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De plus, cette supposition honteuse fait le silence sur le séjour de la Maison à TERSATTO, puis dans la clairière de la forêt, puis

Cette 2ème Preuve matérielle est monumentale

2. De plus, cette supposition honteuse fait le silence sur le séjour de la Maison à TERSATTO, puis dans la clairière de la forêt, puis

dans le champ : "reconstruite" à chaque fois ? Et comment la peinture murale de St Louis chargé de chaînes aurait-elle été préservée par démolition et reconstruction ? Et l'on s'aperçoit que les 4 étapes de la Translation de la Maison, alors que le scepticisme borné y verrait une

"surprenante incertitude" de la Sagesse divine, elles servent, ces 4 étapes, à démontrer la véracité du Fait contre toutes les dénégations malintentionnées ultérieures.

Le Voeu de Louis XIII Par ailleurs, qui peut supposer que le Cardinal de Richelieu, ministre de Louis XIII jusqu'en 1642, donc ayant libre regard sur les archives françaises et romaines, aurait laissé sortir de France le Présent du Roi à la Maison de Lorette, s'il avait eu le moindre doute ? Il s'agit d'une statue de la Vierge à l'Enfant (en argent et or) valant 30 à 40 millions de nos francs, présent royal en conclusion d'un voeu pour une Grâce demandée et obtenue. Marié sans enfant depuis 20 ans avec Anne d'Autriche, Louis XIII fait voeu d'offrir ce don à la Maison natale de MARIE si Dieu lui accorde un héritier mâle.

Anne d'Autriche fait voeu d'offrir une basilique à la Vierge, obtient l'autorisation du Clergé de porter durant un mois la Chemise de MARIE qui est à la cathédrale de CHARTRES : à cette Relique est attaché le pouvoir de mettre fin à la stérilité féminine ; dans l'année qui suit, en 1638, un enfant leur est donné : Louis, Dieudonné, qui sera Louis XIV.

Louis XIII demande alors à tout le Clergé français de consacrer le Royaume de France à la Vierge MARIE avec processions publiques dans chaque paroisse le 15 Août ; et le roi fait don d'une statue de la Vierge à l'Enfant à la Maison de Lorette, en remplacement de la statue de la Vierge à l'Enfant, en bois de cèdre sculptée par St Luc, et qui avait brûlé au cours d'un incendie. La Maison s'est d'abord

"posée" en Yougoslavie. Et c'est en Yougoslavie, à MEDJUGORJE où se poursuivent depuis 1981 des Apparitions de la Sainte Vierge, que la photo n° 2O, celle de La Vierge à l'Enfant, a été obtenue miraculeusement deux fois, identique, par deux Personnes différentes :

- Par une Religieuse venue de France en pèlerinage ; dans la pièce où ont lieu les apparitions de la Vierge, elle a pris une photo pour en rapporter un souvenir. Ce n'est qu'à son retour en France, une fois développée la pellicule, qu'elle constate ce don miraculeux du Ciel.

- Durant l'été 1987, un pèlerin redescend de la colline où se sont produites les premières apparitions en 1981. S'entendant appeler par son nom ; il se retourne à chaque fois pour voir qui l'appelle par derrière : personne ! La 3ème fois, il prend une photo de la Croix au sommet de la colline. Au développement du film, au lieu de la Croix, la même photo de la Vierge à l'Enfant. Voir Nota page suivante.

Parmi les pèlerins célèbres venus à Lorette, MONTAIGNE ; mais aussi DESCARTES vers 1650 ; les athées militants de la "Libre Pensée", qui se targuent d'être cartésiens et rationalistes, "oublient"

prudemment ce démenti de Descartes à l'athéisme. Enfin, dans un Message dicté à Maman Carmela le 1.06.1968, JÉSUS authentifie la Maison de Lorette :

"Sur ce littoral (*), vous rencontrerez aussi la maisonnette où J'ai passé Mes années juvéniles et surtout Mon enfance auprès de Ma douce Maman et de Mon père putatif. Veillez saluer ce lieu saint où Ma Maman sème Ses Grâces les plus particulières."

(*) : Maman Carmela est en chemin de pèlerinage vers Lorette.

La Maison de Nazareth se trouve donc bien à Lorette depuis 7 siècles ; seule une puissance surhumaine et, eu égard à l'objet, divine, a été la cause de cette Translation matérielle. Qu'on l'accepte ou qu'on le rejette (mais alors pour quelles raisons ?) le Fait est là, avec tout son poids !...

NOTA : De cette photo miraculeuse de la Vierge à l'Enfant , j'en ai diffusé, à prix coûtant, environ 15.000 en direction de tous Mes Correspondants ; parmi eux, au moins une trentaine de Religieux (ses) et de Prêtres dont plusieurs Docteurs en théologie. Aucun n'a manifesté ni doute ni réserve quant à l'authenticité de cette photo. L'ont reçue également six Âmes-privilégiées recevant des Messages de JÉSUS et de MARIE ; aucune n'a reçu du Seigneur ou de Sa Sainte Mère, une mise en garde contre l'authenticité de cette photo alors que des Messages d'alerte ont été reçus pour deux autres photos qui ont été retirées de la diffusion. Mais 3 ou 4 correspondants ont manifesté une méfiance appuyée sur des arguments inconsistants, voire débiles :

1. l'un distingue une tête de démon dans la partie ombrée du coin supérieur droit : de la même façon, en contemplant les nuages au ciel, on "voit" des têtes d'animaux ou d'humains, ou n'importe quoi.

