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B. RESULTATS

II. RESULTATS DU SUIVI INDIVIDUEL

INDIVIDUEL

PRODUCTION LAITIERE

Les résultats de l’analyse statistique sont donnés dans le tableau 6 ci-contre. La figure 7 (page suivante) nous montre l’évolution de la production laitière moyenne au cours de l’essai (en kg) en

fonction de l’interaction

‘pâturage*complément’ (données issues des contrôles laitiers individuels par les lactocorders, avec une unité de mesure en kg).

PRODUCTION LAITIERE – EFFET PATURAGE

Sur l’ensemble de l’essai, il n’y a pas d’effet significatif du facteur ‘pâturage’ sur la production de lait (P. = 0.7887), et ce quelle que soit la période.

La production laitière cumulée au cours de l’essai est en effet très similaire pour les deux modalités du facteur pâturage : 137.73 kg produit en plus pour la modalité ‘multi-espèces’ sur un total de plus de 12 000 kg (détails des productions en annexe IV), soit une augmentation de 1.1 % de la production.

Tableau 7. Différences de production laitière selon les différentes modalités des facteurs et leurs interactions

Mono : mono-espèce ; multi : multi-espèces ; p : primipare ; m : multipare ; Estim. : écart moyen entre la première modalité (ou série de modalités) et la deuxième. En rouge les différences significatives (p.value < 0.05).

Figure 7. Evolution de la production laitière individuelle (kg) au cours de l’essai en fonction de l’interaction ‘pâturage*complément’

Les trois délimitations I, A, B et C représentent respectivement les périodes de transition, puis les périodes A, B et C définies précédemment.

Différences des moyennes des moindres carrés

Effet pat cplmt par per pat cplmt par per Estim.

(kg)

Erreur

type DDL

Valeur

du test t Pr > |t|

pâturage Mono multi 0.024 0.091 107 0.27 0.7887

complément bas Haut -0.235 0.091 107 -2.59 0.0109

parité m p 0.708 0.091 107 7.81 <.0001

période A B -0.119 0.039 216 -3.00 0.0030

période A C 0.118 0.052 216 2.28 0.0237

période B C 0.236 0.039 216 5.98 <.0001

pat*cplmt Mono bas mono Haut -0.317 0.128 107 -2.47 0.0150

pat*cplmt Mono bas multi Bas -0.057 0.128 107 -0.45 0.6551

pat*cplmt Mono bas multi Haut -0.211 0.129 107 -1.64 0.1039

pat*cplmt Mono haut multi Bas 0.260 0.128 107 2.03 0.0453

pat*cplmt Mono haut multi Haut 0.106 0.129 107 0.83 0.4100

pat*cplmt Multi bas multi Haut -0.153 0.129 107 -1.20 0.2347

pat*cplmt*periode Mono bas A mono Haut A -0.291 0.147 216 -1.98 0.0491

pat*cplmt*periode Mono bas B mono Haut B -0.313 0.147 216 -2.13 0.0346

pat*cplmt*periode Mono bas C mono Haut C -0.348 0.147 216 -2.37 0.0187

pat*cplmt*periode Multi bas A multi Haut A -0.079 0.147 216 -0.54 0.5903

pat*cplmt*periode Multi bas B multi Haut B -0.154 0.147 216 -1.05 0.2963

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Lors de la période B, où la distribution de fourrage à l’auge est la plus réduite, on constate que les productions moyennes des deux modalités de pâturage sont identiques : 3.95 kg / chèvre / jour.

PRODUCTION LAITIERE – EFFET COMPLEMENT

Il y a un effet significatif du facteur complément sur la production de lait (P = 0.0109) quelle que soit la nature du pâturage. La modalité ‘haut azote’ entraîne une production de lait supérieure : +0.235 kg lait par chèvre et par jour (tableau 7): cela correspond à une augmentation de 7.9 % de la production de lait totale avec le concentré plus riche en azote sur l’ensemble de l’essai (+ 981 kg de lait pour 54 jours d’essai avec 58 chèvres).

