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TÉLÉVISION CHAÎNES HI-FI

N° 1330

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Page 187

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Réalisé à partir de matériel des surplus, cet appareil (1) est destiné aux amateurs débutants désireux de s'initier au câblage sur cir-cuit conventionnel.

Facilement réalisable, cet appa-reil leur permettra de mieux comprendre le rôle des dHTérents circuits et des différents éléme'nts qui les, composent.

L'application à l'entrée d'un signal 50 Hz leur permettra d'observer une ou plusieurs sinu-soïdes sur l'écran.

AMPLIFICATEUR VERTICAL Le signal à observer est appli-qué à l'extrémité d'un potentio-mètre de 500 k.Q qui dose 1 am-plitude. Le curseur est en liaison continue avec la deuxiéme grille G2 d'une penthode E91 H, tandis que la premiére grille G 1 est à

la masse. La cathode est polarisée par une résistance de 200

ni

1 W non découplée. L'anode (ou plaque) est chargée par un,e résistance de 33 K!2 et la grille écran par une 56 Kt} découplée par un condensateur de 0 1 IlF.

Un condensateur de 0,47 IlF sert de liaison entre l'anode de cette penthode et les grilles d'une double triode 6464 montée en paralléle afin de diminuer l'im-pédance interne de la lampe. Ces grilles sont polarisées par une résistance de 470 k.Q. On appli-que une haute tension de 210 V directement sur les anodes, tandis que les cathodes sont reliées au primaire d'un transformateur.

BALAYAGE HORIZONTAL Un condensateur de 50 nF sert de liaison entre la plaque de

ALI MENTATION

la première E91H (ampli vertical) et le curseur d'un potentiomètre de 50 k!2 dont la fonction est de synchroniser le signal observé.

Le premier ètage du balayage horizontal est équipé d'une se-conde penthode E91 H montée en multivibrateur avec intégra-teur de Miller. La cathode est directement reliée à la masse, l'anode est polarisèe par une rè-sistance de 27 k,Q, de même l'écran qui est relié à une résistance de 47

kn.

Une résistance de 47

kn

est connectée entre la plaque et l'extrémité du potentiomètre de synchronisation. De même pour un condensateur de 10 IlF entre la grille G2 et ce même potentio-mètre. '

Entre la grille Giet l'écran, nous trouvons un conducteur dont la valeur est sélectionnée par un

commutateur 4 positions, déter-minant la fréquence de balayage.

La grille G 1 est également reliée par une résistance de 220

kn

au curseur d'un potentiomètre de 1

mn

déterminant la vitesse de balayage.

Un condensateur de 0,47 IlF sert de liaison entre l'écran de la E91H et les grilles d'une deuxième double triode 6463 également montée en parallèle, dans hi même but que précédem-ment.

Les anodes sont portées à un potentiel de 210 V, les cathodes sont reliées à un transformateur identique à celui de l'étage ampli vertical.

ALIMENTATION Celle-ci est assurée par un transformateur de télévision, le

r---~---4r---~+210V

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EL36

AMPLI VERTICAL E91H

AMPLI

Schéma de principe des amplificateurs vertical et horizontal Page 188 .. N' 1330

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Ver. b ... ,he n'1O du tube 21YP4

Vers transfo

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Fig. 1. - Schéma de principe de l'alimentation

secondaire est redressé par un pont de 4 redresseurs secs. On obtient alors une tension de 210 V qui est tiltrée par un condensateur de 100 !-tF.

Une résistance de 350

n

abaisse

ce potentiel à 190 V, formant un filtre en TT avec un deuxième chimique de 100 IJF.

Entre le (+) et le (-) du pont redresseur, nous remarquons un condensateur de 100 p,F. Celui-ci en se chargeant va donner nais-sance à une tension de - 40 V.

Cette tension négative est filtrée par une self et une résistance de 600

n

en série.

Un potentiomètre de 50

kn

dont les extrémités sont reliées d'une part à la masse, d'autre part au - 40 V va servir au ré-glage de luminosité du tube catho-dique, le curseur de ce poten-tiomètre étant relié à la broche nO 2 du tube 21YP4.

(1) Kit proposé pat les Bts LAG.

Transfo T.HT

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Fig. 3. - Schéma de branchement du déflecteur

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Tube 21YP4

masse du chassis

Aimant du piège à'ions à orienter de cette façon, la pince chevauchant le col du tube à environ 2cm.

du culot

Fig. 6. - Brochage du tube 21 YP4

GENERATEUR

DE DENTS DE SCIE Fig. 5. - Brochage des tubes

et la grille de la lampe de puis-sance EL36. Cette grille est pola-risèe par une rèsistance de 470 kQ, quant à l'écran il est polarisé par une résistance de 27 kQ/2 W.

La cathode est connectée à une résistance de 270 Q/2 W et dé-couplée par un chimique de 50 flF/50 V.

Le générateur de dents de sCie est équipé d'une double triode 6211. L'une d'elles a sa grille polarisée par une résistance de 620 kQ et elle est chargée par une résistance de 47 kQ.

