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2 - Représentations de la communication : inclusions et exclusions et exclusions

III/La communication du PNR du Pilat : dispositifs et

III. 2 - Représentations de la communication : inclusions et exclusions et exclusions

Dans cette partie commence l’analyse plus approfondie de mon terrain et des entretiens que j’ai pu mener à cette occasion. Je chercherai à montrer ce qu’est la « communication » pour les différents acteurs du Parc et ce qui pour eux n’est pas de la communication. Quelles sont les définitions qu’ils donnent à ce terme de « communication » et autour desquelles ils s’accordent ? Quelles sont les postures de rejets et d’adhésions qui sont marquées et sur quel type de communication portent-elles ?

Je tiens à préciser que ce travail sur les représentations s’est fait principalement à partir de mon corpus d’entretiens et qu’il n’a jamais été posé aux personnes rencontrées en entretien une question directe de type : « c’est quoi pour vous la communication ? ». Par ailleurs, je ne leur ai jamais explicitement demandé de restreindre leurs propos à de la communication, me contentant de me présenter comme une chercheuse de la discipline. Cette posture de ma part a probablement induit chez eux une construction à propos de mes attentes : la

« communication ». La majorité d’entre eux m’a alors spontanément parlé de ce qu’ils pensaient être cette « communication », objet de mon étude.

Pour mener cette analyse, dans un premier temps, j’ai extrait de l’ensemble des entretiens les propos relevant du champ sémantique de la communication. À la suite de quoi, j’ai cherché les similitudes et les différences dans ces extraits et je les ai regroupés sous des ensembles clés : la communication comme « transmission d’information », la communication comme « relation », la communication « compliquée et difficile », les représentations du public et du non public, la « non communication ».

La démarche proposée utilise une analyse qualitative et quantitative. Je me suis appuyée sur des extraits d’entretiens significatifs ainsi que sur les similitudes observables entre les discours des différents acteurs rencontrés. En outre, je ne me suis pas basée exclusivement dans cette partie sur les entretiens que j’ai pu mener, mais j’ai montré également leur cohérence avec différents documents de communication produits par le Parc, le plus symbolique et porteur de normes partagées, étant la charte du Parc elle-même.

J’ai adopté une posture réflexive afin de mieux comprendre comment les Sciences de l’Information et de la Communication sont passées dans le milieu professionnel pour devenir des « outils ».

III.2.1.- La « com’ au sens de la com’ quoi ! » : professionnalisation de la communication et tensions induites

Ce titre de partie cite un extrait d’entretien particulièrement intéressant en définitive, même s’il m’avait déconcertée sur le moment. A peine assise, avant que je n’aie eu l’opportunité de lancer l’entretien par les habituelles premières questions, le chargé de mission s’était mis en

176 tête de me préciser avec virulence à quel point il « détestait »308 la communication :

Extrait d’un entretien avec Julien, le chargé de mission agriculture du Parc :

« Je suis très, comment on va dire ? Très récalcitrant à la com’. Au sens de la com’, quoi. Je suis quelqu'un de communiquant, j'aime bien la relation aux gens quoi, mais je déteste tous les artifices de la communication. On va faire de la com’, quoi, faire des plaquettes, des infos des machins, des trucs, des communiqués de presse, je déteste ça, parce que je trouve que c'est mettre une belle pelure sur un truc qui est bancal. »

Je ne cherche pas ici à dire que la communication dans son ensemble est rejetée par les chargés de mission du Parc, cette position très tranchée étant unique parmi les personnes rencontrées, mais plutôt à montrer comment cet acteur, malgré son caractère radical, partage avec les autres une définition de ce qu’est la « communication » (et de ce qui n’en est pas) : la communication, ce serait avant tout les supports et la professionnalisation de leur production et de leur contenu.

III.2.1.1. La communication c’est le support

Ainsi, chez les personnes que j’ai pu rencontrer en entretien, parler avec moi de la communication, c’était avant tout évoquer les plaquettes, les communiqués de presse, les sites web, etc. Clairement, lorsqu’elles cessaient de parler de ces points, ou n’avaient pas grand-chose à en dire, elles avaient l’impression de ne pas répondre correctement à mes attentes.

L’une d’elle a même jugé normal que je demande à la recontacter au besoin par la suite, considérant que le contenu de notre entretien n’avait pas abordé des points intéressants pour mes recherches :

Extrait de l’entretien avec la chargée de mission Milieux Naturels :

« [Moi] : Très bien. Jaurai peut-être dautres questions, mais si vous êtes daccord je reviendrai si besoin parce que ça fait déjà une heure. [Nous remplissons la fiche sociographique]

[Elle] : Oui parce que là on na pas trop parlé de communication [Moi] : On en a parlé, sans en parler. [Rire] »

Cette communication « au sens de la com’ », c’est la communication institutionnelle et professionnalisée. Derrière cette conception, on verra dans la suite de l’analyse des entretiens que se dissimule l’idée qu’une « bonne communication » existe et que l’on peut « bien communiquer ». Elle s’appuie très fortement sur des outils de communication, les supports, dans une conception linéaire de la communication (modèle ERC309).

