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METHODOLOGIE DE TRAITEMENT CONTRE L’ANTHRACNOSE

LA SURVEILLANCE BIOLOGIQUE DU TERRITOIRE

La surveillance biologique du territoire (SBT) dans le domaine végétal, une des missions du Ministère chargé de l’Agriculture, est organisée depuis plusieurs décennies pour connaître la situation phytosanitaire, améliorer le raisonnement des méthodes de lutte contre les organismes nuisibles dit « de qualité » et détecter, à partir de plans de surveillance spécifiques, des organismes nuisibles réglementés (dont ceux dits « de quarantaine ») ou émergents. Récemment et de façon complémentaire, la SBT s’oriente vers la détection et le suivi des effets non-intentionnels (ENI) potentiellement liés aux pratiques phytosanitaires, mais ne concernent pas dans un premier temps les zones non agricoles. Ces évolutions, inscrites dans le Code rural et de la pêche maritime*, répondent à la volonté de vérifier la pertinence, l’efficacité et l’impact des mesures de gestion des risques phytosanitaires mises en œuvre vis-à-vis des milieux cultivés, mais aussi de l’environnement.

* Textes de loi :

- Epidémiosurveillance : art. L 201-1 du Code rural et de la pêche maritime, relatif à l’épidémiologie.

- Biovigilance : art. L251-1 et L251-2 du Code rural et de la pêche maritime, relatifs à l’organisation de la surveillance biologique du territoire.

Exigences européennes

En application du Règlement (CE) n°1107/2009 relatif à la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques, l’utilisation appropriée de ces pesticides inclut l’application des principes de bonnes pratiques phytosanitaires. Pour être applicables par les professionnels, elles doivent être viables sur le plan technico-économique, mais respectueuses de la santé publique et de l’environnement. Le règlement européen renvoie aux dispositions de la directive 2009/128/CE relative à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable, et en particulier aux principes généraux de lutte intégrée contre les ennemis des cultures et à l’obligation, pour les Etats membres, de s’assurer notamment que les utilisateurs professionnels disposent de l’information et des outils de surveillance des bioagresseurs, ainsi que des services de conseil sur la lutte intégrée contre ces organismes nuisibles. Le dispositif de SBT actuel s’inscrit bien dans les objectifs communautaires.

Un fonctionnement en réseau

La structuration des réseaux de surveillance phytosanitaire et de leur gouvernance (voir encadré) est mise en œuvre de façon progressive depuis 2009 dans le cadre de l’axe 5 du plan Ecophyto (plan national de réduction d’utilisation des pesticides). Cette organisation permet d’obtenir des références harmonisées et coordonnées sur l’ensemble du territoire, en zones agricoles et en ZNA (zones non agricoles). Elle vise à agréger ces références dans la base de données nationale EPIPHYT disponible pour les administrations publiques gestionnaires des risques (risques phytosanitaires, ainsi que risques liés à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques). Cette base de données recevra dans un premier temps les données épidémiologiques saisies par les différents observateurs, issues de parcelles fixes (gestionnaires d’espaces verts, jardiniers communaux, formateurs en établissements d’enseignement…) ou de parcelles flottantes pour les observateurs itinérants (entrepreneurs- paysagistes, élagueurs, arboristes-conseils, phytiatres…).

ENCADRÉ

L’organisation partenariale de la SBT associe les différents acteurs et permet la mutualisation des données recueillies sur tout le territoire national. Le schéma d’organisation simplifié est :

- Le C.N.E., Comité national d’épidémiosurveillance, présidé par le Directeur Général de

l’Alimentation, est constitué entre les représentants de l’Etat, des organisations professionnelles et de développement agricole, des représentants nationaux des opérateurs parties prenantes des programmes de surveillance. Il définit la stratégie globale à mettre en œuvre, valide les schémas régionaux d’organisation du réseau, ainsi que les modalités d’accès aux données nationales concernant l’état sanitaire des végétaux et les effets non intentionnels des pratiques phytosanitaires. Il valide les besoins financiers exprimés par les régions.

