• Aucun résultat trouvé

Troisième partie :

Etude du thème

17 3.1- GENERALITES

3.1.1- Notion de la charge de travail

Même si la charge de travail ne constitue pas un concept récent, dans le contexte actuel, elle est redevenue une source d’intérêt pour les chercheurs et de préoccupations pour les organisations. La notion de charge de travail se définissait globalement comme l’intensité de l’effort fourni par le travailleur pour répondre aux exigences de la tâche dans des conditions matérielles déterminées, en rapport avec son état et les divers mécanismes en jeu dans son travail [6]. Dans ce sens et par rapport au travail journalier d’un technicien, nous sommes directement concernés par ce concept dans notre unité de radiologie de l’Hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta.

C’est dans ce cas précis que les chercheurs se sont davantage intéressés aux mesures de la charge de travail qu’à sa définition théorique. Traditionnellement, l’étude de la charge de travail répond à des besoins très pragmatiques et est liée, en particulier, aux limitations de la capacité physique et de traitement de l’information de l’individu. La charge de travail est alors essentiellement abordée sous deux angles distincts: la charge physique et la charge mentale ou psychologique. Ainsi, à la fin d’une journée ne nous sommes-nous pas fatigués physiquement et psychologiquement ?

Alors, la littérature scientifique regorge d’études sur la charge physique de travail.

Celles-ci abordent principalement la charge de travail en termes de seuil physique dans l’exécution de tâches pouvant entraîner des conséquences sur la santé et la sécurité des personnes. Par ailleurs, selon la psychologie expérimentale, la charge mentale de travail réfère à l’identification des limites cognitives ou mentales qui affectent les performances humaines à l’égard du traitement de l’information. À ces caractéristiques s’ajoutent des facteurs tels que la responsabilité, l’incertitude, la pression temporelle et les interruptions du travail qui contribuent à augmenter la charge mentale et physique de travail.

Eu égard à tout ce qui précède, le terme charge de travail représente alors généralement la quantité de travail physique et intellectuel qu’un travailleur peut accomplir sans mettre en danger sa santé et sa sécurité, ainsi que celle des autres, tout en demeurant efficace [6]. C’est là tout le sens de la collégialité du travail dans un centre d’imagerie médicale dans un hôpital comme celui de Tanguiéta et comme un rendu social aux indigents face à la lutte pour vivre.

18 3.2- CONSEQUENCE DE LA SURACTIVITE

L’intensification du travail entraîne, entre autres, l’élimination des temps-morts, l’optimisation du temps travaillé, la compression des coûts associés à la production et l’adaptation aux technologies de l’information et de la communication, mais aussi l’augmentation des situations d’urgence dans le travail, la multiplication des tâches connexes et des attentes parfois contradictoires, ainsi que la réduction de la marge de manœuvre au quotidien [6].

Cette suractivité se traduit, pour les travailleurs, par l’intensification des attentes qui leur sont adressées et l’augmentation de l’intensité de leur travail. Le processus d’intensification du travail se traduit par l’augmentation de la charge de travail vécue par l’individu où la charge de travail est le résultat d’une combinaison de caractéristiques d’un poste ou d’un métier entraînant des conséquences sur l’individu et sur l’organisation. Ainsi, l’individu est amené à développer une polyvalence, une disponibilité et une flexibilité accrues. Dans cette perspective, il peut ressentir une perception de débordement, un sentiment d’urgence et des difficultés à mener à bien ses tâches selon un cadre temporel restreint [6]. Ceci met au claire la condition de travail du personnel de l’unité de radiologie de l’Hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta.

3.2.1- Sur le personnel

La conséquence de la suractivité sur le personnel est recensée en cinq points :

 Épuisement professionnel: les travailleurs ont le sentiment d’avoir épuisé leurs ressources émotionnelles;

 Déshumanisation ou désinvestissement de la relation: les travailleurs se détachent des personnes qu’ils sont supposés aider, pour lesquels ils éprouvent des sentiments négatifs;

 Baisse du sentiment d’accomplissement personnel au travail: les travailleurs évaluent négativement leur propre performance au travail, perçue comme un échec.

