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: La Sixième Peau

Dans le document Td corrigé Livre 2 : La Sixième Peau pdf (Page 28-39)

“And the days come when we no longer feel” @metagaming

Théolia n’a plus ses attributs d’enfant, c’est une jeune fille à présent. Elle porte une chemise d’homme sur un débardeur noir et un pantalon ajusté à carreaux gris clair et gris anthracite. Son visage encore juvénile est grimé par un khôl profondément noir et un rouge à lèvre ocre. Elle fixe le plafond, maussade. Ses yeux sont encore rougis mais elle ne pleure plus. Ne restent que de longues traînées noires et asséchées le long de ses tempes. La voix claironnante de sa mère déferle sur sa conscience comme un insignifiant clapotis.

- Tu es en retard, les petiots vont t’attendre.

Les claquettes de Marinette rythment son approche. Théolia reste indifférente. Sa mère ouvre la porte à la volée et lui retire deux petites billes nacrées des oreilles.

- Je m’étais mis une alarme, tu n’as plus à t’inquiéter pour moi. J’assure le nombre de services minimum, je fais des études, je n’ai pas de petit ami, je rentre à l’heure, je n’ai jamais un mot dans mon carnet de suivi et toi tu veux toujours que je stresse !

- Mais…non, je venais juste te dire…

- Ouiiii, pardon. Je pensais à Papa, je n’ai pas envie d’y retourner parce qu’il y a une petite dans le groupe, qui n’arrête pas de parler des chimères et tous les gamins me posent des questions à moi. J’en ai assez, je vais demander à être changée de service, l’aide aux personnes âgées je ne sais pas….

- Tu rencontreras tout le temps des gens pour te parler des chimères. Tu ne pourras pas fuir indéfiniment la mort de Cornélius. En parler t’arme contre tes propres peurs. Qui est cette enfant qui parle des chimères ?

- Utonia. Elle est arrivée ce mois-ci.

- Tu penses qu’il faut que je rencontre ses parents ?

- Non, son parrain est dans la milice, c’est normal qu’elle en sache plus que les autres. Je vais me bouger, je sais bien que tu as raison. Il faut que je passe l’éponge… Et puis les vieux ont été tellement traumatisés par l’apparition des chimères qu’ils doivent passer leur temps à en parler !

- Tu as raison. essaye de plaisanter sa mère d’un demi- sourire.

- En plus elle est plutôt mignonne cette gamine. Elle zozote un peu : "Mon parrain il dit que z’ai pas à avoir peur des lutins parce que si on leur fait un cadeau ils sont touzours zentils avec toi pour la vie." Papa est mort et les lutins étaient tout autour de lui. Elle a parlé une fois des géants aussi. J’étais blanche comme un linceul m’a dit l’intervenante suivante. Elle m’a même conseillé d’aller voir un harmoniseur.

- Ha, elle est de notre communauté, c’est Zabella, non ?

- Oui, c’est ça, elle enseigne la littérature universelle. Théolia regarde avec inquiétude sa chambre qui change de couleur pour se faire rouge tonique.

- Tu ne voulais pas que je sois en retard ? Je dois y être dans quinze minutes ! Mélisa va attendre, c’est certain ! Bye Maman !

Elle saute dans ses ballerines de velours noir, enjambe quelques robes tirebouchonnées sur le sol et s’envole par la porte laissant sur le front de sa mère un halo de rouge passion d’automne. Sa voix ricoche dans le couloir, le salon pour parvenir, étouffé à Marinette.

- J’irai sans doute voir un film à la cinémathèque après, ne m’attends pas pour dîner… Oh mer… ça a coulé.

Marinette ramasse les vêtements qui jonchent le sol.