- Le C.R.E., Comité régional d’épidémiosurveillance, est présidé par le Président de la Chambre

régionale d'agriculture, associe les acteurs de la veille sanitaire (professionnels, Chambres départementales, instituts techniques, organismes de la distribution, groupement de défense contre les organismes nuisibles…). Il élabore le schéma régional, anime les réseaux, établit les

- Une charte de l’observation biologique dans le domaine végétal précise les aspects

fonctionnels : archivage, accès aux données, besoins de formation des acteurs, documentation… - Un animateur-filière, interlocuteur du comité régional dans le suivi des conventions et des

partenariats, assure la responsabilité de la programmation, de la collecte et de la mise en forme des informations. Il est « chef de file » dans la rédaction du « bulletin de santé du végétal » dans son domaine de compétences (par exemple, animateur-filière en Productions horticoles).

- L’engagement des parties-prenantes dans le dispositif est formalisé par des conventions

précisant l’organisation du dispositif et les obligations des partenaires (respect de protocoles d’observation harmonisés, implémentation de la base de données). Chaque partenaire dans chaque région s’engage par convention.

Les DRAAF-SRAL supervisent les dispositifs régionaux par des missions de contrôle de second

niveau. Dans son rôle de Commissaire du gouvernement auprès du comité régional, chaque DRAAF- SRAL veille à :

- l’adéquation du dispositif aux objectifs des politiques publiques ;

- la cohérence des décisions avec celles prises par le comité régional de suivi (CROS) du plan Ecophyto ;

- au respect des conventions et de la charte de l’observation biologique, au processus d’élaboration du Bulletin de santé du végétal, à la qualité des observations recueillies et des messages délivrés. Les Bulletins de Santé du Végétal

Les données épidémiologiques sont collectées et évaluées de façon collégiale entre les acteurs (comité de rédaction), puis synthétisées par un animateur-filière, tenant compte des stades phénologiques, des conditions météorologiques et des seuils de nuisibilité (quand ils existent). Elles sont ensuite diffusées sous la forme d’un bulletin de santé du végétal (BSV). Cette publication doit permettre aux producteurs, gestionnaires et prescripteurs de prendre une décision appropriée aux principaux risques phytosanitaires. Elle donne une tendance à l’échelle d’une zone pédoclimatique, d’un bassin de production ou d’une culture de référence, qui fait ensuite l’objet d’une étude plus spécifique et localisée par chaque utilisateur au sein de son exploitation, jardin ou espaces vert.

Fig. 1 : Première page d’un Bulletin de santé du végétal en zones non agricoles. Exemple de l’édition des Pays de la Loire

Fig. 1: First page of a health report of the plant in non-agricultural areas. Example of editing the Pays de la Loire

Les BSV décrivent l’état sanitaire des cultures à travers une synthèse d’observations de nature biologique (comptages, notations, phénologie, évolution des parasites et des auxiliaires) et agroclimatiques. Les éléments décrits sont accompagnés d’illustrations pour faciliter la reconnaissance et le diagnostic visuel sur le terrain. Des graphiques et cartes de présence représentent dans le temps et l’espace les dynamiques observées, et celles prévisibles, quand existent des outils d’évaluation du risque (ex. modèles épidémiologiques, résultats de piégeage, suivis biologiques en laboratoire).

Les informations épidémiologiques transmises dans les BSV sont régulières et objectives. Elles permettent de limiter les traitements aux parcelles réellement menacées par les bioagresseurs (maladies, ravageurs, plantes adventices), selon les moyens de régulation naturels observés ou ceux mis en œuvre par les professionnels ou jardiniers amateurs. Les

Le BSV constituera l’un des piliers d’informations nécessaire et indispensable à la prescription encadrée par la certification du Conseil à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques respectueuse de l’environnement et de la santé. En pratique, il est indispensable de compléter les données phytosanitaires générales délivrées dans le BSV avec des observations parcellaires propres à chaque situation.