 Contradictions dans les attentes fixées;

 La mauvaise manipulation [6].

3.2.2- Sur la qualité de la prestation

La qualité des prestations offertes, l’efficacité de l’établissement, comme les conditions de travail des personnels dépendent en effet, au-delà de facteurs quantitatifs (effectifs, moyens matériels), du contenu et de l’organisation du travail, de l’aménagement

19 et de la gestion du temps de travail, de la gestion de l’emploi et des compétences. La répartition d’effectifs sur le plan quantitatif, mais aussi les modes de gestion et la souplesse dans l’utilisation des ressources humaines, sont des sujets sensibles.

L’efficacité globale de l’hôpital ne peut se réduire à la somme des efficacités de chacun des services qui le compose. A cet effet il est convenable que chaque service soit doté d’assez de personnel pour mieux s’appuyer sur la variabilité du temps de travail afin d’éliminer la fatigue qui fait partir des facteurs partir compromettant la compétence du personnel. Un personnel médical pour donner le meilleur de lui-même ne doit excéder 7heures de travail par jour soit 35heures par semaine. Au-delà de cela il se pose un problème de suractivité qui peut nuire à la compétence du personnel d’où la conséquence directe est la mauvaise qualité de la prestation. La mauvaise prestation en radiologie induit la repris de l’examen et pour conséquence le non-respect des normes de radioprotection du patient ainsi que du personnel [3].

3.2.3- Normes de radioprotection

La radioprotection désigne l'ensemble des mesures prises pour assurer la protection de l'homme et de son environnement contre les effets néfastes des rayonnements ionisants d’origine médical [8].

L’humanité ne pouvant plus se passe des avantages offerts par les rayonnements ionisants, il a paru nécessaire d’établir un juste équilibre entre risques et avantages, de définir des limites de dose de rayonnement en fonction du risque acceptable [2]. Mais de nos jours, les effets liés aux rayons X sont mieux connus. Pour cela des normes et règlementations ont été mises sur pied par des organismes internationaux pour protéger le patient contre les rayonnements. Ainsi pour prétendre être dans les normes de radioprotection du patient, un service de radiologie doit respecter les normes éditées à ce propos : le principe d’ALARA

Le principe D’ALARA se résume en trois principes à savoir : la justification, l’optimisation et la limitation.

3.2.3.1- La justification

Les différents types d'activités impliquant une exposition aux rayonnements ionisants doivent pouvoir être justifiés par les avantages qu'ils procurent, après avoir pris en compte l'ensemble des avantages et des inconvénients [1].

20 Art. R. 43-51. - Pour l'application du principe mentionné au 1° de l'article L. 1333-1, toute exposition d'une personne à des rayonnements ionisants, dans un but diagnostique, thérapeutique, de médecine du travail ou de dépistage, doit faire l'objet d'une analyse préalable permettant de s'assurer que cette exposition présente un avantage médical direct suffisant au regard du risque qu'elle peut présenter et qu'aucune autre technique d'efficacité comparable comportant de moindres risques ou dépourvue d'un tel risque n'est disponible » [8].

3.2.3.2- L’optimisation

L'optimisation consiste à réduire les doses individuelles et collectives à un niveau aussi bas que possible, compte tenu des impératifs sociaux et économiques (Principe ALARA*) [2]. Sommes toutes, l’optimisation fait référence à la compétence du technicien qui exécute les examens au regard de tout ce qui suit.

Qu’il s’agisse de (du) :

 Choix de l’équipement ;

 La production régulière d’informations diagnostiques adéquates ;

 L’assurance qualité /contrôle qualité pour les équipements et accessoires ;

 L’évaluation des doses par les facteurs immatériels.