Théolia court dans les rues herbeuses. Autant pour ne pas être en retard que pour que personne ne remarque ses yeux fous ; pas envie de compassion. Elle en a déjà reçu trop. Etre membre de la seule famille victime d’un conflit qui n’a jamais eu lieu ! Voir son père étaler le look qu’il abhorrait, en plein milieu de la place de l’étage où elle travaille ! Être convoquée par le maire, à chaque commémoration annuelle… Théolia voudrait être quelqu’un d’autre, elle n’en veut même pas aux chimères. Non, elle en veut aux humains de lui rappeler en permanence qu’elle doit vivre sans père. Ecrasé par un géant qui ne l’avait peut-être même pas remarqué, simplement bousculé. Il y a si peu de chimères agressives, elle leur en veut d’être plus rancuniers qu’elle. Elle pense à la communauté du Pardon, ils vivent beaucoup plus bas.

Elle n’a pas envie de s’éloigner de sa mère mais là-bas, elle aurait le droit d’oublier qu’elle doit haïr les fées, les nymphes, les animaux parlant, les femmes- biches… Parce qu’un géant a tué son père dans des circonstances très étranges. Jamais on ne commémore la mort des petits êtres qu’il y avait éparpillés autour du corps de son père. Peut-être essayait-il de les sauver et tout le monde voudrait qu’elle cautionne l’extermination de milliers d’entre eux ! Les larmes se remettent à sourdre au bord de ses cils. Elle s’arrête à une fontaine et s’asperge copieusement le visage, les cheveux. Elle s’y plongerait bien tout entière. Elle tente de se concentrer sur une couleur positive mais les conseils de sa colorothérapeute restent sans effet.

Elle reste penchée au-dessus de l’eau. Son reflet se stabilise. Elle n’ira pas travailler… Elle ira travailler. Ses yeux sont rouge, cernés… Elle pourrait être enrhumée. Qui pourrait penser qu’elle pleure encore la mort de son père après sept années d’absence ? La date d’anniversaire est passée depuis des mois.

Elle survole les marches, se faufile entre les matrones et les groupes d’adolescents qui marchandent leurs services, porte à porte. Les cubes empilés et écroulés se succèdent chaotiquement conférant harmonie et paix dans ce paysage vert et brun. Elle revoit son plan de cours dans sa tête : les rassembler, leur présenter le chant, chanter. Leur demander d’identifier le thème. Chanter la mélodie. Après, constituer des groupes hétérogènes en âges.

Elle saute dans une chenille qui fermait ses portes. Ne perdant pas une miette de sa concentration dans l’accélération vertigineuse qui les propulse vers l’étage suivant, elle répète son chant à plein poumons. Le stress s’évacue sans effort, elle ne pense plus à rien d’autre qu’à la justesse de sa voix, à l’allégresse qui doit transparaître sur son visage pour illuminer ses spectateurs imaginaires. Son père revient lui susurrer à la mémoire qu’Eterline et sa voix bleue ne sont que le produit d’un trafic digital. Elle trouve sa voix très chaude, elle ressent du rouge, du jaune, de l’orange en chantant et les usagers de la chenille aussi. Ils lui serrent la main en sortant de leur habitacle pour valider un service sur sa puce interne et l’un d’eux lui donne sa carte de visite pour qu’elle vienne chez lui chercher un bouquet de fleur. Elle est gênée et accepte ces marques de reconnaissance avec un sourire maladroit. Elle pensait être isolée dans son petit cocon. On ne l’y reprendra plus, à chanter comme ça dans un lieu public.

Elle ralentit son pas, elle n’est plus en retard. Les maisons de bois et de chaumes défilent, rosées, orangées, bleutées. Encastrées les unes dans les autres formant parfois de petits immeubles asymétriques et richement fleuris. Les enseignes se balancent en grinçant sous l’effet d’une brise artificielle qui est soufflée dans les rues au printemps et un peu plus fort en automne. Quelques pétales de prunier lui effleurent le front, elle approche du quartier des Herboristes. La grille du jardin éducatif se dessine au bout de l’allée plantée. Haute, noire, aussi torturée que des lianes de lierre grimpant à l’assaut d’une muraille. Une petite jeune femme replète et joviale lui fait signe de la main dès qu’elle l’aperçoit.

- Théolia, Théolia !