2. l'autre se méfie parce que la main gauche de la Sainte Vierge n'aurait que 3 doigts : il ne veut pas comprendre que les 2 autres doigts se trouvent sous le Bébé emmailloté...

3. un autre a fait évaluer l'authenticité de la photo par un radiesthésiste : apparemment, il ignore que l'Église a proscrit l'usage de la baguette ou du pendule aux fins de divination...car là, le démon s'en donne à coeur joie.

4. une autre écrit que cette photo serait la reproduction de la peinture murale d'un immeuble de BELFAST (Irlande du Nord) ; elle est reproduite ci-dessous : la peinture murale est inversée, elle comporte une relief du mur qui la traverse de bas en haut. Ce n'est donc pas le mur qui a été photographié Mais la photo a dû servir de modèle au peintre (qui l'a renversée pour éviter toute contestation...)

2. 3. La 3ème Preuve matérielle : L'auto-Portrait de N.-D. de Guadalupe

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Cette 3ème Preuve est détenue par l'Église depuis 1531. Il s'agit du Portrait miraculeux de la Sainte Vierge, donné par MARIE en ce lieu englobé aujourd'hui dans MEXICO. C'est là qu'a été construite la basilique de Notre Dame de Guadalupe où est exposé le Portrait.

Autant la preuve de Lorette est monumentale, autant celle-ci est minuscule, mais combien significative ! Ce n'est qu'en 1951 qu'elle a été découverte par le dessinateur mexicain Carlos Salinas-Chavez observant à la loupe une photo de la Vierge de Guadalupe..

Le Bon Dieu avait caché là une preuve matérielle de Son Existence, sachant que l'homme inventera un jour la photographie. Le petit livret "Le Miracle de N.-D. de Guadalupe" (16) relate le Miracle, mais c'est Annette Colin-Simard (15) qui en expose le mieux les circonstances :

Le 12 Décembre 1531, la Sainte Vierge Se montre à un paysan indigène, Juan Diégo, après lui être apparue la veille : Elle lui avait demandé de dire à l'Évêque de Mexico qu'Elle voulait une chapelle et des prières en ce lieu. Juan Diégo dit que sa crainte de n'être pas reçu par l'Évêque espagnol ne lui a pas permis d'obéir ; il ajoute que ce jour-là, il ne peut le faire, devant rapporter des remèdes pour son oncle gravement malade. "Ton oncle, Je M'en occupe, va chez l'Évêque", dit MARIE. Mais Diégo demande une preuve pour convaincre l'Évêque. "Cueille ces roses qui sont là-bas ; mets-les dans ton manteau sans les montrer à personne que l'Évêque, et dis-lui qu'elles dis-lui sont offertes par Notre-Dame de Guadalupe ; il comprendra."

Pour Diégo le paysan, ces roses sont une preuve : à l'endroit indiqué, la veille, il n'avait vu aucune rose ; en Décembre à 2.000 mètres d'altitude, il n'y a aucune rose. Il cueille donc les roses, les roule dans son manteau, une tilma de fibres d'agave tissées, avec une fente pour passer la tête, et se rend à l'Évêché. Arrivé là, il explique qu'il apporte à l'Évêque un présent de Notre-Dame de Guadalupe. Il ne sait pas que GUADALUPE est une ville d'Espagne où sont vénérées des Reliques déterrées en 1323 par des bergers sur les indications de MARIE qui leur est apparue.

Ce nom de Guadalupe permet à Diégo d'être reçu par l'Evêque et ses collaborateurs curieux, devant lesquels il déroule son manteau : tous tombent à genoux, non pas tant à cause des roses magnifiques encore emperlées de rosée, mais à cause du Portrait de MARIE,

"peint" sur le tissu grossier !..

. Diégo raconte les Apparitions de MARIE, Ses demandes d'une chapelle et de prières, Sa promesse d'une source miraculeuse qui coulera en ce lieu (comme à LOURDES), la maladie de son oncle et la promesse de guérison de MARIE. Tout ceci s'ajoutant au premier choc, l'Évêque n'hésite pas : il envoie des émissaires sur les lieux avec Diégo ; là, devant eux, la source promise émerge de terre ; ils décident d'aller voir si l'oncle de Diégo a été guéri comme promis et, en chemin, ils rencontrent des familiers de Diégo venant l'avertir que MARIE S'était montrée à l'oncle et l'avait guéri (le même environnement de circonstances que pour le Curé de Tersatto).

Juxtaposant tous ces éléments positifs de conviction, l'Évêque (le Frère franciscain Juan de Zumarraga) reconnaît VRAIE l'Apparition immédiatement. Et, à ma connaissance, cette réaction instantanée est unique dans l'Histoire des Apparitions . Le sceptique borné pourrait objecter que tous ces détails circonstanciels ont été rajoutés après coup, pour émerveiller les esprits simples, mais deux Faits matériels sont là :

1. D'abord le Portrait sur le poncho : il est exposé depuis plus de