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LA POLITIQUE À L’EPREUVE DES JOURNAUX TELEVISES

SECTION 2. LES JOURNAUX TELEVISES ET L’INFORMATION POLITIQUE

3/ Reportage dans le Nord : « comment vivre avec le SMIC ? »

B. « L’actualité politique » dans les journaux télévisés en période de campagne

1. La campagne à l’occasion du référendum sur le Traité Constitutionnel Européen : les « 20h » de TF1 du 18 mars et du 24 mars 2005

Comment les enjeux du référendum sont-ils couverts dans le cadre de l’information politique et hors de ce « cadre » ?

1/ le « non » en tête : un « 20h » de TF1 et deux journaux de la mi-journée (21 mars 2005)

Le « 20h » de TF1

Les titres : des problèmes techniques sur les régulateurs de vitesse Renault, la réunion

des partenaires sociaux sur les salaires privés, une opération « collège mort » suite à des incidents dans un établissement, le pape souffrant, la visite de Vladimir Poutine à Paris, les réactions au premier sondage donnant le « non » vainqueur, le Salon du Livre avec les écrivains russes invités.

Voici la liste des sujets de cette édition :

1/ « Renault » : le constructeur invite les automobilistes à se rendre chez les concessionnaires,

2/ Réunion des partenaires sociaux : problèmes de salaire et de pouvoir d’achat, « le

gouvernement souhaite faire pression sur le patronat »,

3/ Reportage dans le Nord : « comment vivre avec le SMIC ? »

4/ Dégazage sauvage d’un navire

5/ Simulation d’un accident de TGV pour une évaluation du système de secours 6/ Deux élèves à l’origine « de troubles » menottés dans un collège de Roubaix 7/ Intervention des gendarmes dans le cadre d’un trafic d’objets d’art

8/ Profanations en Alsace 9/ Le pape souffrant

10/ Rencontre officielle France et Russie, à laquelle se joignent les chefs d’Etat allemand et Espagnol ; « L’Europe ne veut pas isoler la Russie »

11/ Reportage en Russie

12/ « En France la campagne se durcit » : « les inquiétudes dans le camp du oui » ; réactions de Nicolas Sarkozy, François Hollande et Jean-Pierre Raffarin

13/ Forages pétroliers rentables en Alaska

14/ Les difficultés des pêcheurs « conséquences des quottas de pêche européens » 15/ Les services de réanimation hospitaliers font des économies

16/ Le salon de la franchise 17/ Salon du livre

18/ Moscou, ville olympique ? 19/ Sport (patinage et football) 20/ Danse

Il faut souligner et c’est l’essentiel, que dans cette édition d’information, aucun lien

n’est fait entre les enjeux sociopolitiques (qu’ils prennent la forme de projets politiques, de

politiques publiques, à dimensions nationale, internationale ou européenne) qui sont abordés dans le journal et l’échéance référendaire portant sur la ratification du Traité de constitution européenne, ni avec les offres politiques (partisanes ou bien le camp des « ouiistes » et des « nonistes ») qui s’y rapportent.

Pourtant certains thèmes abordés se prêteraient volontiers à un accrochage avec une information pouvant revêtir les aspects d’un enjeu à caractère européen : les problèmes de pouvoir d’achat et de croissance, le dégazage, la lutte contre les trafics, la politique étrangère avec la rencontre des quatre chefs d’Etats, l’énergie. Seul le sujet sur les difficultés des

pêcheurs fait explicitement référence à un aspect des politiques européennes, la référence

de l’Europe à l’égard de son attitude envers la Russie étant déconnectée de toute perspective, de tout enjeu s’agissant du prochain référendum.

Les études de communication politique s’interrogent sur le fait de savoir en quoi les

médias télévisuels, et ici donc, un journal télévisé de « 20h », contribuent à définir une telle « posture » à l’égard de la « définition de la situation politique » qui, en l’occurrence ici, préside au référendum sur la ratification du Traité de constitution européenne.

