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TECHNIQUE DE REALISATION DES DIFFERENTES INCIDENCES PERMETTANT

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L’ostéoporose est une des maladies la plus connue affectant le métabolisme osseux, caractérisée par une raréfaction du tissu osseux. Elle affecte surtout la population âgée plus précisément les femmes en ménopause.

Les infections sont des pathologies peu fréquentes pour le rachis lombaire qui suppose la présence d’un agent microbien.

Les tumeurs primaires ou des métastases à localisation lombaire sont liées à des mécanismes anatomo-pathogéniques complexes.

Les déformations des rachis lombaires, représentées surtout par la scoliose.

Les traumatismes impliquent les altérations de structures et de fonctions dues souvent à un événement traumatique imprédictible comme une chute, un accident.

Les pathologies dégénératives du rachis lombaire, le plus fréquemment à l’origine des douleurs lomboradiculaires, sont représentées par les discopathies dégénératives pures sous formes d’arthrose articulaire, d’hernies discales, de sténoses lombaires souvent associés à un spondilolisthésis dégénérative, et les scolioses dégénératives) [4].

3.2. TECHNIQUE DE REALISATION DES DIFFERENTES INCIDENCES PERMETTANT L’EXPLORATION DU RACHIS LOMBAIRE [7]

L’exploration du rachis lombaire est faite à partir de diverses techniques qui sont : le scanner, l’IRM, la radiographie. La radiographie est l’examen standard nécessaire pour l’appréciation des fractures de la colonne vertébrale avec projection antéropostérieure et latérale de la colonne lombaire. La vue latérale montre les éventuelles diminutions de hauteur du corps vertébral. La vue antéropostérieure est utile pour identifier les fractures instables parce qu’elle montre une augmentation de l’espace intervertébral.

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Le scanner montre un possible rétrécissement du canal rachidien.

L’IRM est nécessaire lorsque l’on suspecte une fracture par compression de la racine nerveuse et que le patient se plaint de sciatique. Ce type d’image est plus sensible dans la détection des hémorragies, des tumeurs et des infections. Il permet également de visualiser de meilleures images de la colonne vertébrale.

Technique de réalisation du rachis lombaire 3.2.1. Radiographie standard [5]

La technique de réalisation des incidences de la face, du profil et de l’oblique se font comme suit :

Règles identique aux 3 incidences

Préparation du malade

Enlever les vêtements et tout objet radio-opaque pouvant nuire au radiogramme de la région lombaire.

Revêtir une jaquette en coton

Dimension cassette

18 x 36 cm en longueur centré au milieu de cassette

Rayon central

Vertical, il passe sur le plan médian à 2,5 cm supérieur au niveau des crêtes iliaques (L3)

Marqueur et lettre d’identification Mettre à la partie inférieure de la cassette

Paramètres techniques

Cône : diaphragmer à la grandeur du champ Distance foyer-film : 100 cm

Choisir les facteurs techniques qu’il faut pour avoir un radiogramme interprétable

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Règles spécifiques à chaque incidence

Il s’agit de la technique du positionnement propre à la réalisation de l’examen.

Incidence de face

 Patient en décubitus dorsal

 La tête repose sur un oreiller

 Plan médian du corps sur la ligne médiane de la table

 Le bassin est antéropostérieur sans aucune rotation

 Les épaules sont dans le même plan transversal

 Les bras sont en extension et abduction

 Fléchir les genoux pour réduire la lordose lombaire et obtenir un meilleur contact objet-film

 Les pieds appuient sur la table par la face plantaire

 Le patient suspend la respiration au moment de l’exposition.

Incidence de profil

 Le patient est décubitus latéral.

 La tête repose sur un oreiller.

 Il fléchit les genoux et les hanches pour maintenir la position.

 La colonne lombaire est parallèle au plan de la table. Placer une ou deux alèses sous la partie inférieure du thorax si nécessaire.