Chez l'enfant, l’optimisation est d'autant plus justifiée que la sensibilité des organes cibles aux radiations ionisantes est supérieure à celle de l'adulte. Selon la loi de Bergonié et de Tribondeau il a été souligné que les rayons X agissent avec d’autant plus d’intensité sur les cellules lorsque leur morphologie et leurs fonctions sont moins définitivement fixées [9].

L'espérance de vie des enfants étant également supérieure, le risque théorique de voir apparaître une tumeur radio-induite est plus élevé [8].

Chez la femme enceinte, bien que le risque soit très faible, l’attitude générale est de reporter, si cela est possible, l’examen après la grossesse. Si celui-ci est nécessaire, étant donné la plus grande sensibilité de l’embryon aux rayonnements ionisants, notamment en début de grossesse, l’attitude est de le remplacer par un examen non irradiant. Si cette substitution n’est pas envisageable, il sera effectué en optimisant sa technique pour réduire la dose délivrée. En générale chef la femme, si on doit exposer aux radiations la région du bassin, durant la période d’activité menstruelle et s’il n’y a pas d’urgence, les radiographies doivent être faites durant les dix premiers jours du cycle menstruel [9]. En pratique, seuls les examens concernant l’abdomen et le petit bassin en tomodensitométrie peuvent poser problème [8].

21 Il faut retenir que nul ne peut être technicien s’il n’a reçu une formation qualifiée en radiologie et qu’il maîtrise les règles de radioprotection ainsi que les incidences techniques des examens radiologiques. Pour cette raison, la pratique par des formés sur le tas doit être réprimée. Cette optimisation incombe surtout la responsabilité du technicien qui pratique l’examen.

3.2.3.3 - La limitation

Il faut également réduire les expositions individuelles aux limites pour lesquelles le risque est jugé acceptable. Ces limites sont telles qu’elles permettent :

 d'éviter tout effet pathologique, en se situant bien au-dessous des seuils des effets déterministes,

 de maintenir le détriment éventuel provoqué par les effets aléatoires à un niveau jugé acceptable pour l’individu et la société [2].

Les conséquences de la suractivité peuvent conduire à la reprise des examens d’où le non-respect des normes de radioprotection.

3.2.4-Matériels de protections

Les rayonnements ionisants ou rayons X sont des rayonnements invisibles capables de traverser le corps humain. Dans le cadre d’applications médicales, la différence d’atténuation du rayonnement provoquée par les différents composants du corps humain (os, graisse, muscles, eau, air, vaisseaux…) permet en radiologie de réaliser une image diagnostique ou de traiter les patients [8]. Cependant il est à noter que ces rayonnements peuvent aussi provoquer des lésions radioinduites. A cet effet en matière de radiologie, la protection comprend une hiérarchie de mesures de contrôle. La conception technique et la construction, la politique / les procédures administratives ainsi que le matériel de protection individuelle s'attaquent aux trois principes de base de réduction des doses : le temps, la distance et la protection. Dans le cadre des examens aux rayons X à faisceau ouvert pendant lesquels un opérateur d'appareil de radiographie doit demeurer dans la salle d'examen, le matériel de protection individuelle (MPI) constitue la dernière barrière de défense pour réduire l'exposition au rayonnement ionisant une fois toutes les autres mesures techniques et administrative maximisées [5]. Cela n’est souvent par le cas dans le service de radiologie de l’HSJDT car la pression qu’exercent les techniciens sur eux même pour finir leur masse de travail ne leur permet de porte les matériels de protections (tablier plombé, gants plombés, les caches gonades et thyroïdes…)

22

Tabliers et cache-thyroïde en plomb

L'efficacité des tabliers et des cache-thyroïde en plomb pour réduire l'exposition aux fuites ou à la dispersion de rayons dépend directement de leur conception, de l'ajustement et de la façon dont on les utilise. Tout matériel toxique utilisé dans le MPI pour atténuer les effets des rayons X devrait être placé entre des matières inertes ou encapsulé dans une substance qui ne lui permet pas d'entrer en contact avec la personne qui le porte. Le matériau d'atténuation devrait être fixé au matériau encapsulant, ce qui l'empêche de se tasser, de se déchirer ou de se déformer avec le temps [5].