L’effet du complément semble de plus en plus prononcé au cours de l’essai : une augmentation de +5.3% en période A, + 6.2% en période B et + 8.9% en période C en faveur de la modalité ‘haut azote’.

PRODUCTION LAITIERE – EFFET PARITE

Il y a un effet du facteur ‘parité’ sur la production de lait (P. <0.0001). Les multipares produisent en moyenne 0.708 kg de lait en plus par jour. Il n’y a pas d’effet significatif des facteurs en interaction avec la parité : multipare et primipare suivent les mêmes tendances de production quels que soient les facteurs considérés.

PRODUCTION LAITIERE – INTERACTIONS COMPLEMENT*PATURAGE ET

COMPLEMENT*PATURAGE*PERIODE

Il n’y a globalement pas d’effet des

interactions, mais on constate des

différences significatives entre certains traitements.

La production du traitement ‘mono- espèce*haut-azote’ est significativement différente de celle du traitement ‘mono-

espèce*bas azote’, qui est celui qui produit le moins (P. = 0.0150).

En revanche, ‘multi-espèce*bas

azote’ et ‘multi-espèce*haut azote’

permettent des productions comparables (p. value = 0.2347), avec un léger plus pour le traitement avec la modalité haut azote (+3.7%).

De plus, les tendances observées sont identiques quelles que soient les périodes A, B ou C considérées : l’effet de l’interaction

‘pâturage*complément*période’ est

significatif pour la modalité ‘mono- espèce’, tandis qu’elle ne l’est pas pour la modalité ‘multi-espèce’ du pâturage.

Il n’y a pas non plus d’écart de

production significatif entre ‘mono-

espèce*haut azote’ et ‘multi-espèce*haut- azote’ (P. = 0.4100).

L’écart de production est

significatif entre les traitements ‘mono- espèce*haut-azote’ et ‘multi-espèce*bas azote’ (P.= 0.0453).

Le traitement ‘mono-espèce*haut- azote’ est celui qui permet la plus grosse production de lait sur l’ensemble des périodes, avec un cumul de 6337.7 kg pour l’essai (un peu plus de 4 kg/chèvre/jour en moyenne). Puis dans l’ordre de production

décroissante viennent : multi-

espèces*haut-azote, multi-espèces*bas-

azote et mono-espèce*bas azote.

On retrouve les deux modalités ‘haut azote’ parmi les deux traitements qui produisent le plus, tandis que les modalités ‘bas azote’ font parties des deux traitements qui produisent le moins.

Sur l’allure générale de la courbe de production laitière (figure 7), il semble y avoir une évolution conjointe des productions pour un même type de pâturage (multi-espèces ou mono-espèce).

On voit que l’expérimentation est réalisée au moment du pic de lactation : les plus fortes productions sont retrouvées au mois d’avril.

Tableaux 8 et 9. Effet des facteurs et de leurs interactions sur les taux du lait. A gauche, les résultats du taux butyreux, et à droite ceux du taux protéique

Tableau 10. Différences de poids vif des chèvres selon les modalités des facteurs

Figure 8. Evolution des poids (kg) et de la note d’état corporel au cours de l’essai en fonction du facteur ‘complément’

NECS : Note d’Etat Corporel Sternale Différences des moyennes des moindres carrés

Effet pat cplmt par periode pat cplmt par periode Estim. (kg)

Erreur type DDL

Valeur

du test t Pr > |t|

pâturage mono multi -0.9353 0.4867 107 -1.92 0.0573

complément bas haut -1.0848 0.4866 107 -2.23 0.0279

parité m p 15.1760 0.4865 107 31.20 <.0001

période A C -2.0619 0.3390 106 -6.08 <.0001

period*cplmt bas A bas C -1.3079 0.4892 106 -2.67 0.0087 period*cplmt haut A haut C -2.8159 0.4693 106 -6.00 <.0001 period*cplmt bas C haut C -1.8388 0.5849 106 -3.14 0.0022