Les grands principes du BSV sont :

- la mise à disposition gratuite de la publication sur les sites Internet des Directions régionales de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF), ainsi que sur les sites Internet des partenaires : CRA (Chambres régionales d’agriculture), FREDON… ;

- l’absence de préconisation de traitement ;

- la mention de notes nationales à caractère réglementaire ou relevant des bonnes pratiques phytosanitaires dans la version émise par l’administration centrale.

La surveillance phytosanitaire des zones non-agricoles

Fig. 2 : Un parc paysager présente souvent une importante diversité végétale. Photo : J. Jullien SDQPV

Fig. 2: A landscaped park often has high plant diversity. Photo: J. Jullien SDQPV

Les zones non agricoles concernent une grande variété de compartiments. Pour des raisons essentiellement organisationnelles, elles ont été différenciées dans un premier temps en deux sous-groupes :

- ZNA professionnelles : espaces verts communaux, parcs et jardins suivis par des entrepreneurs paysagistes, voies de communication, cimetières, aires végétalisées dont les gazons, pelouses et prairies fleuries, bois communaux, forêts suburbaines, zones aquatiques et subaquatiques, abords de bâtiments, sites industriels ;

- jardins d’amateurs : parties ornementales, potagères et fruitières, abords de la maison.

Les cultures sont très diversifiées dans des milieux ouverts directement connectées à l’environnement. Sur l’ensemble des ZNA, le nombre de groupes agronomiques (bioagresseur/espèce végétale) est considérable, de l’ordre de plusieurs milliers. Aussi, pour orienter les observateurs vers des suivis épidémiologiques prioritaires, en termes de risques sanitaires et environnementaux, l’expression du besoin a été recentrée autour des principaux organismes nuisibles rencontrés au sein de tous les compartiments des ZNA. Il s’agit de ceux dont la présence peut générer des interventions de régulation, y compris les plantes envahissantes d’origine exotique (renouée du Japon, ambroisie à feuilles d’armoise, berce du Caucase, raisin d’Amérique, ailante, cerisier tardif…).

Deux structures ont été chargées à partir de 2010 d’élaborer des guides méthodologiques relatifs aux sous-groupes des ZNA : Plante & Cité pour les ZNA professionnelles et la Société Nationale d’Horticulture (SNHF) pour les jardins d’amateurs.

Ces guides de référence contiennent des protocoles harmonisés de niveau standard pour les notations simplifiées ou approfondies pour les observations détaillées ou expertes. Ils formalisent ainsi les observations épidémiologiques collectées par les animateurs filières, chargés d’analyser les risques phytosanitaires en ZNA et de publier régulièrement des bulletins de santé du végétal (BSV) dans chaque région métropolitaine et département d’outre-mer.

Fig3 : Relevé des captures de processionnaire du pin dans un piège à phéromones sexuelles. Photo J. Jullien SDQPV

Fig 3: Summary of catches pine processionary in a sex pheromones trap. Photo J. Jullien SDQPV

En fin d’année, une synthèse des informations phytosanitaires publiées dans les BSV en ZNA constitue un chapitre du rapport annuel en surveillance biologique du territoire adressé par le Gouvernement au Parlement. Un chapitre distinct concerne la santé des forêts.

Ces informations sont remises aux parlementaires (députés et sénateurs) à l’origine des textes de loi relatifs à la surveillance biologique du territoire dans le domaine végétal. De plus, le Ministère chargé de l’agriculture (DGAl) les utilise pour rédiger une note de conjoncture phytosanitaire décrivant la pression biotique annuelle vis-à-vis des principaux organismes nuisibles aux végétaux cultivés. Les données de cette note sont ensuite corrélées aux indicateurs d’utilisation des produits phytopharmaceutiques en ZNA dans le cadre du plan Ecophyto.