Gants de protection

Les gants de protection ou les gants à manchette doivent présenter une épaisseur équivalente de plomb d'au moins 0,5 mm dans leur totalité, y compris aux doigts et aux poignets, conformément au Règle de l’Ont. 67/93 [5].

Tous ces matériels de protection entrent dans le cadre de la protection des clients et du personnel. Nous constatons avec amertume que ces moyens de protection sont loin d’être mise en vigueur dans le service de radiologie de l’HSJDT peut être pour raison d’épuisement professionnel, déshumanisation liés à la suractivité

3.3-CADRE ET METHODE D’ETUDE 3.3.1-Intérêt de l’étude

Notre étude a pour intérêt d’amener les autorités chargées de la gestion de l’HSJDT à recruter plus de personnel pour l’unité de radiologie.

3.3.2-Cadre de l’étude

L’unité de radiologie de l’hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta a servi de notre cadre d’étude.

3.3.3-Matériel et méthodes d’étude

Nous avons utilisé des registres, et une fiche d’enquête

.

3.3.3.1-Type d’étude

Il s’agit d’une étude rétrospective et prospective de type descriptive, et analytique.

3.3.3.2- Période d’étude

Cette étude s’étend du 19 Mai 2013 au 23 Août 2014.

23 3.3.3.3- Population d’étude

Nous avons inclus dans notre étude :

 les rapports d’activités et les rapports financiers de l’hôpital,

 les patients reçus en consultation ambulatoire.

Pour les patients reçus en consultation ambulatoire, des critères suivant ont été retenus :

 Critère d’inclusion

Sont inclus dans notre étude tous les patients consultés en ambulatoire et chez qui un examen de radiologie a été demandé.

 Critère d’exclusion

Sont exclus de notre étude tous les patients consultés en ambulatoire ayant refusé de répondre à notre questionnaire.

3.3.3.4- Méthodes d’analyses

Le traitement et l’analyse des données sont faits de façon successive par plusieurs étapes à partir d’une base de données établie suivant les variables de l’étude grâce au logiciel statistique SPSS version 17.

Il s’est agi de faire :

 faire le dépouillement des rapports et des questionnaires

 la saisie des données collectées

 L’apurement des données. Il se fera par l’apurement des erreurs de saisie, des valeurs aberrantes et enfin des données manquantes par les techniques statistiques appropriées

 l’analyse descriptive des données : elle sera caractérisée par les représentations graphiques tels que les barres, les camemberts, les histogrammes, les boîtes à moustaches et les résumés statistiques suivis de commentaires bien documentés.

24 3.4- PRESENTATION DES RESULTATS

3.4.1- Résultats issus des dépouillements des registres et des rapports d’activités

Tableau II: Niveau des examens réalisés et des ratios de 2009 à 2013

Années

Source : Rapport d’activités 2013 – HZ Saint Jean de Tanguiéta

Tableau III: Niveau des recettes de la radiologie de 2009 à 2013

Années Recettes

Source : Rapport d’activités 2013 – HZ Saint Jean de Tanguiéta

Figure 1: Niveau d’évolution du nombre moyen d’examens réalisés par mois

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

25 Figure 2: Niveau d’évolution du nombre moyen d’examens réalisés par jour de l’année 2009 à 2013

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

Figure 3 : Niveau d’évolution du nombre moyen d’examens réalisés par jour au cours de notre période de stage.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

18

mai 2014 juin 2014 juillet 2014 août 2014

26 Figure 4: Nombre d’examens réalisés et nombre de patients reçus du Lundi au Samedi

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

Figure 5: Cinq premiers examens réalisés au cours d’une semaine

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

3%

13% 13%

24%

34%

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

Crân + Sinus Membres thoraciques

Rachis Pulmonaire + thoracique

Membres pelviens

27 Figure 6 : Cinq premiers examens réalisés au cours d’une semaine selon le sexe

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

Figure 7 : Dix premiers examens réalisés de mai à août 2014 selon le sexe

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

83%

28 3.4.2- Résultats issus de l’évaluation du niveau de satisfaction des patients de la radiologie

Figure 8: Evaluation de la satisfaction de « l’accueil » du personnel de la radiologie par les patients.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

Nous remarquons que dans 85% des cas les patients sont « satisfaits» voire « très satisfaits » de l’accueil du personnel de la radiologie.