Tests des effets fixes de type 3

Effet DDL Num. DLL den. Valeur F Pr > F pâturage 1 107 0.05 0.8308 complément 1 107 2.25 0.1368 parité 1 107 4.84 0.0299 période 2 216 6.88 0.0013 pat*cplmt 1 107 0.06 0.8036 pat*par 1 107 0.10 0.7546 cplmt*par 1 107 1.13 0.2896 pat*cplmt*par 1 107 3.00 0.0861 pat*periode 2 216 1.48 0.2305 cplmt*periode 2 216 2.54 0.0811 par*periode 2 216 0.45 0.6392 pat*cplmt*periode 2 216 0.29 0.7479 pat*par*periode 2 216 0.67 0.5138 cplmt*par*periode 2 216 0.14 0.8737 pat*cplmt*par*period 2 216 4.30 0.0148 TB_i_cp 1 107 78.17 <.0001

Tests des effets fixes de type 3

Effet DDL Num. DLL den. Valeur F Pr > F pâturage 1 107 2.07 0.1531 complément 1 107 0.14 0.7125 parité 1 107 3.26 0.0736 période 2 216 4.44 0.0129 pat*cplmt 1 107 0.03 0.8722 pat*par 1 107 1.79 0.1843 cplmt*par 1 107 2.47 0.1192 pat*cplmt*par 1 107 1.15 0.2851 pat*periode 2 216 10.80 <.0001 cplmt*periode 2 216 0.31 0.7354 par*periode 2 216 2.44 0.0896 pat*cplmt*periode 2 216 0.07 0.9341 pat*par*periode 2 216 0.45 0.6366 cplmt*par*periode 2 216 0.74 0.4794 pat*cplmt*par*period 2 216 0.39 0.6803 TP_i_cp 1 107 85.87 <.0001

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LES TAUX DU LAIT

TAUX BUTYREUX

Il n’y a pas d’effet significatif des

facteurs étudiés ‘pâturage’ et

‘complément’ (P. >0.05), ni de

l’interaction des deux (Tableau 8).

Le facteur ‘parité’ a un effet sur le taux butyreux (P.=0.0299), avec un taux inférieur de 1.2 points pour les multipares.

La période a un effet aussi : le taux butyreux diminue entre les périodes A, B et C, avec des valeurs respectives égales à 38.3, 37.7 et 36.8 g/l (P. =0.0013).

Il y a un effet significatif de l’interaction d’ordre 4 :

‘pâturage*complément*parité*période’.

TAUX PROTEIQUE

Comme pour le taux butyreux, il n’y a pas d’effet significatif des facteurs

étudiés ‘pâturage’ et ‘complément’

(P. >0.05), ni de leur interaction (tableau 9) sur le taux protéique.

Il évolue de manière significative

selon la période (P.=0.0129), avec

respectivement 32.2, 32.5 et 32.1 g/kg en périodes A, B et C.

Tandis que le taux protéique pour le troupeau pâturant sur prairie multi-espèces ne fait que diminuer, il augmente en période B pour la modalité ‘mono-espèce’ du facteur ‘pâturage’ (P. <0.0001). Il passe respectivement de 32.1 à 32.9 g/kg entre les périodes A et B, puis de 32.9 à 32.5 g/kg entre B et C.

POIDS ET NEC

Les résultats de l’analyse sont résumés dans le tableau 10. Toutes les interactions qui ne sont pas présentes n’étaient pas significatives.

Le facteur ‘pâturage’ n’a pas d’effet significatif sur le poids vif des animaux (P. = 0.0573) (tableau 10).