Ces études soulignent le rôle prépondérant de l’information médiatique en période

électorale. Ce sur quoi porte l’interrogation c’est la contribution des médias à la définition

générale et au sens de la situation politique. Ce sens émerge de l’interaction entre trois

types d’acteurs : le personnel politique, le public et les médias au terme d’un processus

interactif entre ces acteurs.

S’agissant des médias, ce qui intéresse, c’est comment les médias rendent accessibles un certain nombre d’enjeux du débat et comment ils les configurent (biais d’accessibilité). Avec comme hypothèse, que « la référence médiatique commande l’inférence politique »175 opérée par les citoyens, i.e. que la façon dont les médias traitent d’enjeux et d’une situation politiques a une influence sur le jugement politique. Autrement dit que les médias sont porteurs d’effets cognitifs mais également persuasifs. La mise à jour théorique autour des « effets d’information », en reprenant la typologie des effets persuasifs engendrés par les médias (effet d’agenda, de cadrage et d’amorçage), revient sur cette distinction information/ persuasion, « l’informatif » et « le persuasif » relevant d’un examen fin, voire impossible.

Quoi qu’il en soit le rôle des médias va se situer au niveau des mécanismes de

traitement, de mise en forme, de formatage, de « cadrage » de l’information.

Pour débuter l’étude, il faut distinguer ce qui relève de l’information qui se

rapporte à la campagne du reste de l’information.

L’information sur la campagne et son actualité « le non en tête dans les sondages

pour la première fois », si elle est annoncée dans les titres, n’est traitée que relativement

tardivement dans le journal. Ce qui ne fera que relancer le débat portant sur les interprétations d’un tel choix en matière de hiérarchie de l’information et de sa portée : est-ce un moyen pour le journal télévisé de ne pas mettre en valeur une information pouvant porter atteinte à la mobilisation en faveur du « oui » et ainsi d’afficher une étiquette « ouiste » à l’instar de ce qu’aurait été le comportement général des médias au cours de cette campagne ?

L’argument pourrait porter si l’on ignorait l’essentiel à savoir ce que nous avons déjà souligné, la déconnection totale entre les enjeux politiques et l’information qui se

rapporte à la campagne sur le référendum, au profit d’une peinture journalistique de l’état de la France, de son climat social qui, par endroits, frôle le portrait misérabiliste.

C’est le cas, nous semble-t-il, avec le reportage consacré à cette femme du Nord qui élève seule, ses deux enfants et travaille pour pouvoir leur payer des études. Non pas bien entendu qu’il soit illégitime pour un journal télévisé de rendre compte de la réalité de personnes devant vivre en famille « avec le SMIC », y compris en insistant comme le fait le reportage, sur la peinture des conditions de vie matérielles très précaires (véhicule, ameublement, alimentation) dans lesquelles cette famille est appelée à évoluer.

Mais parce qu’il y a davantage qu’un apolitisme, un ajournalisme à le faire en dehors de tout « cadrage politique ». Ici le traitement télévisuel ne peut pas rendre plus conflictuel les deux dimensions qui président au « double cadrage » politique, puisque le discours d’information ne fait aucune articulation entre la vision du social qui est exposée et des projets, des programmes politiques.

« L’information politique » qui se rapporte au référendum est elle, centrée sur « la

campagne, qui se durcit ». « Les inquiétudes dans le camp du oui » sont recueillies auprès de

ses partisans ; leurs réactions ne font qu’alimenter « les luttes partisanes », les tactiques, ce que souligne le commentaire journalistique.

La peinture de la réalité sociale qui est faite dans le cadre de l’information « non électorale » (qui ne se rapporte pas à la campagne), fonctionne donc à peu près comme un contre argumentaire aux rhétoriques politiques articulées par les acteurs politiques

qui défendent le « oui ».

Alors que dans le même temps, le « journalisme politique », va vraiment s’attacher à

penser la politique comme un jeu.