 L’axe de la colonne lombaire est sur la ligne médiane de la table. La ligne médiane de la table passe 10 cm antérieur à la face postérieure de la colonne lombaire.

 Superposer les extrémités inferieures, les articulations des hanches et des genoux sont dans le même plan.

 Les bras sont à angle droit de l’axe longitudinal du corps. Les scapulas sont dans le même plan vertical.

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 Le patient tient le bord de la table pour maintenir la position.

 Le patient est en franc latéral.

 Demander au patient de suspendre la respiration.

Incidence oblique

 Le patient est en décubitus dorsal.

 La tête repose sur un oreiller. Elever l’épaule et la hanche du côté opposé à radiographier.

 La face postérieure du corps fait un angle de 45° avec le plan de la table.

 Centrer l’axe longitudinal de la colonne parallèle à la ligne médiane de la table.

 La ligne médiane de la table passe 2,5 cm antérieur aux processus épineux et se trouve du côté adjacent à la table.

 Vérifier la rotation du corps en plaçant l’hypoténuse d’un triangle de 45° contre la face postérieure du thorax, de la colonne lombaire et du bassin.

 Le patient tient le bord de la table pour maintenir la position.

 Les membres pelviens sont légèrement fléchis.

 Demander au patient de suspendre la respiration au moment de

 Les processus épineux sont à égales distances des pédicules ;

 Les espaces intervertébraux des 4 premières vertèbres lombaires sont bien visualisés.

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La figure ci dessous représente un cliche de face du rachis lombaire

Figure 8: Cliché de face du rachis lombaire [6]

AI: Processus articulaire inférieur de L1 AS: Processus articulaire supérieur de L1 C: Corps de L3

E: Processus épineux de L4 FS: Foramen sacral

L: Lame de L4 P: Pédicule de L3

T: Processus transverse de L3

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PROFIL

 L3 au centre du film ;

 Les bords postérieurs des corps vertébraux sont parfaitement superposés ;

 Les espaces intervertébraux sont bien dégagés ;

 Les foramens de conjugaisons sont bien délimités.

Ci-dessous la figure9 qui représente le cliché de profil du rachis lombaire

Figure 9: Cliché de profil du rachis lombaire [6]

AI: Processus articulaire inférieur de L3 D: Espace du disque intervertébral E: Processus épineux de L4

I: Foramen intervertébral

II: Incisure vertébrale inférieure de L2 IS: Incisure vertébrale supérieure de L3

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P: Pédicule de L3

SA: Processus articulaire supérieur de L4

Incidence Oblique

 L3 au centre du film ;

 L’articulation entre le processus articulaire supérieur et le processus articulaire inférieur du coté radiographié est projeté vis-à-vis du corps vertébral.

Figure 10: Cliché oblique du rachis lombaire [8]

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3.3. CADRE, MATERIEL ET METHODES D’ETUDE 3.3.1. Cadre d’étude

Le service d’imagerie médicale de l’hôpital St Luc de Cotonou a servi de cadre à notre étude.

3.3.2. Matériel

Les patients reçus pour un examen radiographique lombaire au cours de la période allant de janvier 2013 à décembre 2015.

3.3.3. Méthodes d’étude

 Type et période d’étude

Nous avons effectué une étude transversale descriptive avec collecte de données rétrospective du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2015.

 Critère d’inclusion

Sont inclus dans notre étude tout patient ayant effectué un examen du rachis lombaire dont le résultat est consigné dans les registres du service d’imagerie de

l’HSL de 2013 à 2015.

 Critère d’exclusion

Sont exclus de notre étude tout patient venu pour tout autre examen pendant la période indiquée.

 Taille de l’échantillon

Notre échantillon est composé de 1269 patients venus faire un examen du rachis lombaire.

 Procédure et collecte des données

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Pour la collecte des données nous avons possédé à un recensement manuel de tous les examens enregistrés pendant la période considérée. Les données recueillies sont traitées grâce à l’application Excel Microsoft office 2013. Des fréquences ont été calculées et des graphiques ont été réalisées.