La médiation et le relationnel ne font pas partie de ce qu’est la « vraie communication ».

308 Je ne fais que réutiliser ici ses mots, sans les interpréter.

309 Modèle Emetteur-Récepteur-Canal produit par la théorie mathématique de la communication. Les personnes rencontrées en entretien utilisent le vocabulaire qui en est tiré : « émetteur », « message », « destinataire », etc.

177 Ils feront l’objet de la sous-partie suivante qui traitera de ces aspects de médiation. Ceux-ci ne sont pas spontanément inclus par les acteurs dans ce que je suis supposée étudier.

La chargée de communication du Parc est identifiée par ses collègues comme étant la personne porteuse de cette communication professionnelle, « au sens de la com’ ». C’est elle qui a les compétences communicationnelles et qui a initié et mis en place la professionnalisation de la communication du Parc.

Extrait d’un entretien avec Carole, la chargée de communication :

« Au début j’ai mis en place beaucoup de communication d’actions, pour mes collègues pour les...

j’allais dire les... arriver à professionnaliser la communication globale qui sortait du Parc. Après il y a eu une période plus de communication institutionnelle. Ou ça, ça roulant tout seul avec les collègues, et bien j’ai pu me dégager du temps pour… On a créé « L’Écho des Chirats », voilà on a fait un certain nombre de supports nouveaux pour avoir une communication institutionnelle un peu plus en place. »

Elle est considérée comme étant la personne ressource pour tous les aspects techniques de la communication : supports, cohérence des messages, logos, etc. Elle est celle qui possède les

« compétences » en communication, dont c’est le métier.

Extrait de l’entretien avec Béatrice, la chargée de mission Pôle Milieux Naturels :

« Effectivement ponctuellement sur des plans de communication, voilà, je vais… Elle [la chargée de communication] m’a briefée un peu là-dessus donc j’ai une vue… Et puis elle avait dû travailler sur un plan de communication quand elle est arrivée, donc à l’échelle du Parc. Donc c’est vrai, identifier la cible, le message, le support, le nanana… Donc on va dire que oui je suis amenée à travailler avec elle soit pour lui demander conseil soit… Comment communiquer au mieux sur…. Parce que toutes nos actions, il y a un volet communication. »

III.2.1.2. La communication comme compétence professionnelle

Les chargés de mission, eux, se considèrent globalement comme de mauvais communicants ou comme ne faisant pas de la communication, mais autre chose, du relationnel. Certains se définissent comme sans « compétences » car leur formation ne les aurait pas préparés suffisamment au travail de communication qu’ils sont amenés à accomplir.

Extrait de l’entretien avec Charlotte, la chargée de mission Natura 2000 :

« Des fois la communication, comment dire, ça ne fait pas partie de mes compétences si tu veux, je n’ai pas de formation là-dessus, mais j’arrive à me dire que c’est incontournable parce que je n’arrive pas à avancer sur mes actions de gestion. Moi mes compétences, c’est plutôt technique, dire : "à cet endroit-là on va débroussailler mais on va faire comme ça, comme ça". C’est plutôt ça mes compétences quoi. Alors après, communiquer sur ce qu’on fait, on n’est pas très bon quoi… Ou on n’y pense pas toujours. »

D’autres au contraire ont pu avoir les questions de communication abordées lors de leur formation initiale310 et développent des discours sur ce qui les gêne, les empêche de faire une

310 Pour exemple, le Master Ecologie et Ethologie de l’Université Jean Monnet, qui présente comme débouchés

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« bonne communication ». Certains me questionneront ainsi ouvertement sur comment

« parler d’environnement quand tout va bien » ou sur le lien entre communication environnementale et crise, sur le fait qu’elle ne peut être présentée dans les médias que quand il y a un problème, etc.311 On retrouve, à travers ces exemples, le passage de la théorie à la pratique professionnelle des association « crises » et « environnement » évoqués en introduction et développés en Sciences Humaines et Sociales.

