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Synthèse des commentaires

III) RESULTATS

6. Synthèse des commentaires

La question 24 du questionnaire était une question ouverte laissant libre-court à tout

commentaire. Il y a eu 220 commentaires au total. Nous avons décidé de laisser les

commentaires comme ils avaient été écrits, pour ne pas modifier le sens des phrases et

opinions exprimées. Cependant, pour continuer à garder l'anonymat des personnes, nous

avons retiré de cette liste les adresses-mails laissées lors des commentaires pour recevoir les

résultats de la thèse. Egalement, nous avons retiré 24 commentaires qui se limitaient à donner

l'adresse-mail pour recevoir les résultats de la thèse en retour. Les commentaires ont été les

suivants :

- Certaines attitudes alimentaires ou autres ne sont pas forcément en rémation avec des prescriptions sectaires.

- Je ne ressens pas le besoin tel que c'est formulé mais je pense que ce serait une bonne idée dans la mesure où on identifie mieux ce qu'on connait bien de faire une formation sur ce thème.

- Vaste sujet : où commence la secte ? Je pense que c'est une notion qu'il est très important d'avoir en tête, comme des tas d'autres, qui ne faisaient pas partie autrefois des préoccupations des médecins. Le monde change. Nous médecins, devons changer avec lui, ou tout au moins, bien prendre conscience de ce changement pour ne pas risquer de rester sur le bord du chemin, parfaitement inefficaces. Merci et bravo pour ce travail. Bonne chance !

- Dérives sectaires en progression? en régression? stable? mais peut être : ne sais pas , je ne sais pas, votre questionnaire est ambigu, notre médecine est déjà sectaire ; nous essayons à tout crin de "normaliser " les individus : cholestérol à 2g, vaccinations, zéro alcool pendant la grossesse, anticholinestérasiques si troubles cognitifs, chimio de 3ème ou 4ème ligne, interdiction de mourir à la maison."On ne sait jamais, on va peut être pouvoir faire quelque chose", la médecine s'immisce dans la vie de tous et s'impose et fait pression tout comme certaines sectes. Pardon si je vous dérange.

- La fin de carrière étant proche, je ne ressens pas de besoin de formation particulier sur le sujet. Par ailleurs, je pense que les personnes qui sont "soumises" à des dérives sectaires consultent peu ou pas des médecins qui approuvent ces dérives. Je connais des médecins qui ne font pas de vaccin, sans que je sache d'ailleurs s'ils appartiennent ou non à des mouvements sectaires, et je suppose que les patients qui ne veulent pas de vaccinations vont s'adresser à eux et pas à moi (asinus asinum fricat ...).

- En dehors de témoins de Jéhovah (considérée comme une secte?), pas de connaissance sur d'autres sectes...

82 - Même si en tant que généraliste nous pouvons suspecter qu'une personne est sous influence, si cette dernière ne souhaite pas le confirmer, le doute subsistera et on ne peut pas faire grand chose et si elle le confirme, alors que faire? Vers qui se tourner? A t-on le droit de le signaler? Au final nous restons impuissants face à de telles situations...

- Sujet original ! Bon courage !

- Pour la question 7, je ne suis pas sûre car je ne sais pas vraiment ce que signifie les dérives sectaires... Bon courage pour votre thèse.

- Sujet très intéressant et original. Bon courage !

- Dans une époque où le droit du patient est roi, nous ne pouvons qu'informer le plus possible des dangers d'un comportement que ce soit par bêtise, dérive sectaire, psychose... En revanche des cours pour apprendre à être à la fois convainquant et diplomate....

- Pour la question 7 j'aurais souhaité mettre "je ne sais pas "

- Il me semble que le danger vient plus des dérives sectaires des médecins et du personnel soignant, que des patients.

- Bonjour, je suis quelques patients qui sont témoins de Jéhovah ... Je ne pense pas être suffisamment sensibilisée pour être vigilante et avoir une CAT adaptée. Je serai vraiment intéressée par toute formation sur ce thème. Bon courage pour votre travail ! Bien cdt.