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3.4. RESULTATS

Tableau II: Fréquences de tous les examens radiographiques enregistrés de 2013 à 2015.

Rachis lombaire 1269 7,15

Bassin 681 3,84

Grill costal 461 2,60

Télécoeur/Poumons 2872 16,19

Membres thoraciques 2708 15,27

Membres pelviens 5056 28,50

ASP 483 2,72

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Tableau III: Répartition des patients reçus pour un examen du rachis lombaire selon l’année.

Années Effectifs Fréquence en%

2013 332 26,16

2014 426 33,56

2015 511 40,26

Total 1269 100,00

Tableau IV: Répartition des patients reçus pour un examen du rachis lombaire selon le sexe de 2013 à 2015.

Sexe Effectifs Fréquence en %

Masculin 549 43,27

Féminin 720 56,73

Total 1269 100,00

Figure11: Répartition des patients reçus pour un examen du rachis lombaire en fonction de l’âge.

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Figure12: Répartition des patients selon les renseignements cliniques.

Tableau V : Répartition des patients selon les lésions lombaires observées sur les radiogrammes.

Pathologie Effectifs Fréquence en %

Scoliose 140 11,03

Lésion d’arthrose 267 21,04

Spondylolisthésis 85 6,70

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Tableau VI: Répartition des patients en fonction des résultats d’interprétation suivant l’âge.

RESULTATS

TRANCHES D'AGES

LESIONS DE LOMBARTHROSE

DEMINE- RALISATION

AUTRES LESIONS

[0-20[ 4 4 20

[21-40[ 87 6 344

[41-60[ 103 15 328

[61-80[ 73 5 280

TOTAL 267 30 972

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3.4. DISCUSSION

Notre étude basée sur l’importance de la radiographie dans le diagnostic des pathologies des vertèbres lombaires couvre la période de janvier 2013 au décembre 2015. Il ressort que sur 17738 de patients reçus, 1269 patients ont subit une radiographie du rachis lombaire soit 7,15%. On en déduit que la radiographie du rachis lombaire fait partie des examens fréquents réalisés à l’HSL (Tableau II).

De l’analyse du tableau III, on constate que 332 examens ont été fait à l’HSL de Cotonou en 2013 soit 26,16% ; 426 examens soit 33,56 % en 2014, et 511 examens en 2015 soit 40,26%.

Le tableau IV traite de la répartition des patients reçus pour un examen du rachis lombaire selon le sexe. De l’analyse de ce tableau, il ressort que sur 1269 patients, 549 sont du sexe masculin (43,26%) contre 720 patients du sexe féminin (56,73%) tandis que d’après l’étude de Djossou[9] au CHD Zou-Colline l’échantillon était à prédominance féminine (66%) sur un effectif de 65 au total.

Cela nous permet de dire que la radiographie du rachis lombaire chez les femmes est aussi fréquente à l’HSL de Cotonou qu’au CHD Zou-Colline.

L’exploration de la figure 11 renseigne sur la répartition des patients reçus pour un examen du rachis lombaire en fonction de l’âge. On constate que les patients de [41-60[ ans sont plus fréquents (40,82%) que ceux de [20-40[ ans (29,94%). On note une prédominance de personnes âgées de 40 à 60 ans exclus.

Comparativement à l’étude de Djossou [9], l’âge moyen de fréquentation des patients pour une lombalgie était de 44,33. Il en résulte que les personnes âgées de plus de 40 ans sont les plus souvent sujettes à des lombalgies.

De l’exploration des renseignements cliniques à la figure 12, il ressort que 59,81% des patients ressentent de douleurs au niveau de la région lombaire,

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21,28% des patients souffrent de lésions de lombarthrose et 18,91% de traumatismes lombaires.