En revanche, il y a un effet du facteur ‘complément’ : les chèvres à la modalité ‘haut-azote’ ont un poids globalement plus élevée que les chèvres à la modalité ‘bas-azote’ du complément concentré (P. = 0.0279). De plus, l’interaction ‘complément*période’ est significative : il y a eu inversion des poids moyen au cours de l’essai pour le facteur ‘complément’ (figure 8). Alors que les animaux à la modalité bas azote ont pris 1.3 kg au cours de l’essai (P. = 0.0087), les animaux à la modalité haut azote ont pris 2.8 kg (P. < 0.0001). En période C, à la fin de l’essai, les animaux ‘haut-azote’ pèsent 1.83 kg de plus que les chèvres ‘bas-azote’ (P. =0.0022).

Entre la période A et la période C, les animaux ont pris en moyenne 2.06 kg (P. <0.0001).

La ‘parité’ est un facteur

significatif : les chèvres primipares pèsent en moyenne 15.176 kg de moins que les multipares (P. <0.0001).

L’augmentation des NEC sternales entre les périodes A et C est concomitante à l’augmentation des poids pour les modalités ‘haut’ et ‘bas-azote’ du complément concentré, avec un gain plus de 0.06 pour la modalité ‘haut-azote’ et de 0.05 pour la modalité ‘bas-azote’ (figure 8).

Figure 9. Durée d’ingestion (min) en fonction du temps d’accès au pâturage (min) Les trois séries de données correspondent à des périodes d’accès au pâturage différentes

Tableau 11. Synthèse des données moyennes d’ingestion en fonction de la période d’accès au pâturage DI : Durée d’ingestion journalière au pâturage.

Tableau 12. Effets des facteurs et de leurs interactions sur la durée d’ingestion des chèvres

Tableau 13. Différences de durée d’ingestion selon les modalités des facteurs

Différences des moyennes des moindres carrés

Effet pat cplmt par pat cplmt par Estim.

(min) Erreur type DDL Valeur du test t Pr > |t|

pâturage mono multi -28.3190 12.4148 40 -2.28 0.0279

complément bas haut 11.5356 12.4148 40 0.93 0.3584

parité m p -53.3497 12.4148 40 -4.30 0.0001

DI (min) DI (%) ecart-type min (%) max (%)

Pâturage soir 165.0 76.5 10.1 47 90

Pâturage matin 238.5 66.5 14.8 34 100

Pâturage journée 412.8 67.2 10.9 24 99

Tests des effets fixes de type 3

Effet DDL Num. DLL den. Valeur F Pr > F pâturage 1 40 5.20 0.0279 complément 1 40 0.86 0.3584 parité 1 40 18.47 0.0001 pat*cplmt 1 40 0.92 0.3443 pat*par 1 40 0.01 0.9213 cplmt*par 1 40 0.70 0.4068 pat*cplmt*par 1 40 0.02 0.8878

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COMPORTEMENT ALIMENTAIRE

PREMIER BILAN GLOBAL

Dans cet essai, la conduite des animaux en bi-traite est un facteur important dans la modulation du pâturage, et notamment sur les temps d’accès permis au cours d’une journée. On a ainsi trois classe de temps d’accès : un pâturage uniquement avant la traite du soir (qui s’effectue aux alentours de 16h), que l’on qualifie de ‘pâturage matin’ ; un pâturage uniquement après la traite du soir, appelé ‘pâturage soir’ ; et enfin un pâturage qui cumule les deux précédents, appelé ‘pâturage journée’.

Ce sont très souvent les conditions climatiques, ou bien la portance des parcelles qui déterminent quand est-ce que les animaux vont sortir dans la journée, et combien de temps.

La figure 9 représente toutes les durées d’ingestion individuelles valides que l’on a enregistrées avec les Lifecorders en fonction du temps d’accès au pâturage.

On constate que globalement, plus le temps d’accès est grand, plus la durée d’ingestion moyenne est grande (figure 9 & tableau 11).