- Probable patient sous influence, sans que cela émerge...

- A la Q 11 : je crains beaucoup par exemple pour mes patients allant voir un rhumatologue pour quelques douleurs et qui ressortent avec une prescription de glucosamine, mais encore plus s' il s'agit de biothérapie. Idem chez le cardiologue qui prescrit le dernier antiagrégant ou anti-arythmique sans anti dote connue etc. De véritable secte en effet... Q 7 pas d'avis mais obligé de répondre ...

- Je ressens le besoin d être plus informée mais comme pour d autre formation plus anthropo-sociologiques car les problèmes culturels sont souvent au 1er plan (pour l'adhésion ou le refus ou l'observance des pratiques médicales) sans participation de la notion de secte qui est plus simple à dénoncer et à combattre me semble t-il, car plus clairement et catégoriquement condamnable. Par contre, les problèmes de différences culturelles sont moins ou pas du tout condamnables , en tout cas pas clairement ni simplement et très présentes dans nos villes et banlieues.

- Je n'ai jamais été confrontée à une telle situation donc je n'ai pas été sensibilisée à ce sujet. C'est surement un tord...

- C'est un sujet très intéressant. Mais, encore un sujet qu'il faudrait théoriquement abordé dans nos cabinets de ville. Comment allons nous faire, nous Généralistes, pour tout faire, dans tous les domaines ? Je me le demande.... Bon courage pour la suite, Si un questionnaire simple de dépistage est mis en place et validé, j'aimerais le connaitre ! Merci !

- Attention aux justes définitions de "dérive sectaire" : Tout ce qui sort de la moyenne n'est pas nécessairement sectaire.

83 - Je ne crois pas que ce soit une dérive sectaire, mais je rencontre beaucoup de patients ou de connaissances qui ne consomment plus de lait et produits laitiers en avançant des théories assez douteuses provenant d'une "littérature scientifique" parallèle, relayée souvent par des ostéopathes ou autres... D'où personnes carencées en calcium, bébés ne recevant pas de lait de vache mais des laits végétaux. Je ne sais pas comment aborder le sujet, j'ai tendance à me "braquer". J'aimerais savoir quels sont les réels dangers, avoir des arguments, savoir comment trouver un terrain d'entente. Bon courage à vous !

- Étant nutritionniste exclusivement je suis peu concernée ...

- Une formation pour aide au repérage pourrait être utile

- Coordonnées des personnes susceptibles d'aider les personnes, les professionnels... où les trouvent-on ?

- A vouloir informer sur tout et n'importe quoi on désinforme ! Il faut savoir que cela existe et chercher en situation de demande, sinon on peut passer son temps à s'informer au lieu de recevoir des patients ! Comme d'habitude, l'item "je ne sais pas" n'existe pas !

- Dérive sectaire, thème philosophique. D'abord ces pervers narcissique, il m'arrive de leur téléphoner en direct avec un témoin, les avocats de famille y jouent également un rôle important. Le message essentiel : nul ne peut s'accaparer la souffrance de l'autre.

- Ce sujet est très intéressant, comme celui d'abus de faiblesse qui est plus large que la dérive sectaire.

- Question 7 et 15 : Ne sait pas (j'ai été obligée de cocher une case au hasard pour valider le questionnaire). Question 11 : Pleins d'autres causes aux refus de soins, à la consommation de produits toxiques, à être victimes de sévices, et à des régimes aberrants.

- Dérives sectaires ... on en parle, mais pas eu affaire directement. Peut-être passé à coté ... Par contre, régulièrement des patients avec des convictions saugrenues et néfastes, refus de vaccins, nourrisson nourrit sans lait ... mais qui ne sont pas embrigadé dans un groupe. Les Témoins de Jéhovah et leur refus de la transfusion sont -ils à considérer comme une secte ?