Tableau de bord d’un protocole d’observation phytosanitaire

Quoi observer ? Organismes nuisibles, auxiliaires, stades de développement, symptômes, dégâts ou niveau d’attaque, facteurs de régulation naturels

Quand observer ? Périodes d’observation (mois de l’année, stade phénologique à

adapter selon les régions...), fréquences d’observation (à adapter selon les saisons, la disponibilité et la technicité des observateurs)

Où observer ? Objet à observer (plante entière, organe..), échantillonnage (à adapter selon les méthodes harmonisées au niveau national…)

Comment observer ? Type d’observation (visuel, piégeage, élevage…), notation en mode présence/absence, mode opératoire, petit matériel nécessaire, type de données à collecter et à saisir (fréquence d’attaque en % de plantes atteintes dans une culture, gravité d’attaque en nombre moyen d’insectes par organe infesté par un ravageur, pourcentage moyen de surface foliaire infecté par une maladie ou taux d’enherbement pour évaluer l’abondance d’une plante adventice dans une culture), seuil de nuisibilité (esthétique, parasitaire, atteinte aux biens et aux

personnes…).

Enjeux de l’épidémiosurveillance des zones non agricoles

Les enjeux de surveillance biologique du territoire vis-à-vis des parasites émergents et des organismes nuisibles réglementés, ainsi que de l'environnement et de la santé publique, sont très importants. Même si les ZNA ne recouvrent pas les mêmes intérêts économiques que les zones agricoles (ZA), elles sont omniprésentes sur le territoire et dans les espaces de vie de la population. Ces milieux assurent de multiples fonctions et usages à caractère social, patrimonial, paysager, foncier, urbanistique, touristique, économique, écologique, climatique, ornemental, alimentaire pour l’homme et/ou les animaux, mellifère et/ou nectarifère.

En espaces verts professionnels, on mesure bien l’utilité de l’épidémiosurveillance à travers la gestion différenciée. Ainsi, pour un même bioagresseur, la hiérarchisation des risques phytosanitaires dépend d’une part des enjeux ou objectifs d’entretien propres à chaque zone gérée par le paysagiste ou gestionnaire d’espaces verts (voir encadré), et d’autre part des critères de nuisibilité directe ou indirecte des bioagresseurs (esthétique, parasitaire, atteinte

ville de Laval en Mayenne), le BSV sert d’outil pour réduire progressivement l’utilisation des produits phytopharmaceutiques (objectif « zéro pesticide »), en complément des méthodes alternatives au désherbage chimique, notamment acquises dans le cadre de l’axe 7 du plan Ecophyto. A cet égard, une étude sur la pertinence des suivis malherbologiques incluant les ZNA a été conduite en 2013 par un groupe de travail issu du Comité national d’épidémiosurveillance (CNE), piloté par Xavier Reboud (INRA de Dijon). Les conclusions de cette étude seront présentées en session plénière du CNE le 26 septembre 2013.

Des enjeux propres à chaque zone en espaces verts

La hiérarchisation des risques phytosanitaires en espaces verts dépend des enjeux ou objectifs d’entretien propres à chaque zone gérée par le paysagiste ou gestionnaire d’espaces verts.

Enjeux de préservation des valeurs d’usage du patrimoine végétal

- valeur patrimoniale et paysagère, valeur foncière et urbanistique, valeur sociale, valeur climatique (arbres d’ombrage…), valeur écologique (biodiversité).

Enjeux économiques

- esthétique et fonctionnalité des parcs, jardins et espaces verts : qualité des plans d’eau, préservation des plantations, des gazons…

Enjeux de santé publique et de préservation des biens

- urtications et allergies aux personnes (chenilles grégaires, plantes allergisantes…), atteinte aux biens (salissures par les miellats, la fumagine…).

Enjeux réglementaires

- organismes nuisibles de lutte obligatoire, réduction d’utilisation des produits phytosanitaires les plus préoccupants pour les applicateurs, le public et/ou les milieux (lien entre l’axe 5 et l’axe 7 du plan Ecophyto).