La communication relèverait alors d’une compétence, d’un savoir, d’une expertise qui dans le cas du Parc du Pilat est personnifiée par la chargée de communication. Au-delà de ce premier aspect, la « communication » ici est entendue comme la communication institutionnelle du Parc, celle qui est portée par la charte et par les supports produits. Or comment cette charte, considérée comme « l’écrit de référence, celui auquel il est sans cesse fait appel, qui est invoqué à tout moment et dont des extraits sont exposés dans les lieux marquants, celui dont le contenu ouvre ou ferme toute parole officielle »312, présente ce qu’est la communication du Parc ?

III.2.1.3. La communication pour créer une identité Parc

Dans la « Note d’Orientations de la Charte Objectif 2025 », parution 2009, la communication s’insère dans la partie 1 des trois axes de la « stratégie de développement durable » du Parc. Cette partie s’intitule « Des modes de vie plus sobres et plus solidaires » et la partie communication institutionnelle à proprement parler est évoquée en dernière sous-partie 1.5 « Partager et développer une culture commune du territoire » :

« Promouvoir une éducation au territoire ; Valoriser les savoir-faire qu’ils soient issus de métiers ou des milieux associatifs (cartographier les compétences, organiser la capitalisation des savoirs et savoir-faire et leur transfert) ; Inventorier, classer et signaler les éléments historiques concernant le territoire ; Favoriser l’appropriation des actions du Parc par le plus grand nombre et mieux communiquer sur le syndicat mixte du Parc et son rôle »313

Cet objectif est confirmé et développé en 2011 dans le document « Rapport et Annexes de la Charte Objectif 2025 », dans l’Axe 5 « Une mobilisation de tous les citoyens pour changer

de devenir « chargés de mission dans les Parcs Naturels», dispense la 1ère année une UE 13

« Communication » et la 2ème année une UE 12 « Communication et gestion de projet ». Disponible sur :

http://dossier.univ-st-etienne.fr/formations/public/STS/Mast%20STS%20m%20Eco%20etho%20s%20Eco%20etho.pdf, consulté le 6 avril 2015.

311 Lors de la présentation de mon travail que j’ai fait auprès des équipes du Parc à mi-Parcours, j’ai ainsi été interpelée sur l’absence d’ouvrages de communication environnementale dans la bibliographie succincte que j’avais présentée, ouvrages étudiés lors de la formation de certains chargés de mission.

312 MINISTERE DE LA QUALITE DE LA VIE, HAUT COMITE DE L'ENVIRONNEMENT, COMITE SCIENTIFIQUE ESPACE ET CADRE DE VIE ; CRESAL, 1977, p.9

313 P.33 du document

179 d’ère ». La présentation de cet Axe 5 associe pêle-mêle : connaissances partagées et protection de la nature, mais aussi préparation des enfants et adolescents « à répondre, dans le présent et le futur, aux défis environnementaux »314, mouvements citoyens en émergence, démocratie représentative sur laquelle s’appuie déjà le fonctionnement du Parc et démocratie participative à construire…

Dans l’axe 5.1 « Développer une culture commune du territoire par la connaissance », il est spécifié que « pour inciter chacun à participer au projet de territoire, il est nécessaire de l’aider à connaître ce territoire et ses enjeux ; il convient aussi d’identifier les domaines où il peut agir en faveur des objectifs de la charte. »315. Deux publics sont identifiés pour ces actions « les plus jeunes » et le « grand public ».

Dans l’axe 5.2, le paragraphe « Rendre chacun acteur du projet de territoire » positionne le Parc comme un accompagnateur de la « mobilisation spontanée des acteurs » et comme élément déclencheur de cette mobilisation dans « d’autres réseaux »316.

Hormis la faible place accordée aux questions de communication dans ces documents et leur positionnement en dernière partie systématiquement, plusieurs constats sont importants à faire pour comprendre comment le Parc construit son objet « communication ».

La communication du Parc telle que décrite dans cette charte s’appuie sur des connaissances qui, transmises aux différents publics identifiés, permettent la création d’une identité commune et d’une mobilisation en faveur de l’environnement. La communication est rapprochée de l’éducation et de la sensibilisation, mais aussi de l’identité partagée. La communication de l’institution vise à créer et maintenir une identité territoriale qui corresponde au territoire du Parc en tant que collectivité, suivant ses propres frontières administratives, et non pas suivant des identités territoriales plus anciennes et liées à la morphologie du territoire. Le Parc a besoin de renforcer son identité administrative qui entre en concurrence avec l’identité du Pilat comme massif par exemple317.

III.2.1.4. Une communication qui peut être évaluée : le spectre de l’échec

Une volonté de participatif est évoquée dans ces textes318, mais de façon un peu naïve me semble-t-il, avec cette idée qu’il existerait des mobilisations spontanées que le Parc pourrait se réapproprier et qu’il pourrait être porteur de cette dynamique dans d’autres réseaux d’acteurs, sous-entendu les siens propres, identifiés et connus, avec lesquels le lien existerait

314 P.152 du document

315 P.153 du document

316 P.158 du document

317 Voir sur ce point précis la partie III.3

318 Axes 5.2

180 déjà. Je présenterai plus loin319 que durant mes recherches le participatif a été décrit le plus souvent comme une déception par les acteurs du Parc, voir comme un échec.