Les diverses lésions lombaires observées sur les radiogrammes touchent prioritairement le disque vertébral (discopathie), suivi d’une lombarthrose, des pincements et autres lésions qui forment la partie mineure des lésions observées (Tableau V). Ce qui est similaire aux résultats de Djossou[9] dont l’échantillon regroupe 65 patients. De même, plusieurs patients pouvaient avoir une ou plusieurs anomalies radiologiques. Voilà qui confirme l’intérêt primordial de la radiographie lombaire pour les soignants à l’HSL de Cotonou.

Des résultats d’interprétation des radiogrammes en fonction de l’âge (Tableau VI) montrent que sur les 1269 examens relevés, 267 présentent des lésions de lombarthrose. De plus, nous remarquons que 972 patients sont atteints d’autres lésions lombaires telles que : la scoliose, la spondylose, l’ostéoporose, la lombo-discarthrose, la spondylodiscite, les pincements lombaires, la discopathie et la rectitude lombaire ; et 30 de ces patients sont atteints d’une déminéralisation osseuse. On peut donc déduire que la radiographie du rachis lombaire est l’examen para-clinique le plus indiqué dans le diagnostic des lésions de lombarthrose et plus particulièrement dans le diagnostic des lésions lombaires (lombalgies). On note que ces lésions sont le plus souvent l’apanage des personnes âgées. De plus, nous remarquons que les patients âgés de 40 à 60 ans sont les plus atteints des lésions de lombarthrose et d’autres lésions lombaires comme l’ostéoporose, la discopathie. Aussi les patients dont l’âge est compris entre 20 à 40 sont les plus sujets à d’autres lésions lombaires. On peut donc en déduire que les patients ayant les tranches d’âges de 20-40 ans et 40-60 ans sont les plus atteints par les affections lombaires. De plus dans la tranche d’âge de 0 à 20 ans, les lésions de lombarthrose (4 cas) et de déminéralisation (4 cas) ont été retrouvées. On pourrait donc en déduire que les lésions de lombarthrose

surviennent très rarement dans cette tranche d’âge. Notons qu’on retrouve 20

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lombaires. De plus dans la tranche d’âge de 0 à 20 ans, les lésions de lombarthrose (4cas) et de déminéralisation (4cas) ont été retrouvées. On pourrait donc en déduire que les lésions de lombarthrose surviennent très rarement dans cette tranche d’âge. Notons qu’on retrouve 20cas d’autres lésions dans cette tranche d’âge. On peut donc conclure que les autres lésions sont un peu plus fréquentes dans cette tranche ns cette tranche d’âge.

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CONCLUSION

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Les trois mois de stage pratique dans le service radiologie de l’HSL de Cotonou nous ont permis d’acquérir de nouvelles connaissances. Nos objectifs ont été atteints en majeure partie et nous sommes apte à assurer la prise en charge radiologique des patients.

Ce qui a le plus attiré notre attention a été l’affluence de certains examens radiographiques parmi lesquels se trouve la radiographie lombaire. Dans le but de faire ressortir l´importance de la radiographie conventionnelle dans le diagnostic des affections lombaires, nous avons décidé de porter notre attention sur : Intérêt de la radiographie dans le diagnostic des affections lombaires.

De notre étude, il en résulte que la radiographie tient toujours une place importante dans le diagnostic des affections lombaires.

Ainsi la place de la radiographie dans le bilan des lombalgies reste inchangée quand bien même l’IRM et le Scanner permettent une étude plus précise.

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SUGGESTIONS

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Nous suggérons :

 A l’endroit des autorités de l’Hopital Saint Luc de Cotonou

 De doter le service de radiologie d’un nouveau tube radiogène ;

 De se doter des matériels de contention ;

 D’installer au secrétariat du service de radiologie, un outil informatique qui permettra d’enregistrer les renseignements cliniques des patients afin d’avoir une base de données permanente.