La courbe de tendance de gauche correspond aux données ‘pâturage matin’, avec un coefficient de pente de 0.68 et un R² de 0.65. Celle de droite correspond aux données ‘pâturage journée’, avec un temps d’accès moyen de 10h. Elle a un coefficient de pente de 0.54 et un R² de 0.125.

Autrement dit, plus le temps d’accès est grand, moins la durée d’ingestion est liée au temps passé sur la parcelle.

Le pourcentage d’ingestion est de 76.5 % pour un pâturage le soir uniquement, tandis qu’il avoisine 67% pour le pâturage matin et journée.

DUREE D’INGESTION

Pour rappel, on ne traite statistiquement que les données de type ‘pâturage journée’ (N=697).

Il n’y a pas d’effet significatif des interactions des facteurs sur la durée d’ingestion moyenne des chèvres.

La durée d’ingestion des chèvres n’est pas statistiquement dépendante de la nature du complément dans cet essai (P. = 0.3584) (tableau 12).

La nature du pâturage est un facteur significatif : la durée d’ingestion est supérieure de 28.3 min sur prairie multi- espèces par rapport à la prairie mono- espèce (tableau 13), pour un temps d’accès moyen d’environ 10h (P.= 0.0279).

Le facteur ‘parité’ a un effet significatif sur la durée d’ingestion : les primipares ingèrent en moyenne 53.3 min de plus que les multipares (P. = 0.0001).

NOMBRE DE REPAS

Le nombre de repas journalier moyen n’est pas statistiquement dépendant des facteurs ‘pâturage’, ‘complément’ et ‘parité’ (p. values > 0.05).

Le nombre de repas moyen qu’une chèvre a dans les conditions de cet essai (10h de pâturage, peu complémentée en fourrage) est compris entre 6 et 7 par jour.

VARIATION INDIVIDUELLE

La durée d’ingestion journalière

tient compte de plusieurs facteurs

extérieurs comme : le temps d’accès au pâturage, la nature du pâturage, et très certainement les conditions climatiques notamment.

Cependant, il semble y avoir un effet individu tout aussi important : en plein pâturage, la durée d’ingestion moyenne individuelle varie de 340 à 515 min, tandis que l’écart-type individuel

Figure 10. Exemple de variabilité d’ingestion sur deux chèvres

Chacune des chèvres a 16 données, qui correspondent toutes à la période de plein pâturage (matin & soir). Tableau X. Effets des facteurs et de leurs interactions sur le nombre de repas journalier moyen.

Tests des effets fixes de type 3

Effet DDL Num. DLL den. Valeur F Pr > F pâturage 1 40 2.78 0.1033 complément 1 40 0.03 0.8680 parité 1 40 1.41 0.2429 pat*cplmt 1 40 0.90 0.3492 pat*par 1 40 0.21 0.6499 cplmt*par 1 40 0.24 0.6266 pat*cplmt*par 1 40 0.00 0.9930

Figure 11. Evolution moyenne de la composition floristique des parcelles de l’essai

A gauche, l’évolution entre fin mars et mi-avril des parcelles multi-espèces A droite, l’évolution entre fin mars et mi-avril des parcelles mono-espèce

77.7 71.0 100 100 13.8 18.3 8.2 10.8 0.0 20.0 40.0 60.0 80.0 100.0 120.0

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varie de 35 à 109 min, pour un écart moyen de 57 min. Autrement dit, certains animaux ont un comportement au pâturage relativement constant (écart-type faible) tandis que d’autres mangent très peu un jour, et beaucoup le lendemain.

La figure 10 illustre cette variabilité avec l’exemple de deux chèvres. Elles ont des durées d’ingestion moyenne très

différentes pour des temps d’accès

identiques. De plus, l’écart-type est pour l’une proche de la moyenne des individus (58 min), tandis que pour l’autre l’écart- type est nettement supérieur. La chèvre n°441 mange 448, 178 et 458 min respectivement les 16, 17 et 18 mai. Une faible ingestion peut être ponctuelle comme c’est le cas ici.

II. RESULTATS SUR LES

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