Dans les jardins d’amateurs, les plantes d’ornement, ainsi que les plantes potagères et fruitières, constituent des hôtes potentiels pour un grand nombre d’organismes nuisibles préoccupants, y compris pour les productions végétales professionnelles et les espaces ruraux ou forestiers environnants. L’intensification des échanges commerciaux expose sérieusement les jardins aux invasions biologiques (plantes envahissantes exotiques, capricornes asiatiques, phytopte du fuchsia, mouches des fruits et légumes…). On peut d’ailleurs constater qu’une multitude de parasites inscrits sur les listes d’alerte de l’OEPP (organisation européenne et méditerranéenne de protection des plantes) concernent potentiellement les parcs et jardins.

Par ailleurs, vis-à-vis du plan Ecophyto, précisons que les jardins d’amateurs représentent environ les deux tiers de la consommation des produits phytopharmaceutiques en ZNA. Il s’agit d’herbicides, fongicides, insecticides-acaricides et molluscicides. On mesure ainsi l’importance des informations diffusées dans les BSV favorisant l’utilisation prioritaire des méthodes alternatives aux traitements chimiques ou de synthèse.

Vers une meilleure couverture du territoire et une anticipation des risques phytosanitaires

Le dispositif présenté montre un changement d’échelle dans la surveillance biologique du territoire opérée en France. Désormais, les protocoles d’observations phytosanitaires utilisés en régions sont harmonisés au niveau national et les données collectées sont mutualisées entre les partenaires du réseau SBT. Les autres points forts de ce dispositif sont la transparence et la véracité des informations recueillies, la détection et l’évaluation des risques ou des bénéfices respectivement liées à des organismes nuisibles ou utiles aux végétaux cultivés.

Les gestionnaires d’espaces verts et les jardiniers amateurs ont intérêt à lire régulièrement les bulletins de santé du végétal (BSV) qui présentent une « tendance » des risques phytosanitaires à l’échelle d’une zone biogéographique. Mais l’appropriation des informations épidémiologiques publiées ne se fait véritablement que si chaque utilisateur peut les relier aux caractéristiques des ZNA dont il assure l’entretien. Cette analyse, fine, exige une surveillance en parallèle des principaux bioagresseurs et auxiliaires à l’échelle parcellaire.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Chapin E & Jullien J., 2012. Espèces exotiques envahissantes : elles dépassent les limites. Le Lien Horticole, n° 797, pp.12-15Jullien J., 2013. L’analyse des risques phytosanitaires s’organise en espaces verts. Le Lien Horticole, n° 850, pp. 12-13.

Derail L., Javoy M. et al. 2012. Guide méthodologique d’observation des bioagresseurs au jardin. Société Nationale d’Horticulture de France, en partenariat avec le Ministère chargé de l’Agriculture. 215 p.

Guérin M. et al. 2011. Guide d’observation et de suivi des organismes nuisibles en zones non agricoles. Plantes & Cité, en partenariat avec le Ministère chargé de l’Agriculture. 480 p. Jullien J., 2013. L’épidémiosurveillance, indispensable à la protection intégrée des cultures. Phytoma-La santé des végétaux, n° 663, pp. 26-30.

Jullien J. 2013. Surveillance phytosanitaire : des Avertissements Agricoles aux Bulletins de Santé du Végétal. Jardins de France, revue de la Société nationale d’horticulture de France (SNHF), janvier-février, 8 p.

Jullien J., 2012. Du guide ZNA aux fiches de terrain. Le Lien Horticole, rubrique Actualités, n°820, p. 4.

Jullien J., 2012. Epidémiosurveillance des cultures : du diagnostic au résultat d’analyse dans le BSV. Phytoma-La santé des végétaux, n° 655, pp. 44-51.

Jullien J., 2011. Epidémiosurveillance des cultures ornementales. Phytoma-La santé des végétaux, n°641, pp. 21-25.

AFPP- 3eCONFERENCE SUR L’ENTRETIEN DES ESPACES VERTS, JARDINS, GAZONS, FORETS, ZONES AQUATIQUES ET AUTRES ZONES NON AGRICOLES