Cette représentation d’une communication qui échoue est importante dans les entretiens que j’ai pu mener. Que ce soient chez les chargés de mission du Parc ou chez les élus du Parc, la communication est décrite comme compliquée, complexe, difficile, voire parfois insatisfaisante et directement ouverte aux critiques.

Les preuves de la réussite ou de l’échec d’une communication consistent, selon les acteurs, en l’évaluation du public présent lors d’un événement, aux retours occasionnés et à l’augmentation de la connaissance, du sentiment d’appartenance à un territoire et enfin en un changement de comportement. Sous le poids de ces critères, on comprendra que la communication du Parc soit perçue le plus souvent comme insatisfaisante :

Extrait d’un entretien avec Charlotte, la chargée de mission Natura 2000 :

« Tu vois cette année on a quarante ans et quand tu demandes encore aux gens ce que c’est que le Parc et bien il y a très peu de gens qui savent dire vraiment ce qu’on fait quoi. Très peu qui ont une vision claire sur ce qu’on fait, pourtant je pense qu’on ne lésine pas sur la communication quand même, tu vois on fait pas mal de choses, on communique, il y a des documents en tout cas qui existent pour se renseigner sur ce qu’on fait. »

Extrait d’un entretien avec Samuel, élu agriculture et forêt du Bureau du Parc :

« Mais vous voyez, en termes de communication au niveau du Parc … je… Ce n’est pas une critique envers qui que ce soit… Mais je pense qu’on a une voie d’amélioration c’est un boulevard… Est-ce que c’est dû au passé ? La communication, c’est beaucoup trop vu dans le sens

« on édite des plaquettes » quoi. »

J’ai retenu ici ces extraits d’entretiens parce qu’ils sont représentatifs d’un certain désappointement face à la faible évolution des mentalités320 mais également parce qu’ils mettent en balance le fait que, pourtant, des documents existent. On peut insister sur le fait que la communication, dans ce raisonnement, équivaut schématiquement à ses supports. Ils sont régulièrement cités en entretiens, listés, évoqués, parfois critiqués, parfois encensés comme dans le cas de « L’Écho des Chirats ».

319 Voir partie III.3.2 sur la communication des questions d’environnement qui détaille plus ces aspects, bien qu’ils soient évoqués en pointillés à d’autres endroits dans le texte

320 On retrouve dans les entretiens des affirmations comme quoi leur travail se fait sur du « long terme », qu’il faut « laisser mûrir », mais aussi que « ça gonfle », que les gens sont des « consommateurs » et toute une mise en accusation du « grand public » (voir partie II.3.3)

181 Chirats". Déjà le titre ne dit absolument rien à

personne. Il n’y a que les spécialistes qui savent ce que c’est que les chirats. »

(-)

Tableau 12 : Confrontation de deux avis recueillis en entretien sur la lettre d’information du Parc (élu vs association) chez les acteurs : les supports ne sont pas les bons ou les destinataires ne jouent pas le jeu. On verra plus loin comment le Parc se construit un public.

III.2.1.5. L’artifice du politique ?

Pourtant, « la publicité [celle à propos des Rencontres de l’Observatoire de la biodiversité], c'est le Parc, sincèrement je ne m'en occupe pas. », souligne l’élue en charge de la biodiversité. Ce ne sont pas eux qui passent des commandes au Parc pour l’édition de supports ou la rédaction d’articles. Ils se disent : « pas trop associés aux dossiers documentaires » et ne font pas de liens systématiques entre leurs propres documents de communication, le bulletin municipal, et les supports du Parc.

Extrait d’un entretien avec Bernard, élu communication :

« Là aussi c’est difficile parce qu’on est tous chacun de notre côté et on n’a pas toujours le réflexe de dire on a envie de faire passer tel message il faut se servir de tel support. Ce n’est pas évident non plus. Un élu ne va peut-être pas penser forcément à "L’Écho des Chirats". Autant dans une

321 Extrait d’un entretien avec Julien, chargé de mission agriculture

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183 superficielle, etc.) ou à l’égard de son efficacité, toujours trop faible. Chacun partageant la croyance issue de la théorie mathématique de la communication : une communication peut être évaluée par différents facteurs tels que le changement de comportement, le déplacement des publics sur une manifestation, etc. Linéaire, elle vise à transmettre un message à un

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