Figure 9 : Evaluation de la satisfaction de « l’information fournie » du personnel de la radiologie par les patients.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

2%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

2%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

29 La capacité du personnel de la radiologie à informer le client sur le type d’examen à réaliser, est bonne puisque 85% des personnes qui ont répondu ont choisi les mentions

« très satisfaisante » ou « satisfaisante ».

Figure 10: Evaluation de la satisfaction du « temps accordé pour l’écoute » du personnel de la radiologie par les patients.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

66% des interrogés juge le temps accordé pour l’écoute « Peu satisfaisant» ou

« Moyennement satisfaisant ».

Figure 11: Evaluation de la satisfaction du « temps accordé pour rassurer» du personnel de la radiologie par les patients.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

82% des interrogés juge le temps accordé pour rassurer lorsqu’ils ont des inquiétudes « Satisfaisant» ou « Très satisfaisant ».

29%

30 Figure 12: Evaluation de la satisfaction de « l’application des mesures de sécurité» du personnel de la radiologie par les patients.

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

L’application des mesures de sécurité lors de la réalisation des examens est un des points forts du personnel de la radiologie mis en avant par l’enquête. En effet, 93% des interrogés la juge comme « très satisfaite » ou « satisfaisante ».

Figure 13: Evaluation de la satisfaction de « l’utilisation des mots compréhensibles» du personnel de la radiologie par les patients

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

75% des interrogés juge l’utilisation des mots compréhensibles « Peu satisfaisant»

ou « Moyennement satisfaisant ».

1%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

5%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

31 Figure 14: Evaluation de la satisfaction de « l’horaire de réalisation des examens » du personnel de la radiologie par les patients

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

94% des interrogés juge l’horaire de réalisation des examens « très satisfaisant» ou

« satisfaisant ».

Figure 15: Evaluation de la satisfaction du « délai de retrait des clichés » du personnel de la radiologie par les patients

Source : Données issues des dépouillements de registre et des rapports calculées dans SPSS 17.

73% des patients interrogés juge le délai de retrait des clichés « Peu satisfaisant» ou

« Moyennement satisfaisant ».

1%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

51%

Peu satisfait Moyennement satisfait Satisfait Très satisfait

32 3.5- COMMENTAIRES ET APPROCHES DE SOLUTIONS AUX DIFFICULTES

3.5.1 – Vérification de nos hypothèses de recherches

 l’hypothèse : « l’insuffisance de personnel qualifié entrainerait un encombrement et/ou un ralentissement du travail au niveau de l’unité de radiologie de l’Hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta » ; est confirmée.

 l’hypothèse : « les recettes réalisées par l’unité de radiologie constituent une part importante dans la réalisation des recettes de l’Hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta » ; est confirmée.

 l’hypothèse : « les patients et ou malades fréquentant l’unité de radiologie sont mécontents ou peu satisfaits de l’accueil et du délai de retrait des clichés » ; est confirmée.

3.5.2 – Commentaires

L’évaluation de la charge de travail passe par une connaissance du nombre de clients admis en moyenne par jour dans un secteur d’activité, le nombre d’actes accomplis par ce secteur, la ressource humaine disponible et le niveau de satisfaction des clients. A

L’évaluation de la charge de travail passe par une connaissance du nombre de clients admis en moyenne par jour dans un secteur d’activité, le nombre d’actes accomplis par ce secteur, la ressource humaine disponible et le niveau de satisfaction des clients. A

Documents relatifs