- Et puis après le repérage, comment casser l'isolement du patient dans sa déviance étant tenu par le secret professionnel !!!

- Les dérives en tout genre sont augmentées par le manque de crédibilité de plus en plus flagrant des politiques, des médias, des pseudo informations en n'importe quel secteur de la santé. Exemples: vaccin contre l'hépatite B et SEP, grippe H1N1, panique sur la contraception orale, interviews de vieux nœuds titrés qui éditent n'importe quoi pour se faire mousser. Les gens sont perdus, inquiets et deviennent des proies faciles pour les sectes. Ce n'est pas vraiment le problème des médecins, pas plus que le chômage ou la misère sociale. C'est un choix de société, on délaisse l'éducation, la justice et la santé, on porte aux nues le football, les comptes en Suisse, les émissions TV débiles, et on fabrique des gens qui ont 2 ou 3 neurones. Les médecins ne peuvent pas lutter contre tous les maux de la société. C'est à la population de se réveiller.

84 - Certains sont au bord du gouffre, d'autres ont des proches qui sont tombés, et je trouve

que je manque d'outils pour les aider.

- Plus que le repérage des patients à risque (cela me semble intrusif et paternaliste), il me semble plus pertinent de repérer les médecins ou professionnels (ostéopathes+++, naturopathes et autres charlatans) aux pratiques douteuses (imposition des mains, régimes sans gluten, manipulations crâniennes de nourrisson...) et créer un centre de signalement (j'ai de nombreux témoignages de patients ayant été l'objet de telles pratiques).

- Pour info je considère que les témoins de Jéhovah appartiennent à une secte. J'en soigne régulièrement mais je me sens mal à l aise. Cette "église" a pignon sur rue mais pour moi il s'agit d'une secte.

- J'ai l'impression qu'il s'agit là d'un problème épisodique dans une patientèle, mais néanmoins la question de savoir comment y répondre, où se positionner en tant que médecin, soulève des questions. Et effectivement, en cas de patient en dérive sectaire, je ne saurais guère vers qui me tourner pour apporter une aide, d'autant si cela affecte les traitements. Sans doute, une session de quelques heures serait bénéfique pendant le troisième cycle ou dans le cadre d'un DPC. bonne continuation pour la suite de la thèse !

- Q11 : beaucoup de demande de vaccinations limitées au seules obligatoires, jamais de refus net de toute vaccination.

- Tout citoyen devrait pouvoir être informé sur ces dérives, en particulier les adolescents.

- Sujet passionnant mais qui n'est qu'effleuré dans ce questionnaire. Ceci dit, les questions 11 puis 12 font réfléchir à notre possible scotome devant cette question. Question subsidiaire : comment se procurer le guide de la Mivilude "Santé et dérives sectaires" ?

- Les structures de formation professionnel sont une cible privilégiée des groupes sectaires quid de la formation médicale ?

- Important de repérer les sectes , important aussi de ne pas considérer comme sectaire toute forme de médecine parallèle ou non conventionnelle, car l'université est assez fermée à ces approches (naturopathie, médecine chinoise voire étiomédecine ?). Il y a des approches nouvelles, peu connues, non dangereuses , efficaces, d'où l'importance d'avoir un outil pour différencier les 2 !

- Merci à vous et bon courage pour le reste du travail...

- Cela me gêne que chaque question qui touche a la MG se termine toujours par : " il faut former les généralistes" ! Oui, il faut former les généraliste mais pas spécifiquement aux dérives sectaires, ni à autre chose de si précis. Il faut former les généraliste a être à l'écoute du monde qui les entoure et à porter un regard critique, à répondre à des problèmes imprévisibles et peu attendu comme celui là, ou tout autre aussi peu fréquent et dérangeant. A la question 7, je n'ai aucune idée sur le sujet...

- Je vais tout de suite chercher Miviludes sur le net !!!

