toutefois, profitant du succès au concours de l’Académie, Allegrain avait lui-même diffusé le modèle de son Narcisse 2. Deux plâtres aujourd’hui disparus sont mentionnés dans des catalogues de vente datés de 1774 et de 1807 3. Enfin, Allegrain réalisa une réplique en marbre de son Narcisse pour le fermier-général Etienne-Michel Bouret (1710-1777) afin que celui-ci l’expose dans son luxueux Pavillon du Roi édifié dans la forêt de Sénart 4. Bouret mourut ruiné, si bien que ses filles refusèrent leur héritage 5.

Son inventaire après-décès ne mentionne pas le Narcisse 6, ce qui signifie que Bouret s’en était déjà dessaisi. Sans doute l’avait-il offert à sa fille adultérine Adélaïde Filleul qui, à son tour, dû le céder à son amant Talleyrand, avec lequel elle conçut en 1785 un enfant adultérin. En effet, Talleyrand offrit au début du XIXe siècle un même Narcisse de marbre à sa nouvelle maîtresse et confidente Dorothée de Courlande, duchesse de Dino et de Sagan 7. Dorothée de Courlande épousa le neveu de Talleyrand et se retira à partir de 1843 au château de Sagan, en Silésie (actuelle Pologne).

Son fils, Napoléon Louis de Talleyrand-Périgord, puis son petit-fils, Boson de Talleyrand-Périgord, se défirent peu à peu des collections.

Une photographie ancienne du Narcisse prise au château de Sagan 8 et un dessin du sculpteur Joseph Nollekens, réalisé vers 1770 9, étaient, jusqu’à aujourd’hui, les rares témoignages de ce chef-d’œuvre inconnu.

Bibliographie :

- Livrets du Salon de 1747 et 1753.

- Jean-Aimar Piganiol de la Force, Description historique de la ville de Paris et de ses environs, Paris, Chez les libraires associés, 1765, IX, p. 189.

- Prosper Tarbé, La Vie et les œuvres de Jean-Baptiste Pigalle sculpteur, Paris, J. Renouard, 1859, p. 98 et p. 240-241.

- Samuel Rocheblave, « Jean-Baptiste Pigalle et son art », Revue de l’art ancien et moderne, XII, 1902, p. 369-370.

- Guilhem Scherf, « Un monument méconnu : le mausolée de Charles-Joseph de Pollinchove par Christophe-Gabriel Allegrain (1710-1795) », Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 1989, p. 117-130.

- Caroline Béziès, « Nouveaux documents sur Christophe-Gabriel Allegrain (1710-1795) », Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 2000, p. 158-179.

- Rita Hofereiter, « ‘’C’est pour le roi’’. Etienne-Michel Bouret : bâtisseur du Pavillon du Roi », dans T. Gaehtgens (éd.), L’art et les normes sociales au XVIIIe siècle, actes colloque, Paris, Maisons des sciences de l’homme, 2001, p. 101-124.

1 Cf. Béziès, 2000, p. 161.

2 Cf. Béziès, 2000, p.166-167.

3 Vente Le Carpentier, 14 mars 1774, n° 99 et vente Suvée, 4 novembre 1807, n° 155. Cf. Scherf, 1989, p. 122 et n. 33.

4 Cf. Piganiol de la Force, 1765, p. 189.

5 Cf. Hofereiter, 2001, p. 115.

6 Paris, Archives Nationales, Minutier Central des Notaires, CXVIII/594, 18 avril 1777.

7 Cf. Tarbé, 1859, p. 240-241.

8 Cf. Rocheblave, 1902, p. 369.

9 Conservé à Oxford, Ashmolean Museum. Cf. Scherf, 1989, p. 122-123, fig. 9.

M O B I L I E R O B J E T S D ' A R T

123 .Buste d’homme au catogan en terre cuite ; 124 . reposant sur un piédouche en marbre

Fin du XVIIIe siècle H 53 cm

(Petites restaurations) 2 000 / 3 000 €

Commode en marqueterie, la façade à ressaut ouvrant à cinq tiroirs sur trois rangs à décor d’entrelacs et rosaces, draperies et trophées amoureux ; les montant arrondis terminés par des pieds cambrés ; dessus de marbre blanc.

travail probablement hollandais vers 1770 H 96 × l 125 × P 66 cm

(Accidents et manques) 6 000 / 7 000 €

123

123 .Buste d’homme au catogan en terre cuite ; 124 . reposant sur un piédouche en marbre

Fin du XVIIIe siècle H 53 cm

(Petites restaurations) 2 000 / 3 000 €

Commode en marqueterie, la façade à ressaut ouvrant à cinq tiroirs sur trois rangs à décor d’entrelacs et rosaces, draperies et trophées amoureux ; les montant arrondis terminés par des pieds cambrés ; dessus de marbre blanc.

travail probablement hollandais vers 1770 H 96 × l 125 × P 66 cm

(Accidents et manques) 6 000 / 7 000 €

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M O B I L I E R O B J E T S D ' A R T

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