Pour s’en convaincre, on peut observer le « 12.30 » de France 3 du 21 mars dans lequel François Hollande est invité. On est alors en plein dans « l’information politique » et

aucun « enjeu » n’est abordé, c’est-à-dire qu’aucun travail journalistique sur la réalité

sociale ne peut en quelque sorte être raccroché à une dimension partisane (d’offre politique) et/ou normative (des visions du monde social) de la politique.

Le « 12.30 » de F3 du 21 mars : François Hollande invité

Le leader politique est interrogé avec persistance par la journaliste, sur « les divisions du non à gauche », puis sur « sa photo avec Nicolas Sarkozy dans Paris Match » (« une erreur de communication ? »), sur « l’attitude de Jean-Luc Mélenchon ».

Tant bien que mal, sa réponse développée est : « quelle Europe voulons-nous ? Ce sera la question ? Une Europe plus démocratique, un Conseil Européen qui s’engage, une Europe plus sociale, une Europe qui pèse ? »

Première question de la journaliste : « votre discours ne convainc pas car c’est à gauche que le non progresse les plus, c’est le fruit de vos divisions ? » « Non, c’est parce que les Français ne sont pas informés de l’enjeu (…) », répond les Premier secrétaire, avant de souligner que « les socialistes vont mener campagne car c’est utile pour les socialistes, pour la France et les Français ».

« Vous pensez que Jacques Chirac doit intervenir ? », demande alors la journaliste. « Je ne sais pas (…) ; ce que je veux, c’est parler aux socialistes et aux Français qui nous font confiance ». « Il faut prendre ce sujet européen pour ce qu’il est, une chance (…), avec un parlement européen plus démocratique, un président de la Commission européenne qui s’investisse (…) ; voilà l’enjeu.»

Nouvelle question : « vous êtes pour clarté et vous vous êtes affiché à côté de Nicolas Sarkozy, n’est-ce pas entretenir la confusion ? » Réponse du leader politique sur un « débat » qui se rapporte à un autre « enjeu » (« c’est l’enjeu des Présidentielles de 2007 », un « affrontement droite/gauche »).

« Mais ce n’était pas une erreur de communication, cela a crispé les socialistes ? », interrompt la présentatrice du journal de la mi-journée. « Cela me paraît secondaire », répondra François Hollande, avant de reprendre son argumentaire sur le double enjeu de « l’affrontement droite/gauche » et de « la constitution européenne pour les Français ».

Enfin, la journaliste questionnera le représentant politique au sujet de Jean-Luc Mélenchon, « sanctionné » : « vous pensez que c’est en mettant à l’écart que vous allez convaincre les socialistes ? » Et le leader socialiste de souhaiter que « chacun garde ses convictions » tout en respectant la « règle, entre-nous ».

Il faut noter que dans le « 13h » de TF1, à la même heure le 21 mars 2005, aucun

sujet ne se rapporte à la campagne ou au mouvement de l’opinion sur le « oui » et le « non ».

Au total, comme on en traitera dans le chapitre 3, cette « désarticulation » renvoie à la « crise de la politique » (de la « représentation politique », de sa « programmatique »). Cet « apolitisme » est une réponse à « un âge anti-politique » et au changement « des

référentiels spatiaux du politique » : les « enjeux » européens (et régionaux comme on va le

voir) ou nationaux sont déconnectés de la politique nationale partisane, quand l’offre politique n’est pas structurée autour des « enjeux » (libéralisme, Europe…). Ne doit-on pas alors, envisager la distinction rhétorique entre la et le politique – la séparation entre un politique rejeté dans un apolitisme et une politique centrée sur les jeux politiciens - comme réponse à l’absence d’une politisation autour d’enjeux intégrés par les offres politiques sur l’Europe ?