- Sujet intéressant +++ Il faut être courageux pour aborder cette question dans une thèse, bravo ! Ma fille vient de consacrer son mémoire de fin d'études au même sujet ( à travers

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la vision de l'emprise et du "sauveur" , et son traitement dans le cinéma contemporain). Bonne continuation !

- On peut mettre un bouton "ne sait pas" aux questions 23, 21 et 15. Ce n'est pas facile cette histoire de secte. Où commence la secte et où finit la religion par exemple. Les patients que je vois sporadiquement sont des témoins de Jéhovah mais il y a longtemps que je ne les vois plus.

- Je considère les "religions" comme des sectes avec ses dérives. Et certaines nous empêchent de faire correctement nos examens et le suivi et les traitements des patients. Beaucoup de négociations et de temps perdu pour des choses très simples.

- C'est un sujet qui ne m'intéresse pas spécialement. A force de vouloir faire du généraliste le dépisteur de tous les problèmes réels ou fantasmés de la société, on va finir par décourager la profession. On n'a pas le temps de s'occuper de tout, c'est aussi simple que ça. Vous verrez quand vous serez installé le nombre de missions qu'on nous propose (impose ?), et à quel rythme, il augmente chaque année, le tout pour une rémunération de "femme de ménage" (pour reprendre une expression devenue célèbre) en terme de salaire horaire.

- J'ai écouté avec intérêt il y a quelques années une émission de la chaîne du parlement sur le travail en commission sur ce sujet ... Ce n'est pas évident de se former à cause de l'implication idéologique du sujet, pour mémoire, certaines sectes sont devenues des partis politiques reconnus et ayant accédé au pouvoir depuis 1789 ... En plus, il y a une connotation culturelle ...donc une thèse sur ce sujet est intéressante ... bon courage !

- Ce simple questionnaire permet de sensibiliser au problème.

- Oui, mais le médecin peut être sectaire aussi dans sa façon. Vous ne parlez que des patients, heureusement que le patient est libre du choix.

- Où se procurer le guide de la Miviludes ?

- J'ai l'expérience d'un patient atteint de mésothéliome, m'ayant demandé mon avis quant à la thérapeutique "alternative" proposée par une secte et un médecin proche y appartenant. Je pense qu'une relation d'ouverture et de confiance, de tolérance établie avec ses patients peut les aider à aborder ce sujet spontanément.

- Les patients fragiles sont une cible pour les sectes, mais le sujet est rarement abordé en consultation.

- Difficile distinction entre véritable sectarisme, désir légitime d'une médecine complémentaire moins coûteuse, moins "toxique" et plus humaine, et pratiques plus "farfelues" de patients qui néanmoins ont parfois besoin de cela pour leur équilibre psychologique fragile. Bon courage !

- Si aucun enfant n'est impliqué dans une dérive sectaire touchant la santé, je ne vois pas bien ce que le médecin peut faire faire sauf dans de rares cas où une HDT est nécessaire, en dehors bien sûr d'essayer d'établir un lien de confiance.

- Je reviens à la question 11, bien sûr j'ai déjà eu ce genre de patients, mais sans que ce soit en lien avec une secte. Je connais mal le sujet... Bon courage !

86 - Dérive sectaire ne concerne pas seulement les sectes identifiées comme telles, somme toute assez rares, mais surtout, en médecine, les gourous en tout genre y compris dans le corps médical avec ces derniers temps, apparition de psychothérapies diverses visant à prendre l'ascendant sur le patient y compris en induisant de faux souvenirs ( inceste en particulier) qui coupent le patient de sa famille. Comment lutter contre ces dérives multiformes ? J'essaie en instaurant la confiance et en essayant de ne pas heurter les gens de front pour ne pas les laisser sous la seule influence de leur gourous.

