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45 .École FLAMANDE du XVIIIe siècle,

suiveur de David TENIERS La Lecture de la gazette Panneau de chêne, parqueté 28,5 x 23,5 cm

(restaurations anciennes) 1 500 / 2 000 € CT

École ALLEMANDE du XVIIIe siècle, suiveur de Carl RUTHART

Chiens forçant une panthère toile

53 x 74,5 cm

(restaurations anciennes) Sans cadre

1 500 / 2 000 € CT

Egbert van HEEMSKERCK (Haarlem 1634-Londres 1704) Les joueurs de cartes Les buveurs Paire de toiles 47,5 x 63,5 cm

le deuxième est sans cadre (Manques)

4 000 / 6 000 € la paire RM

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45 . École FLAMANDE du XVIIIe siècle,

suiveur de David TENIERS La Lecture de la gazette Panneau de chêne, parqueté 28,5 x 23,5 cm

(restaurations anciennes) 1 500 / 2 000 € CT

École ALLEMANDE du XVIIIe siècle, suiveur de Carl RUTHART

Chiens forçant une panthère toile

53 x 74,5 cm

(restaurations anciennes) Sans cadre

1 500 / 2 000 € CT

Egbert van HEEMSKERCK (Haarlem 1634-Londres 1704) Les joueurs de cartes Les buveurs Paire de toiles 47,5 x 63,5 cm

le deuxième est sans cadre (Manques)

4 000 / 6 000 € la paire RM

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TA B L E A U X A N C I E N S

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École HOLLANDAISE du XVIIIe siècle, suiveur de Jacob Adriaensz BELLEVOIS Navires hollandais

toile, un panneau transposé 86,5 x 126 cm

(restaurations) 5 000 / 7 000 € RM

Attribué à Jean-Pierre SAINT-OURS (1752-1809)

Manlius Torquatus condamnant son fils à mort toile

108 x 96 cm

(Manques et restaurations) 1 500 / 2 000 € CT Claude Antoine JACOB (Lyon 1780-1836) Le gué toile 30 x 36,5 cm

Signé en bas à droite Jacob 600 / 800 € RM

École FRANÇAISE du XVIIIe siècle, suiveur d’Etienne ALLEGRAIN Paysage antique avec des promeneurs toile

65,5 x 81 cm (restaurations) 1 500 / 2 000 € RM

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École HOLLANDAISE du XVIIIe siècle, suiveur de Jacob Adriaensz BELLEVOIS Navires hollandais

toile, un panneau transposé 86,5 x 126 cm

(restaurations) 5 000 / 7 000 € RM

Attribué à Jean-Pierre SAINT-OURS (1752-1809)

Manlius Torquatus condamnant son fils à mort toile

108 x 96 cm

(Manques et restaurations) 1 500 / 2 000 € CT Claude Antoine JACOB (Lyon 1780-1836) Le gué toile 30 x 36,5 cm

Signé en bas à droite Jacob 600 / 800 € RM

École FRANÇAISE du XVIIIe siècle, suiveur d’Etienne ALLEGRAIN Paysage antique avec des promeneurs toile

65,5 x 81 cm (restaurations) 1 500 / 2 000 € RM

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TA B L E A U X A N C I E N S

50 .Nicolas LANCRET (Paris 1690-1743) La Récréation Champêtre toile

65 x 81,5 cm

Inscription au revers du châssis Tableau signé Lancret 1740 dans le pied du socle ayant appartenu à Mr Surmont en 1793. Resté dans la famille Surmont jusqu’en 1910 date ou il est reçu en partage au fils de Melle Surmont marié à Mr

Provenance : collection Surmont de Volsberghe de 1793 à 1910 (selon le cachet de collection et une inscription sur le châssis).

Bibliographie : Mercure de France, mai 1734, cité p.

941 (mention de la gravure de Joullain) ; A. J. Dézallier d’Argenville, Abrégé de la vie des plus fameux peintres, avec leurs portraits gravés en taille-douce, les indications de leurs principaux ouvrages, quelques réflexions sur leurs caractères, et, la manière de connoître leurs desseins et les tableaux des grands maîtres, Paris, 1769, p. 440 (mention de la gravure de Joullain) ;

M. Huber et C. C. H. Rost, Manuel des curieux et des amateurs de l’art, Zurich, 1804, vol. VII, p. 94 (mention de la gravure de Joullain) ;

G. G. T. Paignon-Duval, Cabinet de M. Paignon- Duval, Etat détaillé et raisonné des dessins et estampes …, Paris, 1810, p. 285 (mention de la gravure de Joullain) ;

C. Blanc, Histoire des peintres de toutes les écoles, Ecole Française, Paris, 1864, fasc. 13, p. 8 (mention de la gravure de Trignon) ;

E. Bocher, Les Gravures françaises du XVIIIe siècle, Catalogue raisonné des estampes, eaux-fortes, pièces en couleur, au bistre et lavis de 1700 à 1800, Nicolas Lancret, Paris, 1879, 4ème fascicule, n° 68 (mention de la gravure de Joullain) ;

R. Portalis & H. Béraldi, Les Graveurs du Dix-huitième siècle, Paris, 1881, T. II, deuxième partie, p. 496 (mention de la gravure de Joullain) ; G. Wildenstein, Lancret, Paris, 1924, n° 271, cité p. 54, avec reproduction de la gravure fig. 67 (tableau perdu mais connu par la gravure) ; M. Morgan Graselli, « Eleven New Drawings by Nicolas Lancret », Master Drawings, vol. 23/24, 1985/1986, cité pp. 383 et 384, reproduit fig. 12, et p. 469, reproduit pl. 45.