Les médias à travers le traitement de la politique ne font qu’entretenir et banaliser cette posture « dépolitisée »… sans pourtant, semble-t-il, que cela modifie les règles de « la

politisation des messages ». Stratégies de communication d‘un « gouvernement de

communication » ou pas, les médias télévisuels continuent de relayer les projets d’action politique, également les messages des gouvernants et de leurs opposants sous la forme de leur agenda ou des petites phrases, alimentant en cela la couverture des « jeux » politiciens.

C’est le cas avec l’intervention de Jean-Pierre Raffarin dans l’édition de « 20 heures » du 24 mars 2005 sur TF1.

2/ le « 20h » de TF1 du 24 mars, invité : Jean-Pierre Raffarin

Le présentateur annonce dès les titres que le Premier ministre est l’invité du journal, un Premier ministre qui « revient du congrès de la FNSEA où il a annoncé des mesures d’aides et surtout a invité les agriculteurs à voter oui au référendum ». « Nous évoquerons avec lui la situation sociale et politique », précise Patrick Poivre d’Arvor.

Il enchaîne : « on nous reproche parfois de commencer nos journaux avec de mauvaises nouvelles, voici un bel double arc-en-ciel sur l’Ile-de-France… » (…) « Il nous dit que pour la première fois, l’espérance de vie atteint 80 ans ».

Si l’on vient directement au traitement de « l’information politique » qui se rapporte au référendum, il faut s’intéresser au sujet consacré au congrès de la FNSEA. On y apprend que « la concurrence mondiale menace les agriculteurs » (« on marche sur les paysans ») et que « la constitution européenne s’est invitée au congrès ». Un congrès qui reçoit la visite des principaux leaders politiques (les chefs de partis politiques) qui soutiennent le « oui » : François Hollande, François Bayrou et Nicolas Sarkozy. Des extraits de leurs interventions publics sont diffusés, ce qui rappelle l’effacement des clivages partisans sur cette question.

En retour plateau, le journaliste présente des ouvrages de Nicole Fontaine et de Michel Barnier qui « expliquent la constitution européenne », un « son » de Valéry Giscard d’Estaing est même diffusé. On ne pourra ainsi pas dire que le journal le plus regardé par les Français n’a pas rempli son devoir d’information… civique et non pas politique. A aucun moment il n’est rendu compte dans cette information « civique » - déconnectée de tout « enjeu » sociopolitique - qui a fleurie dans les médias à cette occasion, de l’articulation que font les

discours politiques qui se rapportent à l’échéance référendaire, entre leur « offre politique »

(dimension « partisane ») et les projets de transformation du monde social (dimension normative) que ces offres politiques énoncent.

Peu importe ; cela suffira à justifier par la suite une « attaque en règle » sur la politique du Premier Ministre et ses projets politiques liés à l’échéance du référendum dans une entreprise journalistique de disqualification de la politique, tant celle-ci est réduite sur ces « enjeux » majeurs, à une visée politicienne. Là non plus, donc on ne semble pas faire « d’information politique » dans la mesure où l’on ne restitue pas les articulations partisanes

et normatives de la politique.

La question sera ensuite (chapitre 3) de mesurer l’effort de « politisation » que réalisent les médias télévisuels, en jouant sur cette catégorie instituée de « l’information politique » afin de faire parler le social tout en restituant un « cadrage politique » qui ne fasse pas les frais des procédés de disqualification de « l’âge anti-politique ».

Détaillons pour finir, ce traitement télévisuel de la politique dans un journal télévisé, et donc, l’interview du Premier ministre.

« Votre première implication forte ce soir à la télévision à deux mois du référendum ; on dit qu’il s’en aille parce qu’il va nous faire perdre », lance le présentateur. « Vous savez… il y a de la malice partout ; il y en a même qui veulent ma place », répond le Premier ministre.

Alors que celui-ci se présente d’abord comme « le chef de la campagne d’explication du gouvernement » qui se décline dans les réunions, sur un site Internet, qu’il rappelle ensuite « le moment historique » que représente la constitution européenne, puis qu’il dramatise l’échéance en affirmant que « chaque vote va compter » et que « le résultat sera incertain jusqu’au bout », Patrick Poivre d’Arvor lui demande s’il va « tenir meeting commun avec Nicolas Sarkozy ».