- Considérer l'emprise sectaire qui s'apparente à une relation entre celui qui sait ce qui est bon pour l'autre et celui qui ne sait pas doit également amener à reconsidérer la relation médecin-malade qui peut parfois s'apparenter à cela. Laisser une chimiothérapie à tout pris à quelqu'un dont le pronostic semble déjà certain ou que la chimio est peu efficace, peut être discutable mais l'inverse est vrai. Qui sommes nous pour juger du bien fondé d'un passage dans une secte ! De la même façon qu'une drogue peut être un substitut à certains moments, elle peut avoir un rôle si on n'a pas pour but de rendre le patient dépendant mais de l'amener à plus d'autonomie.. Quels sont les dangers des sectes les plus courantes ? A quel moment le médecin peut-il simplement conseiller et à quel moment peut-il tirer la sonnette d'alarme s'il y a un vrai danger et emprise d'où maltraitance ? Trouver la limite entre la liberté de croyance et le danger réel, la religion peut être également une base à certains délires mystiques ou certains mécanismes de dépendance. Voilà quelques réflexions suscitées par ce travail intéressant. Dire à un individu ce qui est bon ou pas bon pour lui relève du gourou, la différence c'est que l'on s'appuie sur les données de la science qui sont cependant très changeantes, amener les personnes à sentir ce qui est bon pour elles relève du vrai processus de thérapie selon moi. Mais que peut-on faire pour une personne sous emprise que l'on sent en danger ? sujet intéressant !

- Je pense qu'une réelle formation du dépistage et de l'évaluation des patients victimes de violences psychiques, psychiques ou sexuelles pourraient être un moyen d'améliorer la prise en charge de ceux victimes de dérives sectaires.

- C'est la première fois que j'aborde ce sujet dans un questionnaire et une formation sur ce sujet serait utile car je me sens assez démunie face à ce sujet.

- Les réponses concernaient essentiellement une religion.

- Pour l'instant, je ne ressens pas le besoin de plus de formation, car je n'ai pas de cas m'inquiétant. Si j'avais des inquiétudes pour certains patients, j'aimerai être plus formé. Je lis pour m'informer. Sans parler de secte à proprement parler, je pense que certains soignants abusent parfois des patients "fragiles", proposent des régimes farfelus, font entrer des patients dans des circuits sans fin. Une de mes patientes voyait 14 soignants différents, tous conseillé par le précédant et comme elle est obsessionnelle, elle participait donc aussi au processus...

- Refus de vaccin , rejet du lait de vache et laitages... m'horripile mais a part expliquer pourquoi les faire ou en prendre, notre rôle s'arrête là, et ce sont beaucoup de bobo-écolo. Le problème auquel j'ai été confronté c'est un "médecin du 56" qui fait des micro injection de ??? qui "guérit Les SEP et PAR. Résultats = aggravation PAR et reprise corticothérapie car "la patiente est persuadé de ne pas avoir tout bien fait ! A quand le ménage dans notre profession !!! De plus on ne peut pas se former sur tout....pas vraiment concerné par les sectes, plutôt par la mode "tout bio tout beau" !

87 - Un danger vient de professionnels de santé développant des "croyances" alimentaires, thérapeutiques, etc. très exclusives, très dogmatiques, rejetant notre médecine générale plus ouverte , et universelle. Ces "gourous" professionnels de santé sont dangereux. Ce sont des "guérisseurs" !

- La secte la plus toxique actuellement pourrait s'appeler " banalisons le cannabis" !

- Travaillant en addictologie, je suis parfois confronté à des patients évoquant des groupes de patient et d'entraide pour lesquels ces questions se posent.

- Je me sens peu concernée car exerçant en milieu rural mais j'ai plutôt a faire à des dérives d'extrémistes "bio" : anti tout ce qui vient de l'industrie pharmaceutique, d'où les refus de vaccins. Mais je suis aussi peu informée et formée sur le sujet !

- Question n° 9 : j'ai plusieurs patients appartenant aux "témoins de Jéhovah", refusant les transfusions sanguines. Ils ont tous une activité professionnelle, une vie sociale et familiale aussi épanouie et harmonieuse que le reste de ma patientèle, et je ne les

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