Notre tableau, dont la composition est connue par la gravure de Joullain de 1734, est une importante découverte pour l’œuvre de Lancret qui perpétue l’art de Watteau.

Un dessin préparatoire à notre tableau est conservé à la Pierpont Morgan Library à New York. Nous y retrouvons une composition de quatre personnages. L’homme au béret assis à gauche est vêtu de la même manière que notre tableau, typique du style de Lancret du début des années 1720.

La posture des personnages est traitée de manière à apporter à la scène un brin d’humour rapprochant ainsi la composition des scènes de Claude Gillot, le maître de Lancret et de Watteau.

Il existe deux copies de notre tableau. La première est exécutée par Charles Collignon (1731-1790). Elle est conservée dans le salon lambrissé de l’Hôtel de Créhange-Pittange à Thionville.

Une deuxième copie anciennement au château de Saint Aignan, La Romieu, a été vendue chez Christie’s, New York, le 3 octobre 2007 (suiveur de Bonaventure de Bar).

L’attribution a été confirmée par Mary Tavener Holmes après un examen direct.

100 000 / 150 000 € RM

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50 .Nicolas LANCRET (Paris 1690-1743) La Récréation Champêtre toile

65 x 81,5 cm

Inscription au revers du châssis Tableau signé Lancret 1740 dans le pied du socle ayant appartenu à Mr Surmont en 1793. Resté dans la famille Surmont jusqu’en 1910 date ou il est reçu en partage au fils de Melle Surmont marié à Mr

Provenance : collection Surmont de Volsberghe de 1793 à 1910 (selon le cachet de collection et une inscription sur le châssis).

Bibliographie : Mercure de France, mai 1734, cité p.

941 (mention de la gravure de Joullain) ; A. J. Dézallier d’Argenville, Abrégé de la vie des plus fameux peintres, avec leurs portraits gravés en taille-douce, les indications de leurs principaux ouvrages, quelques réflexions sur leurs caractères, et, la manière de connoître leurs desseins et les tableaux des grands maîtres, Paris, 1769, p. 440 (mention de la gravure de Joullain) ;

M. Huber et C. C. H. Rost, Manuel des curieux et des amateurs de l’art, Zurich, 1804, vol. VII, p. 94 (mention de la gravure de Joullain) ;

G. G. T. Paignon-Duval, Cabinet de M. Paignon- Duval, Etat détaillé et raisonné des dessins et estampes …, Paris, 1810, p. 285 (mention de la gravure de Joullain) ;

C. Blanc, Histoire des peintres de toutes les écoles, Ecole Française, Paris, 1864, fasc. 13, p. 8 (mention de la gravure de Trignon) ;

E. Bocher, Les Gravures françaises du XVIIIe siècle, Catalogue raisonné des estampes, eaux-fortes, pièces en couleur, au bistre et lavis de 1700 à 1800, Nicolas Lancret, Paris, 1879, 4ème fascicule, n° 68 (mention de la gravure de Joullain) ;

R. Portalis & H. Béraldi, Les Graveurs du Dix-huitième siècle, Paris, 1881, T. II, deuxième partie, p. 496 (mention de la gravure de Joullain) ; G. Wildenstein, Lancret, Paris, 1924, n° 271, cité p. 54, avec reproduction de la gravure fig. 67 (tableau perdu mais connu par la gravure) ; M. Morgan Graselli, « Eleven New Drawings by Nicolas Lancret », Master Drawings, vol. 23/24, 1985/1986, cité pp. 383 et 384, reproduit fig. 12, et p. 469, reproduit pl. 45.

Notre tableau, dont la composition est connue par la gravure de Joullain de 1734, est une importante découverte pour l’œuvre de Lancret qui perpétue l’art de Watteau.

Un dessin préparatoire à notre tableau est conservé à la Pierpont Morgan Library à New York. Nous y retrouvons une composition de quatre personnages. L’homme au béret assis à gauche est vêtu de la même manière que notre tableau, typique du style de Lancret du début des années 1720.

La posture des personnages est traitée de manière à apporter à la scène un brin d’humour rapprochant ainsi la composition des scènes de Claude Gillot, le maître de Lancret et de Watteau.

Il existe deux copies de notre tableau. La première est exécutée par Charles Collignon (1731-1790). Elle est conservée dans le salon lambrissé de l’Hôtel de Créhange-Pittange à Thionville.

Une deuxième copie anciennement au château de Saint Aignan, La Romieu, a été vendue chez Christie’s, New York, le 3 octobre 2007 (suiveur de Bonaventure de Bar).

L’attribution a été confirmée par Mary Tavener Holmes après un examen direct.

100 000 / 150 000 € RM

50

TA B L E A U X A N C I E N S

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