Théolia presse le pas pour ne pas l’entendre hurler sa conversation dans la rue certes peu fréquentée mais, l’excitation dans sa voix indique à Théolia qu’elle n’aimerait pas que tout le monde sache de quoi il en retourne.

- Mélisa. Qu’est-ce qu’il se passe ?

- J’ai invité Philodémos pour le thé ! Tu passes ? Après ton cours…

- Le, le grand gars avec les cheveux qui lui descendent…

- Oui, en fait il est super sympa. Il joue les fiers parce qu’il est timide. Il vient d’intégrer la communauté alors il ne sait pas encore comment se comporter avec nous.

- Ça ne te dérange pas que je drague un membre de ta communauté ?

- Oh, il n’est que novice, il peut encore changer d’avis… Et puis toi aussi tu pourrais devenir Herboriste. Tu en connais déjà beaucoup sur les plantes, les utiliser dans sa vie quotidienne est une simple habitude à prendre.

- Bon et bien je serai ravie de…

- Je le savais ! Tu sais qu’il m’a demandé comment tu t’appelais.

- Mais, on ne s’est croisé qu’une fois.

- Justement, c’est génial ! Bon, il faut que j’aille cueillir quelques fleurs dans le jardin du quartier pour les ajouter au thé. Les gosses goûtent, la petite Utonia a encore attrapé une chimère sous le figuier, j’ai appelé la milice. Elle les attire celle-là !

- Oui, j’en parlais à ma mère elle a quelque chose de bizarre cette gamine.

- Bah, elle n’a que trois ans, ça lui passera ! Allez, à tout à l’heure.

Théolia referme le verrou derrière Mélisa puis, le cœur serré pour une raison bien étrangère au chagrin cette fois, elle suit le chemin qui monte doucement. Elle sautille jusqu’au centre du jardin. Elle tire sur une chaînette et une clochette, suspendue à une branche de prunier en fleurs, se met à tinter pour signaler aux enfants qu’ils doivent venir se rassembler sous l’arbre.

- Bonjour ! claironne-t-elle.

Les têtes se tournent de droite et de gauche cherchant la cause de l’euphorie de leur professeur de chant. J’ai choisi de vous apprendre une chanson très ancienne que mon père me chantait quand j’étais enfant. Elle a été écrite en 32.004 par Adrien Pagès. C’est une petite histoire. Je vais vous chanter le début aujourd’hui et chaque fois que je viendrai, je vous en chanterai un de plus. Ecoutez bien, la mélodie n’est pas évidente :

Par une tiède nuit de printemps, Il y a bien de cela cent ans.

Que sous un brin de persil sans bruit, Tout menu, naquit Jean de la Lune, Jean de la Lune.

- Bon, je reprends juste la mélodie et vous la chantez après moi.

Les enfants reprennent la mélodie dans la plus disharmonieuse cacophonie. Théolia conserve son calme, sa béatitude s’effritant quelque peu devant tant de talents atypiques réunis. Elle les fait chanter un par un. Utonia subjugue l’assemblée de sa voix claire et fluette.

Suivant ses consignes, ils chantent en chœur laissant Utonia claironner le refrain en soliste. La mélodie se stabilise, les beuglements s’accordent sur les fausses notes à mettre en commun.

Elle les dispatche en groupe de quatre ou cinq leur demandant de trouver un second couplet des aventures de Jean de la Lune. Ils se dispersent dans les bosquets, les arbres et le labyrinthe pour s’époumoner tout à leur aise, loin les uns des autres.