Le Premier ministre reprend son argumentaire sur « le monde a besoin de l’Europe », lâche l’une de ces formules qui trahissent son passé d’homme de marketing (« la France peut mettre du bleu, blanc, rouge dans le bleu avec des étoiles de l’Europe ») pour monter en généralité jusqu’aux essences : « voter ce n’est pas voter Raffarin, Hollande… c’est voter pour la France ». Et l’interviewer de bisser : « vous ferez meeting commun avec François Bayrou et François Hollande ? » Réponse qui, il est vrai, si elle était donnée, apporterait une information au public.

Par la suite les questions concernent non plus la situation « politique » mais « sociale » comme annoncé dans les titres du journal. On est alors en présence d’un « effet de

cadrage » par les « enjeux nationaux » déclinés sur les thématiques de la situation socio-économique du pays (et des « mécanismes d’imputation » y afférent), d’ailleurs relayé par le

propre discours du journaliste : «… les Français répondent rarement à la question… ils voient bien que la croissance faiblit, que le chômage… »

Puis, « vos électeurs traditionnels sont déroutés… dès qu’il y a une manifestation, vous lâchez… la réforme du bac, les fonctionnaires… vous allez lâcher pour le oui dans les deux prochains mois ? » Et encore : « … sur les fonctionnaires, j’ai entendu Renaud Dutreil dire il n’y a plus rien dans les caisses ».

Pour finalement, en un trois questions, revenir « à la politique » : « est-il jouissif, simplement drôle de sentir le souffle chaud de votre successeur ? » ; « vous avez suffisamment d’autorité pour ramener les gens à la discipline ? Votre secrétaire d’Etat dit il

2. Les législatives de 1997 dans le « 13 heures » de TF1 et dans celui de France 2

Il s’agit d’étudier le regard de deux éditions de la mi-journée sur une même échéance électorale en observant dans un premier temps, le traitement du lancement de la campagne dans le « 13 heures » de Jean-Pierre Pernaut puis, en comparant le traitement des « enjeux » de l’élection dans les « stratégies de cadrage » adoptées par les « JT » de TF1 et celui de France 2.

Ce regard peut être perçu comme « dépolitisé » car s’appuyant sur la défiance176, la distance et la moquerie à l’égard de la politique, essentiellement à l’égard de la « parole » et du « discours politique ». Pourtant il faut distinguer des formes de traitement télévisuel qui sollicitent des points de vue politiques alors que d’autres, ne procurent aucune autonomie

symbolique et cognitive à la politique.

S’appuyer sur la défiance, les à-côtés, les coulisses de la politique, sur de l’information civique » pour faire de « l’information politique », conduit à porter un regard dépolitisé sur la politique. Mais ces formes de (re)présentation de la politique peuvent servir des formes de

raisonnement qui assure un « cadrage » politique » de l’actualité, ici relative aux

législatives anticipées. Car si elles peuvent, dans un procédé rhétorique de disqualification177, « moquer » la politique, elles « articulent » ou « imputent » : il y a bien dans le traitement qui est fait de cette « actualité politique », des projets de transformation du social qui sont

rapportés à des offres politiques partisanes.

1/ le lancement de la campagne dans le « 13h » de Jean-Pierre Pernaut : les 22, 23 et 24 avril 1997

Le 22 avril

Le 22 avril, le « 13h » titre sur la sécheresse et les élections ; les « deux titres essentiels de l’actualité ». « Nous parlerons des vacances et nous poursuivrons notre tour de France des maisons traditionnelles ; auparavant un coup d’oeil traditionnel sur les prévisions météo», précise ensuite le présentateur.

176 Ici autour du cadrage prépondérant présidant à la définition de cette situation politique autour de la thématique de la dissolution comme « manœuvre », Cf. GERSTLE, Voir le chapitre 2.