La seconde triode a sa grille polarisée par une résistance de

150 kQ, tandis que la plaque est chargée par une résistance de 100 kQ.

Les cathodes sont réunies et polarisées par une résistance de 680 Q.

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Entre la plaque de la première triode et la grille de la seconde, nous trouvons un condensateur de 200 pF.

Un condensateur de 10 nF sert de liaison entre ce tube 6211

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L'anode de cette EL36 (téton en haut du tube) est reliée au transformateur THT.

SYNCHRO

LUMINOSITE

Fig. 4. - Plan de câblage vu de dessous

N° 1 330

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OËVIATElil

Fig. 7. - Plan de câblage vu de dessus

Le tube EY81 (valve de récu-pération) a sa plaque portée à un potentiel de 210 V, la cathode est reliée à-la THT.

La bobine de déflexion est reliée aux transformateurs char-geant les lampes 6463.

Quant au support du col du tube cathodique, il suffit de relier les broches dans l'ordre suivant :

1 et 12 : Chauffage.

2 Potentiomètre de lumi-nosité.

6 : + 210 V.

10 : + 300 V de la THT.

Il : Reliée à la masse au tra-vers d'une résistance de 39'

kn.

LE PIEGE A IONS La figure 6 indique l'orienta-tion de l'aimant du piège à ions.

La pince chevauchant le col du tube sera à environ 2 cm du culot, mais évidemment, seule l'expérience' déterminera exacte-ment l'emplaceexacte-ment.

Ne pas oublier de relier la zone graphitée du tube 21 YP4 à la masse du châssis.

Manipuler le tube avec précau-tions, ne jamais le prendre par le col.

Ne pas laisser le spot immo-bile.

Régler la luminosité au mini-mum nécessaire.

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1 COMMENT PROTÉGER 1 I..m'IlIlI1~II~UI1~'~II~,RET DE F~'~'~'~'~'~II~IIIIJ

I

L est possible en droit français de protéger un secret de fabrique. L'ingénieur, l'arti-san, l'industriel savent quelle im-portance peut présenter le secret de fabrique dans la vie d'une entre-prise.

. Dans telle industrie c'est un procédé expérimenté au prix de lourds sacrifices et dont il convient de se réserver l'exclusivité; tel artisan a trouvé une « astuce l)

de montage pour obtenir une éco-nomie de main-d'œuvre j tel ingé-nieur a mis au point un schéma présentant un intérêt en raison de sa simplicité... nombreux sont les exemples susceptibles d'être protégés en droit français par ce que nous appelons communément

« le secret de fabrique».

Toutes les industries peuvent un jour avoir intérêt à faire appel à cette protection que nous allons maintenant tenter de définir dans ses grandes lignes.

A partir de quel moment sommes-nous en face d'un secret de fa-brique?

La Cour de cassation définit le secret de fabrique en indiquant qu'il s'agit d'un procédé de fabri-cation offrant un intérêt pratique ou commercial mis en œuvre par un industriel ou un artisan et tenu cacbé de ses concurrents.

Comme première condition il convient donc que le secret de fabrique n'ait pas été révélé par l'industriel qui l'exploite à ses concurrents. Il ne doit donc pas avoir été décrit, ni exposé publi-quement car cela lui enlèverait son caractère de secret.

Seconde condition : il doit avoir

QueUe est la protection du secret de fabrique?

Celui qui exploite un secret de fabrique peut poursuivre devant la juridiction pénale, c'est-à~dire

devant le Tribunal correctionnel et obtenir la condamnation à une peine de prison et à une amende du concurrent qui utilise son secret.

Très souvent il s'agit de commu-nication par un salarié de l'entre-prise à une société concurrente j l'ancien salarié, auteur d'une telle divulgation peut être condamné.

De . même, le concurrent qui a provoqué la divulgation, et par des promesses d'argent a déter-miné un ouvrier à la lui révéler, voire même peut-être a débauché cet ouvrier pour connaître certain tour de main en usage chez son patron, ce concurrent peut être poursuivi pour complicité.

Au lieu de poursuivre devant le Tribunal correctionnel, il est pos-sible pour l'utilisateur du secret de fabrique de porter son action devant la juridiction civile _ ou commerciale et de solliciter des dommages et intérêts pour concur-rence déloyale, en application de l'article 1382 du Code civil. Pour qu'une telle action aboutisse il convient d'apporter la preuve par tous moyens, y compris par des témoignages, de l'existence du secret de fabrique et démontrer quelle a été l'importance du pré-judice subi.

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ -; été exploité industriellement; cela

Contrairement au brevet d'in-vention, le secret de fabrique ne confère pas à son titulaire un monopole d'exploitation. Si un concurrent découvre ce même se-cret à la suite de recherches per-sonnelles, il pourra lui aussi l'uti-liser librement. Si dans ce cas le secret de fabrique couvre un pro-cédé brevetable, rien n'empêche la personne qui l'a redécouvert de déposer une demande de brevet.

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