Elle s’assied au pied du prunier, satisfaite d’être passée une fois de plus à côté de ce qu’elle avait préparé. Elle prévoit, rebrasse dans sa tête et finit toujours par improviser. La prochaine fois, elle pense leur faire chercher des végétaux capables d’accompagner leur chant. Si elle doit devenir Herboriste autant commencer tout de suite à utiliser les plantes dans sa vie quotidienne. Goûtant ses projets, ajoutant par-ci par-là quelques inventions pédagogiques

personnelles, elle se dirige vers le vieux chêne du parc. Une échelle en partie absorbée dans l’écorce permet d’aller se placer sur un siège se balançant sur la plus haute branche. En fait de siège, ce sont plusieurs ramures tressées ensemble et agglomérées par les années qui servent d’assise. Elle observe chaque groupe tour à tour pour constater le travail effectif. Utonia attire son attention, elle s’est éloignée du groupe et boude, les yeux secs mais la bouille significativement renfrognée. Les autres, un grand garçon palot, une blondinette aux longs cheveux, un petit bambin maigrichon et un adolescent aux cheveux brun et au teint hâlé la regardent en biais soufflant tout ce qu’ils peuvent. Elle décide de ne pas intervenir car soudain elle se sent terrorisée par l’idée de devoir parler à Utonia en tête-à-tête. Elle surveille que le groupe se remette au travail puis tourne ostensiblement les yeux vers un autre groupe.

Elle redescend de son perchoir pour aller faire tinter la clochette. Ils répondent à l’appel, impatients de présenter le fruit de leur travail.

- Quel groupe commence ?

Utonia écoute les autres chanter, en retrait. Théolia vient la prendre par la main, elle la prend sur ses genoux sans qu’elle résiste. Elle perd la notion du temps et de ce qu’il se passe alentours, une douce chaleur l’envahie au contact de la petite fille. Elle se sent soudain apaisée comme si un poids venait de lui être enlevé. La gamine saute de ses genoux sitôt la dernière note envolée et lui dit :

- On dirait que t’es une maman. Elle court vers la grille sous le regard encore embué de Théolia. Les enfants aussi commencent à s’égayer pour chercher leur cartable. Utonia s’est débrouillée pour faire tourner le verrou et a ouvert la grille toute grande, Philodémos la tient dans ses bras. Grand, il est tel un roc au milieu de la foule qui circule autour de lui. Il la fixe de ses yeux gris d’argent. Théolia sait sans l’espérer que c’est elle qu’il fixe. Elle ne sait pas si elle est plus troublée par le lien avec Utonia qu’elle découvre ou si c’est de se sentir le centre évident de son attention soutenue. Elle s’approche à pas faussement tranquilles et lui tend la main à défaut de sa joue trop rouge. Il change Utonia de bras et la serre chaleureusement. Elle n’a rien dit alors il engage le dialogue.

- Bonsoir, Mélisa m’a demandé de venir vous chercher. il caresse alors la joue d’Utonia.

D’habitude c’est son père qui vient la prendre, elle viendra avec nous, je ne pense pas que Mélisa s’en offusque.

- Non, certainement pas. ment Théolia que la présence de la petite fille au regard perçant met soudain mal à l’aise.

Ils cheminent. Théolia ne veut pas de vide entre eux. Elle le questionne.

- Vous connaissez le père d’Utonia ? - Nous vivons ensemble.

- Ah ?

Théolia regrette immédiatement l’interjection qu’elle vient de laisser échapper. Elle est déconcertée. Il est gay, elle ne veut pas qu’il prenne mal sa surprise. Mais elle ne peut tenir et poursuit d’une façon qui lui paraît trop directe.

- Mélisa m’a dit que vous vouliez savoir comment je m’appelais.

- Oui, je vous ai tout de suite reconnue. Vous étiez à la commémoration, à la droite du maire. Enfin, je n’étais pas tout à fait sûr, alors j’ai demandé. Théolia Pichon ! Je rêvais de vous rencontrer.

- Ah ?

Elle s’arracherait les yeux et le reste. Ne serait-elle donc capable que de dire " Ah ? " sur tous les tons possibles ! Pourquoi a-t-elle accepté cette stupide invitation ! Pourquoi un type qui ne la connaissait ni d’Eve ni d’Adam aurait voulu en connaître plus sur elle ! Son visage, vite un sourire ! Pourvu qu’il n’ait pas remarqué. Non, il regarde Utonia. Ou peut-être qu’il

fait semblant de s’intéresser à autre chose.

- Vous voulez devenir herboriste ?