 A l’endroit des techniciens de radiologie

 Porter des tabliers et des gants plombés s’ils doivent rester auprès du patient lors de l’exposition ;

 Veiller sur les facteurs et le développement des clichés afin d’obtenir de bon radiogrammes facile à interpréter ;

 Veiller sur les registres afin d’éviter leur pertes.

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REFERENCES

[3] Andréa A, Poncet M, Van Der Wildt S. Le manipulateur d’électroradiologie médicale en a plein le dos. [Thèse soutenue à l’institut de formation de manipulation d’électroradiologie médicale. Paris ; Montpellier I]. 2010.

[4] Sabina M. Corrélation entre les paramètres biomécaniques du rachis et les indices cliniques pour l’analyse quantitative des pathologies du rachis lombaires et de leur traitement chirurgical. Science du vivant. Arts et métiers ParisTech, 2008.

[5] Akpekou C, Ayinon E, Gbossa M, Gbaguidi B, Tokpanou R. Techniques radiologiques I support de cours Abomey-Calavi : Akpekou & Ayinon ; 2014.

[6] Netter F. Atlas d’anatomie humaine, Elsevier ; Masson 5e édition. 2011.

[7] Anonyme. Fracture d’une vertèbre lombaire, L1 ou L2, symptôme et traitement [consulté le 03 octobre 2016 à 22h16]. Disponible à :

www.physiotherapiepourtous.com/fracture-d-une-vertèbre-lombaire

[8] Antoine et Hoa. Radio anatomie du rachis [consulté le 30 octobre 2016].

Disponible à :

https://www.imaios.com/fr/e-Anatomy/Rachis-e-Moelle/Radio-standards

[9] Djossou Y. L’intérêt de la radiographie à la prise en change des lombalgies chroniques : étude de 65 cas au CHD /Zou – Collines [Rapport de licence]

Abomey-calavi. EPAC ;2015.

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

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 

TABLE DES MATIÈRES

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Table des matières

LISTE DES ENSEIGNANTS EN IMAGERIE MEDICALE AU COURS DE NOTRE FORMATION

... iii

DEDICACES... vi

REMERCIEMENTS ... viii

HOMMAGES ... xi

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS ... xiii

LISTE DES TABLEAUX ... xiv

PRESENTATION DU CADRE DE STAGE ... 2

1.1. HISTORIQUE DE L’HOPITAL SAINT LUC ... 3

1.2. MISSIONS ET STRUCTURES DE l’HSL ... 3

1.2. PRESENTATION DU SERVICE D’IMAGERIE MEDICALE ... 5

1.2.1. L’unité de radiographie ... 5

1.2.2. Le secrétariat ... 5

1.3. PRESENTATION DU PERSONNEL DU SERVICE DE RADIOLOGIE ... 9

DEUXIEME PARTIE ... 10

DEROULEMENT DU STAGE ... 10

2.1. PLANNING ET OBJECTIFS DE STAGE. ... 11

2.2. ACTIVITES EFFECTUEES AU COURS DU STAGE ... 12

2.3. TRAVAUX EFFECTUES ET DIFFICULTES RENCONTREES. ... 13

2.3.1. Travaux effectués ... 13

3.1. GENERALITES SUR LE THEME... 19

3.1.1. Rappel anatomique du rachis lombaire ... 19

3.1.2. Fonctions du rachis ... 23

3.1.3. Les affections lombaires ... 23

3.2. TECHNIQUE DE REALISATION DES DIFFERENTES INCIDENCES PERMETTANT L’EXPLORATION DU RACHIS LOMBAIRE [7] ... 24

3.2.2. Critères d’évaluation ... 27

3.3. CADRE, MATERIEL ET METHODES D’ETUDE ... 31

3.3.1. Cadre d’étude ... 31

Type et période d’étude ... 31

Tableau II: Fréquences de tous les examens radiographiques enregistrés de 2013 à 2015. ... 33

3.4. DISCUSSION ... 37

CONCLUSION ... 38

TABLE DES MATIÈRES ... 38

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