- Vous pourriez garder un secret ? Vous avez l’air de quelqu’un en qui on peut avoir confiance.

- Ah ?

Un hurlement retentit dans sa tête. Elle s’empresse d’ajouter : - Mais bien sûr.

- Je n’ai aucune intention de devenir Herboriste mais j’ai décidé de passer le stade de novice de toutes les communautés possibles. En fait, je voudrais intégrer les Consommacteurs comme Keryal, son père. dit-il en désignant sa filleule.

- Alors, pourquoi subir tous ces noviciats ?

- J’ai tant de chose à apprendre. Je suis bibliothécaire pour la milice d’Hundertwasserstaat.

- C’est vous le parrain d’Utonia ?

- Oui. confirme-t-il en riant devant sa réaction d’une rafraîchissante surprise.

- Excusez-moi, j’aurai dû m’en douter, vous vivez avec son père. Elle parle tellement souvent de vous. Vous savez qu’elle a encore déniché une chimère dans le jardin.

Utonia les fait sursauter, sortant de sa torpeur feinte.

- Tu ne diras rien à Papa !

Il la gronde du regard sans répondre et s’adresse à Théolia - Encore ?

- Ah ? Grrrh. Les autres enseignants ne vous l’avaient pas dit ? Oh, c’est que c’est courant avec les jeunes enfants, les chimères ne s’en méfient pas, ils les perçoivent plus facilement.

- J’imagine. répond-t-il sans quitter Utonia de son regard moralisateur.

- Que fait un bibliothécaire de la milice exactement ?

- En fait, j’archive les rapports des miliciens et je complète la base de données sur les chimères grâce aux archives des niveaux abandonnés.

- C’est-à-dire ?

- Les chimères sont souvent similaires à des créatures qu’on retrouve dans des fictions anciennes : légendes, mythes, folklore, iconographie des temps historiques… Je fais les rapprochements nécessaires afin d’établir une nomenclature exhaustive de leur espèce… Si on veut pouvoir éradiquer la menace qu’elles font peser sur les communautés, il faut que les miliciens disposent d’une information complète.

Théolia forme un A avec sa bouche puis un autre son sort.

- Je n’aurais jamais pensé que la milice s’occupait de ça.

- J’ai créé la fonction. Je suis allé voir le maire et…

- Vous connaissez le maire ?

- Nous nous sommes rencontrés quelques fois ; j’ai été novice de la communauté du Lead.

- Ils n’acceptent que les surdoués !

- Oui enfin, je n’aime pas beaucoup être étiqueté.

- Pardon.

Théolia ne pensait pas pouvoir se sentir plus mal qu’après son troisième " Ah ". Elle touchait le fond, les larmes lui montèrent aux yeux. Ce qu’Utonia remarqua.

-Tu es méçant, ‘Mos’, tu l’as faite pleurer ! C’est vrai que tu es très intelligent Papa le dit tout le temps.

-Mmh, ton père dit ça ? Il doit y avoir une pointe d’ironie quand il le dit ma Ninia. Il l’embrasse et poursuit à l’adresse de Théolia. Je ne disais pas ça pour vous embarrasser mais les gens ne voient que cet aspect du Lead. Leur communauté est très utile à la cité. Il ne sélectionne pas leurs novices dans une optique eugéniste ou élitiste. Il s’agit de pragmatisme.

Ils exigent beaucoup de leurs membres.

- J’ai beaucoup de respect pour notre maire.

- C’est rare de nos jours, il y a un consensus sur la façon dont il a été choisi mais beaucoup de communautés travaillent en sous-marin pour le déstabiliser. Depuis l’arrivée des chimères, il n’a plus le soutien qu’il avait au début de sa nomination. Au sein même de sa communauté,

- C’est rare de nos jours, il y a un consensus sur la façon dont il a été choisi mais beaucoup de communautés travaillent en sous-marin pour le déstabiliser. Depuis l’arrivée des chimères, il n’a plus le soutien qu’il avait au début de sa nomination. Au sein même de sa communauté,

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